- EmmaliceNiveau 4
J’ignore s’il existe des classes Hpi dans le privé. En revanche, quand on est mécontent, on change ! C’est peut-être dommage mais c’est comme ça ! Numéro 2 n’a pas changé. Pourquoi ? Parents satisfaits.
- JennyMédiateur
Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
- EmmaliceNiveau 4
Min enfant souffre, je cherche une solution. J’ai juste un cœur de maman. On peut me le reprocher. Tant pis.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Jenny a écrit:Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
On devrait plutôt se souvenir que, dans l'organisation “par cycle”, était prévues des possibilités d'“approfondissement” — dont on n'a jamais vu la mise en place et que ce n'est que l'une des nombreuses raisons de dysfonctionnement : le fait de ne pas mettre des moyens pour permettre au système éducatif de réaliser ce qu'il est pourtant censé faire ! À ce compte, le critiquer et le mettre en accusation, c'est oublier un grand nombre de décisions politiques, administratives, économiques (au sens de “faire des économies”), etc.
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Si tu vales valeo.
- Clecle78Bon génie
Le coeur de maman, en principe, c'est Amélie Oudéa-Castéra... J'ai vraiment du mal avec cette expression.
- JennyMédiateur
Clecle78 a écrit:Le coeur de maman, en principe, c'est Amélie Oudéa-Castéra ... J'ai vraiment du mal avec cette expression.
Elle n'a pas sa place sur un forum professionnel et encore moins dans la bouche d'une ministre.
- DesolationRowEmpereur
Jenny a écrit:Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
Je crois que peu de gens pensent que le système éducatif fonctionne. Je suis tout à fait d'accord avec Emmalice : les principes, c'est très bien, mais je ne sacrifierais pas mes enfants au nom de ces principes si vraiment ils étaient dans une situation intenable. Mais bon, on a toujours assez de force d'âme pour supporter les malheurs des autres.
- EmmaliceNiveau 4
Jenny a écrit:Clecle78 a écrit:Le coeur de maman, en principe, c'est Amélie Oudéa-Castéra ... J'ai vraiment du mal avec cette expression.
Elle n'a pas sa place sur un forum professionnel et encore moins dans la bouche d'une ministre.
J’avais oublié… Désolée pour le souvenir s’il a déplu. Ici, mon propos n’avait rien de polémique.
- LyoraneNiveau 7
Jenny a écrit:Emmalice a écrit:Un enfant précoce a des besoins spécifiques, a besoin d'une stimulation à laquelle ne répond pas nécessairement un établissement public de quartier.
Bah voyons... Une autre manière de dire que les enseignants du public s'occupent considérablement moins bien de leurs élèves et ne différencient jamais. Et que dans le privé, tout est parfait.
Ca dépend plutôt des enseignants.
+1
J'ai des collègues tout à fait capables de parler comme ça.
A côté de ça, oui, j'ai déjà eu de d'élèves HPI, Asperger, autistes, bipolaires.. toujours dans des classes entre 32 et 36, sans aucune formation spécifique pour ce genre de profils. Alors on se débrouille comme on peut. Comme dans le public.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
DesolationRow a écrit:Jenny a écrit:Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
Je crois que peu de gens pensent que le système éducatif fonctionne. Je suis tout à fait d'accord avec Emmalice : les principes, c'est très bien, mais je ne sacrifierais pas mes enfants au nom de ces principes si vraiment ils étaient dans une situation intenable. Mais bon, on a toujours assez de force d'âme pour supporter les malheurs des autres.
Certes. Mais rien n'empêche de bien séparer les décisions que l'on prend dans la sphère familiale et la “critique” du système éducatif, ni d'admettre que dans cette dernière, il y a tout de même une bonne dose d'hypocrisie politique…
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Si tu vales valeo.
- HélipsProphète
Voilà, je suis pro-public par principe, nous ne nous sommes pas posé de questions pour nos enfants, mais nous sommes dans un endroit pas compliqué, l'établissement privé le plus proche n'apportant aucune plus-value, c'est facile de dire aux voisins en levant un sourcil "ah ? Vous l'avez mis à Saint-Machin ?". Je n'avais pas le même sourcil face à ma collègue habitant aux Mureaux.DesolationRow a écrit:Jenny a écrit:Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
Je crois que peu de gens pensent que le système éducatif fonctionne. Je suis tout à fait d'accord avec Emmalice : les principes, c'est très bien, mais je ne sacrifierais pas mes enfants au nom de ces principes si vraiment ils étaient dans une situation intenable. Mais bon, on a toujours assez de force d'âme pour supporter les malheurs des autres.
Et sinon, oui, des classes de HPI dans le privé, il y en a une dans un établissement privé du coin.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- JennyMédiateur
epekeina.tes.ousias a écrit:DesolationRow a écrit:Jenny a écrit:Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
Je crois que peu de gens pensent que le système éducatif fonctionne. Je suis tout à fait d'accord avec Emmalice : les principes, c'est très bien, mais je ne sacrifierais pas mes enfants au nom de ces principes si vraiment ils étaient dans une situation intenable. Mais bon, on a toujours assez de force d'âme pour supporter les malheurs des autres.
Certes. Mais rien n'empêche de bien séparer les décisions que l'on prend dans la sphère familiale et la “critique” du système éducatif, ni d'admettre que dans cette dernière, il y a tout de même une bonne dose d'hypocrisie politique…
Et de prendre conscience, que quand le privé ne veut pas/ne veut plus de certains élèves, les familles dont les enfants "ont été trop gâtés par l'excellence pédagogique du privé" (l'expression est de la mère d'un élève absolument charmant) peuvent être un vrai poids pour les équipes et les classes.
Je suis un peu surprise qu'on valide l'attitude clientéliste de certaines familles qui font pression dès qu'elles ne sont pas satisfaites avant de changer de crémerie si c'est possible en effet.
DesolationRow a écrit:Jenny a écrit:Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
Je crois que peu de gens pensent que le système éducatif fonctionne. Je suis tout à fait d'accord avec Emmalice : les principes, c'est très bien, mais je ne sacrifierais pas mes enfants au nom de ces principes si vraiment ils étaient dans une situation intenable. Mais bon, on a toujours assez de force d'âme pour supporter les malheurs des autres.
Situation intenable qui peut visiblement se résumer à une remarque sur une boucle d'oreille considérée comme un cas de discrimination. Certes, le collègue a fait une erreur. De là, à l'accuser de discrimination, il y a une marge.
- Clecle78Bon génie
Désolée pour le nom de familleJenny a écrit:Clecle78 a écrit:Le coeur de maman, en principe, c'est Amélie Oudéa-Castéra ... J'ai vraiment du mal avec cette expression.
Elle n'a pas sa place sur un forum professionnel et encore moins dans la bouche d'une ministre.
- Reine MargotDemi-dieu
Je n'ai pas d'enfant mais j'ai regardé les écoles et les collèges de mon (nouveau) secteur. Pourtant j'habite un quartier assez prisé de ma ville, assez cher.
Eh bien les classements des établissements par IPS sont sans appel: les écoles et collège privés sont largement au-dessus (vers 130-140) de mon école et collège public de secteur (110 environ). Je ne suis pas dans une REP loin de là mais c'est accablant.
Eh bien les classements des établissements par IPS sont sans appel: les écoles et collège privés sont largement au-dessus (vers 130-140) de mon école et collège public de secteur (110 environ). Je ne suis pas dans une REP loin de là mais c'est accablant.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- ProvenceEnchanteur
Hervé Hervé a écrit:somac a écrit:Donc finalement, ce que disent les chiffres des documents fournis par Adri, c'est qu'en Bretagne, au global, "les établissements privés sont sur-représentés dans les collèges les plus favorisés alors que les collèges les plus défavorisés sont presque tous dans le secteur public".
Et que la mixité sociale est plus faible dans le privé.
Ceci dit les régions de l'ouest ne sont pas représentatives du reste de la France.
Dans les Mauges, par exemple, il y a un vrai problème d’investissement de l’Etat dans la construction d’écoles publiques.
- MoonchildSage
Jenny a écrit:epekeina.tes.ousias a écrit:DesolationRow a écrit:Jenny a écrit:Le parent-client en somme... Ce n'est pas ma vision d'un système éducatif qui fonctionne, mais ça ne m'étonne pas que ça convienne à certaines familles.
Je crois que peu de gens pensent que le système éducatif fonctionne. Je suis tout à fait d'accord avec Emmalice : les principes, c'est très bien, mais je ne sacrifierais pas mes enfants au nom de ces principes si vraiment ils étaient dans une situation intenable. Mais bon, on a toujours assez de force d'âme pour supporter les malheurs des autres.
Certes. Mais rien n'empêche de bien séparer les décisions que l'on prend dans la sphère familiale et la “critique” du système éducatif, ni d'admettre que dans cette dernière, il y a tout de même une bonne dose d'hypocrisie politique…
Et de prendre conscience, que quand le privé ne veut pas/ne veut plus de certains élèves, les familles dont les enfants "ont été trop gâtés par l'excellence pédagogique du privé" (l'expression est de la mère d'un élève absolument charmant) peuvent être un vrai poids pour les équipes et les classes.
Je suis un peu surprise qu'on valide l'attitude clientéliste de certaines familles qui font pression dès qu'elles ne sont pas satisfaites avant de changer de crémerie si c'est possible en effet.
Effectivement, cette attitude clientéliste n'est pas sans poser problème et, à terme, les enseignants seront perdants si elle est encouragée ; cependant, je ne suis pas du tout persuadé qu'on soit audible si on se cantonne dans le registre de la dénonciation de cette attitude clientéliste et si on s'enferre dans une posture moraliste ponctuée d'invocations à la "mixité" tandis que l'enseignement public se montre beaucoup trop souvent défaillant sur les deux points essentiels que sont la gestion des perturbateurs et le niveau d'exigence moyen.
Il y a toutefois un élément factuel qui n'est que trop rarement rappelé dans les médias et qui mériterait pourtant d'être martelé sans tomber dans la propagande idéologique d'un bord ou de l'autre : la principale raison de la "réussite" du privé ne repose pas sur sa supposée excellence pédagogique mais tout simplement sur la possibilité qu'il a de davantage sélectionner ses élèves et sur la plus grande latitude d'organisation dont il peut disposer pour limiter une trop grande hétérogénéité de niveau dans ses classes ; en creux, on peut ainsi faire percevoir quelles sont les contraintes - pas uniquement budgétaires - qui ont rendu dysfonctionnels de nombreux établissements publics.
- JennyMédiateur
Nous sommes entre collègues, c'est quand même se tirer une balle dans le pied de reprendre ce type de discours. Par mixité, bien entendu, je ne pense pas à un IPS de 70, mais à une vraie mixité. J'ai l'impression qu'établissement mixte signifie établissement extrêmement défavorisé pour certains.
Faire des établissements très favorisés ou qui accueillent une classe moyenne supérieure et des élèves de milieux aisés, ne peut aboutir qu'à une forme de ségrégation scolaire avec des conséquences très négatives. La question reste toujours ce qu'on fait des autres élèves qui n'ont pas eu la change de naître dans une familles plus ou moins favorisée ?
Faire des établissements très favorisés ou qui accueillent une classe moyenne supérieure et des élèves de milieux aisés, ne peut aboutir qu'à une forme de ségrégation scolaire avec des conséquences très négatives. La question reste toujours ce qu'on fait des autres élèves qui n'ont pas eu la change de naître dans une familles plus ou moins favorisée ?
- Reine MargotDemi-dieu
On en revient quand même au problème de départ: tout est fait pour casser le service public et que ceux qui le peuvent le fuient. Rien n'est fait pour améliorer la crise du recrutement ni la gestion des élèves perturbateurs, ce qui donne envie à ceux qui le peuvent de partir. Une vraie mixité sociale suppose un service public de qualité et là c'est tout l'inverse des choix politiques qui sont faits (rappelons que nous n'avons même plus, de même que la santé, de ministère dédié). Culpabiliser ceux qui partent ne fait que renforcer cette politique finalement, puisqu'on ne nomme plus les maux de l'école publique.
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La famille Bélier
- JennyMédiateur
Effectivement, l'Etat contribue largement à la casse du service public, ne pas assurer de mixité scolaire en fait partie, mais n'est qu'un aspect.
- PonocratesExpert spécialisé
Selon moi, c'est précisément parce que l'État casse le service public que la mixité scolaire est en recul. Encore une fois il y a 30 ou 40 ans, à part dans l'Ouest, la plupart des gens mettaient leurs mômes dans le public sans se poser de question.Jenny a écrit:Effectivement, l'Etat contribue largement à la casse du service public, ne pas assurer de mixité scolaire en fait partie, mais n'est qu'un aspect.
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- HalybelÉrudit
Ponocrates a écrit:Selon moi, c'est précisément parce que l'État casse le service public que la mixité scolaire est en recul. Encore une fois il y a 30 ou 40 ans, à part dans l'Ouest, la plupart des gens mettaient leurs mômes dans le public sans se poser de question.Jenny a écrit:Effectivement, l'Etat contribue largement à la casse du service public, ne pas assurer de mixité scolaire en fait partie, mais n'est qu'un aspect.
Si l'Etat ne financait pas le privé, ils y seraient, pour parti, encore. Le serpent qui se mord la queue en somme.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- PonocratesExpert spécialisé
La partie la moins argentée sans doute, c'est vrai, tout irait tellement mieux dans le public, si les classes moyennes étaient obligées d'y mettre leurs enfants et que le privé soit vraiment uniquement pour les très riches. Il est évident que la casse du public s'arrêterait du jour au lendemain. Ou alors il y aurait juste une ghettoisation plus importante et un plus grand contournement de la carte scolaire - les "jamais dans le privé" en sont champions.Halybel a écrit:Ponocrates a écrit:Selon moi, c'est précisément parce que l'État casse le service public que la mixité scolaire est en recul. Encore une fois il y a 30 ou 40 ans, à part dans l'Ouest, la plupart des gens mettaient leurs mômes dans le public sans se poser de question.Jenny a écrit:Effectivement, l'Etat contribue largement à la casse du service public, ne pas assurer de mixité scolaire en fait partie, mais n'est qu'un aspect.
Si l'Etat ne financait pas le privé, ils y seraient, pour parti, encore. Le serpent qui se mord la queue en somme.
Il faudrait faire la même chose en médecine, diminuer drastiquement le nombre de médecins remboursés, leur attribuer des paquets de patients, de façon à ce qu'ils en voient en moyenne 37 par jour et laisser les médecins choisis pour les très très riches. Cela coûterait moins cher aux finances publiques, n'est-ce pas et cela marche si bien au Royaume Uni.
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- HalybelÉrudit
Ponocrates a écrit:La partie la moins argentée sans doute, c'est vrai, tout irait tellement mieux dans le public, si les classes moyennes étaient obligées d'y mettre leurs enfants et que le privé soit vraiment uniquement pour les très riches. Il est évident que la casse du public s'arrêterait du jour au lendemain. Ou alors il y aurait juste une ghettoisation plus importante et un plus grand contournement de la carte scolaire - les "jamais dans le privé" en sont champions.Halybel a écrit:Ponocrates a écrit:Selon moi, c'est précisément parce que l'État casse le service public que la mixité scolaire est en recul. Encore une fois il y a 30 ou 40 ans, à part dans l'Ouest, la plupart des gens mettaient leurs mômes dans le public sans se poser de question.Jenny a écrit:Effectivement, l'Etat contribue largement à la casse du service public, ne pas assurer de mixité scolaire en fait partie, mais n'est qu'un aspect.
Si l'Etat ne financait pas le privé, ils y seraient, pour parti, encore. Le serpent qui se mord la queue en somme.
Il faudrait faire la même chose en médecine, diminuer drastiquement le nombre de médecins remboursés, leur attribuer des paquets de patients, de façon à ce qu'ils en voient en moyenne 37 par jour et laisser les médecins choisis pour les très très riches. Cela coûterait moins cher aux finances publiques, n'est-ce pas et cela marche si bien au Royaume Uni.
Ta rhétorique est fallacieuse. Je ne dis pas cela, mais c'est bien tu confirmes le débat originel : l'entre-soi. PS : il y a des zones sans médecin et souvent se sont des endroits pauvres et cela ne te gene pas plus que cela non plus. De plus, les médecins subissent tous le même contrôle. Bref, un argument sans aucun rapport. Mais bizarrement tu t'es bien gardé de parler des cliniques, quittent à faire un parralèle avec la santé, parce que c'est le même phénomène que les écoles privées. et je te laisse admirer l'état de nos hopitaux du coup.
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- kioupsPBTHabitué du forum
Reine Margot a écrit:Je n'ai pas d'enfant mais j'ai regardé les écoles et les collèges de mon (nouveau) secteur. Pourtant j'habite un quartier assez prisé de ma ville, assez cher.
Eh bien les classements des établissements par IPS sont sans appel: les écoles et collège privés sont largement au-dessus (vers 130-140) de mon école et collège public de secteur (110 environ). Je ne suis pas dans une REP loin de là mais c'est accablant.
Je viens de regarder chez moi, dans 3 communes où je suis passé. Dans deux d'entre elles, le public a un IPS plus élevé que le privé. Dans les 3 cas, l'établissement avec l'IPS le plus élevé est le dernier rénové. Avec un écart de 5 à 10 poinrs, cela reste raisonnable.
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- Spoiler:
- 2004-2005 : stagiaire en lycée (seconde)
2005-2006 : stagiaire (again !) en collège (4ème)
2006-2008 : TZR en collège à l'année (5-4-3 PP 5ème puis 6-5)
2008-2011 : collège 1 (6-5-3, PP 6ème puis 5ème)
2011-2012 : collèges 2 et 3 (6-4, PP 6ème)
2012-2017 : collège 2 (un peu de tout, PP 6ème)
2017 : agreg interne
2017-2018 : lycée 1 (1S, 1STI2D, seconde)
2018-2019 : lycée 1 (1S, TS, TSTI2D, PP 1S et TS)
- Reine MargotDemi-dieu
L'état finance le privé depuis les années 50-60 et il me semble que ça n'empêchait pas le public de marcher jusqu'il y a une vingtaine d'années. Donc pas sûr que ça explique tout.
Sinon il est bien contradictoire que le privé puisse choisir son public alors qu'il perçoit des aides de l'état, c'est un fait. Il faudrait alors par exemple moduler ces aides en fonction d'une plus grande participation à la mixité sociale.
Sinon il est bien contradictoire que le privé puisse choisir son public alors qu'il perçoit des aides de l'état, c'est un fait. Il faudrait alors par exemple moduler ces aides en fonction d'une plus grande participation à la mixité sociale.
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