- JennyMédiateur
Aperçu par hasard a écrit:On ne va quand même pas empêcher Gérard Larcher de faire un peu d'aquagym.
Je veux la photo !
C'est curieux, tu le vois plus à l'aquagym qu'au foot.
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
Jenny a écrit:Aperçu par hasard a écrit:On ne va quand même pas empêcher Gérard Larcher de faire un peu d'aquagym.
Je veux la photo !
C'est curieux, tu le vois plus à l'aquagym qu'au foot.
La photo?! Il faut vraiment aimer les sensations fortes pour réclamer ça!
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Dans le genre comique, cela risque d'être plus proche d'un autre genre de film (Romero, Ridley Scott, Frankenstein et Vampires).
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Si tu vales valeo.
- BaldredSage
Larcher doit plutôt aller à la piscine polytechnique, rue Descartes, plus près de chez lui et du Luxembourg. Et PUBLIQUE.
- nonoHabitué du forum
- Vieux_MongolFidèle du forum
N'y aurait-il pas un peu de grossophobie dans le coin ?
- epekeina.tes.ousiasModérateur
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- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ce n'est pas sa faute : il est tombé dans la marmite de potion quand il était petit.
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- Vieux_MongolFidèle du forum
Hum, possible, des fois il y a des trucs curieux qui mijotent dans les marmites.
https://www.cuisineaz.com/recettes/soupe-au-lard-du-nord-105630.aspx
https://www.cuisineaz.com/recettes/soupe-au-lard-du-nord-105630.aspx
- mamieprofEsprit éclairé
Vieux_Mongol a écrit:Hum, possible, des fois il y a des trucs curieux qui mijotent dans les marmites.
https://www.cuisineaz.com/recettes/soupe-au-lard-du-nord-105630.aspx
Economique cette recette ! 11€ 82 pour 6 personnes ils n'ont jamais vu ça les parents ou élèves de Stan !
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Là d'où je viens, on ne plaisante pas avec la soupe au lard !
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- Fesseur ProGuide spirituel
- T'aimes mieux ton père ou ta mère ?
- J'aime mieux l'lard !
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Pourvu que ça dure...
- Fesseur ProGuide spirituel
- BaldredSage
Un décrypatge du Monde sur le système privé, au delà de Stanislas.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/28/l-enseignement-prive-un-systeme-parallele-en-mal-de-regulation_6218968_3224.html
Il en ressort :
Un premier effet est l'utilisation particulière de l'argent public normalement affecté aux heures de cours et non aux options, religieuses ou pas.
Ces "options" attirantes pour les parents d'élèves paraissent en plus du temps scolaire alors qu'en réalité elles ont lieu sur le temps scolaire financé par l'Etat.
La gestion "particulière" du privé rend le système opaque et propice à tous les abus, dans un silence religieux...
On croirait le public post Attal...
Le Monde décrit la manip qui conduit pour un membre de la direction, déjà salarié pour son travail, d'être payé en plus pour des heures de cours...qu'il ne fait pas.
La connivence rectorat/privé facilte les situations limites ou illicites.
Bien sûr le Privé proteste, quel Troupeau n'a pas de brebis égarées ?
Néanmoins l'essentiel est ailleurs :
Le déséquilibre Privé/Public porte aussi sur la "liberté" de recrutement.
Il y a pourtant eu un homme de gauche dont le nom m'échappe, mais si il a été ministre de l'éducation nationale, vous vous en souvenez forcément. Son truc c'était la "mixité sociale", pour les enfants des autres, comment s'appelait-il déjà ? Le privé lui a dit : "Mais non", Macron lui a dit "ben non". Il nous a fait un pacte et puis il est parti. Ca va me revenir...
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/28/l-enseignement-prive-un-systeme-parallele-en-mal-de-regulation_6218968_3224.html
Il en ressort :
Manque de contrôle de l’Etat
Aux premiers rangs de ces particularités : l’autonomie et la souplesse dont disposent les chefs d’établissement privé dans la gestion de leurs moyens, de leurs équipes et de l’organisation du temps scolaire, qui sont bien supérieures à leurs homologues du public ; et la possibilité donnée aux établissements de sélectionner leurs élèves.
Cette autonomie se double d’un manque de contrôle de l’Etat, en dépit de ses obligations légales. Dans son rapport de juin 2023, la Cour des comptes faisait le constat que le contrôle financier des établissements est « largement inappliqué », le contrôle pédagogique reste « minimaliste » tandis que le contrôle administratif n’est effectué que « ponctuellement ».
Un premier effet est l'utilisation particulière de l'argent public normalement affecté aux heures de cours et non aux options, religieuses ou pas.
Paul Vannier, député (La France insoumise) du Val-d’Oise, chargé d’une mission d’information sur le financement de l’enseignement privé, a été alerté sur des pratiques qui soulèvent également la question de l’utilisation conforme de l’argent public. Parmi celles-ci, la réduction du temps des heures de cours – de cinquante-cinq à cinquante minutes, voire quarante-cinq – pour demander aux enseignants de « récupérer » du temps, afin d’assurer des activités supplémentaires ou des dispositifs d’accompagnement. Une pratique interdite si elle n’est pas encadrée par le rectorat et si elle conduit à ne pas respecter l’horaire dû aux élèves dans chaque matière.
Ces "options" attirantes pour les parents d'élèves paraissent en plus du temps scolaire alors qu'en réalité elles ont lieu sur le temps scolaire financé par l'Etat.
La gestion "particulière" du privé rend le système opaque et propice à tous les abus, dans un silence religieux...
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https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/28/l-enseignement-prive-un-systeme-parallele-en-mal-de-regulation_6218968_3224.html
Dans les structures concernées, certains enseignants évoquent une « omerta » qu’ils attribuent au système de gestion des organismes de gestion de l’enseignement catholique (OGEC), des associations loi 1901 chargées de la gestion des établissements privés catholiques à l’échelle territoriale. Ce sont elles qui nomment et paient les directions d’établissement, dont elles sont les employeurs.
Dans le privé, ces directions disposent d’importants pouvoirs sur les enseignants, qui sont plus souvent contractuels et précaires que dans le public, et dont le recrutement nécessite l’accord du chef d’établissement. « Les moyens de pression des directeurs sur les enseignants sont très nombreux, relève Franck Pécot, du Syndicat national de l’enseignement privé-UNSA. D’ailleurs, s’il y a dérive, c’est qu’il n’y a pas de possibilité d’intervention. L’avancement de l’enseignant, ses choix de mutation, ses heures supplémentaires, son emploi du temps… Tout va dépendre de s’il est, ou non, dans les petits papiers du chef. »
On croirait le public post Attal...
Le Monde décrit la manip qui conduit pour un membre de la direction, déjà salarié pour son travail, d'être payé en plus pour des heures de cours...qu'il ne fait pas.
La connivence rectorat/privé facilte les situations limites ou illicites.
Combien d’établissements, parmi les 7 500 privés sous contrat, sont concernés par des dérives ? Impossible de le savoir, faute de contrôles. « Les rectorats comme les représentants de l’enseignement privé évoquent le “climat de confiance” entre eux, prétexte à s’éviter des vérifications qui font toujours craindre le retour de la guerre scolaire », selon M. Vannier.
Bien sûr le Privé proteste, quel Troupeau n'a pas de brebis égarées ?
Néanmoins l'essentiel est ailleurs :
Le fonctionnement à part du privé sous contrat soulève cependant des critiques plus globales, d’autant plus que s’est installée une logique de « marché scolaire » dans certains territoires, notamment urbains, où le privé concurrence le public. Si la vocation initiale de celui-ci était de permettre le libre choix des familles désireuses d’une éducation religieuse, l’enseignement privé d’aujourd’hui est peu choisi pour des raisons confessionnelles, mais souvent sur des critères scolaires ou pour éviter un établissement public.
Le déséquilibre Privé/Public porte aussi sur la "liberté" de recrutement.
« Les établissements privés fixent leurs propres règles, et il n’existe pas de procédure d’appel devant le rectorat comme dans le public, explique Me Louis le Foyer de Costil, spécialisé en droit de l’éducation. Cela peut être très expéditif, et rien ne garantit le contradictoire. » L’avocat constate également qu’il arrive que l’établissement n’exclue pas, mais refuse de réinscrire l’année suivante, sans avoir à donner de raison. « Il y a beaucoup de liberté et aucun garde-fou pour éviter les abus », constate-t-il.
Pour M. Vannier, « le privé bénéficie de facilités de gestion, or, dans une logique de marché où les acteurs n’ont pas les mêmes capacités, cela lui donne des avantages ». Il pense qu’au-delà de la question des dérives face auxquelles il appelle à plus de contrôle, le différentiel de contraintes imposées aux deux secteurs d’enseignement devrait être réinterrogé. Un dossier politique sensible qu’aucun élu, en dehors de la gauche, ne souhaite rouvrir.
Il y a pourtant eu un homme de gauche dont le nom m'échappe, mais si il a été ministre de l'éducation nationale, vous vous en souvenez forcément. Son truc c'était la "mixité sociale", pour les enfants des autres, comment s'appelait-il déjà ? Le privé lui a dit : "Mais non", Macron lui a dit "ben non". Il nous a fait un pacte et puis il est parti. Ca va me revenir...
- JennyMédiateur
- BaldredSage
Tiens ça me rappelle les questions pendant la confession. Le prêtre m'avait demandé si je regardais des images "impures" à un âge où ce que j'avais de plus impur en tête c'était une image qui représenterait le Diable, et comme à 11ans je lisais peu la littérature diabolique j'avais dit non.
Mais je me suis renseigné dès l'absolution reçue et mes copains m'ont vite renseigné. Après j'avoue, je me suis beaucoup renseigné.
Bon donc entretien d'embauche dans l'esprit de Stan pas de quoi fesser un enfant de chœur.
- Al9Niveau 10
Un article de plus qui montre qu'il existe des dérives importantes. L'article cite les horaires de cours mais ils pourraient aussi citer les options qui ne durent qu'une heure et demie au lieu de trois comme dans le lycée privée du coin car il y a beaucoup de demandes.
On est sur de la concurrence déloyale.
On est sur de la concurrence déloyale.
- JennyMédiateur
Baldred a écrit:
Bon donc entretien d'embauche dans l'esprit de Stan pas de quoi fesser un enfant de chœur.
C'est un monde qui m'est totalement inconnu.
- henrietteMédiateur
Tout est hallucinant. Je ne comprends pas que cet établissement garde son contrat avec l'Etat. Quand on voit les motifs de la rupture du contrat pour un établissement privé mulsulman, et de fermeture pour l'autre qui était hors-contrat, on a vraiment l'impression qu'il y a deux poids deux mesures : ce qu'on reproche à Stanislas est tout aussi grave.
_________________
"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Une indulgence coupable qui s'est établie par la force des habitudes et des renoncements, et avec des intentions inavouables.
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Si tu vales valeo.
- BaldredSage
Jenny a écrit:Baldred a écrit:
Bon donc entretien d'embauche dans l'esprit de Stan pas de quoi fesser un enfant de chœur.
C'est un monde qui m'est totalement inconnu.
Tu ne manques rien.
En spoiler un texte qui va paraitre sur Stan. Ne pas citer.
- Spoiler:
LES BEAUX JOURS ( ET LES AUTRES ) Julien Baer, à paraitre le 11 avril 2024 chez Seghers
Allons
Retour vers d’anciennes saisons
Casmèze qui marchait sur les mains
Dans la cour le matin
On s’appelait par nos noms de famille
Dans l’école il n’y avait pas de filles
Nos professeurs étaient idiots
Et parfois même cruels
Certains aimaient trop les garcons
Et se sont retrouvés en prison
J’ai connu la gloire très tôt
A la sortie des cours elle m’attendait
Elle etait belle
Et nous allions rue de Lourmel
Chez sa meilleure amie
Nous embrasser plus que longtemps
sur les Pink Floyd infiniment
je rentrais ensuite chez mes parents
en métro evidemment
Nous allions aussi au cinéma
On a vu Grease six fois
ce n’est pas interdit je crois
Et toujours Cyril Casmèze
qui etait fort comme un turc
et défendait les plus faibles
au lieu de les faire souffrir
c’est rare, il faut s’en souvenir
Oui on haïssait l’école
Et ces religieux misérables
qui brandissait Dieu comme un sabre
ecole privée
de rien surement
mais on aimait l’amitié qui nous liait
en ces années soixante-dix
qui s’éloignent derrière la vitre
Allez, citons son nom
grand mal lui fasse
Il est toujours là
A la même place
Je parle du collège
Stanislas
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