- PunkyNiveau 9
On passerait à 16 textes en techno !!! J'en suis au début du huitième et c'est pas si mal me semble t il. 16... c'est fou...
- InvitéInvité
Sisyphe a écrit:Je sais. C'est incompréhensible. On a posé la question à trois reprises à des inspecteurs différents : la même réponse chaque fois. Ici c'est 16 textes. On nous a aussi dit qu'on avait de la chance car il y allait avoir un recadrage national sous peu et que tous les professeurs de France découvriraient qu'il faudra 16 textes. "Rendez-vous compte. Ils vont devoir réorganiser toute leur progression. Heureusement pour vous, nous on vous aura prévenu à l'avance." Mais on est en mars. Et puis je ne vois pas bien ce qui pourrait arriver à ceux qui n'auraient pas le bon nombre de textes, de toute façon.
Alors là, ça me fera bien rigoler. Bon courage en tout cas...
- SeiGrand Maître
Sisyphe, je suis stupéfaite face à cette aberration.
Tenez bon, vous êtes dans votre bon droit, rien ne peut vous être reproché !
Tenez bon, vous êtes dans votre bon droit, rien ne peut vous être reproché !
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- uneodysséeNeoprof expérimenté
c’est n’importe quoi !!! et pas réaliste une seule seconde : vous imaginez si on nous dit au mois de mars : ah vous aviez planifié 12 textes sur l’année, dommage, rajoutez-en 4 d’ici juin ?!!! Là j’imagine au choix :
- une belle épidémie d’arrêts maladie :
-- pour crise cardiaque
-- pour surmenage voire burn-out
-- pour bouffée délirante paranoïaque
- une marche aux flambeaux sur le ministère
-- pour faire joli, les flambeaux
-- ou pas…
(les flambeaux coûtent sûrement moins cher que le jour de carence, soit dit en passant).
- une belle épidémie d’arrêts maladie :
-- pour crise cardiaque
-- pour surmenage voire burn-out
-- pour bouffée délirante paranoïaque
- une marche aux flambeaux sur le ministère
-- pour faire joli, les flambeaux
-- ou pas…
(les flambeaux coûtent sûrement moins cher que le jour de carence, soit dit en passant).
- SeiGrand Maître
Mais sur quoi se fondent les IPR ? C'est incroyable d'être hors des clous à ce point ! Ce qu'ils demandent est illégal.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- BlondieHabitué du forum
Nous ne sommes même pas sûrs de parvenir aux 12 textes. Nous avons des élèves en grandes difficultés.
- AscagneGrand sage
Précisément, j'ai été en burnout pour ainsi dire à cause de la classe dont je parlais au début du fil. Je reste assez désemparé lors de certains cours : ça ne rime à rien de devoir faire la course à un bachotage parfois impossible avec des élèves qui auraient avant tout besoin d'une énorme remise à niveau de type primaire/collège en langue, sans doute aussi d'une main plus dure en ce qui concerne l'attitude et le comportement, d'avoir certes l'objectif et la pression nécessaire de l'examen, mais avec une organisation qui permette de rendre efficace leur bain culturel et littéraire. Cela n'a pas de sens, face à des élèves en grande difficulté sur les fondamentaux, de faire cette course, mais je suis bien gêné : avec tout ça, avec les cours qui sautent pour X ou Y raisons, avec les conséquences aussi de comportements d'élèves et de classe insupportables en début d'année, je n'ai même pas encore fini le cinquième texte, mais en parallèle, les élèves n'ont pas progressé pour la cursive et l'écrit reste aussi mauvais... Évidemment la plupart ne travaillent pas... Mais certains travaillent "à vide" car la cible est trop haute : il leur manque des fondamentaux... Quand ils rendent à peine deux pages constellées de fautes - y compris et surtout de syntaxe - que faire ? Ils ont fait leur calcul : finalement, le bac de français, "ce n'est pas grand chose" dans le nouveau décompte des points du bac. Mais un jour ou l'autre, la réalité va leur tomber dessus : en post-bac, en entretien d'embauche, face aux réalités de la vie sociale, le niveau à l'écrit et surtout à l'oral, l'attitude, ça va faire mal.
Les seuls moments où je suis arrivé à un résultat intéressant dans l'absolu avec la moyenne de ces élèves, c'est à l'issue de trop longs travails préparatoires d'analyse, avec, enfin, des remarques pertinentes et un peu de compréhension. Mais ça veut dire passer un temps sur chaque extrait ou exercice que je préfère taire. Pendant ce temps, la grammaire-pour-le-bac et les cursives...
Les seuls moments où je suis arrivé à un résultat intéressant dans l'absolu avec la moyenne de ces élèves, c'est à l'issue de trop longs travails préparatoires d'analyse, avec, enfin, des remarques pertinentes et un peu de compréhension. Mais ça veut dire passer un temps sur chaque extrait ou exercice que je préfère taire. Pendant ce temps, la grammaire-pour-le-bac et les cursives...
- NLM76Grand Maître
mdrSisyphe a écrit:Je sais. C'est incompréhensible. On a posé la question à trois reprises à des inspecteurs différents : la même réponse chaque fois. Ici c'est 16 textes. On nous a aussi dit qu'on avait de la chance car il y allait avoir un recadrage national sous peu et que tous les professeurs de France découvriraient qu'il faudra 16 textes. "Rendez-vous compte. Ils vont devoir réorganiser toute leur progression. Heureusement pour vous, nous on vous aura prévenu à l'avance." Mais on est en mars. Et puis je ne vois pas bien ce qui pourrait arriver à ceux qui n'auraient pas le bon nombre de textes, de toute façon.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- ysabelDevin
Ascagne a écrit:Précisément, j'ai été en burnout pour ainsi dire à cause de la classe dont je parlais au début du fil. Je reste assez désemparé lors de certains cours : ça ne rime à rien de devoir faire la course à un bachotage parfois impossible avec des élèves qui auraient avant tout besoin d'une énorme remise à niveau de type primaire/collège en langue, sans doute aussi d'une main plus dure en ce qui concerne l'attitude et le comportement, d'avoir certes l'objectif et la pression nécessaire de l'examen, mais avec une organisation qui permette de rendre efficace leur bain culturel et littéraire. Cela n'a pas de sens, face à des élèves en grande difficulté sur les fondamentaux, de faire cette course, mais je suis bien gêné : avec tout ça, avec les cours qui sautent pour X ou Y raisons, avec les conséquences aussi de comportements d'élèves et de classe insupportables en début d'année, je n'ai même pas encore fini le cinquième texte, mais en parallèle, les élèves n'ont pas progressé pour la cursive et l'écrit reste aussi mauvais... Évidemment la plupart ne travaillent pas... Mais certains travaillent "à vide" car la cible est trop haute : il leur manque des fondamentaux... Quand ils rendent à peine deux pages constellées de fautes - y compris et surtout de syntaxe - que faire ? Ils ont fait leur calcul : finalement, le bac de français, "ce n'est pas grand chose" dans le nouveau décompte des points du bac. Mais un jour ou l'autre, la réalité va leur tomber dessus : en post-bac, en entretien d'embauche, face aux réalités de la vie sociale, le niveau à l'écrit et surtout à l'oral, l'attitude, ça va faire mal.
Les seuls moments où je suis arrivé à un résultat intéressant dans l'absolu avec la moyenne de ces élèves, c'est à l'issue de trop longs travails préparatoires d'analyse, avec, enfin, des remarques pertinentes et un peu de compréhension. Mais ça veut dire passer un temps sur chaque extrait ou exercice que je préfère taire. Pendant ce temps, la grammaire-pour-le-bac et les cursives...
On dirait que nous avons les mêmes...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Une passanteEsprit éclairé
Un des intérêts du forum, et de cette discussion, c'est que je me suis décidée à finalement prendre trois demi-journées pour les corrections des EDS ! Je ne sais pas encore comment je vais gérer pour tenter de boucler le programme de première, mais je ne vais pas non plus faire exploser mon temps de travail pour tout cumuler !
Merci !
Merci !
- AscagneGrand sage
Je ne peux guère placer d'espoir dans la mutation du secondaire : c'est soit inutile (peu de points) soit risqué (la mutation en LC, hum ; les académies accessibles ne m'intéressent pas et je ne veux pas me retrouver loin de tout). J'ai une vocation universitaire mais ça peut facilement ne pas aboutir à un poste avant X années ou jamais. Je m'interroge sur une bifurcation mais ce n'est pas facile. Pour l'an prochain je peux faire en sorte de ne pas prendre une première ou en tout cas pas une première technologique.Cochonou a écrit:PS : As-tu déjà envisagé de quitter l'Ile-de-France ou même la France ?
Je vois encore des heures qui sautent pour une raison X ou Y, pourvu que mon proviseur n'envoie pas le même genre de courriel que celui évoqué plus haut... (Et encore, je me dis qu'on a jusqu'à juin : je me sens encore plus solidaire des collègues qui gèrent les spécialités et leurs épreuves précoces dans ces conditions).
- JennyMédiateur
Les classes ne sont pas difficiles qu'en IdF, où on peut aussi avoir des classes calmes. Je ne comprends pas cette remarque.
- InvitéInvité
Jenny a écrit:Les classes ne sont pas difficiles qu'en IdF, où on peut aussi avoir des classes calmes. Je ne comprends pas cette remarque.
Entièrement d'accord. On trouve des classes difficiles (et calmes) dans toutes les régions !
- SolovieïNiveau 10
Il me semble que toutes les académies sans exception offrent le pire comme le meilleur en termes de classes, de niveaux, de comportements et de conditions de travail !
- nc33Niveau 10
Par contre dans une académie où la vie est chère, faire des heures sup est quasi-obligatoire et cela doit pomper de l'énergie, pour gérer ensuite les classes plus compliquées.
- SolovieïNiveau 10
nc33 a écrit:Par contre dans une académie où la vie est chère, faire des heures sup est quasi-obligatoire et cela doit pomper de l'énergie, pour gérer ensuite les classes plus compliquées.
Oui, certainement ! Tout le défi de ce métier, aujourd'hui, est de parvenir à maîtriser et choisir au mieux les conditions de son exercice, en accord avec nos capacités, désirs et projets personnels. Il faut tout faire pour, c'est mon credo, sans quoi l'institution vous broie.
- AscagneGrand sage
Encore un coup au moral en regardant le nombre d'heures de cours qui restent jusqu'aux épreuves - sans compter les imprévus... mais moins de scrupules pour limiter le nombre de textes.
Le problème avec ce métier, c'est la question de la conscience professionnelle et ses relations avec le travail des élèves lui-même. Il faut en effet apprendre à prendre des distances, notamment quand les élèves eux-mêmes ont un gros problème de travail personnel. La difficulté, c'est que même en sachant pertinemment qu'ils héritent de difficultés antérieures dues aux bugs du système (et à un encadrement familial insuffisant pour x ou y raisons), on peut s'autoflageller parfois. J'ai tendance à le faire parce que je sens mes grandes limites en matière de pédagogie. Une bonne raison pour m'arranger pour l'an prochain...
Le problème avec ce métier, c'est la question de la conscience professionnelle et ses relations avec le travail des élèves lui-même. Il faut en effet apprendre à prendre des distances, notamment quand les élèves eux-mêmes ont un gros problème de travail personnel. La difficulté, c'est que même en sachant pertinemment qu'ils héritent de difficultés antérieures dues aux bugs du système (et à un encadrement familial insuffisant pour x ou y raisons), on peut s'autoflageller parfois. J'ai tendance à le faire parce que je sens mes grandes limites en matière de pédagogie. Une bonne raison pour m'arranger pour l'an prochain...
- CaballeraNiveau 5
A titre d'exemple, avec une classe qui aurait autrefois été "S", donc pas vraiment littéraire, mais sérieuse et investie, sans problème de comportement, et n'ayant perdu aucune heure depuis le début de l'année... je ferai 15 textes. Pas 20, jamais, et même pas 16. Et je l'avais prévu très vite. Parce qu'entre le travail des oeuvres, la grammaire (qu'ils apprennent, en plus, j'ai de la chance!), la méthode, etc. ... Et si on vient me chercher des noises, je répliquerai en faisant la liste de tous les cours que j'ai donnés. Na.
On ne m'empêchera pas non plus, dans ma dernière séquence, de prendre le temps de leur faire découvrir plusieurs courants poétiques (ça n'a pas de sens de le résumer en quelques mots, s'ils n'appréhendent pas la forme et son harmonie avec le fond, donc s'ils ne voient pas ça sur pièces).
Et de toute façon, faire 20 E.L. qu'il faut apprendre par coeur, ça ne rime à rien. Au moins, autrefois, apprendre par coeur n'était pas LA solution pour s'en sortir au bac. L'important est qu'ils sachent faire une E.L. par leurs propres moyens. 20 ne les entraînera pas plus que 15 à cet égard!
Quant à ma classe de techno... là aussi, j'ai de la chance, il y en a qui sont sérieux... mais j'en ferai peut-être 10, des textes, et 11 si j'ai encore plus de chance. Qu'est-ce qu'ils croient? que la contraction et l'essai, ça se maîtrise en deux heures?
On ne m'empêchera pas non plus, dans ma dernière séquence, de prendre le temps de leur faire découvrir plusieurs courants poétiques (ça n'a pas de sens de le résumer en quelques mots, s'ils n'appréhendent pas la forme et son harmonie avec le fond, donc s'ils ne voient pas ça sur pièces).
Et de toute façon, faire 20 E.L. qu'il faut apprendre par coeur, ça ne rime à rien. Au moins, autrefois, apprendre par coeur n'était pas LA solution pour s'en sortir au bac. L'important est qu'ils sachent faire une E.L. par leurs propres moyens. 20 ne les entraînera pas plus que 15 à cet égard!
Quant à ma classe de techno... là aussi, j'ai de la chance, il y en a qui sont sérieux... mais j'en ferai peut-être 10, des textes, et 11 si j'ai encore plus de chance. Qu'est-ce qu'ils croient? que la contraction et l'essai, ça se maîtrise en deux heures?
- roxanneOracle
Je suis désolée mais je ne suis pas d'accord. Ca tire un peu mais on peut faire les textes en tout cas dans une classe "sérieuse" et dans des conditions normales et je suis un peu étonnée qu'avant même de voir comment ta classe fonctionnait, tu aies pu décider que tu en ferais moins. Oui, c'est du bachotage mais bon, ne nous leurrons pas, avec l'ancienne version et la question, c'était pareil puisque personne ne répondait vraiment à a question. Maintenant, un peu de mémorisation (parce que non, on n'apprend pas par cœur 20 lectures linéaires, il faut se les approprier , les comprendre, l'exercice n'est pas si idiot que ça. C'est même je trouve, un travail assez complet et exigeant que le élèves n'ont plus l'habitude de produire. D'ailleurs, ce matin, ils se sont sont rendus compte que même avec le cours sur les yeux, ce n'était pas si simple.
Alors, oui, il y a l'écrit en plus.
Alors, oui, il y a l'écrit en plus.
- Clecle78Bon génie
Mes collègues qui sont hyper sérieuses et investies n'y arriveront pas toutes aux 20 textes. Nos élèves sont trop faibles et avec un certain nombre de cours qui sautent c'est impossible. On peut toujours filer une photocopie mais ça ne fonctionne absolument pas ici, les élèves sont certains de se planter. Je trouve stupide cette obsession du chiffre. On ferait mieux de donner une fourchette et de laisser vivre un peu les classes. Deux de mes collègues songent d'ailleurs à repartir en collège pour souffler avant la retraite. Ce nouveau bac est une trappe à burn out.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
bien d’accord
nous épuisons notre vie dans ce métier
nous épuisons notre vie dans ce métier
- CaballeraNiveau 5
je suis un peu étonnée qu'avant même de voir comment ta classe fonctionnait, tu aies pu décider que tu en ferais moins
Non, je n'ai pas dit que c'était avant de les voir. C'est en voyant les jours fériés qui allaient faire sauter des heures, les deux semaines qui seraient perdues en raison des oraux blancs (on a beaucoup d'élèves), et en constatant que, oui, ces élèves sérieux mais non littéraires mettaient du temps en classe quand il s'agissait d'analyser un texte / passage d'oeuvre. Et c'est d'ailleurs toujours le cas. Ils comprennent, mais sont hésitants quand il s'agit de mobiliser leurs notions, manquent parfois de lexique pour exprimer précisément le sens du texte, ou ne saisissent pas tout de suite la valeur littéraire de telle ou telle trouvaille. Et je ne veux pas faire de cours magistral pour les oeuvres (ou le moins possible). Qu'ils développent et affinent leurs capacités de compréhension et d'interprétation.
C'est simple: l'année d'avant, avec une classe plus littéraire et plus vive, des textes, j'en avais fait 16. Et encore, le 16e je l'ai fini l'avant-dernier jour! Ce ne sont pas ce que j'appelle des conditions normales.
Depuis que cette version du bac a commencé, 20 textes, je n'ai jamais fait, même avec ma classe d'excellentissimes (et soit, c'était 2020-2021, donc une année hachée). Aucun de mes collègues autour de moi ne va atteindre 20.
Et très franchement, au lieu de faire 3-4 textes superflus, il me paraît beaucoup plus important de revoir les fondamentaux, du genre de: comment s'exprimer convenablement pour l'analyse littéraire. Ainsi, j'ai pris le temps de leur expliquer comment on insérait les citations (parce que lire des trucs comme "Andromaque suscite la pitié "la veuve d'Hector" "à vos genoux" v. 5", je ne supporte pas et je ne comprends pas que certains collègues l'acceptent!), et que ça prend, en fait, une heure pour les y entraîner; que je leur ai aussi fait réviser les verbes d'analyse (parce que "traduire", "suggère", "indique", etc., quand on ne lit pas beaucoup, ça ne vient pas par l'opération du Saint Esprit)... et que pour ça aussi, ça prend une heure... etc.
- TivinouDoyen
J'en suis à 13 textes terminés avec une classe de première G que j'ai deux heures le lundi. Je suis en train de faire un planning serré serré et... ça ne passe pas. Et je vais être convoquée pour le BTS, pour les réunions des profs relais du bac...
En série techno, je commence mon 8e texte, mais je m'inquiète moins : ne pas préparer la dissertation sur œuvre change vraiment la donne, c'est le plus chronophage pour moi.
En série techno, je commence mon 8e texte, mais je m'inquiète moins : ne pas préparer la dissertation sur œuvre change vraiment la donne, c'est le plus chronophage pour moi.
- AscagneGrand sage
Avec ma première, une partie de la classe est en régression sur le plan du comportement. Cela va être du bâclé jusqu'au bac, c'est agaçant, vraiment. Pour la suite mieux vaut avoir une autre seconde plutôt qu'une première (qu'elle soit technologique ou générale) me dis-je. Au moins je me dis que mes efforts pour faire passer l'affaire semblent perçus par deux élèves.
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