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- pseudo-intelloSage
Clecle78 a écrit:Je ne suis pas du tout d'accord. Justement on n'apprenait absolument pas à commenter un texte. La méthode était censée être intutive. Moi j'étais douée, ça allait mais la plupart de mes camarades ramaient. La première fois que j'ai fait de la méthode c'était quand je suis devenue prof. Et il me manquait bien des outils d'analyse ... On faisait de la paraphrase intelligente, en fait.
Les gens dont je te parle étaient proches de la retraite il y a 20 ans !
- RogerMartinBon génie
Proton a écrit: Je pense que les collègues qui témoignent ici sur leurs études à la fac sont âgés et ont connu un temps où la formation en fac (L1 et L2) était encore valable car les étudiants y arrivaient avec un certain niveau.
Je te rassure, je parlais du niveau L1 L2 en ce moment, pas du temps lointain de mes études à moi
Nous récupérons chaque année en L2 ou L3 d'ancien.ne.s élèves de CPGE dont le niveau très faible à l'issue du lycée a fait que la prépa n'a pas eu, hélas, l'effet bénéfique escompté -- ce n'est pas la panacée qu'on croit, et c'est la galère aussi en fac quand la prépa n'a pas rempli son rôle. Pour certains profils vite débordés, une fac un peu costaud peut être une bien meilleure solution. Mais effectivement, d'une fac à l'autre (et cela n'a pas toujours à voir avec les CSP des parents) les programmes divergent de manière un peu incroyable.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- AscagneGrand sage
J'ai ressenti le changement entre ma khâgne et la L3 : il y avait un manque d'émulation et une toute autre ambiance malgré la gentillesse de mes quelques camarades de LC à la fac. Avec d'autres choses (la déprime post-concours après une contre-performance, les conséquences de l'ambivalence de ma situation car mes professeurs m'avaient fortement poussé à khûber, ce que je n'ai finalement pas fait), ça a entraîné une baisse de mes résultats. J'ajoute qu'étant introverti et réservé, la prépa m'avait forcé à avoir des relations sociales et amicales ; on peut être très seul à l'université, cependant.DesolationRow a écrit:Je vois dans les deux premières années de ma licence de LC de très bons étudiants, qui sont très contents de la fac. Mais ils sont tout de même pris dans un groupe dont la dynamique d’ensemble est assez médiocre, malheureusement, et n’encourage pas à se donner à fond.
Plus tard, en enseignant à l'université, j'ai vu aussi de bons voire d'excellents éléments en L1 et en L2, en LM. Ils arrivaient à se motiver malgré des groupes pas folichons. Des étudiants sérieux et très travailleurs s'en sortent sans problème. Mais on peut aussi avoir des facilités, être fort et se laisser porter par les éléments sans se forcer, comme l'écrit @DesolationRow...
Si, j'ai vu ça. Y compris du côté d'étudiants venant seulement pour pointer pour avoir des bourses, ce qui existe, marginalement certes (c'était dans une université un peu particulière au regard de la sociologie du coin), mais j'ai eu trois ou quatre cas vraiment limite de ce côté-là dans une promotion de L1 (ça n'a pas trop duré, les étudiants en question étaient ailleurs dès le S2). Là, il n'y avait aucun effort de leur part et ils ne cachaient pas leur perspective.Prezbo a écrit:personne n'envisage l'hypothèse qu'il y ait des étudiants désireux de s'inscrire à la fac JUSTEMENT pour ne pas travailler trop intensément.
Je dis cela sans remettre en cause du tout ce qu'a écrit le 24/12 @epekeina.tes.ousias, qui est très vrai : il peut y avoir quelques "profiteurs" mais il y a surtout de jeunes gens qui sont victimes d'un système qui s'est déglingué.
Cela étant dit, si on voulait réformer le bac général (par exemple) pour garantir une capacité effective à suivre dans le supérieur (en ayant juste le bac sans mention) et qu'on laissait de côté l'idée que, forcément, un pourcentage incroyable de la classe d'âge doit l'obtenir, on aurait des manifestations monstrueuses dans la rue, de la part de tout le monde - alors que le taux d'échec en licence et la contradiction qu'il propose ne font pas réagir grand monde en dehors des cercles informés.
J'ai fait le test lors de mes deux dernières années d'enseignement à la fac : l'immense majorité des L1 de Lettres modernes qui avaient le bac sans mention avaient de grosses difficultés pour suivre, d'importantes lacunes par rapport aux attendus de l'entrée dans la filière ; leurs productions écrites étaient inférieures à ce que j'avais pu rencontrer chez de bons élèves de première en matière de commentaire de texte, par exemple. C'était encore plus compliqué chez les "oui si".
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ascagne a écrit:Je dis cela sans remettre en cause du tout ce qu'a écrit le 24/12 @epekeina.tes.ousias, qui est très vrai : il peut y avoir quelques "profiteurs" mais il y a surtout de jeunes gens qui sont victimes d'un système qui s'est déglingué.
Sans compter que l'inscription en fac est un “moyen” — l'un des rares — de bénéficier d'une couverture sociale…
Et je suis d'accord avec toi, je trouve que porter l'attention sur de prétendus “profiteurs”, c'est aussi un moyen de masquer à bon compte d'une part le délabrement des études supérieures (en large partie sur le plan financier) et de l'autre, le fait qu'on envoie massivement une partie de la jeunesse dans des filières où l'échec et l'amertume sont au rendez-vous… Et comme si ces “profiteurs” étaient réellement les pires des escrocs et des voleurs… Je vois mal comment cette même jeunesse pourrait ne pas être pour le moins désillusionnée.
C'est d'autant plus grave qu'à part mettre en cause les incapacités diverses et multiples d'une partie de ces étudiants (ce qui revient à les rendre responsables de l'état des études et des examens, alors même que les profs le subissent assez pour savoir que tout le monde subit ce système et cet état de fait), on n'entend guère d'autre discours. De la “mise à niveau” ? Une propédeutique ? Mais enfin, ils ont tous passé le diplôme qui atteste que… À ce niveau de démagogie, rien n'est plus possible : et il faut bien que ce soit le cas, car autrement, la facture ne serait pas mince. Le pire étant qu'alors qu'il se pourrait bien que l'éducation nationale et une bonne partie des facs soient à peu près dans le même état que l'hôpital ou d'autres services publics, on aura du mal à se faire entendre : “il n'y a pas mort d'homme”, donc…
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Si tu vales valeo.
- AscagneGrand sage
Il y a un caractère moins sensible qu'à l'hôpital évidemment où c'est criant, mais après tout, regarde ou écoute des émissions récentes : présentateurs et journalistes font bien le lien avec l'hôpital en montrant que plusieurs services publics, dont l'EN, sont en situation de crise. Le MEN n'élude plus le sujet de la baisse des résultats, au moins, mais pour le reste...
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ascagne a écrit:Il y a un caractère moins sensible qu'à l'hôpital évidemment où c'est criant, mais après tout, regarde ou écoute des émissions récentes : présentateurs et journalistes font bien le lien avec l'hôpital en montrant que plusieurs services publics, dont l'EN, sont en situation de crise. Le MEN n'élude plus le sujet de la baisse des résultats, au moins, mais pour le reste...
Tu dois avoir raison — je ne regarde jamais d'émissions ni télévisées ni sur internet, et je n'écoute guère qu'une seule radio, même si je lis tout de même régulièrement trois quotidiens… Il n'est pas impossible qu'un certain nombre de faits soient sortis de l'ombre, je veux bien le croire, quand bien même je n'en suis pas certain.
Disons que, concernant le supérieur et plus spécialement les universités, le précédent quinquennat nous a donné une ministre de l'ESRI qui a passé 5 ans à annoncer une “réforme”, laquelle s'est soldée par ce que beaucoup considèrent comme des mesurettes, voire de la poudre aux yeux: ni le problème du recrutement, ni ceux de la sélection, du financement (de celui des locaux à celui des labos!), du coût des études, de l'échec en licence (etc. etc. etc.) n'ont reçu quelque début de solution.
N.B. Pour préciser un peu mon point de vue : cela ne veut pas dire que l'on soit forcément “malheureux en fac” et ce n'est certainement pas mon cas, ni celui de mes collègues PRAG, et pas non plus le cas de “tous” les étudiants que je vois: mon propos n'est pas de faire du misérabilisme. Il est plutôt de suggérer que si, d'une part, il est vrai qu'un certain nombre d'étudiants sont (et restent) particulièrement mal armés pour faire des études supérieures (j'ai corrigé mon lot de copies ce semestre!), et si, d'autre part, l'institution elle-même se débat dans un grand nombre de difficultés (dont par surcroît celle des factures d'électricité et de chauffage!), je ne suis pas du tout certain ni que l'on puisse comparer Prépa et Fac, tant c'est différent, ni formuler un jugement général sur les étudiants de fac (ou de prépa). J'ajoute, pour faire bonne mesure, qu'à mon avis, il y a au moins un point en commun entre enseignants “du supérieur” et enseignants du secondaire et du primaire: dans tous les cas, les institutions vont mal, mais cela ne veut pas dire (en tout cas de mon point de vue) que rien ne serait possible. J'ai de très bons étudiants, bien sûr : ça ne m'empêche pas de trouver anormal qu'il y en ait autant qui se retrouvent dans une situation inextricable.
Je pense que le “choix” entre Prépa et Fac devrait peut-être se faire avec d'autres critères. Il me paraît difficile de chercher à devenir EC si l'on n'a pas une forte “addiction” au travail de recherche: on risque, sinon, d'être déçu. De même, je sais qu'être prof en prépa, avec tout ce que cela comporte de contraintes liées au fait de préparer à un concours, ne m'a jamais convenu et ne pourrait jamais me convenir — mais je sais aussi que cela peut offrir énormément de satisfactions (j'ai encore des amis d'études qui me l'expliquent!). De plus, les contextes des prépa (lycée) et des facs (ni le même type d'établissement, ni le même fonctionnement) sont très différents, et je pense qu'il faut en tenir compte si l'on envisage de devenir PRAG.
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Si tu vales valeo.
- AscagneGrand sage
En effet.
Pour revenir à la perspective estudiantine, je garde en mémoire de mon passage dans une prépa "de proximité" en lettres que c'était effectivement efficace pour donner les clés du supérieur et les moyens d'affronter pas mal de concours divers ensuite.
Dans la perspective d'être enseignant du secondaire ou du supérieur plus tard, c'est un plus dans la mesure où on peut plus facilement connaître les fondamentaux du supérieur dans les matières où on ne se spécialisera pas qu'en suivant un parcours universitaire hors bi-licence même s'il y a plus d'ouverture et de liberté qu'autrefois dans la plupart des maquettes, j'imagine (d'où peut-être plus de compréhension et de proximité avec des collègues d'histoire-géographie, d'anglais, d'espagnol, par exemple - point de vue d'un professeur de lettres classiques ; certes, je me sens peut-être d'autant plus proche des autres collègues que dans mon travail doctoral j'ai forcément dû aller plus loin que ça en matière de travail universitaire en histoire ou en langues - quoique dans la perspective médiévale). Cela dépend de l'université et des possibilités : quand j'étais ATER, j'ai pu assurer en L3 un cours qui permettait aux étudiants de LM de s'ouvrir à l'historiographie, à l'analyse de l'évolution des études littéraires, à l'étude des liens entre écriture de l'Histoire et littérature... cela permettait de combler des lacunes mais c'était parfois tardif pour le faire, alors que finalement, en prépa, on pouvait être conduit plus facilement à avoir des fondements solides et à faire des liens dès l'hypokhâgne (dans mon expérience) entre les différentes disciplines.
Je ne connais pas assez la nouvelle spécialité HLP pour savoir si ça permet de compenser un peu, en fin de lycée, ce type de lacunes. La réforme est encore trop récente pour avoir vraiment du recul, je suppose.
@Epekeina.tes.ousias : On entre dans le domaine du politique. J'ai l'impression qu'on peut voir dans les prochaines années une évolution positive du côté de la justice, car il me semble que la hausse du budget y est sensible et qu'il y a de la volonté politique. En matière de santé, il y a plein de problèmes et certains demandent du temps pour être réglés (notamment pour les médecins et les déserts médicaux), mais c'est un secteur où l'accumulation des difficultés se voit sans problème et concerne tout le monde. Dans l'EN, on en parle suffisamment, c'est plus compliqué parce que tout le monde n'est pas à la même enseigne et parce que le budget est énorme, d'où bien des difficultés.
Les politiques de l'ESR rencontrent cette difficulté que bien des décideurs et les membres des groupes sociaux les plus influents passent par les voies qui sont moins en difficulté et qui tournent peut-être aussi mieux (c'est un problème similaire à celui des ex-écoliers du privé sans trop de problème ou du public plus favorisé). La répartition politique des étudiants et ex-étudiants me semble aussi intéressante à considérer pour prendre en compte cela.
Du côté de la carrière en tant qu'enseignant ou enseignant-chercheur : je n'ai pas songé sérieusement à candidater en prépa. Cela dépend de l'inspection et je vais me contenter de dire que je n'ai guère d'espoir de ce côté-là (ça me semble assez ironique que ça dépende du travail dans le secondaire), en plus de ne pas pouvoir proposer un excellent classement à l'agrégation. En outre, la prépa, quand on aime la recherche, ce n'est pas le plus indiqué. Il y a des collègues qui parviennent à être actifs en matière de recherche tout en enseignant en prépa ; je ne pense pas que j'aurais cette endurance.
Par rapport à un poste de PRAG, c'est un peu le même problème - mais outre la difficulté éventuelle d'y accéder quand on a un profil de MCF (je dis ça avant les résultats de qualification, hum, mais en me fondant sur mon rapport de jury) et la diversité des situations locales, je me demande comment c'est vécu par les collègues qui voudraient en fait être MCF. À vrai dire il y a peu de postes de PRAG "atypiques" qui correspondent à ce qui m'intéresserait et c'est logique.
J'en reviens au début de mon message et à la perspective estudiantine : je recommande moi aussi la prépa en priorité en ce qui concerne des personnes intéressées par la voie des lettres et des SHS, à moins qu'il y ait vraiment une difficulté du côté du rapport au travail/au cadre chez le futur bachelier concerné. L'existence des bi-licences ou de nouvelles licences pluridisciplinaires peut être intéressante pour certains, autrement.
Pour revenir à la perspective estudiantine, je garde en mémoire de mon passage dans une prépa "de proximité" en lettres que c'était effectivement efficace pour donner les clés du supérieur et les moyens d'affronter pas mal de concours divers ensuite.
Dans la perspective d'être enseignant du secondaire ou du supérieur plus tard, c'est un plus dans la mesure où on peut plus facilement connaître les fondamentaux du supérieur dans les matières où on ne se spécialisera pas qu'en suivant un parcours universitaire hors bi-licence même s'il y a plus d'ouverture et de liberté qu'autrefois dans la plupart des maquettes, j'imagine (d'où peut-être plus de compréhension et de proximité avec des collègues d'histoire-géographie, d'anglais, d'espagnol, par exemple - point de vue d'un professeur de lettres classiques ; certes, je me sens peut-être d'autant plus proche des autres collègues que dans mon travail doctoral j'ai forcément dû aller plus loin que ça en matière de travail universitaire en histoire ou en langues - quoique dans la perspective médiévale). Cela dépend de l'université et des possibilités : quand j'étais ATER, j'ai pu assurer en L3 un cours qui permettait aux étudiants de LM de s'ouvrir à l'historiographie, à l'analyse de l'évolution des études littéraires, à l'étude des liens entre écriture de l'Histoire et littérature... cela permettait de combler des lacunes mais c'était parfois tardif pour le faire, alors que finalement, en prépa, on pouvait être conduit plus facilement à avoir des fondements solides et à faire des liens dès l'hypokhâgne (dans mon expérience) entre les différentes disciplines.
Je ne connais pas assez la nouvelle spécialité HLP pour savoir si ça permet de compenser un peu, en fin de lycée, ce type de lacunes. La réforme est encore trop récente pour avoir vraiment du recul, je suppose.
@Epekeina.tes.ousias : On entre dans le domaine du politique. J'ai l'impression qu'on peut voir dans les prochaines années une évolution positive du côté de la justice, car il me semble que la hausse du budget y est sensible et qu'il y a de la volonté politique. En matière de santé, il y a plein de problèmes et certains demandent du temps pour être réglés (notamment pour les médecins et les déserts médicaux), mais c'est un secteur où l'accumulation des difficultés se voit sans problème et concerne tout le monde. Dans l'EN, on en parle suffisamment, c'est plus compliqué parce que tout le monde n'est pas à la même enseigne et parce que le budget est énorme, d'où bien des difficultés.
Les politiques de l'ESR rencontrent cette difficulté que bien des décideurs et les membres des groupes sociaux les plus influents passent par les voies qui sont moins en difficulté et qui tournent peut-être aussi mieux (c'est un problème similaire à celui des ex-écoliers du privé sans trop de problème ou du public plus favorisé). La répartition politique des étudiants et ex-étudiants me semble aussi intéressante à considérer pour prendre en compte cela.
Du côté de la carrière en tant qu'enseignant ou enseignant-chercheur : je n'ai pas songé sérieusement à candidater en prépa. Cela dépend de l'inspection et je vais me contenter de dire que je n'ai guère d'espoir de ce côté-là (ça me semble assez ironique que ça dépende du travail dans le secondaire), en plus de ne pas pouvoir proposer un excellent classement à l'agrégation. En outre, la prépa, quand on aime la recherche, ce n'est pas le plus indiqué. Il y a des collègues qui parviennent à être actifs en matière de recherche tout en enseignant en prépa ; je ne pense pas que j'aurais cette endurance.
Par rapport à un poste de PRAG, c'est un peu le même problème - mais outre la difficulté éventuelle d'y accéder quand on a un profil de MCF (je dis ça avant les résultats de qualification, hum, mais en me fondant sur mon rapport de jury) et la diversité des situations locales, je me demande comment c'est vécu par les collègues qui voudraient en fait être MCF. À vrai dire il y a peu de postes de PRAG "atypiques" qui correspondent à ce qui m'intéresserait et c'est logique.
J'en reviens au début de mon message et à la perspective estudiantine : je recommande moi aussi la prépa en priorité en ce qui concerne des personnes intéressées par la voie des lettres et des SHS, à moins qu'il y ait vraiment une difficulté du côté du rapport au travail/au cadre chez le futur bachelier concerné. L'existence des bi-licences ou de nouvelles licences pluridisciplinaires peut être intéressante pour certains, autrement.
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