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- IannaNiveau 7
Il faut, à mon avis, laisser le CPE et le prof régler cela à l'amiable. Des collègues peuvent les aider à organiser un rdv autour d'un café. Je pense que c'est le plus intelligent à faire. Laisser passer du temps, (les vacances) et voir avec la direction à ce que les élèves renvoyés ne soient pas réintégrés dans le cours pendant l'heure.
- FaustireNiveau 5
Je rejoins la majorité des commentaires réalisés. J'ai vécu une situation analogue en début de carrière entre deux collègues dans mon premier établissement. Dans un premier temps j'ai voulu faire "l'autruche" comme tu dis et les deux collègues me sollicitaient pour faire un rapport. J'avais peur de laisser une trace dans "mon dossier". Finalement j'ai été directement voir mon proviseur qui m'a bien expliqué ce que je devais faire : un rapport le plus factuel possible afin de traiter l'affaire. Il avait bien remarqué que j'avais été aussi secoué par cette affaire. Je sais que les deux personnes avaient été convoqué par la suite mais aucun n' avait fait la moindre remarque sur mon rapport par la suite.
Courage...
Courage...
- LoraNeoprof expérimenté
Moi aussi, je suis étonnée des conseils. Stella, tu dis au CPE qu’il peut mettre dans son rapport que tu es témoin, mais quand il te demande de témoigner, tu refuses. Les faits sont quand même graves (agression physique) et il me semble que ton témoignage est important car objectif. Je me sentirais très mal, à la place du CPE, si un collègue refusait de m’aider dans une telle situation.
- CasparProphète
Ianna a écrit:Il faut, à mon avis, laisser le CPE et le prof régler cela à l'amiable. Des collègues peuvent les aider à organiser un rdv autour d'un café. Je pense que c'est le plus intelligent à faire. Laisser passer du temps, (les vacances) et voir avec la direction à ce que les élèves renvoyés ne soient pas réintégrés dans le cours pendant l'heure.
Le problème pour moi c'est que le CPE a demandé à Stella de faire un rapport: est-ce que ça fait partie de ses prérogatives ?
Il vaut mieux passer par la direction (il me semble) et bien sûr apporter son témoignage, il ne s'agit pas de mentir ou de cautionner la violence physique.
Il faudra sans doute remettre les choses à plat dans cet établissement à propos des exclusions de cours.
- AsclépiosNiveau 7
Faire ce qui te semble juste me semble un bon conseil. Mais un rapport sur une partie de "l'histoire" (celle que tu as vue) utilisé à mauvais escient peut être dévastateur pour le collègue.
Je ne suis ni contre le CPE ni contre l'enseignant mais je pense que le contexte doit être pris en compte.
Je précise que je ne détournerais pas le regard, je serais prêt à l'expliquer oralement au chef si ça pouvait aider à résoudre le problème.
Je ne suis ni contre le CPE ni contre l'enseignant mais je pense que le contexte doit être pris en compte.
Je précise que je ne détournerais pas le regard, je serais prêt à l'expliquer oralement au chef si ça pouvait aider à résoudre le problème.
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
Il me semble qu'à l'origine Stella exprimait son embarras (me semble-t-il) quant au fait que le CPE insiste pour qu'elle fasse un rapport. Il serait bien d'en savoir plus sur les raisons de cet embarras. Quoi qu'il en soit, si effectivement la situation est celle de violences verbales accompagnées de violences physiques d'un collègue sur un autre, un rapport semble nécessaire et juste.
Il n'en reste pas moins que la meilleure démarche à mon sens (mais je peux me tromper), c'est que le CPE aille voir dans un premier temps le chef d'établissement (en se faisant éventuellement accompagner d'un représentant syndical), et que celui-ci demande ensuite à la collègue de rédiger un rapport - à supposer que le chef d'établissement en question fasse preuve de professionnalisme, et je ne vois pas de raison d'en douter a priori. Je pense que cela suivrait un ordre plus logique, une tournure plus formelle, et aurait sans doute plus de poids que si le CPE commence à solliciter de lui-même des rapports sans passer par la voie hiérarchique.
J'aurais donné le même conseil si l'altercation mentionnée avait concerné deux enseignants, ou si c'était le CPE qui était venu se plaindre directement ici. Un CPE n'est pas moins un collègue que ne l'est un prof, et supposer que j'aie pu orienter mon propos parce qu'un CPE est impliqué, c'est un peu un procès d'intention quand même...
Il n'en reste pas moins que la meilleure démarche à mon sens (mais je peux me tromper), c'est que le CPE aille voir dans un premier temps le chef d'établissement (en se faisant éventuellement accompagner d'un représentant syndical), et que celui-ci demande ensuite à la collègue de rédiger un rapport - à supposer que le chef d'établissement en question fasse preuve de professionnalisme, et je ne vois pas de raison d'en douter a priori. Je pense que cela suivrait un ordre plus logique, une tournure plus formelle, et aurait sans doute plus de poids que si le CPE commence à solliciter de lui-même des rapports sans passer par la voie hiérarchique.
J'aurais donné le même conseil si l'altercation mentionnée avait concerné deux enseignants, ou si c'était le CPE qui était venu se plaindre directement ici. Un CPE n'est pas moins un collègue que ne l'est un prof, et supposer que j'aie pu orienter mon propos parce qu'un CPE est impliqué, c'est un peu un procès d'intention quand même...
- PrezboGrand Maître
Ianna a écrit:Il faut, à mon avis, laisser le CPE et le prof régler cela à l'amiable. Des collègues peuvent les aider à organiser un rdv autour d'un café. Je pense que c'est le plus intelligent à faire. Laisser passer du temps, (les vacances) et voir avec la direction à ce que les élèves renvoyés ne soient pas réintégrés dans le cours pendant l'heure.
A l'amiable, sérieusement ? M. X t'a bousculé et insulté devant les élèves, mais il était à bout aussi alors tu peux faire un effort ? Quel que soit ce qui s'est passé avant et qu'on ne connaît pas, c'est un conseil indéfendable.
- PrezboGrand Maître
Euphémia a écrit:Dans aucun des collèges dans lesquels j'ai enseigné depuis plus de vingt ans, en tout cas. D'où, sans doute, la difficulté que j'aurais à écrire un témoignage contre un collègue craquant lorsqu'un CPE lui ramène des élèves qu'il a exclus.olive27400 a écrit:
On n'est pas dans une engueulade ni des éclats de voix. Il y a eu violence physique. Je rappelle qu'un élève qui ferait la même chose passerait en conseil de discipline.
Je ne vois pas en quoi des manques dans la gestion des collèges où tu es passé justifierais qu'on trouve acceptable qu'un collègue bouscule un CPE. Et il ne faut pas caricaturer, ces manques ne sont pas communs à tous les établissements.
- PrezboGrand Maître
Asclépios a écrit:Faire ce qui te semble juste me semble un bon conseil. Mais un rapport sur une partie de "l'histoire" (celle que tu as vue) utilisé à mauvais escient peut être dévastateur pour le collègue.
Je ne suis ni contre le CPE ni contre l'enseignant mais je pense que le contexte doit être pris en compte.
Je précise que je ne détournerais pas le regard, je serais prêt à l'expliquer oralement au chef si ça pouvait aider à résoudre le problème.
Mais ce n'est pas à un témoin, depuis peu je crois dans l'établissement, de prendre le contexte en compte, c'est au CDE. En fait, j'ai l'impression ici que tout le monde suppute a priori sur un contexte qu'il ne connaît pas.
- Stella12Niveau 2
Je demandais juste des conseils et ne veux en aucun cas créer de débat. D'ailleurs dans le titre j'ai bien mis "avec DES COLLEGUES" donc je les considère tous deux étant mes collègues. Je suis un peu étonnée de la tournure que prennent certains posts, je me sens un peu jugée alors que je demandais juste des conseils, je ne suis encore que débutante et n'ai donc aucune envie d'être jugée ou de recevoir des conseils moralisateurs. Vous ne connaissez en aucun cas le contexte de l'établissement dans lequel je suis. Je n'ai pas envie de trop en dire sur le contexte, cela n'a pas lieu d'être ici. Merci à ceux qui se sont montrés compatissants et merci pour vos conseils.
Bonne soirée à vous tous.
Bonne soirée à vous tous.
- JennyMédiateur
Bon courage à toi effectivement et préserve toi.
Ce genre d’altercation révèle souvent un contexte difficile à vivre au quotidien.
Ce genre d’altercation révèle souvent un contexte difficile à vivre au quotidien.
- EuphémiaNiveau 10
Je n'ai jamais dit que je trouvais cela acceptable, j'ai même écrit le contraire, juste que je comprenais ce qui pouvait pousser à bout un collègue et que, dans cette situation, j'aurais du mal à écrire un rapport l'accablant. Tout n'est pas rose ou noir et, à la place de notre collègue qui a ouvert ce fil, je serais tout aussi embarrassée qu'elle.Prezbo a écrit:Euphémia a écrit:Dans aucun des collèges dans lesquels j'ai enseigné depuis plus de vingt ans, en tout cas. D'où, sans doute, la difficulté que j'aurais à écrire un témoignage contre un collègue craquant lorsqu'un CPE lui ramène des élèves qu'il a exclus.olive27400 a écrit:
On n'est pas dans une engueulade ni des éclats de voix. Il y a eu violence physique. Je rappelle qu'un élève qui ferait la même chose passerait en conseil de discipline.
Je ne vois pas en quoi des manques dans la gestion des collèges où tu es passé justifierais qu'on trouve acceptable qu'un collègue bouscule un CPE. Et il ne faut pas caricaturer, ces manques ne sont pas communs à tous les établissements.
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L’école est un lieu admirable. J’aime que les bruits extérieurs n’y entrent point. (Alain)
L'esprit critique, c'est, au minimum, un esprit qui n’a pas peur des mots. (Jean-Claude Michéa)
- IannaNiveau 7
Oui, je persiste, le dialogue est la meilleure solution.Prezbo a écrit:Ianna a écrit:Il faut, à mon avis, laisser le CPE et le prof régler cela à l'amiable. Des collègues peuvent les aider à organiser un rdv autour d'un café. Je pense que c'est le plus intelligent à faire. Laisser passer du temps, (les vacances) et voir avec la direction à ce que les élèves renvoyés ne soient pas réintégrés dans le cours pendant l'heure.
A l'amiable, sérieusement ? M. X t'a bousculé et insulté devant les élèves, mais il était à bout aussi alors tu peux faire un effort ? Quel que soit ce qui s'est passé avant et qu'on ne connaît pas, c'est un conseil indéfendable.
- CasparProphète
Ianna a écrit:Oui, je persiste, le dialogue est la meilleure solution.Prezbo a écrit:Ianna a écrit:Il faut, à mon avis, laisser le CPE et le prof régler cela à l'amiable. Des collègues peuvent les aider à organiser un rdv autour d'un café. Je pense que c'est le plus intelligent à faire. Laisser passer du temps, (les vacances) et voir avec la direction à ce que les élèves renvoyés ne soient pas réintégrés dans le cours pendant l'heure.
A l'amiable, sérieusement ? M. X t'a bousculé et insulté devant les élèves, mais il était à bout aussi alors tu peux faire un effort ? Quel que soit ce qui s'est passé avant et qu'on ne connaît pas, c'est un conseil indéfendable.
Avec un médiateur alors (membre de la direction ou autre).
- PrezboGrand Maître
Euphémia a écrit:
Je n'ai jamais dit que je trouvais cela acceptable, j'ai même écrit le contraire, juste que je comprenais ce qui pouvait pousser à bout un collègue et que, dans cette situation, j'aurais du mal à écrire un rapport l'accablant. Tout n'est pas rose ou noir et, à la place de notre collègue qui a ouvert ce fil, je serais tout aussi embarrassée qu'elle.
Il ne s'agit pas d'écrire un rapport "accablant" le collègue, mais de témoigner de ce qu'on a vu, en restant factuel.
Caspar a écrit:Ianna a écrit:
Oui, je persiste, le dialogue est la meilleure solution.
Avec un médiateur alors (membre de la direction ou autre).
On ne parle pas d'un engueulade. Si le CPE avait été bousculé et insulté par un parent mécontent, penserait-on que le dialogue, éventuellement avec un médiateur, serait une solution à la hauteur ? Jusqu’où pousse-t-on cette logique dans une situation où un des acteurs s'estime victime d'une agression ?
- CasparProphète
Prezbo a écrit:Euphémia a écrit:
Je n'ai jamais dit que je trouvais cela acceptable, j'ai même écrit le contraire, juste que je comprenais ce qui pouvait pousser à bout un collègue et que, dans cette situation, j'aurais du mal à écrire un rapport l'accablant. Tout n'est pas rose ou noir et, à la place de notre collègue qui a ouvert ce fil, je serais tout aussi embarrassée qu'elle.
Il ne s'agit pas d'écrire un rapport "accablant" le collègue, mais de témoigner de ce qu'on a vu, en restant factuel.Caspar a écrit:Ianna a écrit:
Oui, je persiste, le dialogue est la meilleure solution.
Avec un médiateur alors (membre de la direction ou autre).
On ne parle pas d'un engueulade. Si le CPE avait été bousculé et insulté par un parent mécontent, penserait-on que le dialogue, éventuellement avec un médiateur, serait une solution à la hauteur ? Jusqu’où pousse-t-on cette logique dans une situation où un des acteurs s'estime victime d'une agression ?
Ah mais je suis d'accord avec toi, il est clair que cette situation ne peut pas se régler entre deux collègues (CPE et professeur) autour d'un café.
- neomathÉrudit
Un cpe qui refuse de prendre ses responsabilités en ne sanctionnant pas les fauteurs de trouble et qui va jusqu'à ramener lui même des élèves exclu, montrant bien ainsi à tout le collège que les profs sont des paillassons, c'est une violence.
Si l'on condamne la violence alors il faut les comdamner toutes.
Si l'on condamne la violence alors il faut les comdamner toutes.
- LadyOlennaModérateur
Sauf qu'effectivement on ne connaît rien du contexte. La CPE applique peut-être les consignes de sa direction, qui lui dit de renvoyer en cours les élèves exclus.neomath a écrit:Un cpe qui refuse de prendre ses responsabilités en ne sanctionnant pas les fauteurs de trouble et qui va jusqu'à ramener lui même des élèves exclu, montrant bien ainsi à tout le collège que les profs sont des paillassons, c'est une violence.
Si l'on condamne la violence alors il faut les comdamner toutes.
- dandelionVénérable
Dans tous les cas la violence physique n’est pas acceptable, et le fait de s’emporter devant les élèves n’est pas professionnel, quelle que soit l’attitude du CPE.
Je serais réticente néanmoins à faire un écrit dont je ne saurais trop ce qu’il pourrait devenir. Le terme ‘bousculade’ par exemple est peu clair, et peut donner lieu à toutes sortes d’interprétations.
Je serais réticente néanmoins à faire un écrit dont je ne saurais trop ce qu’il pourrait devenir. Le terme ‘bousculade’ par exemple est peu clair, et peut donner lieu à toutes sortes d’interprétations.
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
LadyOlenna a écrit:Sauf qu'effectivement on ne connaît rien du contexte. La CPE applique peut-être les consignes de sa direction, qui lui dit de renvoyer en cours les élèves exclus.neomath a écrit:Un cpe qui refuse de prendre ses responsabilités en ne sanctionnant pas les fauteurs de trouble et qui va jusqu'à ramener lui même des élèves exclu, montrant bien ainsi à tout le collège que les profs sont des paillassons, c'est une violence.
Si l'on condamne la violence alors il faut les comdamner toutes.
Cette hypothèse me paraît tout à fait crédible. Elle expliquerait (sans pour autant la justifier) la réaction brutale de l'enseignant qui, excédé que la vie scolaire lui renvoie les élèves qu'il exclut et ne les colle pas quand il le demande, s'en prend au CPE, quand bien même celui-ci ne ferait qu'appliquer des consignes qu'il n'a pas décidées. Elle pourrait expliquer également le fait que le CPE demande directement un rapport à la collègue témoin plutôt que de s'adresser au chef d'établissement, dont il craindrait de ne pas obtenir un soutien suffisamment efficace. Que ce soit à cause d'une attitude de type "pas de vagues", ou en raison d'une difficulté de la direction à traiter une situation compliquée à un niveau ou un autre (situation du collègue en question, "ambiance" de l'établissement en général), ce qui - comme on le sait tous - arrive aussi aux chefs, qui ne disposent pas toujours des moyens permettant de résoudre tous les problèmes.
Dans un contexte de ce type, le fait que le collègue puisse avoir des difficultés dans la gestion de ses classes (pour une raison ou une autre, qui peut être parfaitement compréhensible) et qu'il puisse être considéré comme abusant des colles et des exclusions d'élèves par la direction (encore une fois, ce ne sont que des suppositions que je fais pour tenter d'appréhender ce qui pourrait faire la cohérence de l'événement) permettrait de comprendre non seulement la survenue de l'incident mais aussi les réticences de Stella à mettre son témoignage sur papier. Dans la quinzaine d'établissements que j'ai fréquentés au fil de mon (ancien) petit parcours de TZR, il m'est arrivé plus d'une fois de croiser des collègues qui pouvaient réagir avec une certaine violence, à l'image du prof de l'incident relaté par Stella. Ce n'était en général pas des brutaux/brutales par nature, mais juste des personnes qui allaient mal, parfois très mal, dans des situations d'épuisement et à qui l'institution ne pouvait rien proposer. Raison pour laquelle je me garderai de condamner a priori Stella quand elle manifeste quelques réticences à témoigner sur papier à la seule demande du second protagoniste.
Mais enfin... comme le dit [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], on ne sait rien du contexte, je ne fais là que des hypothèses. J'ai peut-être tout faux et pour tout dire on discute un peu sur du vent. Et ce que nous disons les uns et les autres (moi y compris) en révèle sans doute davantage sur notre expérience et notre manière de vivre notre métier que sur la situation concrète évoquée par Stella.
En tout cas, comme l'a suggéré [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], il est très raisonnable de penser que ce type d'altercation traduit un contexte assez "difficile".
- JacqGuide spirituel
Prezbo a écrit:Asclépios a écrit:Faire ce qui te semble juste me semble un bon conseil. Mais un rapport sur une partie de "l'histoire" (celle que tu as vue) utilisé à mauvais escient peut être dévastateur pour le collègue.
Je ne suis ni contre le CPE ni contre l'enseignant mais je pense que le contexte doit être pris en compte.
Je précise que je ne détournerais pas le regard, je serais prêt à l'expliquer oralement au chef si ça pouvait aider à résoudre le problème.
Mais ce n'est pas à un témoin, depuis peu je crois dans l'établissement, de prendre le contexte en compte, c'est au CDE. En fait, j'ai l'impression ici que tout le monde suppute a priori sur un contexte qu'il ne connaît pas.
Stella12 a écrit:Je demandais juste des conseils et ne veux en aucun cas créer de débat. D'ailleurs dans le titre j'ai bien mis "avec DES COLLEGUES" donc je les considère tous deux étant mes collègues. Je suis un peu étonnée de la tournure que prennent certains posts, je me sens un peu jugée alors que je demandais juste des conseils, je ne suis encore que débutante et n'ai donc aucune envie d'être jugée ou de recevoir des conseils moralisateurs. Vous ne connaissez en aucun cas le contexte de l'établissement dans lequel je suis. Je n'ai pas envie de trop en dire sur le contexte, cela n'a pas lieu d'être ici. Merci à ceux qui se sont montrés compatissants et merci pour vos conseils.
Bonne soirée à vous tous.
On comprend, surtout nouvelle, devant quitter l'établissement. Belle embrouille pour terminer l'année.
Je pense que ta première proposition est la bonne, d'être mentionnée comme témoin (Mme X était témoin, ou proche de la scène, a pu observer la scène). Une fois le rapport rendu au CDE ce sera à lui de faire appel à toi pour confirmer ou non ce qui a été écrit, peut-être par l'un comme par l'autre d'ailleurs.
On ne connaît rien du contexte ni d'établissement, ni entre les collègues, donc j'imagine si c'était dans mon établissement.
Si je me retrouvais une telle situation je ne me sentirais pas le droit de rédiger de moi-même ou à la demande de l'un ou de l'autre de mes collègues, un "rapport". Je dirais à mes collègues qu'effectivement je suis témoin et que j'attends ensuite d'être contacté pour témoigner de ce que j'ai vu et constaté. Une convocation par le CDE, accompagné d'un collègue pour attester de ce que je pourrais témoigner.
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