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- MaellerpÉrudit
surfislife a écrit:Après la Techno d"autres vont suivre...
En même temps tous mes collègues des matières artistiques et ceux de technologie sont présents aujourd'hui... TOUS.
Et ils découvrent les mesures en conseil pédagogique, tout en tombant des nues ou en n'y croyant pas...
Le nombre de grévistes en maths et français n'est pas glorieux, mais on est quand même à 50%.
Et un des postes de techno tient encore chez nous grâce aux heures de maths "cédées" en interne avec un travail entre les deux matières.
- Lowpow29Fidèle du forum
D'accord et dans un autre établissement ça sera l'inverse, le prof d'arts plastiques militant syndical toujours en grève et les profs de maths jamais en grève.
De même que ma formatrice à l'ESPE nous faisait intervenir dans sa classe pour une leçon sur le concerto (en 2013 mais elle y sévit toujours).
De même que certains IPR de lettres disent aux profs qu'ils ne sont pas là pour faire des élèves des lettrés cultivés connaisseurs des classiques.
Vraiment ce fil devient la foire aux généralités avec "j'ai entendu un IPR qui..." donc tous les profs de musique sont nuls et dansent la macarena en classe , et maintenant "mes collègues des disciplines artistiques ne font pas grève et tombent des nues" ça veut dire que nous faisons généralement moins grève. On est surtout beaucoup moins en proportions donc bref vos analyses statistiques au doigt mouillé on s'en passera.
C'est vraiment déprimant (mais bon encore une fois ça ne me surprend pas non plus vu les réactions de certains collègues quand ils apprennent qu'il y a une agrégation en musique...) de se dire que, si effectivement les matières artistiques sont bientôt fusionnées, certains collègues se diront ah bah tfacon ils n'enseignaient plus rien de culturel, ne faisaient que passer le top 10 NRJ à leurs élèves, se pliaient à toutes les lubies gouvernementales et ne mettaient même plus de notes (PS c'est mon cas, je me passe de notes autant que possible), tant pis pour eux.
Mais heureusement ce genre de réaction ne concerne pas tous les collègues et certains nous considèrent encore comme des professionnels engagés.
De même que ma formatrice à l'ESPE nous faisait intervenir dans sa classe pour une leçon sur le concerto (en 2013 mais elle y sévit toujours).
De même que certains IPR de lettres disent aux profs qu'ils ne sont pas là pour faire des élèves des lettrés cultivés connaisseurs des classiques.
Vraiment ce fil devient la foire aux généralités avec "j'ai entendu un IPR qui..." donc tous les profs de musique sont nuls et dansent la macarena en classe , et maintenant "mes collègues des disciplines artistiques ne font pas grève et tombent des nues" ça veut dire que nous faisons généralement moins grève. On est surtout beaucoup moins en proportions donc bref vos analyses statistiques au doigt mouillé on s'en passera.
C'est vraiment déprimant (mais bon encore une fois ça ne me surprend pas non plus vu les réactions de certains collègues quand ils apprennent qu'il y a une agrégation en musique...) de se dire que, si effectivement les matières artistiques sont bientôt fusionnées, certains collègues se diront ah bah tfacon ils n'enseignaient plus rien de culturel, ne faisaient que passer le top 10 NRJ à leurs élèves, se pliaient à toutes les lubies gouvernementales et ne mettaient même plus de notes (PS c'est mon cas, je me passe de notes autant que possible), tant pis pour eux.
Mais heureusement ce genre de réaction ne concerne pas tous les collègues et certains nous considèrent encore comme des professionnels engagés.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Les mêmes choses ont été dites au sujet de vos collègues de techno pour justifier notamment la brutalité ce qu'on nous a fait l'an passé.Lowpow29 a écrit:D'accord et dans un autre établissement ça sera l'inverse, le prof d'arts plastiques militant syndical toujours en grève et les profs de maths jamais en grève.
De même que ma formatrice à l'ESPE nous faisait intervenir dans sa classe pour une leçon sur le concerto (en 2013 mais elle y sévit toujours).
De même que certains IPR de lettres disent aux profs qu'ils ne sont pas là pour faire des élèves des lettrés cultivés connaisseurs des classiques.
Vraiment ce fil devient la foire aux généralités avec "j'ai entendu un IPR qui..." donc tous les profs de musique sont nuls et dansent la macarena en classe , et maintenant "mes collègues des disciplines artistiques ne font pas grève et tombent des nues" ça veut dire que nous faisons généralement moins grève. On est surtout beaucoup moins en proportions donc bref vos analyses statistiques au doigt mouillé on s'en passera.
C'est vraiment déprimant (mais bon encore une fois ça ne me surprend pas non plus vu les réactions de certains collègues quand ils apprennent qu'il y a une agrégation en musique...) de se dire que, si effectivement les matières artistiques sont bientôt fusionnées, certains collègues se diront ah bah tfacon ils n'enseignaient plus rien de culturel, ne faisaient que passer le top 10 NRJ à leurs élèves, se pliaient à toutes les lubies gouvernementales et ne mettaient même plus de notes (PS c'est mon cas, je me passe de notes autant que possible), tant pis pour eux.
Mais heureusement ce genre de réaction ne concerne pas tous les collègues et certains nous considèrent encore comme des professionnels engagés.
On a de commun d'enseigner très largement au collège (du coup, vous êtes à peu près 6000 par discipline et nous, 9000 avant l'an passé, sans doute moins désormais).
Et je suis écoeurée d'entendre ce qui pourrait être fait de vos enseignements mais pas étonnée de l'indifférence qui émanerait des "collègues".
Ouais..."Nous allons vous faire aimer l'an 20...24".France Telecom. On y est.
- Spoiler:
- Une prof de techno sensible aux arts en général, mélomane et musicienne - le combo de l'inutilité
- MaellerpÉrudit
Lowpow29 a écrit:D'accord et dans un autre établissement ça sera l'inverse, le prof d'arts plastiques militant syndical toujours en grève et les profs de maths jamais en grève.
De même que ma formatrice à l'ESPE nous faisait intervenir dans sa classe pour une leçon sur le concerto (en 2013 mais elle y sévit toujours).
De même que certains IPR de lettres disent aux profs qu'ils ne sont pas là pour faire des élèves des lettrés cultivés connaisseurs des classiques.
Vraiment ce fil devient la foire aux généralités avec "j'ai entendu un IPR qui..." donc tous les profs de musique sont nuls et dansent la macarena en classe , et maintenant "mes collègues des disciplines artistiques ne font pas grève et tombent des nues" ça veut dire que nous faisons généralement moins grève. On est surtout beaucoup moins en proportions donc bref vos analyses statistiques au doigt mouillé on s'en passera.
C'est vraiment déprimant (mais bon encore une fois ça ne me surprend pas non plus vu les réactions de certains collègues quand ils apprennent qu'il y a une agrégation en musique...) de se dire que, si effectivement les matières artistiques sont bientôt fusionnées, certains collègues se diront ah bah tfacon ils n'enseignaient plus rien de culturel, ne faisaient que passer le top 10 NRJ à leurs élèves, se pliaient à toutes les lubies gouvernementales et ne mettaient même plus de notes (PS c'est mon cas, je me passe de notes autant que possible), tant pis pour eux.
Mais heureusement ce genre de réaction ne concerne pas tous les collègues et certains nous considèrent encore comme des professionnels engagés.
Je suis tout à fait d'accord avec ton début de message, mais je ne faisais pas de généralité et il ne s'agissait pas d'une statistique au doigt mouillé mais de ce que je constate ICI.
Au lieu de jouer collectif et d'être une force, notre nombre nous divise. Et quelles que soient les matières il y a les collègues à l'affut des textes de loi et de ce qui nous pend au dessus de la tête, syndiqués ou pas, et il y a les autres qui sont soit dans le manque d'informations, soit dans le déni, soit dans le "bah, de toutes façons on y arrivera toujours". J'ai bien dit qu'en maths on est à 50% dans mon équipe. Parce que pour les 50% autres "cela ne sert à rien". Même s'ils sont autant en souffrance que les 50% de grévistes et le reconnaissent.
- Tutu CorpJe viens de m'inscrire !
Bonjour à tous,
Je passe le CAPES Arts plastiques en mars.
Eh bien, "hauts les cœurs" pour l'écrit de mars, sachant que le métier aurait vocation à disparaître prochainement.
Le concours est-il perdu d'avance, à quoi bon recruter pour finalement nous mettre au ban ?
Je n'attends pas de réponse, je partage mon désarroi.
Je passe le CAPES Arts plastiques en mars.
Eh bien, "hauts les cœurs" pour l'écrit de mars, sachant que le métier aurait vocation à disparaître prochainement.
Le concours est-il perdu d'avance, à quoi bon recruter pour finalement nous mettre au ban ?
Je n'attends pas de réponse, je partage mon désarroi.
- Lowpow29Fidèle du forum
Maellerp a écrit:
Je suis tout à fait d'accord avec ton début de message, mais je ne faisais pas de généralité et il ne s'agissait pas d'une statistique au doigt mouillé mais de ce que je constate ICI.
Au lieu de jouer collectif et d'être une force, notre nombre nous divise. Et quelles que soient les matières il y a les collègues à l'affut des textes de loi et de ce qui nous pend au dessus de la tête, syndiqués ou pas, et il y a les autres qui sont soit dans le manque d'informations, soit dans le déni, soit dans le "bah, de toutes façons on y arrivera toujours". J'ai bien dit qu'en maths on est à 50% dans mon équipe. Parce que pour les 50% autres "cela ne sert à rien". Même s'ils sont autant en souffrance que les 50% de grévistes et le reconnaissent.
Alors si ce n'est pas pour généraliser sur les profs d'arts plastiques, éducation musicale etc, si c'est juste pour dire qui fait grève dans ton collège, pourquoi venir poster ça ici dans un topic qui parle de "rumeurs" sur les baisses horaires de ces matières, en commençant ton message par "en même temps" et en sous-entendant que nous nous laissons faire, et plus que les autres ? Alors qu'on essaie ici d'expliquer qu'on ne fait peut-être pas un si mauvais travail que ça ?
Que ce soit le cas chez toi, why not, j'en sais rien. Mais pourquoi venir faire cette remarque ici et pas dans le fil sur la grève ? Pour dire que finalement nous ne nous bougeons pas donc on l'aura bien mérité ?
Je ne comprends pas en quoi ça nous avance de savoir que les profs d'arts et de techno ne font pas grève chez toi. Et quand bien même les profs d'arts et de techno seraient statistiquement moins syndiqués et moins grévistes, la mesure (prendre des heures à arts pla et musique pour en donner au théâtre) serait tout aussi problématique.
Par contre échangeons volontiers sur les côtés positifs qu'une telle mesure pourrait avoir, par exemple : libre choix des élèves de choisir la matière artistique qu'ils veulent apprendre donc peut-être plus de motivation (problème en Allemagne : certains changent tous les ans entre la 5ème et la 3ème donc dans un groupe de 3ème ce n'est pas du tout homogène entre ceux qui ont pris musique tous les ans et ceux dont c'est la première année - donc super difficile de faire un cours approprié pour tous - donc les élèves s'engagent dans certains établissements pour deux voire trois ans, avec la possibilité de changer seulement après le premier trimestre de la première année).
Mais c'est possible quand tu as un choix sur l'année, pas un choix au trimestre.
Et dans la mesure qui se pointerait ici, ce ne serait pas un choix mais une obligation de faire 3 mois de l'un, 3 mois de l'autre et 3 mois d'une autre encore. Ce qui donne encore plus de saupoudrage, aucune continuité, et pour le coup là une vraie impression de "centre aéré" sans vouloir dénigrer les activités extrascolaires.
Enfin, c'est parfois plus agréable d'avoir des groupes où les élèves ont choisi la matière, à un âge où le cours en classe entière n'est pas des plus zen (5-4-3). Encore une fois encore faut-il que ce soit vraiment au choix et pas obligé d'en faire deux semaines.
- MaellerpÉrudit
Je me retire donc sur la pointe des pieds de ce sujet où il faut rédiger ses messages en faisant attention à ce qu'ils pourraient sous-entendre et prie les participants d'excuser mon intrusion.
Je précise toutefois, en espérant que je ne sous-entends rien sans le savoir, que je soutiens totalement mes collègues de techno, je trouve scandaleux qu'on ait supprimé leur enseignement en 6ème, et je soutiendrais de même ceux d'AP ou de musique, je trouverais totalement scandaleux qu'on prive certains élèves de ces enseignements au prétexte de les aider davantage en maths et en français.
Je ne développerai pas davantage au risque de me faire taper sur les doigts pour je ne sais quelle autre raison sous entendue ou au risque de parler du cas particulier de mon collège.
Je précise toutefois, en espérant que je ne sous-entends rien sans le savoir, que je soutiens totalement mes collègues de techno, je trouve scandaleux qu'on ait supprimé leur enseignement en 6ème, et je soutiendrais de même ceux d'AP ou de musique, je trouverais totalement scandaleux qu'on prive certains élèves de ces enseignements au prétexte de les aider davantage en maths et en français.
Je ne développerai pas davantage au risque de me faire taper sur les doigts pour je ne sais quelle autre raison sous entendue ou au risque de parler du cas particulier de mon collège.
- Clecle78Bon génie
On a effectivement le droit de parler de son expérience personnelle. C'est le principe du forum, il me semble, de mélanger considérations générales et témoignages.
- Lowpow29Fidèle du forum
Je suis la première à le faire mais je ne vais pas aller dire que "en même temps" mes collègues de latin ne font pas grève sur un fil qui parle de la disparition du latin et où certains collègues viennent déjà dire que "en même temps" les profs de latin ne font plus que des activités de centre aéré. Ça fait beaucoup. Mais je suis sensible sur le sujet - parce qu'on doit déjà beaucoup se battre au quotidien pour avoir les heures auxquelles on a droit etc.
_________________
La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile. Hippocrate
- gemshornNiveau 10
Lowpow29 a écrit:
Et dans la mesure qui se pointerait ici, ce ne serait pas un choix mais une obligation de faire 3 mois de l'un, 3 mois de l'autre et 3 mois d'une autre encore. Ce qui donne encore plus de saupoudrage, aucune continuité, et pour le coup là une vraie impression de "centre aéré" sans vouloir dénigrer les activités extrascolaires.
Si je puis me permettre une dernière intrusion purement pratique, je sais bien que l'on peut s'attendre à tout de la part du ministère, mais ce serait tout bonnement inimaginable, sauf à étaler les services des profs d'arts plastiques et de musique sur 6 ou 7 établissements, avec des EDT entièrement modifiés d'un trimestre à l'autre (et cela supposerait une solide coordination entre les établissements). Un scénario qui pourrirait en premier lieu la vie et le métier des professeurs concernés mais aussi le travail des CDE, de la vie scolaire et se solderait par un refus généralisé.
A moins qu'il s'agisse d'une tactique pour faire disparaître totalement ces enseignements, le recrutement dans ces disciplines... mais il faudrait un certain culot pour procéder ainsi.
Les scenarii les plus probables seraient soit de rendre optionnels les enseignements artistiques (avec obligation d'en choisir un sur les deux existants), soit l'intégration de l'histoire des arts dans les programmes d'AP et d'EMCC afin de se conformer au désir du président, soit un enseignement global d'art qui combinerait un peu de musique et un peu d'arts plastiques, à raison d'une heure hebdomadaire (une deuxième heure étant réservée au théâtre, par exemple). La disparition totale des AP et de l'EMCC me paraît peu probable à court terme. Peut-être en saurez-vous plus le 6 février et dans les semaines qui suivront.
- Lowpow29Fidèle du forum
Oui... Pour le roulement par trimestre j'imaginais plutôt quelque chose comme :
- trimestre 1 : 6e A musique / 6e B arts plastiques / 6e C théâtre
- trimestre 2 : 6e B musique / 6e C arts plastiques / 6e A théâtre
- trimestre 3 : 6e C musique / 6e A arts plastiques / 6e B théâtre
Mais oui effectivement ça donne des services sur 3, 4, 5 établissements... Mais si on est généreux par ailleurs et on imagine une heure de chorale par niveau ou deux niveaux, ça pourrait donner au moins 6h semaine dans un petit établissement.
Et ce serait finalement comme les profs de LV3, mes profs de néerlandais n'avaient que 4h dans notre collège, les profs de portugais avaient 9h dans notre lycée etc.
- trimestre 1 : 6e A musique / 6e B arts plastiques / 6e C théâtre
- trimestre 2 : 6e B musique / 6e C arts plastiques / 6e A théâtre
- trimestre 3 : 6e C musique / 6e A arts plastiques / 6e B théâtre
Mais oui effectivement ça donne des services sur 3, 4, 5 établissements... Mais si on est généreux par ailleurs et on imagine une heure de chorale par niveau ou deux niveaux, ça pourrait donner au moins 6h semaine dans un petit établissement.
Et ce serait finalement comme les profs de LV3, mes profs de néerlandais n'avaient que 4h dans notre collège, les profs de portugais avaient 9h dans notre lycée etc.
- gemshornNiveau 10
Ce serait quand même difficilement tenable.
Maintenant, rien n'est perdu. Peut-être ne se passera-t-il rien de fâcheux pour les deux matières artistiques (même si sans doute changement de programmes, avec la refonte annoncée de l'EAC).
Maintenant, rien n'est perdu. Peut-être ne se passera-t-il rien de fâcheux pour les deux matières artistiques (même si sans doute changement de programmes, avec la refonte annoncée de l'EAC).
- stiltNiveau 5
Lowpow29 a écrit:Oui... Pour le roulement par trimestre j'imaginais plutôt quelque chose comme :
- trimestre 1 : 6e A musique / 6e B arts plastiques / 6e C théâtre
- trimestre 2 : 6e B musique / 6e C arts plastiques / 6e A théâtre
- trimestre 3 : 6e C musique / 6e A arts plastiques / 6e B théâtre
Mais oui effectivement ça donne des services sur 3, 4, 5 établissements... Mais si on est généreux par ailleurs et on imagine une heure de chorale par niveau ou deux niveaux, ça pourrait donner au moins 6h semaine dans un petit établissement.
Et ce serait finalement comme les profs de LV3, mes profs de néerlandais n'avaient que 4h dans notre collège, les profs de portugais avaient 9h dans notre lycée etc.
Ah mais en théorie ça a de la gueule hein, rien à dire !
Maintenant qu'on m'explique comment trouver des profs qui accepteront de continuer avec ces conditions de service
- EmmaliceNiveau 4
Je trouve très triste d'avoir à batailler pour exister.
La musique est une matière qui existe à part entière au collège. Il en va de même pour les arts plastiques.
Chaque matière a le droit de revendiquer ses heures.
Le problème est lié à la diminution des DHG. Rien d'autre.
Nous avons connus cela en lettres classiques en 2016 lorsque le latin et le grec sont devenues des "marges", autrement dit des matières qui "prenaient des heures" sur la DHG. Certains collègues nous ont reproché de prendre des heures et de leur enlever des demi-groupes.
En un mot, on crée la "guerre des matières".
Ce qui est incroyable, c'est la prétention du président à vouloir recréer une culture générale. Pour moi, culture générale = arts, latin, grec, théâtre... Mais c'est tout le contraire que l'on fait.
La musique est une matière qui existe à part entière au collège. Il en va de même pour les arts plastiques.
Chaque matière a le droit de revendiquer ses heures.
Le problème est lié à la diminution des DHG. Rien d'autre.
Nous avons connus cela en lettres classiques en 2016 lorsque le latin et le grec sont devenues des "marges", autrement dit des matières qui "prenaient des heures" sur la DHG. Certains collègues nous ont reproché de prendre des heures et de leur enlever des demi-groupes.
En un mot, on crée la "guerre des matières".
Ce qui est incroyable, c'est la prétention du président à vouloir recréer une culture générale. Pour moi, culture générale = arts, latin, grec, théâtre... Mais c'est tout le contraire que l'on fait.
- stiltNiveau 5
Faut bien trouver des heures de propagande pour le SNU etc.
- Ajonc35Sage
J'ai connu cela en lep. Les matières générales empiétaient trop sur le professionnel. En gros 1/ 3, 2/ 3. Avec la réforme de 2009 et le passage de 4 à 3 ans , cela a été pire. Et pire pour tout le monde sauf l'informatique qui n'a rien perdu et c'est la seule. Quand je dis informatique, il s'agit de pratique des outils.Emmalice a écrit:Je trouve très triste d'avoir à batailler pour exister.
La musique est une matière qui existe à part entière au collège. Il en va de même pour les arts plastiques.
Chaque matière a le droit de revendiquer ses heures.
Le problème est lié à la diminution des DHG. Rien d'autre.
Nous avons connus cela en lettres classiques en 2016 lorsque le latin et le grec sont devenues des "marges", autrement dit des matières qui "prenaient des heures" sur la DHG. Certains collègues nous ont reproché de prendre des heures et de leur enlever des demi-groupes.
En un mot, on crée la "guerre des matières".
Ce qui est incroyable, c'est la prétention du président à vouloir recréer une culture générale. Pour moi, culture générale = arts, latin, grec, théâtre... Mais c'est tout le contraire que l'on fait.
Donc il est stérile de se faire la guerre tout le monde est perdant. Il serait utile de " réarmer" les disciplines, toutes les disciplines!
A la rentrée 2023, la technologie a disparu pour les 6 ème au profit de l'approfondissement/ soutien.Ce dernier disparaît la technologie ne réapparaît pas.
C'est du perdant/ perdant depuis très longtemps. Pour les enseignants comme pour les élèves.
- SolgaNiveau 6
Lowpow29 a écrit:Oui... Pour le roulement par trimestre j'imaginais plutôt quelque chose comme :
- trimestre 1 : 6e A musique / 6e B arts plastiques / 6e C théâtre
- trimestre 2 : 6e B musique / 6e C arts plastiques / 6e A théâtre
- trimestre 3 : 6e C musique / 6e A arts plastiques / 6e B théâtre
Mais oui effectivement ça donne des services sur 3, 4, 5 établissements... Mais si on est généreux par ailleurs et on imagine une heure de chorale par niveau ou deux niveaux, ça pourrait donner au moins 6h semaine dans un petit établissement.
Et ce serait finalement comme les profs de LV3, mes profs de néerlandais n'avaient que 4h dans notre collège, les profs de portugais avaient 9h dans notre lycée etc.
Je suis dans un département rural, les 2 plus gros collèges n'ont "que" 600 élèves, soit 20 classes en gros...Et des départements ruraux il y en a un paquet en France.
Dans les faits ici la majorité des enseignants AP et musique sont déjà sur 2 établissements.
L'insertion du théâtre en plus je n'y crois pas beaucoup, les professeurs de lettres sont déjà essorés et avec l'histoire des groupes de niveaux qui arrivent et qui sont censés s'étendre aux 4e/3e en 2025, clairement ce n'est pas une priorité.
- VielleprofJe viens de m'inscrire !
Attendons des précisions mais restons vigilants.
- VielleprofJe viens de m'inscrire !
gemshorn a écrit:Disons que les professeurs d'arts plastiques et d'éducation musicale sont à peu près tranquilles pour 2024-25 mais leur situation peut devenir bancale à la rentrée 2025.
En plus de ce qui est évoqué ci-dessus, il y a une possibilité (tout dépendra de la réforme en vue de l'EAC), celle qui consiste à revoir de fond en comble les programmes d'AP et d'EMCC en y insérant une obligation d'y faire de l'histoire des arts de façon plus soutenue au sein des cours (oeuvres d'art commentées et contextualisées, notions sur les grandes périodes, genres artistiques etc.), par exemple sur la moitié de l'heure, le reste étant consacré à une pratique a minima. Pour le théâtre, par le biais d'une réforme des programmes de français.
Si la volonté plus ou moins cachée est en revanche de faire des économies sur les heures postes d'AP et d'EMCC, alors ne restera que la nécessité à court terme d'une reconversion, changement de discipline ou de métier.
Je discutais hier avec un collègue de philo qui me disait être effaré par le niveau d'ignorance de ses terminales en matière d'histoire de l'art, de la musique, incapables de citer des noms de peintres ou de compositeurs, en dehors de quelques noms qui circulent dans les médias, et encore, sans qu'ils connaissent même approximativement le siècle durant lequel ces artistes ont produit leurs oeuvres, oeuvres dont ils n'ont, par ailleurs, aucune idée, à force d'avoir été enfermés dans le présent par le manque d'ambition des programmes (art contemporain en cours d'arts plastiques, écoute et travail pratique sur des "musiques" de divertissement issues de la sous culture globalisée, généralement en anglais, sans la moindre valeur artistique), dans le cadre de "travaux de groupe" avec une "approche par compétences" qui est la négation même du savoir.
Un peu (plus) de transmission de connaissances ne serait pas du luxe. La pratique, c'est bien, mais elle doit être adossée à des connaissances, sans quoi, les cours n'en sont plus et s'apparentent à des activités de centre aéré dont les élèves sortent, après quatre années de collège, sans rien avoir appris, sans avoir réellement enrichi leur culture et sans avoir une connaissance rationnelle, raisonnée de ce qu'est l'art et de l'inscription de celui-ci dans le temps, dans le patrimoine.
Nous sommes parfois effarés par le niveau d'ignorance des terminales mais parfois également surpris, qu'ils connaissent des artistes, sortent au théâtre et visitent des expositions !!!
Quel mépris et quelle ignorance sous entendus dans votre message .... Oser prétendre que finalement l'agrégation en arts plastiques revient à pouvoir animer une séance en centre aéré! Je note qu'il n'existe toujours pas d'agrégation en Histoire de l'art ou en théâtre, seulement des certifications complémentaires.
Cela n'enlève rien à l'importance des disciplines mais laisse la porte ouverte à ce que des intervenants extérieurs prennent les postes. Économie économie!
Quelle arrogance aussi de la part d'un professeur de philosophie... je note que dans les domaines artistiques ils ont souvent une vision étriquée , stéréotypée de l'artistique résumant les œuvres à des exemples, qui illustrent au lieu d'incarner des concepts....
Que ces mêmes professeurs qui se revendiquent cultivés sont souvent incapables de convoquer avec pertinence le fait contemporain et les arts antérieurs au XXeme siècle. Ou alors convoquant trois références maladroites seulement en rupture et pas en filiation.
Il est temps de se former et non de se prétendre cultivé. Relire les écrits sur la distinction , le capital culturel, les préjugés, les marqueurs pour un peu élever les débats et sortir des visions populistes et de la médiocrité !
Certes notre discipline , les arts plastiques se doit d'enseigner des connaissances théoriques artistiques et culturelles vastes mais elle s'ancre surtout sur une pratique REFLEXIVE (ce qui ne ferait pas de mal à certains collègues avant de déverser des inepties sur les forums.)
Vous vous contentez d'alimenter les discriminations sur nos disciplines artistiques. Certes, quelques professeurs non formés et non aptes ne font pas honneurs au métier mais beaucoup de professeurs compétents et investis sont victimes au sein même des équipes pédagogiques de condescendance, de mépris et souvent de jalousie, de méconnaissance de notre enseignement et de la complexité de la didactique ds arts plastiques.
Si vous devez enseigner les luttes contre les discriminations aux élèves je vous conseille de vous demander si vous même n'êtes pas pétris de préjugés sur l'art , l'enseignement des arts plastiques et de l'éducation musicale...
Soyons un peu solidaires pour défendre nos droits légitimes et notre place dans l'enseignement !
La trimestrialisation nous fait perdre 1/3 de notre service globale . Trois classes pour 2h! Et surtout le suivi des élèves, les progressions....
- gemshornNiveau 10
Je cite un extrait de mon message de la page précédente :
Je parlais des programmes qui me paraissaient, en éducation musicale en particulier, puisque c'était surtout de cette matière qu'il s'agissait, peu ambitieux en terme d'apports de connaissances ou même de notions sur les genres, les formes qui n'apparaissent pas dans ledit programme fondé sur des compétences. A aucun moment je ne crois m'être attaqué aux qualifications, à la bonne volonté, au professionnalisme des professeurs chargés de le mettre en oeuvre. Mais je reconnais - et m'en excuse une fois encore - que les professeurs de matières artistiques pouvaient se sentir identifiés à ces programmes ou stigmatisés. Sur le forum, il y a beaucoup de professeurs de lettres, d'histoire-géographie, d'enseignement général en LP qui disent s'affliger des contenus de leurs programmes dont ils ne sont pas plus que les autres responsables.
Au demeurant, je n'ai pas évoqué ni dévalué l'agrégation d'arts plastiques ou d'éducation musicale pas plus faciles à obtenir que les autres et dont les taux de réussite ne sont pas plus élevés que pour les autres matières.
Quant aux propos de mon collègue de philo, ils lui appartiennent. Peut-être a-t-il l'impression que les connaissances et la culture générale des élèves étaient plus étendues par le passé qu'aujourd'hui. C'est en tout cas ainsi que j'ai compris les choses et non comme une remise en cause du travail des professeurs au collège.
Les points que je soulevais n'avaient pas pour but de stigmatiser le travail des professeurs de matières artistiques ni de les dévaloriser mais étaient relatifs aux programmes et aux recommandations des IPR (ou de certains IPR).
Je parlais des programmes qui me paraissaient, en éducation musicale en particulier, puisque c'était surtout de cette matière qu'il s'agissait, peu ambitieux en terme d'apports de connaissances ou même de notions sur les genres, les formes qui n'apparaissent pas dans ledit programme fondé sur des compétences. A aucun moment je ne crois m'être attaqué aux qualifications, à la bonne volonté, au professionnalisme des professeurs chargés de le mettre en oeuvre. Mais je reconnais - et m'en excuse une fois encore - que les professeurs de matières artistiques pouvaient se sentir identifiés à ces programmes ou stigmatisés. Sur le forum, il y a beaucoup de professeurs de lettres, d'histoire-géographie, d'enseignement général en LP qui disent s'affliger des contenus de leurs programmes dont ils ne sont pas plus que les autres responsables.
Au demeurant, je n'ai pas évoqué ni dévalué l'agrégation d'arts plastiques ou d'éducation musicale pas plus faciles à obtenir que les autres et dont les taux de réussite ne sont pas plus élevés que pour les autres matières.
Quant aux propos de mon collègue de philo, ils lui appartiennent. Peut-être a-t-il l'impression que les connaissances et la culture générale des élèves étaient plus étendues par le passé qu'aujourd'hui. C'est en tout cas ainsi que j'ai compris les choses et non comme une remise en cause du travail des professeurs au collège.
- SolgaNiveau 6
Les programmes en éducation musicale ne sont pas forcément moins ambitieux mais ils sont moins contraints, ce qui est une chance... Mais, je le répète, sur le terrain effectivement, la demande véhiculée est que la pratique prime sur les connaissances.
Pour en revenir aux programmes, cela fait bien longtemps que l'approche chronologique a été abandonnée et remplacée par une approche problématisée, beaucoup plus intéressante à mon sens dans la mesure où elle permet de travailler des œuvres d'horizons et d'esthétiques qui peuvent être très différents en gardant comme angle d'approche une problématique ouverte.
Par exemple, j'ai une séquence sur la description/imitation en musique qui me permet d'aborder autant le figuralisme baroque des Quatre saisons que l'electroacoustique narrative en passant par la symphonie fantastique, Pierre et le loup, la musique de film orchestrale.
A contrario, passer 3 mois sur le style classique entre Mozart, Haydn, Beethoven, la forme sonate bi-thématique ou la forme rondo n'a aucun intérêt à ce niveau du cursus. Tout comme une séquence entièrement consacrée à l'opéra serait à mon avis une perte de temps dans la mesure où un collégien lambda ne possède pas les outils musicaux nécessaires pour rapprocher ou discriminer, hiérarchiser les informations sonores. Si c'est juste pour empiler des dates et des compositeurs sans avoir aucune réalité musicale en tête, je n'en vois pas l'intérêt.
Pour en revenir aux programmes, cela fait bien longtemps que l'approche chronologique a été abandonnée et remplacée par une approche problématisée, beaucoup plus intéressante à mon sens dans la mesure où elle permet de travailler des œuvres d'horizons et d'esthétiques qui peuvent être très différents en gardant comme angle d'approche une problématique ouverte.
Par exemple, j'ai une séquence sur la description/imitation en musique qui me permet d'aborder autant le figuralisme baroque des Quatre saisons que l'electroacoustique narrative en passant par la symphonie fantastique, Pierre et le loup, la musique de film orchestrale.
A contrario, passer 3 mois sur le style classique entre Mozart, Haydn, Beethoven, la forme sonate bi-thématique ou la forme rondo n'a aucun intérêt à ce niveau du cursus. Tout comme une séquence entièrement consacrée à l'opéra serait à mon avis une perte de temps dans la mesure où un collégien lambda ne possède pas les outils musicaux nécessaires pour rapprocher ou discriminer, hiérarchiser les informations sonores. Si c'est juste pour empiler des dates et des compositeurs sans avoir aucune réalité musicale en tête, je n'en vois pas l'intérêt.
- VielleprofJe viens de m'inscrire !
gemshorn a écrit:Je cite un extrait de mon message de la page précédente :
Les points que je soulevais n'avaient pas pour but de stigmatiser le travail des professeurs de matières artistiques ni de les dévaloriser mais étaient relatifs aux programmes et aux recommandations des IPR (ou de certains IPR).
Je parlais des programmes qui me paraissaient, en éducation musicale en particulier, puisque c'était surtout de cette matière qu'il s'agissait, peu ambitieux en terme d'apports de connaissances ou même de notions sur les genres, les formes qui n'apparaissent pas dans ledit programme fondé sur des compétences. A aucun moment je ne crois m'être attaqué aux qualifications, à la bonne volonté, au professionnalisme des professeurs chargés de le mettre en oeuvre. Mais je reconnais - et m'en excuse une fois encore - que les professeurs de matières artistiques pouvaient se sentir identifiés à ces programmes ou stigmatisés. Sur le forum, il y a beaucoup de professeurs de lettres, d'histoire-géographie, d'enseignement général en LP qui disent s'affliger des contenus de leurs programmes dont ils ne sont pas plus que les autres responsables.
Au demeurant, je n'ai pas évoqué ni dévalué l'agrégation d'arts plastiques ou d'éducation musicale pas plus faciles à obtenir que les autres et dont les taux de réussite ne sont pas plus élevés que pour les autres matières.
Quant aux propos de mon collègue de philo, ils lui appartiennent. Peut-être a-t-il l'impression que les connaissances et la culture générale des élèves étaient plus étendues par le passé qu'aujourd'hui. C'est en tout cas ainsi que j'ai compris les choses et non comme une remise en cause du travail des professeurs au collège.
Merci beaucoup pour votre retour éclairant.
- danseurdecordesJe viens de m'inscrire !
Ce message a été écrit, il me semble , par un collègue de l'éducation nationale, un prof. Cela reflète bien l'état d'esprit que je retrouve chez certains de mes collègues comme l'a écrit très justement Trucoubidule dans ce fil de discussion. Au mieux les collègues sont dans l'indifférence, au pire ils tournent en boucle sur des questions de pédagogie et de sens du métier sans imaginer qu'il est possible de faire autrement.gemshorn a écrit:
Si la volonté plus ou moins cachée est en revanche de faire des économies sur les heures postes d'AP et d'EMCC, alors ne restera que la nécessité à court terme d'une reconversion, changement de discipline ou de métier.
Beaucoup de castes, comme nos décideurs, de communautés ou de corps de métier comme les routiers vont faire fi de leur divergence pour se serrer les coudes et se défendre les uns les autres parfois au mépris du bon sens en s'inspirant d'un esprit tribal ou d'un esprit de corporation. Les routiers s'unissent sans se poser de question et font la grève pratiquement une fois par an parfois avec succès comme pour l'ecotaxe ou sans succès. Lorsqu'ils rencontrent des difficultés avec le gouvernement en place, ils se fédèrent autour de revendication malgré leur divergence et il ne me semble pas qu'il viendrait à l'idée à l'un d'entre eux d'expliquer aux autres qu'ils manquent d'ambition dans leur manière de travailler quelle qu'en soit la raison.
Le concours de prof se fait sur certaines compétences techniques, mais il se fait aussi sur un certain profil. Il me semble que l'accent est mis sur des personnes qui se focalisent sur la pédagogie, une certaine idée de l'esprit critique et du dialogue loin des revendications et d'un esprit de corporation.
C'est avec cet état d'esprit que les matières perdent des heures d'enseignement et deviennent optionnelles de manière discrète et insidieuse. Nous sommes la plupart dans l'indifférence de nous mêmes et certains vont jusqu'à buter inlassablement sur le sens de notre métier en questionnant la pédagogie, sans voir où est le problème en revenant toujours à la charge et en invoquant le sacro saint esprit critique, sans même imaginer se défendre dans un esprit de corporation. Nos décideurs ne se posent pas tant de questions. Ils décident entre eux, dans leur entre soi, pour nous, du nerf de la guerre, de l'argent sans difficulté ni réelle opposition.
- Lowpow29Fidèle du forum
Mais tu te rends compte qu'on en vient (nous les profs de musique) à devoir venir expliquer par a+b le contenu de notre enseignement pour montrer à nos collègues que leurs critiques sont caricaturales et injustifiées ?gemshorn a écrit:Merci pour ce complément d'informations.
Je n'ai pas lu sur ce fil de questions sur le contenu de nos cours mais des affirmations sur la mauvaise qualité de notre programme.
C'est ça qui est fatiguant à force.
Je sais que tu t'es déjà excusé et mon message s'adresse à tous, je trouve ça fou qu'on en soit là à essayer d'expliquer pourquoi ça nous semble pertinent de travailler comme on le fait, sur un fil qui parle de la disparition éventuelle d'une partie de nos heures. Solga ne dit rien d'autre que moi quand elle raconte comment nous construisons nos cours, c'est mieux dit et plus détaillé, mais je me demande jusqu'où il faut aller dans l'explicitation de nos cours pour qu'on nous prenne au sérieux dans notre enseignement - et tout simplement qu'on nous fasse confiance et qu'on nous accuse pas de contribuer au manque de culture générale des élèves..?
_________________
La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile. Hippocrate
- stiltNiveau 5
J'aimerais bien faire un bon en avant d'un an et demi pour savoir ce qu'il se passera réellement ... ça va être long...
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