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- HirondelleNiveau 8
Niveau témoignage et représentations, les gens multiples dans leur grande majorité souffrent des comparaisons au film Split. Il existe des oeuvres, souvent en anglais, qui traitent de la question avec plus d'exactitude, suivant le principe "rien sur nous sans nous", très prégnant dans les communautés politiques handies.
Le plus connu est Petals of a Rose : https://www.dylancrumpler.com/watch-petals-of-a-rose
Attention, il y a des scènes choquantes et explicites, comme le rappelle le texte d'introduction.
Le plus connu est Petals of a Rose : https://www.dylancrumpler.com/watch-petals-of-a-rose
Attention, il y a des scènes choquantes et explicites, comme le rappelle le texte d'introduction.
- MajuFidèle du forum
Merci d'avoir partagé ces ressources Hirondelle, ne n'imaginais pas une telle proportion de la population concernée. Si, comme semble le dire Voltaire, c'est une situation mieux documentée en Amérique du Nord, peut être certains forums américains ou canadiens pourraient ils te permettre de discuter avec des enseignants concernés ?
Je ne peux pas t'apporter grand-chose d'autre, mais tu as tout mon soutien.
Je ne peux pas t'apporter grand-chose d'autre, mais tu as tout mon soutien.
- HirondelleNiveau 8
En fait, la plupart des concernés ne le savent même pas. Jusqu'à peu, je pensais que tout le monde fonctionnait comme moi.
D'autres se résignent aussi ou bien sont mal diagnostiqués, surtout en Europe.
Je suis allée voir du côté des forums anglophones mais ils n'ont pas du tout la même façon d'enseigner. Le rapport aux collègues est complètement différent. Ils ne s'observent pas de la même façon donc je ne sais pas si c'est applicable. Vous avez raison, je vais voir du côté de la communauté autiste, merci !
D'autres se résignent aussi ou bien sont mal diagnostiqués, surtout en Europe.
Je suis allée voir du côté des forums anglophones mais ils n'ont pas du tout la même façon d'enseigner. Le rapport aux collègues est complètement différent. Ils ne s'observent pas de la même façon donc je ne sais pas si c'est applicable. Vous avez raison, je vais voir du côté de la communauté autiste, merci !
- Mrs D.Niveau 5
Je connaissais un peu la multiplicité par l'intermédiaire de la chaîne Youtube du système Olympe. J'ai parcouru le guide que tu as conseillé, Hirondelle : je l'ai trouvé très bien fait. Je n'avais pas conscience de la proportion de gens concernés : ça fait beaucoup réfléchir... Je te souhaite bon courage dans ta préparation pour la reprise.
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"Always the years between us. Always the years. Always the love. Always the hours." Stephen Daldry, The Hours
https://toujourslesheures.wordpress.com/
- SoiréeHabitué du forum
Bonjour @Hirondelle ,
Bon courage dans ta recherche et vos efforts en vue de votre reprise.
Je n'ai pas d'aide à proposer mais je vais essayer de m'instruire pour progresser.
Bon courage dans ta recherche et vos efforts en vue de votre reprise.
Je n'ai pas d'aide à proposer mais je vais essayer de m'instruire pour progresser.
- Madame_ProfEsprit sacré
J'avoue que j'ai découvert cela il y a peu, au travers d'une série Netflix (aucune idée de l'avis à avoir dessus, si c'est bien, réaliste ou pas, mais en tout cas elle m'a marquée, donc après j'avais fait quelques recherches).
La proportion peut paraître importante, mais je suppose que les troubles sont ressentis / exprimés à des degrés très divers d'une personne à l'autre. Enfin, je n'y connais rien du tout. Mais, on ne croise pas tous les jours des personnalités multiples. Ou alors, sans le savoir.
Plein de courage pour ta reprise à venir Hirondelle !
La proportion peut paraître importante, mais je suppose que les troubles sont ressentis / exprimés à des degrés très divers d'une personne à l'autre. Enfin, je n'y connais rien du tout. Mais, on ne croise pas tous les jours des personnalités multiples. Ou alors, sans le savoir.
Plein de courage pour ta reprise à venir Hirondelle !
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2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- HirondelleNiveau 8
C'est exactement ça, en plus des symptômes non spécifiques
Par exemple, j'ai toujours eu beaucoup d'amnesies et je pensais juste être tête en l'air alors que c'était plus complexe que cela et je ne voulais pas le voir.
Par exemple, j'ai toujours eu beaucoup d'amnesies et je pensais juste être tête en l'air alors que c'était plus complexe que cela et je ne voulais pas le voir.
- NasopiBon génie
Est-ce que c'est ce dont parle le roman de Daniel Keyes Les 1001 vies de Billy Milligan ?
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- HirondelleNiveau 8
Oui, entre autres. Après c'est un exemple très connu et romancé. La réalité est plus ordinaire...
Quand il y a une bonne communication en tête, ca fonctionne à peu près au quotidien, car on peut éliminer les amnésies en général.
Quand il y a une bonne communication en tête, ca fonctionne à peu près au quotidien, car on peut éliminer les amnésies en général.
- DanskaProphète
Et comment parviens-tu à entrer en contact avec tes alters ? Tu parviens à les visualiser ? À parler avec eux ? Ou ça ressemble plus à des voix venues de nulle part, qu'il faut essayer de canaliser ?
Ou c'est encore tout autre chose et je suis complètement à côté de la plaque ?
Ou c'est encore tout autre chose et je suis complètement à côté de la plaque ?
- HirondelleNiveau 8
Ce sont comme des voix intérieures. on communique aussi à l'écrit.
- DanskaProphète
Merci pour ta réponse ; c'est vraiment étonnant comme trouble, même si au quotidien ça doit être très compliqué à vivre quand le système se dérègle.
- NihtFidèle du forum
Je dirais : même quand le système est stable. Si j'ai bien compris, ce trouble est présent parce que la personne a vécu des événements très graves, qui ont mis en péril son corps et/ou son psychisme, et parce qu'en réponse son cerveau a mis en place des mécanismes de protection, qui font le boulot mais qui engendrent beaucoup de souffrance (dissociation, pertes de mémoire, dépression sévère, etc.). C'est une mémoire/un fonctionnement psychique traumatique. Les traumas (les événements graves, i.e. violences physiques, psychiques, sexuelles...) n'ont pas été traités/processés/intégrés par le cerveau. Quand on voit à quel point cela peut être difficile pour un adulte qui a vécu un événement grave (en tant qu'adulte), je n'ose même pas imaginer ce que cela doit être pour un enfant qui a vécu cela à répétition et qui est en pleine construction.
Je me dis qu'en tant que société, il va falloir qu'on prenne le problème à bras le corps, qu'on parle de ces violences et qu'on se demande pourquoi on laisse faire cela, comment on réagit lorsque cela se produit, comment on aide ceux qui les subissent ou les ont subies... Le pourcentage d'enfants victimes de violences est affolant.
Je me dis qu'en tant que société, il va falloir qu'on prenne le problème à bras le corps, qu'on parle de ces violences et qu'on se demande pourquoi on laisse faire cela, comment on réagit lorsque cela se produit, comment on aide ceux qui les subissent ou les ont subies... Le pourcentage d'enfants victimes de violences est affolant.
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Burnt me at the stake, you thought I was a witch
Centuries ago, now you just call me a bitch
Man's world, Marina
- DanskaProphète
Niht a écrit:Je dirais : même quand le système est stable.
Oui, tout à fait, c'était une remarque maladroite. Je pensais au message d'Hirondelle qui écrivait que ça fonctionnait à peu près au quotidien quand tout était stable, mais bien sûr ça reste un trouble sévère même quand il est géré au mieux.
- HirondelleNiveau 8
Niht :
"Je me dis qu'en tant que société, il va falloir qu'on prenne le problème à bras le corps, qu'on parle de ces violences et qu'on se demande pourquoi on laisse faire cela, comment on réagit lorsque cela se produit, comment on aide ceux qui les subissent ou les ont subies... Le pourcentage d'enfants victimes de violences est affolant."
C'est vrai. l'état des services sociaux est catastrophique et les possibilités pour les enseignants d'identifier les situations sont très réduites en raison des effectifs trop élevés.
Danska, c'est effectivement difficile mais c'est une habitude à prendre, vu que le cerveau ne peut fonctionner qu'en utilisant cette dissociation au quotidien.
Après, je pense que la fatigue est surtout liée au regard des autres.
Dans une société adultiste, certains alters (enfants notamment, mais pas seulement, les fictifs aussi par exemple) passent moins bien que d'autres. Ils doivent se cacher davantage. à l'inverse, il y a des alters qui ont davantage confiance en eux donc qui sont plus "adaptables" ou "dissimulables" selon les situations. C'est pour cela que je cherchais quelqu'un dans le même cas que moi, histoire d'avoir des astuces pour ceux qui, justement, créent beaucoup de fatigue, peuvent se mettre en danger ou bien sont inadaptés à un milieu professionnel aussi normé que celui des enseignants. Curieusement, c'est surtout la reprise avec les adultes qui questionne, plus que la réaction des élèves qui, de toutes façons, ne perçoivent pas les alters, s'en fichent ou bien ne les croiseront de toutes facons pas.
"Je me dis qu'en tant que société, il va falloir qu'on prenne le problème à bras le corps, qu'on parle de ces violences et qu'on se demande pourquoi on laisse faire cela, comment on réagit lorsque cela se produit, comment on aide ceux qui les subissent ou les ont subies... Le pourcentage d'enfants victimes de violences est affolant."
C'est vrai. l'état des services sociaux est catastrophique et les possibilités pour les enseignants d'identifier les situations sont très réduites en raison des effectifs trop élevés.
Danska, c'est effectivement difficile mais c'est une habitude à prendre, vu que le cerveau ne peut fonctionner qu'en utilisant cette dissociation au quotidien.
Après, je pense que la fatigue est surtout liée au regard des autres.
Dans une société adultiste, certains alters (enfants notamment, mais pas seulement, les fictifs aussi par exemple) passent moins bien que d'autres. Ils doivent se cacher davantage. à l'inverse, il y a des alters qui ont davantage confiance en eux donc qui sont plus "adaptables" ou "dissimulables" selon les situations. C'est pour cela que je cherchais quelqu'un dans le même cas que moi, histoire d'avoir des astuces pour ceux qui, justement, créent beaucoup de fatigue, peuvent se mettre en danger ou bien sont inadaptés à un milieu professionnel aussi normé que celui des enseignants. Curieusement, c'est surtout la reprise avec les adultes qui questionne, plus que la réaction des élèves qui, de toutes façons, ne perçoivent pas les alters, s'en fichent ou bien ne les croiseront de toutes facons pas.
- AthelNiveau 1
@Hirondelle : je ne connais pas du tout le sujet mais je me permets de suggérer quelque chose : si c'est le rapport avec les autres adultes qui t'inquiète le plus, est-ce qu'un forum spécialisé dans ce trouble ne serait pas le plus adapté ? Beaucoup d'environnements professionnels sont extrêmement normés (connaissant un peu le milieu autiste, c'est souvent compliqué quelle que soit l'entreprise), et peut-être que les personnes qui vivent le même trouble que toi et travaillent dans un milieu assez strict auraient eux aussi des suggestions, même si ce n'est pas spécifique à l'enseignement ?
- HirondelleNiveau 8
Le problème c'est qu'on a du mal à savoir ce que remarquent les gens neurotypiques quand on ne l'est pas.
Par exemple, vous quand vous croisez un collègue, quel changement remarquez vous le plus ?
Une voix différente ? Une façon de parler ? Des compétences différentes ?
Quelle doit être la priorité ?
Là comme ça je pense que ce que les gens remarquent en premier c'est la voix et la démarche mais je ne suis pas sûre.
Par exemple, vous quand vous croisez un collègue, quel changement remarquez vous le plus ?
Une voix différente ? Une façon de parler ? Des compétences différentes ?
Quelle doit être la priorité ?
Là comme ça je pense que ce que les gens remarquent en premier c'est la voix et la démarche mais je ne suis pas sûre.
- AthelNiveau 1
Je vais laisser les collègues neurotypiques confirmer ou non, mais j'ai l'impression que beaucoup remarquent (et commentent) la façon de s'habiller (détail que je ne remarque pas du tout moi-même). Donc peut-être veiller à gérer cela toi-même le matin. Je pense que les élèves peuvent y être assez sensibles aussi.
Sinon la voix et la façon de parler (ton, vocabulaire, accent, volume, vitesse) me paraissent importantes. Le caractère aussi (quelqu'un de calme ou qui exprime beaucoup ses émotions par exemple).
Je ne fais pas du tout attention à la démarche mais c'est peut-être moi, et si certains de tes alters ont une démarche très différente de la tienne ça peut sans doute valoir le coup d'y faire attention.
Niveau compétences, veiller à laisser l'alter qui gère la matière concernée devant les élèves et sait se servir des différents outils (notamment l'ordinateur et le rétroprojecteur) me semble important.
En tout cas, merci d'avoir pris le temps de nous sensibiliser au sujet et de nous partager des ressources ! J'espère avoir pu te donner quelques pistes.
Sinon la voix et la façon de parler (ton, vocabulaire, accent, volume, vitesse) me paraissent importantes. Le caractère aussi (quelqu'un de calme ou qui exprime beaucoup ses émotions par exemple).
Je ne fais pas du tout attention à la démarche mais c'est peut-être moi, et si certains de tes alters ont une démarche très différente de la tienne ça peut sans doute valoir le coup d'y faire attention.
Niveau compétences, veiller à laisser l'alter qui gère la matière concernée devant les élèves et sait se servir des différents outils (notamment l'ordinateur et le rétroprojecteur) me semble important.
En tout cas, merci d'avoir pris le temps de nous sensibiliser au sujet et de nous partager des ressources ! J'espère avoir pu te donner quelques pistes.
- HirondelleNiveau 8
Merci pour ce retour.
Pour les vêtements effectivement, je vais négocier avec les autres pour préparer cela le soir.
La démarche il faut que je la teste avec différentes chaussures, j'ai un doute.
Encore merci.
Pour les compétences, il n'y aura que moi devant les élèves, sauf très rares exceptions. Les autres ne sont pas "declenchés" par le travail.
Ah oui le début de parole, je n'avais pas pensé à vérifier cela, encore merci. La voix et l'accent j'y ai déjà pensé mais pour certains c'est compliqué.
Pour les vêtements effectivement, je vais négocier avec les autres pour préparer cela le soir.
La démarche il faut que je la teste avec différentes chaussures, j'ai un doute.
Encore merci.
Pour les compétences, il n'y aura que moi devant les élèves, sauf très rares exceptions. Les autres ne sont pas "declenchés" par le travail.
Ah oui le début de parole, je n'avais pas pensé à vérifier cela, encore merci. La voix et l'accent j'y ai déjà pensé mais pour certains c'est compliqué.
- DanskaProphète
Je ne suis pas sûre d'être très représentative, mais pour la part c'est plutôt la voix et surtout la façon de s'exprimer qui pourraient m'interpeller. Les compétences, je ne suis pas IPR pour regarder le collègue travailler. Les vêtements des uns et des autres je n'y prête jamais attention, je m'en fiche. La démarche, ma foi, un collègue peut d'être tordu la cheville, avoir une ampoule au pied, avoir changé de chaussures...
En revanche un collègue habituellement cordial qui soudain ne dit plus bonjour ou répond sèchement, ou vice-versa, ou qui effectivement change nettement d'accent, ça peut attirer l'attention.
En revanche un collègue habituellement cordial qui soudain ne dit plus bonjour ou répond sèchement, ou vice-versa, ou qui effectivement change nettement d'accent, ça peut attirer l'attention.
- AthelNiveau 1
Oui le changement d'attitude, et notamment garder trace de si on connaît cette personne, son prénom etc ?
- HirondelleNiveau 8
D'accord, je note de lister les gens avec qui on discute plutôt le matin et ceux avec qui on s'arrête au bonjour.
- Cléopatra2Guide spirituel
Je vais peut-être dire une bêtise, mais ne vaudrait-il pas mieux avertir les collègues?
Nous avons régulièrement au lycée des collègues ayant des TSA, et qui ne le disent pas, mais c'est tout à fait perceptible pour certains. Je ne sais pas si les TDI sont perceptibles comme les TSA, mais pour ces derniers, le masking ne fonctionne pas la plupart du temps. Le collègue est toujours "à côté" en pensant s'adapter parfaitement bien.
J'ai en tête une collègue en particulier. Les autres l'évitaient car ils trouvaient qu'elle était bizarre, qu'elle était à côté de la plaque. Quand j'ai demandé naïvement "mais elle a un TSA, non?", les autres l'ont vue différemment. Elle ne nous l'a jamais dit mais je sais qu'elle a souffert des réactions des collègues face à sa différence, car je crois qu'elle pensait vraiment bien la masquer. Si elle l'avait dit dès le départ, les personnes auraient été plus patientes je pense.
Donc ne serait-il pas plus intéressant d'en parler aux collègues, au moins à quelques-uns pour t'aider?
J'avoue que, dans ma grande ignorance (et j'ai vu Split ), j'ai du mal à imaginer le quotidien d'un TDI, et surtout en classe ou dans un établissement où justement on doit toujours se rappeler en permanence de qui a fait quoi et quand.
Nous avons régulièrement au lycée des collègues ayant des TSA, et qui ne le disent pas, mais c'est tout à fait perceptible pour certains. Je ne sais pas si les TDI sont perceptibles comme les TSA, mais pour ces derniers, le masking ne fonctionne pas la plupart du temps. Le collègue est toujours "à côté" en pensant s'adapter parfaitement bien.
J'ai en tête une collègue en particulier. Les autres l'évitaient car ils trouvaient qu'elle était bizarre, qu'elle était à côté de la plaque. Quand j'ai demandé naïvement "mais elle a un TSA, non?", les autres l'ont vue différemment. Elle ne nous l'a jamais dit mais je sais qu'elle a souffert des réactions des collègues face à sa différence, car je crois qu'elle pensait vraiment bien la masquer. Si elle l'avait dit dès le départ, les personnes auraient été plus patientes je pense.
Donc ne serait-il pas plus intéressant d'en parler aux collègues, au moins à quelques-uns pour t'aider?
J'avoue que, dans ma grande ignorance (et j'ai vu Split ), j'ai du mal à imaginer le quotidien d'un TDI, et surtout en classe ou dans un établissement où justement on doit toujours se rappeler en permanence de qui a fait quoi et quand.
- HirondelleNiveau 8
Ceux des collègues qui devaient le savoir l'ont su, ainsi que la direction. Cela s'est très bien passé. Mais avec d'autres, cela s'est vraiment mal passé (harcèlement entre autres). Aussi, il faut qu'on renforce le masking.
Malheureusement, les professeurs sont des gens comme les autres et le validisme est très présent dans la société quels que soient les corps de métier.
Et je ne comprends pas bien pourquoi il faudrait savoir que quelqu'un a un trouble pour "être plus patient". Ne peut-on pas appliquer cette "patience" à tout le monde ?
Justement : on note tout, tout le temps, à l'écrit. On négocie et on différencie en permanence. Et ca marche à peu près, avec beaucoup de fatigue. Quand d'autres revenus le permettront, cela finira surement en mi-temps.
Malheureusement, les professeurs sont des gens comme les autres et le validisme est très présent dans la société quels que soient les corps de métier.
Et je ne comprends pas bien pourquoi il faudrait savoir que quelqu'un a un trouble pour "être plus patient". Ne peut-on pas appliquer cette "patience" à tout le monde ?
Justement : on note tout, tout le temps, à l'écrit. On négocie et on différencie en permanence. Et ca marche à peu près, avec beaucoup de fatigue. Quand d'autres revenus le permettront, cela finira surement en mi-temps.
- SoiréeHabitué du forum
La première chose que je vois chez un collègue c'est s'il m'est sympathique ou antipathique. Après je bosse avec dans les deux cas, c'est une relation professionnelle. Mais aussi si le comportement d'un collègue apparaît très différent de ce qu'il est d'habitude je vais m'inquiéter pour lui/elle et donc avoir tendance à aller vers lui/elle. Je ne sais pas si c'est très aidant pour toi.
J'ai regardé le film (en version coupée), c'était très intéressant. Je ne connaissais pas du tout toutes ces notions. Ça m'intéresse beaucoup. Merci à toi.
J'ai regardé le film (en version coupée), c'était très intéressant. Je ne connaissais pas du tout toutes ces notions. Ça m'intéresse beaucoup. Merci à toi.
- HirondelleNiveau 8
Tout le monde ne réagit pas comme ça. Ça peut aussi être des collègues qui, croyant bien faire, vont dire à la direction qu'ils nous trouvent "bizarre". Là ça devient plus compliqué à gérer.
C'est pour ça que je veux améliorer ce masking. J'aimerais que les changements du matin soient le plus invisibles possibles.
C'est pour ça que je veux améliorer ce masking. J'aimerais que les changements du matin soient le plus invisibles possibles.
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