- joebar69Fidèle du forum
On dirait que mes collègues responsables des contenus/maquettes d'enseignement, dans mon école d'ingé, ont suivi la même formation de "management"epekeina.tes.ousias a écrit:Rien d'officiel — mais cela n'est pas significatif. C'est le cas à chaque réforme (il y a en déjà eu 4) depuis 2010 : ne donner que peu d'infos, si possibles non officielles et par “fuitage”, maintenir le calendrier et passer en force — voilà en gros la méthode. C'est pourquoi il faut prendre très au sérieux le peu d'infos qui circulent : c'est ce qui va se faire quoi qu'il arrive. Les dernières “fuites”, ce sont les schémas des nouveaux concours (avec nombre d'épreuves, durées et coeff.) de niveau L3. Là encore, on est censé ne rien savoir, mais tout est déjà prêt et déjà décidé.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Oui : cela fait au bas mot 15/20 ans que tout fonctionne ainsi.
Quoi qu'il en soit, les nouveaux concours — CPE, PE, PLP et Capès — sont prêts (y compris avec les “exceptions” du genre d'une épreuve en plus par ex. en LC). Et là encore, l'idée que ce type de documents aurait réellement “fuité” me paraît à peu près aussi probable que l'existence des reptiliens dont le QG serait sur mars : ballons-sondes, oui, “fuite”, non.
Certes, nombre de collègues “hors INSPÉ” en sont encore à ne pas “y croire” — mais c'est uniquement parce que c'est la première fois que ça leur tombe dessus. Et vu qu'il semble bien que “France U.” ait acté et donné son accord (cf. ça se fait à budget constant et n'est pas censé coûter un sou), à mon avis l'essentiel est dit.
Quoi qu'il en soit, les nouveaux concours — CPE, PE, PLP et Capès — sont prêts (y compris avec les “exceptions” du genre d'une épreuve en plus par ex. en LC). Et là encore, l'idée que ce type de documents aurait réellement “fuité” me paraît à peu près aussi probable que l'existence des reptiliens dont le QG serait sur mars : ballons-sondes, oui, “fuite”, non.
Certes, nombre de collègues “hors INSPÉ” en sont encore à ne pas “y croire” — mais c'est uniquement parce que c'est la première fois que ça leur tombe dessus. Et vu qu'il semble bien que “France U.” ait acté et donné son accord (cf. ça se fait à budget constant et n'est pas censé coûter un sou), à mon avis l'essentiel est dit.
_________________
Si tu vales valeo.
- barègesÉrudit
epekeina.tes.ousias a écrit:joebar69 a écrit:Merci pour ces infos que j'avais zappé.epekeina.tes.ousias a écrit:Non. Le document qui a fuité concerne déjà les PEPS, les CPE, les PLP et les PE. Cela concerne aussi les certifiés : on a là-dessus, la déclaration du PR (et c'est aussi ce qui se dit dans les rectorats).
Et non, ce n'est PAS un examen de passage en MEEF : c'est un concours de niveau bac+3 — il n'y en aura pas d'autre. [...]
Mais il me semble que rien d'officiel ne soit encore sorti, me trompes-je ?
Rien d'officiel — mais cela n'est pas significatif. C'est le cas à chaque réforme (il y a en déjà eu 4) depuis 2010 : ne donner que peu d'infos, si possibles non officielles et par “fuitage”, maintenir le calendrier et passer en force — voilà en gros la méthode. C'est pourquoi il faut prendre très au sérieux le peu d'infos qui circulent : c'est ce qui va se faire quoi qu'il arrive. Les dernières “fuites”, ce sont les schémas des nouveaux concours (avec nombre d'épreuves, durées et coeff.) de niveau L3. Là encore, on est censé ne rien savoir, mais tout est déjà prêt et déjà décidé.
Expérience, au choix, drôle ou douloureuse : comparer en termes de maîtrise disciplinaire le concours à bac + 3 pré-2009 et le concours à bac + 3 post-2024 (type et nombre d'épreuves, niveau attendu). Je n'ai pas vu passer les fuites, je ne sais pas si ceux qui les ont lues peuvent donner leurs sentiments là-dessus ?
- JennyMédiateur
Petite discussion avec les stagiaires SOPA de l'établissement. Ils n'ont pas l'intention de repasser le CAPES s'ils le ratent cette année... Voilà, bien joué.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
barèges a écrit:Expérience, au choix, drôle ou douloureuse : comparer en termes de maîtrise disciplinaire le concours à bac + 3 pré-2009 et le concours à bac + 3 post-2024 (type et nombre d'épreuves, niveau attendu). Je n'ai pas vu passer les fuites, je ne sais pas si ceux qui les ont lues peuvent donner leurs sentiments là-dessus ?
On n'en sait rien : c'est du schéma (deux épreuves écrites avec note éliminatoire à 5, de 4h mini, l'une disciplinaire coeff 3, l'autre d'analyse de support coeff 2 ; deux épreuves d'admission, oral disciplinaire coeff 5 et oral "entretien” (métier et valeurs) coeff 3). Bref, même chose que maintenant, mais c'est strictement formel. Il reviendra aux différents jurys de pondre des sujets.
Pour ma part, je pense qu'on va vers du basique avec derrière un master à format stages et routinisation du travail en classe. Et d'autre part, je le redis une énième fois : comparer le concours à venir avec le “capès d'avant”, ça n'a strictement aucun sens et cela revient à prendre la comm' gouvernementale pour argent comptant. Il ne s'agira pas d'un capès (ni d'aucun des concours en vigueur jusqu'à maintenant) : il s'agira d'un concours donnant accès à un master professionnalisant qui sera la véritable porte d'entrée et dans l'année de stage et dans la titularisation. Je le dis et je le répète, c'est un changement complet de logique : les ressemblances extérieures sont mises en avant pour faire croire que ce sera “la même chose qu'avant”.
Jenny a écrit:Petite discussion avec les stagiaires SOPA de l'établissement. Ils n'ont pas l'intention de repasser le CAPES s'ils le ratent cette année... Voilà, bien joué.
J'ai les mêmes échos, et ce n'est pas spécialement étonnant : il faudrait qu'il passe un concours niveau L3 en étant en concurrence avec les L3 arrivant, le tout sans sans savoir exactement comment la suite se passerait pour eux (master ? pas master ? quel format de titularisation ?). Tout ce que l'on sait, d'après les documents d'essai, c'est que ceux qui entrent dans les actuels MEEF maintenant seront la dernière cohorte et qu'ensuite on tire le rideau. Le MEN a visiblement décidé de les passer par pertes et profits…
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Si tu vales valeo.
- JennyMédiateur
Les 800 ou 900 euros sont clairement un bloquage aussi. C’est moins que leur job étudiant…
C’est vrai que le MEN peut se permettre de passer des étudiants motivés « par pertes et profits ».
C’est vrai que le MEN peut se permettre de passer des étudiants motivés « par pertes et profits ».
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Jenny a écrit:Les 800 ou 900 euros sont clairement un bloquage aussi.
C'est évident. Ils le sont depuis la création du présent master — et ça s'est aggravé ces deux dernières années (vu la crise, rien de surprenant).
Pour ma part, je ne vois vraiment pas pourquoi ça irait mieux sous prétexte qu'on aurait changé le nom du bidule : les étudiants sont de moins en moins en position de financer leurs études, et ça ne va pas changer.
Mais même comme ça, même en disant que l'ensemble de l'actuel budget (y compris de passation des concours) était reversé tel quel dans le nouveau cadre, s'il y a du retard dans la comm', c'est que l'arbitrage budgétaire reste difficile à trouver. Même l'année de M2 avec rémunération à indice 1 mais “à mi-temps” leur fait problème… C'est dire que si le principal souci était de résoudre le problème du recrutement et de faire quelque chose, on n'en serait pas là…
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Si tu vales valeo.
- jaybeNiveau 9
Europe 1 a annoncé hier s'être procuré le "projet de maquette de l'examen" (sic).
https://www.europe1.fr/societe/info-europe-1-les-attendus-du-futur-capes-revus-a-la-baisse-des-professeurs-se-disent-inquiets-4246583
https://www.europe1.fr/societe/info-europe-1-les-attendus-du-futur-capes-revus-a-la-baisse-des-professeurs-se-disent-inquiets-4246583
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Les mathématiciens ne sont pas des gens qui trouvent les mathématiques faciles ; comme tout le monde, ils savent qu'elles sont difficiles, mais ça ne leur fait pas peur !
- Anne_68Niveau 10
Que voulez-vous, dans la génération de mes grand-parents on recrutait de jeunes profs qui avaient deux ou trois heures de cours d'avance sur leurs élèves. Personne n'en est mort. Précision importante - c'était dans l'immédiat après-guerre, avec des jeunes générations décimées, des populations déplacées plutôt de force que de gré, et un pays dévasté. Rien à voir avec notre époque de paix et prospérité, et pourtant ...
- AlaperneNiveau 5
J’ai consulté les documents, notamment ceux d’Histoire-Géographie et d’Anglais (merci @Ergo !). Quelqu’un aurait-il les programmes pour les sections Lettres classiques et Lettres modernes ? Une ancienne élève m’a récemment contacté pour savoir si nous en savions plus suite à la parution de l’article sur Europe 1. Merci d’avance !
EDIT : Je viens de trouver pour la physique-chimie, mais toujours pas pour les lettres... https://www.calameo.com/books/0076677374f0d3804cad5
EDIT : Je viens de trouver pour la physique-chimie, mais toujours pas pour les lettres... https://www.calameo.com/books/0076677374f0d3804cad5
- ErgoDevin
@Iridiane les a peut-être ? Ou @e-Wanderer ?
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- RuthvenGuide spirituel
Les maquettes ont circulé mais je n'ai pas vu le programme spécifique.
CAPES section lettres classiques
maquette d’épreuves du concours externe
Une question littéraire constitue le programme de la première épreuve d’admissibilité. Elle est assortie de la mention indicative de trois œuvres littéraires et de deux œuvres artistiques permettant de l’illustrer. Le programme est régulièrement renouvelé et fait l’objet d’une publication sur le site internet du ministère chargé de l'éducation nationale*.
A - Épreuves d'admissibilité
1° Première épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une dissertation en réponse au sujet posé.
Le candidat traite le sujet portant sur la question littéraire inscrite au programme : il peut prendre appui sur les œuvres littéraires et artistiques indiquées dans le programme, complétées de sa culture personnelle.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à problématiser et développer une réflexion personnelle dans le cadre d’un sujet de dissertation littéraire portant sur un programme. Elle permet d’évaluer également la qualité de l’expression écrite.
Au titre de la même session, le sujet est commun avec la première épreuve d’admissibilité prévue au X du x de lettres modernes.
Durée : cinq heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
2° Deuxième épreuve d’admissibilité
L’épreuve s’appuie sur un corpus de deux textes littéraires antiques, l’un en grec ancien, l’autre en latin.
Le candidat propose une traduction de ces deux textes.
L’épreuve évalue les connaissances linguistiques et la capacité de compréhension dans les deux langues antiques.
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
Durée : quatre heures ; Coefficient 2
3° Troisième épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une analyse grammaticale et lexicale en langues ancienne et française en réponse à un sujet posé. Le sujet impose, à partir d’un corpus de deux textes, l’étude d’une ou plusieurs notions grammaticales et lexicales de tout ou partie des deux textes littéraires.
L’épreuve s’appuie sur un corpus de deux textes littéraires, l’un issu de la littérature française, l’autre de la littérature grecque ou latine, donné en langue ancienne et en traduction.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à mobiliser des savoirs grammaticaux et lexicaux en langue française et dans la langue antique du sujet, au service de la compréhension et de l’interprétation de phénomènes linguistiques et littéraires.
Durée : quatre heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
B - Épreuves d'admission
1° Première épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un exposé suivi d’un échange avec le jury.
Un corpus est proposé au candidat, constitué d’un texte littéraire antique (grec ou latin) accompagné d’une traduction, et d’un texte littéraire français.
L’exposé permet au candidat d’analyser les éléments du corpus en mettant en valeur leur résonance, les effets de sens nés de leur rapprochement, la spécificité littéraire, artistique ou linguistique de chacun des documents et de proposer une explication du texte littéraire en langue antique.
Suite à cet exposé, le jury dialogue avec le candidat pour l’inviter à reprendre ou approfondir ses analyses.
L’épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à s’exprimer, à analyser de manière précise et organisée un corpus de textes, à en présenter les principaux enjeux de sens dans le cadre d’un oral en continu, puis en interaction avec le jury.
Durée de la préparation : trois heures ; durée de l’épreuve : une heure (exposé : trente minutes, échange : trente minutes)
Coefficient : 5
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un entretien avec le jury.
Elle comporte un premier temps d'échange d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes, par le candidat de sa motivation et des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury pendant dix minutes.
L’épreuve se poursuit, pendant vingt minutes, par un entretien avec le jury.
L’échange suivant la présentation du candidat et l’entretien en tant que tel doivent permettre au jury, au travers de questionnements divers (dont une mise en situation), d'apprécier l'aptitude du candidat à :
- se projeter dans le métier de professeur ;
- transmettre et incarner les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons) ;
- comprendre les grands enjeux liés à la transition écologique ;
- appréhender l’épanouissement de l’élève dans toutes ses dimensions.
Durée totale de l’épreuve : 35 minutes - Coefficient : 3
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
* [Programme en cours de définition]
CAPES section lettres modernes
maquette d’épreuves du concours externe
Une question littéraire constitue le programme de la première épreuve d’admissibilité. Elle est assortie de la mention indicative de trois œuvres littéraires et de deux œuvres artistiques permettant de l’illustrer. Le programme est régulièrement renouvelé et fait l’objet d’une publication sur le site internet du ministère chargé de l'éducation nationale*.
A - Épreuves d'admissibilité
1° Première épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une dissertation en réponse au sujet posé.
Le candidat traite le sujet portant sur la question littéraire inscrite au programme : il peut prendre appui sur les œuvres littéraires et artistiques indiquées dans le programme, complétées de sa culture personnelle.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à problématiser et développer une réflexion personnelle. Elle permet d’apprécier également la qualité de l’expression écrite.
Au titre de la même session, le sujet est commun avec la première épreuve d’admissibilité prévue au X du x de lettres classiques.
Durée : cinq heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une analyse grammaticale et stylistique en réponse à un sujet posé. Le sujet impose, à partir d’un corpus de deux textes, l’étude d’une ou de plusieurs notions grammaticales et l’étude stylistique de tout ou partie de l'un des deux textes littéraires.
Le corpus se compose de deux textes littéraires de siècles différents (du XVIème siècle à nos jours).
L’épreuve évalue la capacité du candidat à mobiliser des savoirs grammaticaux au service de la compréhension de certains phénomènes linguistiques et littéraires.
Durée : quatre heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
B - Épreuves d'admission
1° Première épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un exposé suivi d’un échange avec le jury.
Le candidat a, pour son exposé, le choix entre les domaines suivants qui conditionnent la nature des documents qui lui seront remis par le jury :
1. Culture littéraire et artistique.
2. Cinéma-audiovisuel.
3. Théâtre.
4. Latin pour lettres modernes.
5. Français langue étrangère et français langue seconde.
Le choix du domaine est formulé au moment de l'inscription.
Un corpus est proposé au candidat, dont l’élément central est un texte littéraire, assorti d’un document. Selon le choix du domaine retenu par le candidat, il peut s'agir :
- d'un autre texte littéraire ou d’une image pour le domaine culture littéraire et artistique ;
- d'un court extrait d'une œuvre cinématographique ou audiovisuelle pour le domaine cinéma-audiovisuel ;
- d'un court extrait d'une captation audiovisuelle d'une mise en scène théâtrale pour le domaine théâtre ;
- d'un texte latin pour le domaine latin pour lettres modernes ;
- d'un autre texte littéraire pour le domaine français langue étrangère et français langue seconde.
L’exposé permet au candidat d’analyser les éléments du corpus en mettant en valeur leur résonance, les effets de sens nés de leur rapprochement, la spécificité littéraire, artistique ou linguistique de chacun des documents et de proposer une explication du texte littéraire.
Suite à cet exposé, le jury dialogue avec le candidat pour l’inviter à reprendre ou approfondir ses analyses.
L’épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à s’exprimer, à analyser de manière précise et organisée un corpus de textes et documents, à en présenter les principaux enjeux de sens dans le cadre d’un oral en continu, puis en interaction avec le jury.
Durée de la préparation : trois heures ; durée de l’épreuve : une heure (exposé : trente minutes, échange : trente minutes)
Coefficient : 5
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un entretien avec le jury.
Elle comporte un premier temps d'échange d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes, par le candidat de sa motivation et des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury pendant dix minutes.
L’épreuve se poursuit, pendant vingt minutes, par un entretien avec le jury.
L’échange suivant la présentation du candidat et l’entretien en tant que tel doivent permettre au jury, au travers de questionnements divers (dont une mise en situation), d'apprécier l'aptitude du candidat à :
- se projeter dans le métier de professeur ;
- transmettre et incarner les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons) ;
- comprendre les grands enjeux liés à la transition écologique ;
- appréhender l’épanouissement de l’élève dans toutes ses dimensions.
Durée totale de l’épreuve : 35 minutes - Coefficient : 3
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
* [Programme en cours de définition]
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Une question littéraire constitue le programme de la première épreuve d’admissibilité. Elle est assortie de la mention indicative de trois œuvres littéraires et de deux œuvres artistiques permettant de l’illustrer. Le programme est régulièrement renouvelé et fait l’objet d’une publication sur le site internet du ministère chargé de l'éducation nationale*.
A - Épreuves d'admissibilité
1° Première épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une dissertation en réponse au sujet posé.
Le candidat traite le sujet portant sur la question littéraire inscrite au programme : il peut prendre appui sur les œuvres littéraires et artistiques indiquées dans le programme, complétées de sa culture personnelle.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à problématiser et développer une réflexion personnelle dans le cadre d’un sujet de dissertation littéraire portant sur un programme. Elle permet d’évaluer également la qualité de l’expression écrite.
Au titre de la même session, le sujet est commun avec la première épreuve d’admissibilité prévue au X du x de lettres modernes.
Durée : cinq heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
2° Deuxième épreuve d’admissibilité
L’épreuve s’appuie sur un corpus de deux textes littéraires antiques, l’un en grec ancien, l’autre en latin.
Le candidat propose une traduction de ces deux textes.
L’épreuve évalue les connaissances linguistiques et la capacité de compréhension dans les deux langues antiques.
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
Durée : quatre heures ; Coefficient 2
3° Troisième épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une analyse grammaticale et lexicale en langues ancienne et française en réponse à un sujet posé. Le sujet impose, à partir d’un corpus de deux textes, l’étude d’une ou plusieurs notions grammaticales et lexicales de tout ou partie des deux textes littéraires.
L’épreuve s’appuie sur un corpus de deux textes littéraires, l’un issu de la littérature française, l’autre de la littérature grecque ou latine, donné en langue ancienne et en traduction.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à mobiliser des savoirs grammaticaux et lexicaux en langue française et dans la langue antique du sujet, au service de la compréhension et de l’interprétation de phénomènes linguistiques et littéraires.
Durée : quatre heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
B - Épreuves d'admission
1° Première épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un exposé suivi d’un échange avec le jury.
Un corpus est proposé au candidat, constitué d’un texte littéraire antique (grec ou latin) accompagné d’une traduction, et d’un texte littéraire français.
L’exposé permet au candidat d’analyser les éléments du corpus en mettant en valeur leur résonance, les effets de sens nés de leur rapprochement, la spécificité littéraire, artistique ou linguistique de chacun des documents et de proposer une explication du texte littéraire en langue antique.
Suite à cet exposé, le jury dialogue avec le candidat pour l’inviter à reprendre ou approfondir ses analyses.
L’épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à s’exprimer, à analyser de manière précise et organisée un corpus de textes, à en présenter les principaux enjeux de sens dans le cadre d’un oral en continu, puis en interaction avec le jury.
Durée de la préparation : trois heures ; durée de l’épreuve : une heure (exposé : trente minutes, échange : trente minutes)
Coefficient : 5
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un entretien avec le jury.
Elle comporte un premier temps d'échange d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes, par le candidat de sa motivation et des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury pendant dix minutes.
L’épreuve se poursuit, pendant vingt minutes, par un entretien avec le jury.
L’échange suivant la présentation du candidat et l’entretien en tant que tel doivent permettre au jury, au travers de questionnements divers (dont une mise en situation), d'apprécier l'aptitude du candidat à :
- se projeter dans le métier de professeur ;
- transmettre et incarner les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons) ;
- comprendre les grands enjeux liés à la transition écologique ;
- appréhender l’épanouissement de l’élève dans toutes ses dimensions.
Durée totale de l’épreuve : 35 minutes - Coefficient : 3
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
* [Programme en cours de définition]
CAPES section lettres modernes
maquette d’épreuves du concours externe
Une question littéraire constitue le programme de la première épreuve d’admissibilité. Elle est assortie de la mention indicative de trois œuvres littéraires et de deux œuvres artistiques permettant de l’illustrer. Le programme est régulièrement renouvelé et fait l’objet d’une publication sur le site internet du ministère chargé de l'éducation nationale*.
A - Épreuves d'admissibilité
1° Première épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une dissertation en réponse au sujet posé.
Le candidat traite le sujet portant sur la question littéraire inscrite au programme : il peut prendre appui sur les œuvres littéraires et artistiques indiquées dans le programme, complétées de sa culture personnelle.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à problématiser et développer une réflexion personnelle. Elle permet d’apprécier également la qualité de l’expression écrite.
Au titre de la même session, le sujet est commun avec la première épreuve d’admissibilité prévue au X du x de lettres classiques.
Durée : cinq heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une analyse grammaticale et stylistique en réponse à un sujet posé. Le sujet impose, à partir d’un corpus de deux textes, l’étude d’une ou de plusieurs notions grammaticales et l’étude stylistique de tout ou partie de l'un des deux textes littéraires.
Le corpus se compose de deux textes littéraires de siècles différents (du XVIème siècle à nos jours).
L’épreuve évalue la capacité du candidat à mobiliser des savoirs grammaticaux au service de la compréhension de certains phénomènes linguistiques et littéraires.
Durée : quatre heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
B - Épreuves d'admission
1° Première épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un exposé suivi d’un échange avec le jury.
Le candidat a, pour son exposé, le choix entre les domaines suivants qui conditionnent la nature des documents qui lui seront remis par le jury :
1. Culture littéraire et artistique.
2. Cinéma-audiovisuel.
3. Théâtre.
4. Latin pour lettres modernes.
5. Français langue étrangère et français langue seconde.
Le choix du domaine est formulé au moment de l'inscription.
Un corpus est proposé au candidat, dont l’élément central est un texte littéraire, assorti d’un document. Selon le choix du domaine retenu par le candidat, il peut s'agir :
- d'un autre texte littéraire ou d’une image pour le domaine culture littéraire et artistique ;
- d'un court extrait d'une œuvre cinématographique ou audiovisuelle pour le domaine cinéma-audiovisuel ;
- d'un court extrait d'une captation audiovisuelle d'une mise en scène théâtrale pour le domaine théâtre ;
- d'un texte latin pour le domaine latin pour lettres modernes ;
- d'un autre texte littéraire pour le domaine français langue étrangère et français langue seconde.
L’exposé permet au candidat d’analyser les éléments du corpus en mettant en valeur leur résonance, les effets de sens nés de leur rapprochement, la spécificité littéraire, artistique ou linguistique de chacun des documents et de proposer une explication du texte littéraire.
Suite à cet exposé, le jury dialogue avec le candidat pour l’inviter à reprendre ou approfondir ses analyses.
L’épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à s’exprimer, à analyser de manière précise et organisée un corpus de textes et documents, à en présenter les principaux enjeux de sens dans le cadre d’un oral en continu, puis en interaction avec le jury.
Durée de la préparation : trois heures ; durée de l’épreuve : une heure (exposé : trente minutes, échange : trente minutes)
Coefficient : 5
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un entretien avec le jury.
Elle comporte un premier temps d'échange d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes, par le candidat de sa motivation et des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury pendant dix minutes.
L’épreuve se poursuit, pendant vingt minutes, par un entretien avec le jury.
L’échange suivant la présentation du candidat et l’entretien en tant que tel doivent permettre au jury, au travers de questionnements divers (dont une mise en situation), d'apprécier l'aptitude du candidat à :
- se projeter dans le métier de professeur ;
- transmettre et incarner les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons) ;
- comprendre les grands enjeux liés à la transition écologique ;
- appréhender l’épanouissement de l’élève dans toutes ses dimensions.
Durée totale de l’épreuve : 35 minutes - Coefficient : 3
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
* [Programme en cours de définition]
- AlaperneNiveau 5
Ruthven a écrit:Les maquettes ont circulé mais je n'ai pas vu le programme spécifique.
CAPES section lettres classiques
maquette d’épreuves du concours externe
Une question littéraire constitue le programme de la première épreuve d’admissibilité. Elle est assortie de la mention indicative de trois œuvres littéraires et de deux œuvres artistiques permettant de l’illustrer. Le programme est régulièrement renouvelé et fait l’objet d’une publication sur le site internet du ministère chargé de l'éducation nationale*.
A - Épreuves d'admissibilité
1° Première épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une dissertation en réponse au sujet posé.
Le candidat traite le sujet portant sur la question littéraire inscrite au programme : il peut prendre appui sur les œuvres littéraires et artistiques indiquées dans le programme, complétées de sa culture personnelle.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à problématiser et développer une réflexion personnelle dans le cadre d’un sujet de dissertation littéraire portant sur un programme. Elle permet d’évaluer également la qualité de l’expression écrite.
Au titre de la même session, le sujet est commun avec la première épreuve d’admissibilité prévue au X du x de lettres modernes.
Durée : cinq heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
2° Deuxième épreuve d’admissibilité
L’épreuve s’appuie sur un corpus de deux textes littéraires antiques, l’un en grec ancien, l’autre en latin.
Le candidat propose une traduction de ces deux textes.
L’épreuve évalue les connaissances linguistiques et la capacité de compréhension dans les deux langues antiques.
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
Durée : quatre heures ; Coefficient 2
3° Troisième épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une analyse grammaticale et lexicale en langues ancienne et française en réponse à un sujet posé. Le sujet impose, à partir d’un corpus de deux textes, l’étude d’une ou plusieurs notions grammaticales et lexicales de tout ou partie des deux textes littéraires.
L’épreuve s’appuie sur un corpus de deux textes littéraires, l’un issu de la littérature française, l’autre de la littérature grecque ou latine, donné en langue ancienne et en traduction.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à mobiliser des savoirs grammaticaux et lexicaux en langue française et dans la langue antique du sujet, au service de la compréhension et de l’interprétation de phénomènes linguistiques et littéraires.
Durée : quatre heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
B - Épreuves d'admission
1° Première épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un exposé suivi d’un échange avec le jury.
Un corpus est proposé au candidat, constitué d’un texte littéraire antique (grec ou latin) accompagné d’une traduction, et d’un texte littéraire français.
L’exposé permet au candidat d’analyser les éléments du corpus en mettant en valeur leur résonance, les effets de sens nés de leur rapprochement, la spécificité littéraire, artistique ou linguistique de chacun des documents et de proposer une explication du texte littéraire en langue antique.
Suite à cet exposé, le jury dialogue avec le candidat pour l’inviter à reprendre ou approfondir ses analyses.
L’épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à s’exprimer, à analyser de manière précise et organisée un corpus de textes, à en présenter les principaux enjeux de sens dans le cadre d’un oral en continu, puis en interaction avec le jury.
Durée de la préparation : trois heures ; durée de l’épreuve : une heure (exposé : trente minutes, échange : trente minutes)
Coefficient : 5
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un entretien avec le jury.
Elle comporte un premier temps d'échange d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes, par le candidat de sa motivation et des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury pendant dix minutes.
L’épreuve se poursuit, pendant vingt minutes, par un entretien avec le jury.
L’échange suivant la présentation du candidat et l’entretien en tant que tel doivent permettre au jury, au travers de questionnements divers (dont une mise en situation), d'apprécier l'aptitude du candidat à :
- se projeter dans le métier de professeur ;
- transmettre et incarner les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons) ;
- comprendre les grands enjeux liés à la transition écologique ;
- appréhender l’épanouissement de l’élève dans toutes ses dimensions.
Durée totale de l’épreuve : 35 minutes - Coefficient : 3
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
* [Programme en cours de définition]
CAPES section lettres modernes
maquette d’épreuves du concours externe
Une question littéraire constitue le programme de la première épreuve d’admissibilité. Elle est assortie de la mention indicative de trois œuvres littéraires et de deux œuvres artistiques permettant de l’illustrer. Le programme est régulièrement renouvelé et fait l’objet d’une publication sur le site internet du ministère chargé de l'éducation nationale*.
A - Épreuves d'admissibilité
1° Première épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une dissertation en réponse au sujet posé.
Le candidat traite le sujet portant sur la question littéraire inscrite au programme : il peut prendre appui sur les œuvres littéraires et artistiques indiquées dans le programme, complétées de sa culture personnelle.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à problématiser et développer une réflexion personnelle. Elle permet d’apprécier également la qualité de l’expression écrite.
Au titre de la même session, le sujet est commun avec la première épreuve d’admissibilité prévue au X du x de lettres classiques.
Durée : cinq heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une analyse grammaticale et stylistique en réponse à un sujet posé. Le sujet impose, à partir d’un corpus de deux textes, l’étude d’une ou de plusieurs notions grammaticales et l’étude stylistique de tout ou partie de l'un des deux textes littéraires.
Le corpus se compose de deux textes littéraires de siècles différents (du XVIème siècle à nos jours).
L’épreuve évalue la capacité du candidat à mobiliser des savoirs grammaticaux au service de la compréhension de certains phénomènes linguistiques et littéraires.
Durée : quatre heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
B - Épreuves d'admission
1° Première épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un exposé suivi d’un échange avec le jury.
Le candidat a, pour son exposé, le choix entre les domaines suivants qui conditionnent la nature des documents qui lui seront remis par le jury :
1. Culture littéraire et artistique.
2. Cinéma-audiovisuel.
3. Théâtre.
4. Latin pour lettres modernes.
5. Français langue étrangère et français langue seconde.
Le choix du domaine est formulé au moment de l'inscription.
Un corpus est proposé au candidat, dont l’élément central est un texte littéraire, assorti d’un document. Selon le choix du domaine retenu par le candidat, il peut s'agir :
- d'un autre texte littéraire ou d’une image pour le domaine culture littéraire et artistique ;
- d'un court extrait d'une œuvre cinématographique ou audiovisuelle pour le domaine cinéma-audiovisuel ;
- d'un court extrait d'une captation audiovisuelle d'une mise en scène théâtrale pour le domaine théâtre ;
- d'un texte latin pour le domaine latin pour lettres modernes ;
- d'un autre texte littéraire pour le domaine français langue étrangère et français langue seconde.
L’exposé permet au candidat d’analyser les éléments du corpus en mettant en valeur leur résonance, les effets de sens nés de leur rapprochement, la spécificité littéraire, artistique ou linguistique de chacun des documents et de proposer une explication du texte littéraire.
Suite à cet exposé, le jury dialogue avec le candidat pour l’inviter à reprendre ou approfondir ses analyses.
L’épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à s’exprimer, à analyser de manière précise et organisée un corpus de textes et documents, à en présenter les principaux enjeux de sens dans le cadre d’un oral en continu, puis en interaction avec le jury.
Durée de la préparation : trois heures ; durée de l’épreuve : une heure (exposé : trente minutes, échange : trente minutes)
Coefficient : 5
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un entretien avec le jury.
Elle comporte un premier temps d'échange d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes, par le candidat de sa motivation et des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury pendant dix minutes.
L’épreuve se poursuit, pendant vingt minutes, par un entretien avec le jury.
L’échange suivant la présentation du candidat et l’entretien en tant que tel doivent permettre au jury, au travers de questionnements divers (dont une mise en situation), d'apprécier l'aptitude du candidat à :
- se projeter dans le métier de professeur ;
- transmettre et incarner les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons) ;
- comprendre les grands enjeux liés à la transition écologique ;
- appréhender l’épanouissement de l’élève dans toutes ses dimensions.
Durée totale de l’épreuve : 35 minutes - Coefficient : 3
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
* [Programme en cours de définition]
Merci beaucoup !
- stenchMonarque
Ruthven a écrit:
CAPES section lettres modernes
maquette d’épreuves du concours externe
Une question littéraire constitue le programme de la première épreuve d’admissibilité. Elle est assortie de la mention indicative de trois œuvres littéraires et de deux œuvres artistiques permettant de l’illustrer. Le programme est régulièrement renouvelé et fait l’objet d’une publication sur le site internet du ministère chargé de l'éducation nationale*.
A - Épreuves d'admissibilité
1° Première épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une dissertation en réponse au sujet posé.
Le candidat traite le sujet portant sur la question littéraire inscrite au programme : il peut prendre appui sur les œuvres littéraires et artistiques indiquées dans le programme, complétées de sa culture personnelle.
L’épreuve évalue la capacité du candidat à problématiser et développer une réflexion personnelle. Elle permet d’apprécier également la qualité de l’expression écrite.
Au titre de la même session, le sujet est commun avec la première épreuve d’admissibilité prévue au X du x de lettres classiques.
Durée : cinq heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note globale égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admissibilité
L’épreuve consiste en une analyse grammaticale et stylistique en réponse à un sujet posé. Le sujet impose, à partir d’un corpus de deux textes, l’étude d’une ou de plusieurs notions grammaticales et l’étude stylistique de tout ou partie de l'un des deux textes littéraires.
Le corpus se compose de deux textes littéraires de siècles différents (du XVIème siècle à nos jours).
L’épreuve évalue la capacité du candidat à mobiliser des savoirs grammaticaux au service de la compréhension de certains phénomènes linguistiques et littéraires.
Durée : quatre heures ; Coefficient 3
L'épreuve est notée sur 20. Une note égale ou inférieure à 5 est éliminatoire.
B - Épreuves d'admission
1° Première épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un exposé suivi d’un échange avec le jury.
Le candidat a, pour son exposé, le choix entre les domaines suivants qui conditionnent la nature des documents qui lui seront remis par le jury :
1. Culture littéraire et artistique.
2. Cinéma-audiovisuel.
3. Théâtre.
4. Latin pour lettres modernes.
5. Français langue étrangère et français langue seconde.
Le choix du domaine est formulé au moment de l'inscription.
Un corpus est proposé au candidat, dont l’élément central est un texte littéraire, assorti d’un document. Selon le choix du domaine retenu par le candidat, il peut s'agir :
- d'un autre texte littéraire ou d’une image pour le domaine culture littéraire et artistique ;
- d'un court extrait d'une œuvre cinématographique ou audiovisuelle pour le domaine cinéma-audiovisuel ;
- d'un court extrait d'une captation audiovisuelle d'une mise en scène théâtrale pour le domaine théâtre ;
- d'un texte latin pour le domaine latin pour lettres modernes ;
- d'un autre texte littéraire pour le domaine français langue étrangère et français langue seconde.
L’exposé permet au candidat d’analyser les éléments du corpus en mettant en valeur leur résonance, les effets de sens nés de leur rapprochement, la spécificité littéraire, artistique ou linguistique de chacun des documents et de proposer une explication du texte littéraire.
Suite à cet exposé, le jury dialogue avec le candidat pour l’inviter à reprendre ou approfondir ses analyses.
L’épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à s’exprimer, à analyser de manière précise et organisée un corpus de textes et documents, à en présenter les principaux enjeux de sens dans le cadre d’un oral en continu, puis en interaction avec le jury.
Durée de la préparation : trois heures ; durée de l’épreuve : une heure (exposé : trente minutes, échange : trente minutes)
Coefficient : 5
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
2° Seconde épreuve d’admission
L’épreuve consiste en un entretien avec le jury.
Elle comporte un premier temps d'échange d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes, par le candidat de sa motivation et des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury pendant dix minutes.
L’épreuve se poursuit, pendant vingt minutes, par un entretien avec le jury.
L’échange suivant la présentation du candidat et l’entretien en tant que tel doivent permettre au jury, au travers de questionnements divers (dont une mise en situation), d'apprécier l'aptitude du candidat à :
- se projeter dans le métier de professeur ;
- transmettre et incarner les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons) ;
- comprendre les grands enjeux liés à la transition écologique ;
- appréhender l’épanouissement de l’élève dans toutes ses dimensions.
Durée totale de l’épreuve : 35 minutes - Coefficient : 3
L'épreuve est notée sur 20. La note 0 est éliminatoire.
* [Programme en cours de définition]
On pourra donc devenir professeur de français sans avoir passé de commentaire de texte, mais en incarnant les valeurs de la République. C'est aussi la mort de l'ancien français. Je me sens vieux, lassé et dépité.
_________________
"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- poutouNiveau 10
Tant que le futur professeur arrive à "appréhender l'épanouissement de l'élève...".
Moi aussi, je me sens vieille et dépassée...
Moi aussi, je me sens vieille et dépassée...
- A TuinVénérable
Anne_68 a écrit:Que voulez-vous, dans la génération de mes grand-parents on recrutait de jeunes profs qui avaient deux ou trois heures de cours d'avance sur leurs élèves. Personne n'en est mort. Précision importante - c'était dans l'immédiat après-guerre, avec des jeunes générations décimées, des populations déplacées plutôt de force que de gré, et un pays dévasté. Rien à voir avec notre époque de paix et prospérité, et pourtant ...
Enfin à l'époque les gens qui sortaient avec un certificat d'études écrivaient sans faute, étaient pourvus d'une culture générale solide et écrivaient très bien. En fin de Terminale, ils étaient capables.
Actuellement certains élèves de Terminale (le contingent de ceux qui ne l'auront pas à la fin, mais seront majeurs à la sortie, et en âge de voter) ne tiendraient pas le choc de la comparaison, en ayant près de 10 ans de plus.
- Karl Maynard SchumpeterNiveau 2
poutou a écrit:Tant que le futur professeur arrive à "appréhender l'épanouissement de l'élève...".
Moi aussi, je me sens vieille et dépassée...
Pas encore "vieux" selon mon état civil, les formateurs INSPE me font comprendre que je suis un vieillard, assurément élitiste, voire réactionnaire.
En guise de séance de formation cette semaine (fonctionnaire-stagiaire mi-temps secondaire), nous avons eu le privilège de participer à 4 ateliers:
- Débat mouvant: où l'on nous a instruit sur le fait que "dire à un élève de se taire" à plusieurs reprise dans le cadre de la même séance est considéré comme une forme de harcèlement moral exercé sur l'élève.
- Apprentissage de la coopération via un jeu de gommettes à appliquer sur le front.
- Communiquer sur ses émotions à l'aide de chapeaux en paille de couleurs différentes.
- Apprentissage de la méthode agile par la construction d'une structure, la plus haute possible, à l'aide de spaghetti, scotch et chamallows.
Je précise que certains stagiaires, se sentant infantilisés, ont refusé de participer à l'activité spaghetti. Je n'ai pas eu ce privilège, pour des raisons qu'il me faut ici taire.
En sortant de salle en fin de journée (séance écourtée d'1 heure par le formateur, sans raison), j'ai remarqué que dans la salle adjacente, le formateur utilisait des mini tam-tam...
Sur le chemin du retour, en observant des ouvriers travailler sur un chantier, je me suis senti un peu honteux, à la pensée que moi, mes collègues stagiaires, et le formateur avions été rémunérés pour notre "travail" de la journée.
- SoiréeHabitué du forum
Qu'est-ce que ce sera quand la formation initiale sera à la main du ministère...
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Bien souvent la formation est déjà à la main du rectorat...
Pour avoir discuté avec des formateurs INSPE, ils sont souvent désespérés de la situation de la formation initiale et continue.
Les associations professionnelles se mobilisent contre ces nouveaux CAPES :
Pour avoir discuté avec des formateurs INSPE, ils sont souvent désespérés de la situation de la formation initiale et continue.
Les associations professionnelles se mobilisent contre ces nouveaux CAPES :
La SoPHAU, la SHMESP, l’AHMUF, l’H2C, le CNFG et l’APHG ont pris connaissance, via le réseau des INSPE et des VP CFVU, de documents relatifs aux épreuves et au programme du nouveau CAPES d’histoire-géographie projeté par le gouvernement pour une application dès 2025.
Les associations signataires déplorent le maintien à l’oral d’admission d’un « entretien d’embauche » privé de toutes références disciplinaires, de toute grille d’évaluation précise et dont le contenu oscille entre l’incantation creuse et le flou absolu. Si elles se réjouissent que les trois autres épreuves intègrent l’évaluation de contenus disciplinaires, elles s’interrogent sur ce que les futurs jurys du concours pourront demander aux candidats.
Les programmes proposés réussissent en effet le tour de force de ne pas couvrir l’ensemble des programmes du Secondaire tout en étant tellement vastes qu’il sera impossible aux universités de proposer une préparation sérieuse en dehors d’un simple survol et aux candidats d’avoir la maîtrise fine des questions imposées au programme. Le gouvernement considèrerait-il que le concours doive se borner à un contrôle de connaissances génériques sur quelques points saillants de l’histoire et de la géographie du monde qu’il aura estimés suffisants pour la formation minimale des collégiens et des lycéens ?
Relevant avec inquiétude à la fois l’étendue et l’indigence des programmes d’histoire-géographie dans le projet de réforme du CAPES, la SoPHAU, la SHMESP, l’AHMUF, l’H2C, le CNFG et l’APHG considèrent que l’exigence disciplinaire - fondée sur de vraies questions de concours, dérivées de celles des agrégations - ne peut être atteinte dans ces conditions. Un pareil saupoudrage - à la seule hauteur minimale des manuels du Secondaire - ne peut permettre ni le recul ni la mise en perspective des notions essentielles vite évoquées, qui supposeraient plus de deux ans et demi d’apprentissage en Licence si on envisage un concours à Bac + 3.
Plus fondamentalement, de tels intitulés remettent en question le rôle même du professeur. Dans cette configuration, celui-ci se limiterait à l’accompagnement ne varietur, si ce n’est à l’explicitation formelle, des contenus des manuels sans capacité d’apports critiques qu’une formation certes plus limitée sur un sujet donné permettrait d’évaluer dans toutes ses dimensions (techniques, historiques/géographiques, historiographiques), seules garanties d’une compétence adaptée et adaptable. Si l’histoire et la géographie sont bien des sciences cumulatives, le CAPES d’histoire-géographie n’a jamais consisté à vérifier que les candidats possédaient la seule maîtrise superficielle des programmes du Secondaire. Le concours sanctionne une formation complète et poussée, qui dote les candidats des méthodes et de la curiosité intellectuelle pour pouvoir enseigner aussi des thèmes peu abordés dans leur cursus universitaire.
En un moment où les récits historiques sont l’objet de fortes manipulations et où les publics scolaires attendent de leurs professeurs des réponses scientifiquement argumentées à des questions sensibles, faire des futurs titulaires du CAPES de simples commentateurs du Bulletin officiel et des fiches Eduscol annonce une régression politique et sociale dangereuse.
La SoPHAU, la SHMESP, l’AHMUF, l’H2C, le CNFG et l’APHG réitèrent donc leur opposition unanime à la réforme en cours de la formation des enseignants, tant sur le fond que sur la forme, et demandent le rétablissement d’un CAPES à Bac + 4 dont le programme serait articulé au programme des agrégations externes.
Société des professeurs d’histoire ancienne de l’Université (SoPHAU)
Société des historiens médiévistes de l’enseignement supérieur public (SHMESP)
Association des historiens modernistes des universités françaises (AHMUF)
Historiennes et historiens du contemporain (H2C)
Comité national français de géographie (CNFG)
Association des professeurs d’histoire et géographie (APHG)
- AscagneGrand sage
En lettres, concernant l'ancien français, on a quand même fait remonter jusqu'au doyen de l'IG de lettres les frayeurs causées par l'une des versions de la maquette du CAPES de LM.
- RuthvenGuide spirituel
Au passage, pas de textes avant le 11 juin. Le pire, c'est que j'hésite encore pour savoir s'il s'agit d'un management brutal du dernier moment ou de l'incompétence.
Le degré de mépris dans lequel nous tiennent celles et ceux qui gouvernent est stratosphérique ; on ne peut donner aucune info. précise aux étudiant·e·s qui sont en L2 ou L3, hormis de vagues rumeurs, les cours sont presque finis. Bien évidemment, institutionnellement, on ne pourra pas modifier les maquettes l'an prochain, mais comme les têtes pensantes s'en moquent royalement, ce n'est pas un problème.
Et ce qui tient lieu de ministre de l'Education Nationale s'extasie sur une "réforme enthousiasmante" tandis que celle de la Recherche et de l'Enseignement supérieur est aux abonnés absents (peut-être a-t-elle crû qu'elle avait réellement démissionné quand elle fait semblant de le faire lors de la loi immigration).
Le degré de mépris dans lequel nous tiennent celles et ceux qui gouvernent est stratosphérique ; on ne peut donner aucune info. précise aux étudiant·e·s qui sont en L2 ou L3, hormis de vagues rumeurs, les cours sont presque finis. Bien évidemment, institutionnellement, on ne pourra pas modifier les maquettes l'an prochain, mais comme les têtes pensantes s'en moquent royalement, ce n'est pas un problème.
Et ce qui tient lieu de ministre de l'Education Nationale s'extasie sur une "réforme enthousiasmante" tandis que celle de la Recherche et de l'Enseignement supérieur est aux abonnés absents (peut-être a-t-elle crû qu'elle avait réellement démissionné quand elle fait semblant de le faire lors de la loi immigration).
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Mais non ni incompétence ni management brutal, c'est seulement une méthode devenue habituelle, y compris débrancher les MESRI (nos services sont exceptionnellement fermés : merci de rappeler ultérieurement ; tous nos postes sont occupés, nous regrettons de ne pas pouvoir prendre votre appel ; ce numéro n'est plus attribué, merci de consulter les renseignements, etc.) : plus tard on donne des documents, moins en face ça a le temps de réagir (négativement, je veux dire), voilà tout. Et avant, on peut toujours dire qu'on n'a strictement rien dit et que c'est en cours de définition.
Évidemment, ça surprend quand on n'a pas l'habitude. Au début, on se dit que c'est impossible, qu'on n'a pas le temps de pondre quoi que ce soit pour la rentrée d'après. Et puis, en une petite dizaine d'années, non pas qu'on s'habitue, mais on garde un certain nombre de possibilités sous le coude (au cas où).
Et oui, c'est évident : la plus grande partie de la formation des stagiaires est passée sous la coupe des rectorats (que ça se fasse dans les locaux d'une INSPÉ, c'est autre chose). Mais ce n'est pas nouveau : c'est le cas depuis la précédente réforme. Et pour la prochaine ? Ben ce sera encore plus nettement le cas.
Évidemment, ça surprend quand on n'a pas l'habitude. Au début, on se dit que c'est impossible, qu'on n'a pas le temps de pondre quoi que ce soit pour la rentrée d'après. Et puis, en une petite dizaine d'années, non pas qu'on s'habitue, mais on garde un certain nombre de possibilités sous le coude (au cas où).
Et oui, c'est évident : la plus grande partie de la formation des stagiaires est passée sous la coupe des rectorats (que ça se fasse dans les locaux d'une INSPÉ, c'est autre chose). Mais ce n'est pas nouveau : c'est le cas depuis la précédente réforme. Et pour la prochaine ? Ben ce sera encore plus nettement le cas.
_________________
Si tu vales valeo.
- Dame JouanneÉrudit
On peut quand même penser que ce sont des méthodes managériales pourries.epekeina.tes.ousias a écrit:Mais non ni incompétence ni management brutal, c'est seulement une méthode devenue habituelle, y compris débrancher les MESRI (nos services sont exceptionnellement fermés : merci de rappeler ultérieurement ; tous nos postes sont occupés, nous regrettons de ne pas pouvoir prendre votre appel ; ce numéro n'est plus attribué, merci de consulter les renseignements, etc.) : plus tard on donne des documents, moins en face ça a le temps de réagir (négativement, je veux dire), voilà tout. Et avant, on peut toujours dire qu'on n'a strictement rien dit et que c'est en cours de définition.
Évidemment, ça surprend quand on n'a pas l'habitude. Au début, on se dit que c'est impossible, qu'on n'a pas le temps de pondre quoi que ce soit pour la rentrée d'après. Et puis, en une petite dizaine d'années, non pas qu'on s'habitue, mais on garde un certain nombre de possibilités sous le coude (au cas où).
Et oui, c'est évident : la plus grande partie de la formation des stagiaires est passée sous la coupe des rectorats (que ça se fasse dans les locaux d'une INSPÉ, c'est autre chose). Mais ce n'est pas nouveau : c'est le cas depuis la précédente réforme. Et pour la prochaine ? Ben ce sera encore plus nettement le cas.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ma foi, si ce sont des “méthodes managériales”, j'ai l'impression que c'est même en réalité l'idée de base.
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Si tu vales valeo.
- RogerMartinBon génie
Les universités parisiennes viennent de cosigner une lettre adressée aux deux ministres (MEN et MESR) demandant un report à 2026 + la création a minima pour Paris d'un comité de coordination où les universités soient parties prenantes. Je vous mets le pdf en PJ.
- Fichiers joints
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- Formation des enseignants : "Il y a une crise de recrutement, il faut une réforme"
- Réforme de la formation des enseignants et évaluation de la formation
- Reportage sur la réforme de la formation des enseignants F2 13h
- une video sur le débat sur la réforme de la formation des enseignants
- [Libération] Formation des enseignants : silence, on «réforme»
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