- CasparProphète
Il me reste 31 livres à lire pour les 31 semaines restantes de l'année (j'ai lu deux livres qui n'entrent pas dans le défi et ralenti mon rythme de lecture), ça va être chaud mais ça reste faisable.
- EloahExpert spécialisé
Caspar a écrit:Il me reste 31 livres à lire pour les 31 semaines restantes de l'année (j'ai lu deux livres qui n'entrent pas dans le défi et ralenti mon rythme de lecture), ça va être chaud mais ça reste faisable.
On y croit Caspar !
Pour le défi 11 "un livre de plus de 800 pages", j'ai lu Les Jardins de la Lune, 1er tome du Livre des Martyrs de Steven Erikson. C'est de la dark fantasy. C'est un univers tellement foisonnant que c'est compliqué à raconter : le peuple Malazéen mené par l'impératrice Laseen mène une vaste conquête et veut notamment conquérir Darujhistan, la dernière ville libre (et riche !) de Genabackis. On suit ainsi à la fois des conquérants (soldats, nobles mais aussi magiciens) et des habitants de Darujhistan qui tentent de contrer cette volonté de conquête. La lecture est difficile car les faits se déroulent comme si le lecteur n'existait pas, c'est-à-dire que rien, jamais, n'est explicité, on comprend les choses au fur et à mesure ... ou pas. Ceci dit, le style est très agréable, plutôt prenant et j'ai bien aimé ma lecture, notamment l'originalité des personnages (on n'a pas les peuples habituels de la fantasy mais des peuples créés pour cette saga), le système de magie est lui aussi inédit, bref, c'est tout un monde impressionnant qui se déploie sous nos yeux, c'est prenant !
- edelweis62Niveau 5
Eloah a écrit:Caspar a écrit:Il me reste 31 livres à lire pour les 31 semaines restantes de l'année (j'ai lu deux livres qui n'entrent pas dans le défi et ralenti mon rythme de lecture), ça va être chaud mais ça reste faisable.
On y croit Caspar !
Mais oui, les vacances approchent !
Et sinon pour le défi 15 "Chez Actes sud", j'ai lu Continents à la dérive de Russell Banks.
Bob Dubois, réparateur de chaudières dans une petite ville du New Hampshire, part pour la Floride avec sa famille en espérant améliorer ainsi ses conditions de vie. En Haïti, une jeune femme, Vanise, fuit la violence et la pauvreté de son pays avec son bébé et son neveu, pour rejoindre l'Amérique. De désillusion en désillusion, on attend que les personnages se croisent... Le Rêve américain en prend un coup, et nous aussi.
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- AsarteLilithBon génie
Je ne finirai pas le défi....mais déjà je lis, je découvre....
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- CasparProphète
J'ai failli abandonner mais comme j'ai une fâcheuse tendance à ne pas être persévérant je me suis dit non, pour une fois finis quelque chose que tu as commencé. Effectivement les vacances d'été arrivent et j'aurai du temps dès le mois de juin puisque je ne suis pas convoqué au GO, la réforme a quand même quelques avantages.
- edelweis62Niveau 5
Caspar a écrit:J'ai failli abandonner mais comme j'ai une fâcheuse tendance à ne pas être persévérant je me suis dit non, pour une fois finis quelque chose que tu as commencé. Effectivement les vacances d'été arrivent et j'aurai du temps dès le mois de juin puisque je ne suis pas convoqué au GO, la réforme a quand même quelques avantages.
Chuuut...
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- frecheGrand sage
Défi 19 : Génie "Lessons in Chemistry" de Bonnie Garmus
L'histoire se passe aux USA dans les années 60, Elizabeth est une chimiste brillante, féministe, qui doit se faire une place dans un milieu misogyne et une société pleine de préjugés. Pour élever sa fille, elle accepte de présenter une émission de cuisine, mais elle va le faire à sa façon, celle d'une chimiste.
Je n'ai pas tout à fait terminé le livre, offert la semaine dernière par mes collègues lors d'un séjour en Angleterre (je suis chimiste et j'aime cuisiner), mais je le dévore depuis ce week-end et je le finirai demain je pense.
En cherchant sur le net, j'ai découvert qu'il avait été publié en français sous le titre "La Brillante destinée d'Elizabeth Zott". J'aurai pu également le mettre dans le défi "première fois" car c'est un premier roman.
L'histoire se passe aux USA dans les années 60, Elizabeth est une chimiste brillante, féministe, qui doit se faire une place dans un milieu misogyne et une société pleine de préjugés. Pour élever sa fille, elle accepte de présenter une émission de cuisine, mais elle va le faire à sa façon, celle d'une chimiste.
Je n'ai pas tout à fait terminé le livre, offert la semaine dernière par mes collègues lors d'un séjour en Angleterre (je suis chimiste et j'aime cuisiner), mais je le dévore depuis ce week-end et je le finirai demain je pense.
En cherchant sur le net, j'ai découvert qu'il avait été publié en français sous le titre "La Brillante destinée d'Elizabeth Zott". J'aurai pu également le mettre dans le défi "première fois" car c'est un premier roman.
- lagoulueNiveau 8
Caspar a écrit:J'ai failli abandonner mais comme j'ai une fâcheuse tendance à ne pas être persévérant je me suis dit non, pour une fois finis quelque chose que tu as commencé. Effectivement les vacances d'été arrivent et j'aurai du temps dès le mois de juin puisque je ne suis pas convoqué au GO, la réforme a quand même quelques avantages.
Allez allez, Caspar, ne flanche pas maintenant ! Et même si tu ne vas pas tout à fait au bout, ce n'est pas grave ! (C'est ce que je me dis pour moi ! Ce défi stimule quand même beaucoup ma lecture, c'est ça qui compte au final - même si je n'atteins pas les 50 livres parce que j'ai choisi des pavés qui me prennent du temps ) (j'en suis à un peu plus de la moitié de mon livre sur Cromwell...).
- CasparProphète
lagoulue a écrit:Caspar a écrit:J'ai failli abandonner mais comme j'ai une fâcheuse tendance à ne pas être persévérant je me suis dit non, pour une fois finis quelque chose que tu as commencé. Effectivement les vacances d'été arrivent et j'aurai du temps dès le mois de juin puisque je ne suis pas convoqué au GO, la réforme a quand même quelques avantages.
Allez allez, Caspar, ne flanche pas maintenant ! Et même si tu ne vas pas tout à fait au bout, ce n'est pas grave ! (C'est ce que je me dis pour moi ! Ce défi stimule quand même beaucoup ma lecture, c'est ça qui compte au final - même si je n'atteins pas les 50 livres parce que j'ai choisi des pavés qui me prennent du temps ) (j'en suis à un peu plus de la moitié de mon livre sur Cromwell...).
Non non, j'y crois encore comme disait Lara Fabian. Je viens d'attaquer Sans famille d'Hector Malo, qui devrait être assez vite lu.
Bon courage pour le Hilary Mantel. La trilogie a beaucoup marqué les Anglais en tout cas: gros succès public et critique, double Booker Prize, adaptation par la BBC (des deux premiers volumes).
Elle a aussi écrit un pavé sur la Révolution française (Révolution en français, A place of greater safety en VO).
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
j'arrive aussi dans la partie du défi pour laquelle je n'ai plus d'idées de lecture, mon rythme ralentit donc aussi.
Je viens valider le défi n°35 un livre qui a obtenu le booker prize avec Le tigre blanc d'Aravind Adiga, booker prize 2008.
Pendant sept nuits, le narrateur, indien, écrit au premier ministre chinois dont la visite est annoncée dans sa ville de Bangalore pour lui faire le portrait de sa ville et de son pays sous un jour que ne lui montrera jamais la propagande indienne. Nous découvrons les multiples visages de l'Inde et surtout ses très nombreux contrastes et oppositions. La lecture est intéressante et enrichissante, sous le vitriol et l'ironie, on sent aussi toute la tendresse et l'affection de l'auteur pour son pays et le destin qu'il lui entrevoit.
j'arrive aussi dans la partie du défi pour laquelle je n'ai plus d'idées de lecture, mon rythme ralentit donc aussi.
Je viens valider le défi n°35 un livre qui a obtenu le booker prize avec Le tigre blanc d'Aravind Adiga, booker prize 2008.
Pendant sept nuits, le narrateur, indien, écrit au premier ministre chinois dont la visite est annoncée dans sa ville de Bangalore pour lui faire le portrait de sa ville et de son pays sous un jour que ne lui montrera jamais la propagande indienne. Nous découvrons les multiples visages de l'Inde et surtout ses très nombreux contrastes et oppositions. La lecture est intéressante et enrichissante, sous le vitriol et l'ironie, on sent aussi toute la tendresse et l'affection de l'auteur pour son pays et le destin qu'il lui entrevoit.
- DanskaProphète
Adren a écrit:Bonjour à tous,
j'arrive aussi dans la partie du défi pour laquelle je n'ai plus d'idées de lecture, mon rythme ralentit donc aussi.
Je viens valider le défi n°35 un livre qui a obtenu le booker prize avec Le tigre blanc d'Aravind Adiga, booker prize 2008.
Pendant sept nuits, le narrateur, indien, écrit au premier ministre chinois dont la visite est annoncée dans sa ville de Bangalore pour lui faire le portrait de sa ville et de son pays sous un jour que ne lui montrera jamais la propagande indienne. Nous découvrons les multiples visages de l'Inde et surtout ses très nombreux contrastes et oppositions. La lecture est intéressante et enrichissante, sous le vitriol et l'ironie, on sent aussi toute la tendresse et l'affection de l'auteur pour son pays et le destin qu'il lui entrevoit.
Idem, j'ai lu pas mal de trucs hors défi ces derniers jours.
Je viens tout de même de finir A l'ombre de nos secrets, de Lily Haime, pour le défi 26. Un roman LGBTQ+ dont l'action se déroule dans le passé ou à l'étranger. Le récit principal se déroule en France, de 1940 à 1945. Julien, 19 ans, est français, Engel appartient à la Wehrmacht... A cette époque où on ne sait ce qui est le pire entre une relation homosexuelle et une relation entre un Français et un Allemand, inutile de dire qu'on n'est pas sur un roman à l'eau de rose.
Un livre que j'ai trouvé assez dur mais très prenant malgré quelques maladresses dans le style, quelques répétitions et quelques fautes d'orthographe qui gâchent un peu l'ensemble : on suit les deux hommes, Julien qui bascule peu à peu vers la résistance jusqu'à prendre le maquis, Engel qui finit par le suivre, les amis qui se déchirent, disparaissent ou au contraire restent autour d'eux, l'avancée de la guerre et ses effets sur eux... Et puis la Libération, la fin de la guerre, qui ne suffit pas à tout résoudre. Perfectible, donc, mais déjà impressionnant et assez bouleversant.
- CasparProphète
Item n° 34: Enfance atypique.
J'ai lu Sans famille, d'Hector Malot, acheté dans une édition Rouge et Or de 1959 en recyclerie. Tout le monde connaît plus ou moins l'histoire de Remi, enfant trouvé par Barberin et arraché à sa mère nourricière la femme de Barberin après avoir été vendu à Vitalis, artiste de rue. Après bien des aventures, il retrouvera sa vraie famille et connaîtra enfin le bonheur et la fortune.
Roman typique je pense de la littérature populaire du XIXe, mais adapté à un public enfantin: très mélo mais aussi picaresque (et feuilletonnant) puisque Remi parcourt toute la France et va même jusqu'en Angleterre. Le téléfilm avec Fabrice Josso (qui est aussi la voix de Remi dans le dessin animé Rémi Sans famille, qui a beaucoup marqué à l'époque, en partie part la qualité de sa technique d'animation ingénieuse et son côté un peu effrayant) est resté dans mon esprit (il y a eu une autre adaptation avec Pierre Richard).
Je pense que je n'avais lu que le premier volume car je ne me souvenais absolument pas de certains épisodes (la mine inondée, les aventures de Remi à Londres, les dernières péripéties SPOILER ALERT avant les retrouvailles de Remi avec sa vraie famille). On retrouve un peu de Victor Hugo et de Dickens dans le roman, et avec la mine on se croirait dans Germinal. J'ai aussi été surpris de constater que Vitalis n'est présent que dans le premier tiers du roman, mais c'est un personnage marquant dont tout le monde se souvient.
Une lecture agréable et surtout...rapide, donc je conserve le rythme: 30 semaines et 30 livres à lire avant la fin de l'année.
EDIT: Il y a eu plus d'une dizaine d'adaptations au cinéma et à la télévision, dont la dernière en 2018 avec Daniel Auteuil et Virginie Ledoyen, qui m'avait complètement échappée.
J'ai lu Sans famille, d'Hector Malot, acheté dans une édition Rouge et Or de 1959 en recyclerie. Tout le monde connaît plus ou moins l'histoire de Remi, enfant trouvé par Barberin et arraché à sa mère nourricière la femme de Barberin après avoir été vendu à Vitalis, artiste de rue. Après bien des aventures, il retrouvera sa vraie famille et connaîtra enfin le bonheur et la fortune.
Roman typique je pense de la littérature populaire du XIXe, mais adapté à un public enfantin: très mélo mais aussi picaresque (et feuilletonnant) puisque Remi parcourt toute la France et va même jusqu'en Angleterre. Le téléfilm avec Fabrice Josso (qui est aussi la voix de Remi dans le dessin animé Rémi Sans famille, qui a beaucoup marqué à l'époque, en partie part la qualité de sa technique d'animation ingénieuse et son côté un peu effrayant) est resté dans mon esprit (il y a eu une autre adaptation avec Pierre Richard).
Je pense que je n'avais lu que le premier volume car je ne me souvenais absolument pas de certains épisodes (la mine inondée, les aventures de Remi à Londres, les dernières péripéties SPOILER ALERT avant les retrouvailles de Remi avec sa vraie famille). On retrouve un peu de Victor Hugo et de Dickens dans le roman, et avec la mine on se croirait dans Germinal. J'ai aussi été surpris de constater que Vitalis n'est présent que dans le premier tiers du roman, mais c'est un personnage marquant dont tout le monde se souvient.
Une lecture agréable et surtout...rapide, donc je conserve le rythme: 30 semaines et 30 livres à lire avant la fin de l'année.
EDIT: Il y a eu plus d'une dizaine d'adaptations au cinéma et à la télévision, dont la dernière en 2018 avec Daniel Auteuil et Virginie Ledoyen, qui m'avait complètement échappée.
- MalagaModérateur
Pour le défi Une œuvre publiée pour la première fois en 1923, j'ai lu Le crime du golf d'Agatha Christie.
Hercule Poirot enquête en Normandie sur la mort d'un riche bourgeois, M. Renauld. Aidé par son accolyte Hastings, il doit se résoudre ce mystère.
Mon avis : j'aime beaucoup Agatha Christie mais je dois dire que ce roman policier-là ne m'a pas emballée plus que cela. L'histoire est inutilement embrouillée et je n'étais pas pressée de découvrir le ou la coupable. De plus, cette capacité qu'ont les personnages à s'évanouir dans ce roman, notamment les femmes, est assez agaçant. En revanche, j'ai apprécié les pointes d'humour ici et là, notamment envers le "concurrent" de Poirot.
Bref, j'avais lu ce roman étant adolescente et je comprends pourquoi je n'en ai gardé aucun souvenir.
Hercule Poirot enquête en Normandie sur la mort d'un riche bourgeois, M. Renauld. Aidé par son accolyte Hastings, il doit se résoudre ce mystère.
Mon avis : j'aime beaucoup Agatha Christie mais je dois dire que ce roman policier-là ne m'a pas emballée plus que cela. L'histoire est inutilement embrouillée et je n'étais pas pressée de découvrir le ou la coupable. De plus, cette capacité qu'ont les personnages à s'évanouir dans ce roman, notamment les femmes, est assez agaçant. En revanche, j'ai apprécié les pointes d'humour ici et là, notamment envers le "concurrent" de Poirot.
Bref, j'avais lu ce roman étant adolescente et je comprends pourquoi je n'en ai gardé aucun souvenir.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
une déception pour le défi n°37 "une comédie traduite de l'anglais". Je pensais choisir une valeur sûre avec Trois hommes dans un bateau (sans parler du chien !) de Jerome K. Jerome, traduit de l'anglais par Deodat Serval, et ce fut une erreur. Dans ce roma, trois jeunes anglais oisifs, dont l'auteur, décident, pour passer le temps, de partir en croisière sur la Tamise avec leur propre canot. Des préparatofs aux sorties à terre, en passant par les épisodes de navigation, tout est prétexte à situations comiques et à digressions se voulant plus comiques encore. Trop, c'est trop. Si certains passages m'ont effectivement fait sourire, je me suis plutôt ennuyée lors de cette lecture. Pourtant, l'humour anglais et le XIXe siècle ne me rebutent habituellement pas, au contraire.
une déception pour le défi n°37 "une comédie traduite de l'anglais". Je pensais choisir une valeur sûre avec Trois hommes dans un bateau (sans parler du chien !) de Jerome K. Jerome, traduit de l'anglais par Deodat Serval, et ce fut une erreur. Dans ce roma, trois jeunes anglais oisifs, dont l'auteur, décident, pour passer le temps, de partir en croisière sur la Tamise avec leur propre canot. Des préparatofs aux sorties à terre, en passant par les épisodes de navigation, tout est prétexte à situations comiques et à digressions se voulant plus comiques encore. Trop, c'est trop. Si certains passages m'ont effectivement fait sourire, je me suis plutôt ennuyée lors de cette lecture. Pourtant, l'humour anglais et le XIXe siècle ne me rebutent habituellement pas, au contraire.
- Reine MargotDemi-dieu
21. Expression renvoyant au calendrier: metro 2033, D Glukhovsky
Roman de Sf sympathique, qui fait effectivement penser à un jeu video à certains moments -il a été ensuite adapté en console-, Metro 2033 imagine un monde dévasté où les humains se terrent dans le métro. A la surface, des créatures mutantes menacent les derniers humains. Arthyom, jeune homme de la station VDNKH, où "les Noirs", mutants aux mouvoirs psychiques, ne vont pas tarder à s'engouffrer, se voit confier la mission d'avertir les dirigeants éclairés du métro au groupement central de "Polis". Il va devoir traverser le métro et croiser des néo-nazis, des communistes nostalgiques de Staline, des groupes du crime organisé, mais surtout, il découvre sa capacité à "entendre" le métro. Bon moment, se lit vite, illustration satirique de la société russe avec ses différentes composantes. Mais bon, disons que je n'ai pas vraiment eu de surprise.
46. Premières fois: la faim, Knut Hamsun: A rapprocher de Martin Eden, Semi-autobiographie où le narrateur raconte son errance dans Christiania, poursuivi par les affres de la faim.
Prenant, beau texte, accessible, à regrouper autour d'autres livres sur le thème du jeune auteur dans la misère.
Roman de Sf sympathique, qui fait effectivement penser à un jeu video à certains moments -il a été ensuite adapté en console-, Metro 2033 imagine un monde dévasté où les humains se terrent dans le métro. A la surface, des créatures mutantes menacent les derniers humains. Arthyom, jeune homme de la station VDNKH, où "les Noirs", mutants aux mouvoirs psychiques, ne vont pas tarder à s'engouffrer, se voit confier la mission d'avertir les dirigeants éclairés du métro au groupement central de "Polis". Il va devoir traverser le métro et croiser des néo-nazis, des communistes nostalgiques de Staline, des groupes du crime organisé, mais surtout, il découvre sa capacité à "entendre" le métro. Bon moment, se lit vite, illustration satirique de la société russe avec ses différentes composantes. Mais bon, disons que je n'ai pas vraiment eu de surprise.
46. Premières fois: la faim, Knut Hamsun: A rapprocher de Martin Eden, Semi-autobiographie où le narrateur raconte son errance dans Christiania, poursuivi par les affres de la faim.
Prenant, beau texte, accessible, à regrouper autour d'autres livres sur le thème du jeune auteur dans la misère.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- *Ombre*Grand sage
Adren, j'avais lu ce roman pour mon premier défi, et ç'avait été une déconvenue pour moi aussi. J'ai trouvé ça très daté, en fait. Il semblerait que l'humour vieillisse, lui aussi.
- AdrenFidèle du forum
Tu me rassures, Ombre. Daté, certainement, et tellement convenu aussi, les chutes qu'on voit arriver dès les premiers mots, une impression de Benny Hill en somme.
- Calypso64Niveau 10
Bonjour,
Est-ce que parmi vous quelqu'un a lu, svp, "Cher ***" de Virginie Despentes ? car j'ai déjà complété l'item 7." au moins trois personnages principaux" avec « Le silence et la colère» de Pierre Lemaitre. Cela me permettrait de le mettre dans le Joker : Un livre emprunté à la liste d'un participant.
Edit : Bon le mot C-O-N-N-A-R-D n'apparait pas
Merci.
Est-ce que parmi vous quelqu'un a lu, svp, "Cher ***" de Virginie Despentes ? car j'ai déjà complété l'item 7." au moins trois personnages principaux" avec « Le silence et la colère» de Pierre Lemaitre. Cela me permettrait de le mettre dans le Joker : Un livre emprunté à la liste d'un participant.
Edit : Bon le mot C-O-N-N-A-R-D n'apparait pas
Merci.
- Cléopatra2Guide spirituel
Pour le défi roman policier asiatique, j'ai lu Hanshichi mène l'enquête, tome 2 Fantômes et kimonos J'ai un peu triché car ce sont des nouvelles... Cela peut convenir pour livre traduit du Japonais et Fragments.
Le narrateur raconte ses discussions avec le vieil enquêteur de la police d'Edo Hanshichi, qui résout tous les mystères qui se présentent à lui. Il était surnommé le Sherlock Holmes japonais (cela date de la fin du XIXe siècle), mais il y a peu de vraie déduction. En fait, l'enquêteur a des indics, et il connaît lui-même plein de monde, ce qui fait qu'il devine un peu magiquement les éléments qui vont résoudre le mystère.
C'était intéressant pour le côté historique et traditionnel (la vie à Edo au milieu du XIXe siècle), mais pour le côté policier, pas du tout.
Le narrateur raconte ses discussions avec le vieil enquêteur de la police d'Edo Hanshichi, qui résout tous les mystères qui se présentent à lui. Il était surnommé le Sherlock Holmes japonais (cela date de la fin du XIXe siècle), mais il y a peu de vraie déduction. En fait, l'enquêteur a des indics, et il connaît lui-même plein de monde, ce qui fait qu'il devine un peu magiquement les éléments qui vont résoudre le mystère.
C'était intéressant pour le côté historique et traditionnel (la vie à Edo au milieu du XIXe siècle), mais pour le côté policier, pas du tout.
- Clecle78Bon génie
Je l'avais acheté au salon du livre il y a plusieurs années et je suis tout à fait d'accord. Côté policier c'est pas ça et le reste est sympa.Cléopatra2 a écrit:Pour le défi roman policier asiatique, j'ai lu Hanshichi mène l'enquête, tome 2 Fantômes et kimonos J'ai un peu triché car ce sont des nouvelles... Cela peut convenir pour livre traduit du Japonais et Fragments.
Le narrateur raconte ses discussions avec le vieil enquêteur de la police d'Edo Hanshichi, qui résout tous les mystères qui se présentent à lui. Il était surnommé le Sherlock Holmes japonais (cela date de la fin du XIXe siècle), mais il y a peu de vraie déduction. En fait, l'enquêteur a des indics, et il connaît lui-même plein de monde, ce qui fait qu'il devine un peu magiquement les éléments qui vont résoudre le mystère.
C'était intéressant pour le côté historique et traditionnel (la vie à Edo au milieu du XIXe siècle), mais pour le côté policier, pas du tout.
- EloahExpert spécialisé
Bonjour ! Je fais pas mal de lectures hors défi alors histoire de l'avancer un peu je place dans le défi 42 "2 fois la lettre O dans le titre" ma dernière lecture : Le Chaos dans nos veines de Cécile Cabanac qui fait partie du collectif Les Louves du Polar. C'est donc un polar français, un bon polar même car il demande de la concentration en raison de l'alternance de plusieurs temporalités (jusqu'à 4) qui se croisent (par un ex un personnage apparaît dans une temporalité puis revient dans une autre). Au début du roman on suit d'une part une famille dysfonctionnelle dont le père, avocat célèbre, ne traite que des affaires rendues médiatiques par leur atrocité. Parallèlement on suit deux policiers qui débutent une enquête après la découverte de 2 cadavres dans une maison abandonnée, l'un étant celui d'une ex flic, l'autre étant retrouvé dans une cuve remplie d'acide. Le récit est bien mené, pas mal de pistes sont explorées. J'ai bien aimé !
- TrinacriaNiveau 4
Bonjour @Calypso64,Calypso64 a écrit:Bonjour,
Est-ce que parmi vous quelqu'un a lu, svp, "Cher ***" de Virginie Despentes ? car j'ai déjà complété l'item 7." au moins trois personnages principaux" avec « Le silence et la colère» de Pierre Lemaitre. Cela me permettrait de le mettre dans le Joker : Un livre emprunté à la liste d'un participant.
Edit : Bon le mot C-O-N-N-A-R-D n'apparait pas
Merci.
Je l'ai lu et, contre toute attente, je l'ai beaucoup apprécié. Tu peux donc l'utiliser comme joker...
- Calypso64Niveau 10
Merci beaucoup Trinacria. Moi aussi, en dehors de quelques passages sur la guerre, j'ai beaucoup apprécié alors que je partais sceptique. Jusqu'à présent je n'avais jamais rien lu de Virginie Despentes.
- CasparProphète
N° 36 Machines: All Systems Red (The Murderbot Diaries #1), Martha Wells
Un roman de science-fiction assez original puisque le narrateur est une "unité de sécurité": un robot composé de métal et de matière organique clonée. Il (ou plutôt it en anglais puisqu'il n'est pas genré) a réussi a s'auto-hacker et à désactiver le module qui le contrôlait et acquérir ainsi son libre-arbitre, ce qu'il doit cacher aux humains et aux humains augmenté qui l'entourent pour conserver sa liberté, même si sa programmation reprend parfois le dessus. Il a développé un goût prononcé pour les soaps operas qu'il regarde pendant ses périodes de repos et raconte son histoire de façon assez désabusée, cynique et drôle.
L'autre roman raconté par une IA que j'ai lu est Klara et le soleil, d'Ishiguro, dans un registre plus littéraire car là nous sommes en pleine littérature populaire (ce qui n'est pas un défaut): l'autrice a écrit de la fantasy, des novélisations de Stargate et là il s'agit du premier volume d'une série de sept romans.
Nous sommes dans un futur lointain où des corporations cupides et corrompues explorent des planètes encore inhabitées dans le seul but d'exploiter leurs ressources minières. Une équipe de scientifique vient d'arriver pour prélever des échantillons en compagnie de notre narrateur, qui s'est auto-baptisé Murderbot à cause de son passé trouble, est chargé d'assurer leur sécurité... Des événements mystérieux commencent à se produire et les personnages découvrent qu'une autre équipe installée à un autre endroit de la planète a été massacrée par leurs propres "unités de sécurité". Que s'est-il donc passé et les héros vont-ils pouvoir partir de cette planète vivants et rentrer chez eux ? Le narrateur va-t-il conserver son indépendance ou être reprogrammé pour redevenir un robot comme les autres ?
Lecture plaisante (roman d'aventures avec une pointe de métaphysique sur l'intelligence artificielle) et...rapide (le roman est court) ce qui me permet de rester dans les temps pour le défi.
Il se peut que je lise les autres romans de la série...à voir.
- Reine MargotDemi-dieu
3. Livre que vous avez depuis plus de 6 mois: Laïcité, un principe, Eric Anceau
Approche historique et très complète de la question de la laïcité à la française, dont il souligne l'importance de la mise en contexte dans le temps long.
Attaché plutôt au courant "républicain" de la laicité (par opposition aux tenants d'une laicité "ouverte", ou "inclusive", il reste néanmoins très mesuré, nuancé et objectif dans sa façon de retracer l'histoire de la notion et ses enjeux actuels.
Approche historique et très complète de la question de la laïcité à la française, dont il souligne l'importance de la mise en contexte dans le temps long.
Attaché plutôt au courant "républicain" de la laicité (par opposition aux tenants d'une laicité "ouverte", ou "inclusive", il reste néanmoins très mesuré, nuancé et objectif dans sa façon de retracer l'histoire de la notion et ses enjeux actuels.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Solveig24Niveau 3
Défi 7 : un livre qui a au moins trois personnages principaux --> La reine de coeur, Akira Mizubayashi
On suit à Paris en 1937, Jun, venu du Japon pour étudier l'alto, qui fait la connaissance d'Anna qui veut devenir institutrice. Avec la guerre, il rentre en 1939 au Japon.
En 2007, Mizune fait son premier concert à Paris en tant que premier alto et découvre un livre dans lequel elle retrouve la vie de sa famille
Défi 41: Un roman policier ou un thriller asiatique --> L'enfant ultime, JANG yong-Min
Un roman policier avec un aspect fantastique : Simon Ken a perdu sa femme dans les attentats du World Trade Center. Il reçoit une lettre annonçant une série de meurtres à venir quotidiennement, l'expéditeur Gaya Shin étant mort dix ans auparavant. Ken va être aidé dans son enquête par la femme qu'a aimé Gaya dix ans auparavant, et dans laquelle sa femme est mêlée.
Défi 40 : Un livre dont le titre contient un adjectif dépréciatif --> Un amour inhumain, Edogawa Ranpo
Comme son nom l'indique, l'auteur est un admirateur d'Edgar Allan Poe. Ce livre contient six nouvelles fantastiques ou insolites. Celles que j'ai préférées sont celles qui donne son titre au livre, dans laquelle un homme monte régulièrement dans son grenier en se cachant de son épouse, et "la grenade".
Défi 26 : Un roman LGBTQ+ dont l'action se déroule dans le passé ou à l'étranger --> Le jardin arc-en-ciel, Ito Ogawa
Izumi, âgée d'une trentaine d'années, élève seule son fils. Elle sauve Chiyoko, une lycéenne décidée à se jeter sous un train. Coup de foudre, elles vont tout quitter pour s'installer à la montagne. Elles vont y former une famille avec la fille de Chiyoko, enceinte sans le savoir avant sa rencontre avec Izumi. Elles vont accueillir toutes les personnes de passage dans leur maison d'hôte.
Défi 47 : un livre traduit du japonais --> La papèterie Tsubaki, Ito Ogawa
Quasiment tous les livres que j'ai lus pouvaient rentrer dans cette catégorie mais je voulais lire ce livre que je ne savais pas dans quelle catégorie placer... Hatoko reprend la papèterie Tsubaki que sa grand-mère, qui lui a appris la calligraphie, lui a léguée. Ecrivain public, elle est sollicitée pour des lettres de condoléance, de divorce... Pour chacune se pose la question de l'encre, de la calligraphie, du timbre à utiliser...
On suit à Paris en 1937, Jun, venu du Japon pour étudier l'alto, qui fait la connaissance d'Anna qui veut devenir institutrice. Avec la guerre, il rentre en 1939 au Japon.
En 2007, Mizune fait son premier concert à Paris en tant que premier alto et découvre un livre dans lequel elle retrouve la vie de sa famille
Défi 41: Un roman policier ou un thriller asiatique --> L'enfant ultime, JANG yong-Min
Un roman policier avec un aspect fantastique : Simon Ken a perdu sa femme dans les attentats du World Trade Center. Il reçoit une lettre annonçant une série de meurtres à venir quotidiennement, l'expéditeur Gaya Shin étant mort dix ans auparavant. Ken va être aidé dans son enquête par la femme qu'a aimé Gaya dix ans auparavant, et dans laquelle sa femme est mêlée.
Défi 40 : Un livre dont le titre contient un adjectif dépréciatif --> Un amour inhumain, Edogawa Ranpo
Comme son nom l'indique, l'auteur est un admirateur d'Edgar Allan Poe. Ce livre contient six nouvelles fantastiques ou insolites. Celles que j'ai préférées sont celles qui donne son titre au livre, dans laquelle un homme monte régulièrement dans son grenier en se cachant de son épouse, et "la grenade".
Défi 26 : Un roman LGBTQ+ dont l'action se déroule dans le passé ou à l'étranger --> Le jardin arc-en-ciel, Ito Ogawa
Izumi, âgée d'une trentaine d'années, élève seule son fils. Elle sauve Chiyoko, une lycéenne décidée à se jeter sous un train. Coup de foudre, elles vont tout quitter pour s'installer à la montagne. Elles vont y former une famille avec la fille de Chiyoko, enceinte sans le savoir avant sa rencontre avec Izumi. Elles vont accueillir toutes les personnes de passage dans leur maison d'hôte.
Défi 47 : un livre traduit du japonais --> La papèterie Tsubaki, Ito Ogawa
Quasiment tous les livres que j'ai lus pouvaient rentrer dans cette catégorie mais je voulais lire ce livre que je ne savais pas dans quelle catégorie placer... Hatoko reprend la papèterie Tsubaki que sa grand-mère, qui lui a appris la calligraphie, lui a léguée. Ecrivain public, elle est sollicitée pour des lettres de condoléance, de divorce... Pour chacune se pose la question de l'encre, de la calligraphie, du timbre à utiliser...
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