Une professeure, Agnès Lassalle, a été mortellement poignardée

Quelle désolation.
Que de chagrins à venir pour tant de gens..

Pensées à cette collègue, à ses proches, collègues, élèves.

Enna a écrit:C'est  une horreur. Notre société va tres,très mal et nous ne sommes pas protégés. Les cas psychiatriques,  j'en ai plusieurs par classe, signalés,  et mon lycée est très privilégié.  Notre infirmière se partage entre 3.lycées et fait ce qu elle peut. Ce pays part en vrille ,c'est pas un fait dvers comme les autres. J'espère quen ous allonsTOUS descendre ds la rue


zs , signalés , mais tout peut arriver

J'ai été très choquée comme toi. Je suis heurtée aussi par le traitement médiatique, qui exprime la détresse de l'établissement, la détresse des élèves et collègues, mais n'a pas fait mention ou très peu de la détresse de la famille de la collègue décédée.

Pensées à sa famille et à ses proches.
C'est très grave cet événement.

Quelle horreur… l'impression que notre société part vraiment en vrille. Toutes mes pensées pour la famille de cette malheureuse collègue, pour ses amis, ses élèves.

Rentrée de m.... en zone chais plus laquelle....

C'est totalement horrible.

piesco a écrit:Sachant que deux zones sur trois sont en vacances...

C'est vrai :-(

Terrible... Pensées pour tous ses proches.

Oui, pensée pour sa famille et ses proches.

Nous sommes tous sous le choc.  Mais il faut être conscients que l'Etat ne s'intéresse pas à la santé psychologique et psychique, démantèle la pédopsychiatrie et la psychiatrie où les besoins sont pourtant criants. Pas plus qu'il n'a d'égards pour la santé scolaire qui est totalement sinistrée.
C'est au cœur du sujet

Cleroli a écrit:

Zybulka a écrit:Même élan d'empathie profonde envers toutes les personnes touchées par ce terrible drame, et en premier lieu envers notre collègue, qui avait encore sûrement tant de choses à accomplir dans sa vie...
Et une colère immense contre l'état, qui, en choisissant sciemment de mettre à sac notre système de santé et en particulier la pédopsychiatrie, est responsable de tant de drames...

Je m'associe pleinement à tout ce que tu as écrit, ce drame est effroyable et me met également en colère.

De même pour moi.

Un vers de Yeats dans The Second Coming me revient sans cesse: ' The centre cannot hold..." ( le centre ne tient pas). Sans vouloir jouer les Cassandre , il me semble que cet événement inouï nous alerte et nous invite à refonder une société qui tienne et dure. De cette tragédie doit naitre quelque chose,sinon c'est à désespérer.

Je crois plutôt que tout fout le camp.

Je suis abasourdi. C’est atroce.
Ça fait peur. On ne s’imagine pas mourir ainsi.
Toutes mes pensées pour sa famille et les collègues.

Olympias a écrit:Nous sommes tous sous le choc.  Mais il faut être conscients que l'Etat ne s'intéresse pas à la santé psychologique et psychique, démantèle la pédopsychiatrie et la psychiatrie où les besoins sont pourtant criants. Pas plus qu'il n'a d'égards pour la santé scolaire qui est totalement sinistrée.
C'est au cœur du sujet

Exactement !  Et faire une minute de silence pour cacher  ensuite la poussière sous le tapis me remplit de colère.

A Tuin a écrit:Je suis heurtée aussi par le traitement médiatique, qui exprime la détresse de l'établissement, la détresse des élèves et collègues, mais n'a pas fait mention ou très peu de la détresse de la famille de la collègue décédée.

Pensées à sa famille et à ses proches.
C'est très grave cet événement.

C'est en effet frappant.

J'ai entendu je ne sais qui dire que les premières victimes étaient les élèves. Bien sûr que c'est terrible pour eux, mais de là à dire que ce sont eux les premières victimes.

À l'instant sur BFM la journaliste demande si les victimes ne sont pas un peu oubliées et si un soutien psychologique est prévu pour le compagnon de cette enseignante. Seul un psychiatre lui répond... que oui, une cellule psychologique a été mise en place pour les élèves. La question n'est donc même pas entendue. Et on passe à autre chose.

Pensées à son compagnon et à tous ses proches dont personne ne parle.

Malaga a écrit:Quelle horreur... Penser que cette collègue est arrivée ce matin dans son établissement et que quelques heures plus tard, elle a été assassinée me fait froid dans le dos. Toutes mes pensées à sa famille, ses proches, ses collègues, ses élèves.

Nita a écrit:Quelle désolation.
Que de chagrins à venir pour tant de gens..

+1 avec vous deux.

Ce soir, je ne peux que penser au compagnon de cette collègue, à  sa famille, aux collègues et amis de celle-ci. Qui imagine perdre ainsi sa compagne, son amie, sa collègue ?
Et ensuite, je pense au traumatisme de tous ceux qui ont assisté à  cela.
Une amie non prof m'a envoyé un message pour me demander si je n'étais pas trop choquée.  Bouleversée, oui, je le suis. Mais choquée, je ne le suis pas...Comme si depuis  quelque temps j'avais "accepté " l'idée que oui, ceci peut nous arriver  au boulot. Et d'envisager les choses ainsi...  m'effraie.

Toutes mes pensées à cette collègue et à ses proches. Je pense aussi à la famille de celui qui l'a tuée, et à tous les membres de cet établissement, adultes comme élèves. Et comme certains l'ont déjà dit, je suis dans une colère profonde contre l'état de la psychiatrie en France.

"C dans l'air" a traité de ce sujet avec prudence et respect, selon moi, et j'ai particulièrement apprécié l'intervention en duplex d'une psychologue qui a insisté sur l'importance d'instaurer un service de médecine scolaire digne de ce nom, avec des psychologues scolaires qui ne s'occupent pas que du volet cognitif et de l'orientation. Sur le même sujet Jean-Rémi Girard, invité de C à vous, s'est également exprimé avec la prudence et l'empathie appropriées.

Nous discutions de cela en sdp plus plus tard que la semaine dernière...

Quelle horreur cette histoire...

Je répète quitte à lasser: pourquoi.les syndicats s'organisent pas une marche blanche de nous tous?

Verdurette a écrit:"C dans l'air" a traité de ce sujet avec prudence et respect, selon moi,  et j'ai particulièrement apprécié l'intervention en duplex d'une psychologue qui a insisté sur l'importance d'instaurer un service de médecine scolaire digne de ce nom, avec des psychologues scolaires qui ne s'occupent pas que du volet cognitif et de l'orientation.  Sur le même sujet Jean-Rémi Girard, invité de C à vous, s'est également exprimé avec la prudence et l'empathie appropriées.

Tout à fait. J'ai regardé.

Devons- nous attendre d'autres cas tragiques ?

Cet assassinat rappelle la tentative d’assassinat sur la professeure du lycée Malherbe à Caen. La multiplication d’actes de violence envers les enseignants doit interroger.
J’espère que le ministère se montrera à la hauteur et accompagnera la famille de la victime comme il se doit. J’espère aussi que les média rappelleront que la victime était un être humain, pas juste un nom dans un fait divers, pas juste ‘une professeure’. Peut être est-ce par nécessité de produire du contenu rapidement, mais j’ai trouvé les contenus assez peu centrés sur la victime.