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- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Bonsoir,
Ma sœurette est actuellement en terminale, filière L. Elle n'a pas grande idée de ce qu'elle compte faire après le bac, et je me dis qu'une prépa littéraire, ça pourrait être pas mal. Travailler, au moins un an, l'ensemble des matières littéraire, apprendre à bosser dur, se faire un bagage culturel solide. Elle mettrait toutes les chances de son côté pour réussir ensuite dans une voie spécialisée.
Mais, je ne suis pas sûr que cette suggestion soit si pertinente. Ses résultats sont bons, mais ils ne sont pas très bons (ceux du bac de français sont même franchement moyens), et je trouve qu'elle travaille beaucoup pour les obtenir. Est-il pensable d'obtenir une prépa sans une moyenne solide ? Est-il sage de proposer une prépa à une personne qui n'a déjà plus beaucoup de temps libre ? Donnée à relativiser, peut-être : il y a aussi une part de perfectionnisme (mais qui n'aboutit pas à la perfection) et de retard à rattraper en anglais, qui est son option. Et puis elle prend plaisir à travailler.
De plus, je me demande si certains problèmes de méthode ne sont pas trop mauvais signes. La dissertation, en histoire, ça passe toujours pas. L'histoire la passionne, les professeurs reconnaissent qu'elle apprend très bien ses cours, mais elle ne sait toujours pas mener une dissertation. En littérature, elle commence tout juste à pratiquer cet exercice (en première, elle choisissait systématiquement le commentaire pour l'éviter, commentaire souvent bon). Pas encore de dissertation en philo, mais la matière la passionne.
Enfin, c'est quand même une stressée de la vie, cette gamine. Je lui ai expliqué qu'en prépa, la pression n'est pas forcément si folle qu'on le dit : pour quelqu'un qui tient absolument à entrer à l'ENS, peut-être, mais si on y va avec pour seul objectif d'en apprendre beaucoup, de parfaire ses connaissances, ses méthodes, c'est différent. Mais en fait, je n'en sais rien, moi.
Voili voilou, si vous pouviez m'aider à partir de cette esquisse de profil, je vous en serais reconnaissant. Sachez que je l'ai quand même dissuadée, pour l'heure, de s'orienter vers les Sciences de l'Education : il y a donc un enjeu majeur, là.
Ma sœurette est actuellement en terminale, filière L. Elle n'a pas grande idée de ce qu'elle compte faire après le bac, et je me dis qu'une prépa littéraire, ça pourrait être pas mal. Travailler, au moins un an, l'ensemble des matières littéraire, apprendre à bosser dur, se faire un bagage culturel solide. Elle mettrait toutes les chances de son côté pour réussir ensuite dans une voie spécialisée.
Mais, je ne suis pas sûr que cette suggestion soit si pertinente. Ses résultats sont bons, mais ils ne sont pas très bons (ceux du bac de français sont même franchement moyens), et je trouve qu'elle travaille beaucoup pour les obtenir. Est-il pensable d'obtenir une prépa sans une moyenne solide ? Est-il sage de proposer une prépa à une personne qui n'a déjà plus beaucoup de temps libre ? Donnée à relativiser, peut-être : il y a aussi une part de perfectionnisme (mais qui n'aboutit pas à la perfection) et de retard à rattraper en anglais, qui est son option. Et puis elle prend plaisir à travailler.
De plus, je me demande si certains problèmes de méthode ne sont pas trop mauvais signes. La dissertation, en histoire, ça passe toujours pas. L'histoire la passionne, les professeurs reconnaissent qu'elle apprend très bien ses cours, mais elle ne sait toujours pas mener une dissertation. En littérature, elle commence tout juste à pratiquer cet exercice (en première, elle choisissait systématiquement le commentaire pour l'éviter, commentaire souvent bon). Pas encore de dissertation en philo, mais la matière la passionne.
Enfin, c'est quand même une stressée de la vie, cette gamine. Je lui ai expliqué qu'en prépa, la pression n'est pas forcément si folle qu'on le dit : pour quelqu'un qui tient absolument à entrer à l'ENS, peut-être, mais si on y va avec pour seul objectif d'en apprendre beaucoup, de parfaire ses connaissances, ses méthodes, c'est différent. Mais en fait, je n'en sais rien, moi.
Voili voilou, si vous pouviez m'aider à partir de cette esquisse de profil, je vous en serais reconnaissant. Sachez que je l'ai quand même dissuadée, pour l'heure, de s'orienter vers les Sciences de l'Education : il y a donc un enjeu majeur, là.
- JennyMédiateur
Je pense que ça pourrait peut être lui donner les méthodes qui lui manquent.
Et ça lui laisserait au moins un an pour se décider.
(Mais je n'ai pas fait de prépa)
Et ça lui laisserait au moins un an pour se décider.
(Mais je n'ai pas fait de prépa)
- IzambardFidèle du forum
Vous êtes dans quelle ville?
Parce qu'il y a plein de petites prepas tranquilles où personne n'a réellement l'ambition d'intégrer mais juste celle de progresser en rigueur en vue de la poursuite d'études !
Parce qu'il y a plein de petites prepas tranquilles où personne n'a réellement l'ambition d'intégrer mais juste celle de progresser en rigueur en vue de la poursuite d'études !
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Angers. Il y a là-bas le lycée Henri Bergson.
Oui. Je me demande à propos : l'échec en fin de première année interdit-il le passage en L2 ? Je compte sur cet argument pour la rassurer sur la "pression", encore faut-il qu'il soit juste. (Oui, j'ai la flemme de chercher.)
Jenny a écrit:Je pense que ça pourrait peut être lui donner les méthodes qui lui manquent.
Et ça lui laisserait au moins un an pour se décider.
Oui. Je me demande à propos : l'échec en fin de première année interdit-il le passage en L2 ? Je compte sur cet argument pour la rassurer sur la "pression", encore faut-il qu'il soit juste. (Oui, j'ai la flemme de chercher.)
- RuthvenGuide spirituel
En lettres (comme en sciences), il y a des prépas pour différents profils d'élèves (et pas seulement pour les premiers de la classe) ; un élève peut avoir une place en prépa à partir de 11/12 de moyenne (avec des résultats homogènes). D'après le profil que tu dresses de ta soeur, je dirais plutôt une prépa de proximité (il y en a d'excellentes qui font un travail remarquable avec des élèves qui n'ont pas nécessairement toutes les cartes en main), mais il faut peut-être attendre les résultats des premières dissert en philo et en littérature (pour l'histoire, c'est étonnant dans la mesure où aujourd'hui la composition n'est bien souvent que la restitution du chapitre du cours).
La licence Humanités de Nanterre aussi me semble une option intéressante.
La licence Humanités de Nanterre aussi me semble une option intéressante.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Je ne suis pas moins surpris par ses résultats. Le contenu, je sais qu'elle l'a, parce que ses notes ont toujours été excellentes au collège et en seconde, et parce que quand elle parle de ses cours, je vois bien qu'elle intègre bien ce qu'elle a appris et en sait même un peu plus. Dans mes souvenirs, la dissertation en histoire, c'était quand même assez simple... J'espère que les choses vont se débloquer.
- DimkaVénérable
Salut,
Si tu veux une idée supplémentaire…
Perso, j’ai fait un double-cursus à la fac (lettres modernes et histoire, mais tout est imaginable).
Il faut s’accrocher, être motivé… il faut gérer le bordel naturel de la fac qui est doublé (presque rien n’est fait pour les double-cursus, donc on a les exams qui se superposent, et souvent on passe un cursus en première session et un autre en seconde), et si on prend le rythme, on devient vite autonome.On peut ajouter un job pour pimenter (non, ça c’est vraiment une idée pourrie).
L’avantage, c’est que l’on reste polyvalent, tout en étant vraiment spécialisé dans les domaines choisis. Mais on peut mettre la priorité sur l’un des cursus (pour ne pas se planter partout).
Je n’étais pas très doué au bahut, de base je n’aimais pas l’ambiance, les profs, les gens, le fait d’être mineur alors que tout le monde devenait majeur, tout ça… Je crois que je n’aurais pas supporté la prépa. Tout cela s’est complètement débloqué à la fac : le fait d’être autonome, qu’on me lâche la grappe, l’anonymat total, les profs qui étaient très calés sur leur sujet, etc. Les choses se sont mises en place toutes seules.
Pour la fac, elle peut être aidée par tes conseils (tu sais que c’est bien de se renseigner sur les œuvres à lire pendant les grandes vacances, par exemple, et plus globalement tu peux lui donner les clefs pour ne pas être totalement paumée).
Pour la méthodo, à partir de la L1, on peut commencer à lire les manuels de méthodo (la dissert’ pour les nuls, le commentaire de texte en lettres, le commentaire de document en histoire… j’ai oublié les titres exacts, mais ces livres existent autant en lettres qu’en histoire). Puis à mon avis, il n’y a pas de secret, ça vient quand on en fait. Tu peux lui faire faire des intro/conclu/transitions rédigées + plan détaillé, je pense.
Si tu veux une idée supplémentaire…
Perso, j’ai fait un double-cursus à la fac (lettres modernes et histoire, mais tout est imaginable).
Il faut s’accrocher, être motivé… il faut gérer le bordel naturel de la fac qui est doublé (presque rien n’est fait pour les double-cursus, donc on a les exams qui se superposent, et souvent on passe un cursus en première session et un autre en seconde), et si on prend le rythme, on devient vite autonome.
L’avantage, c’est que l’on reste polyvalent, tout en étant vraiment spécialisé dans les domaines choisis. Mais on peut mettre la priorité sur l’un des cursus (pour ne pas se planter partout).
Je n’étais pas très doué au bahut, de base je n’aimais pas l’ambiance, les profs, les gens, le fait d’être mineur alors que tout le monde devenait majeur, tout ça… Je crois que je n’aurais pas supporté la prépa. Tout cela s’est complètement débloqué à la fac : le fait d’être autonome, qu’on me lâche la grappe, l’anonymat total, les profs qui étaient très calés sur leur sujet, etc. Les choses se sont mises en place toutes seules.
Pour la fac, elle peut être aidée par tes conseils (tu sais que c’est bien de se renseigner sur les œuvres à lire pendant les grandes vacances, par exemple, et plus globalement tu peux lui donner les clefs pour ne pas être totalement paumée).
Pour la méthodo, à partir de la L1, on peut commencer à lire les manuels de méthodo (la dissert’ pour les nuls, le commentaire de texte en lettres, le commentaire de document en histoire… j’ai oublié les titres exacts, mais ces livres existent autant en lettres qu’en histoire). Puis à mon avis, il n’y a pas de secret, ça vient quand on en fait. Tu peux lui faire faire des intro/conclu/transitions rédigées + plan détaillé, je pense.
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- Spoiler:
- GrypheMédiateur
J'aurais tendance à dire qu'une "petite prépa" peut être sympathique dans ce cas... Ta sœur continuera à être guidée dans ses apprentissages, sans trop de pression non plus.
- OsmieSage
Non, elle aura une équivalence dans la discipline (voire deux disciplines) qu'elle aura choisie, si ses résultats sont corrects dans cette matière-là.Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Angers. Il y a là-bas le lycée Henri Bergson.Jenny a écrit:Je pense que ça pourrait peut être lui donner les méthodes qui lui manquent.
Et ça lui laisserait au moins un an pour se décider.
Oui. Je me demande à propos : l'échec en fin de première année interdit-il le passage en L2 ? Je compte sur cet argument pour la rassurer sur la "pression", encore faut-il qu'il soit juste. (Oui, j'ai la flemme de chercher.)
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Dimka a écrit:Je crois que je n’aurais pas supporté la prépa.
Moi non plus. Pas à l'époque en tout cas. Mais ma sœur est plutôt du genre à apprécier les cadres, au contraire. Je l'imagine très mal suivre le même chemin que moi, à la fac.
Jane a écrit:Non, elle aura une équivalence dans la discipline (voire deux disciplines) qu'elle aura choisie, si ses résultats sont corrects dans cette matière-là.
D'accord. Cela me semble logique.
Gryphe a écrit:J'aurais tendance à dire qu'une "petite prépa" peut être sympathique dans ce cas... Ta sœur continuera à être guidée dans ses apprentissages, sans trop de pression non plus.
C'est ce qui ressort pour l'instant. Je vais orienter mes recherches dans cette direction.
- GrypheMédiateur
Si elle est assez "scolaire", ça peut coller.Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Mais ma sœur est plutôt du genre à apprécier les cadres, au contraire.
Peut-être peut-elle aller se renseigner, demander un rendez-vous...
- mafalda16Modérateur
Effectivement, comme déjà suggéré, une petite prépa "tranquille" de province peut être une option tout à fait intéressante, ça lui permettra sans doute de faire le point question méthode et d'apprendre à les maitriser. Si cette année les difficultés en dissertation persistent malgré le travail sérieux et régulier, je conseillerais un entretien d'explicitation si tu connais des gens qualifiés dans ton entourage, ça peut vraiment débloquer ce genre de situation.
En fin de 1re année elle obtiendra une équivalence pour la fac dans une matière au moins si les notes sont satisfaisantes.
Enfin et surtout, il faut qu'elle en ait envie, une prépa c'est enrichissant que si on le vit bien, donc il lui reste un peu de temps pour prendre sa décision. Elle peut aussi faire les demandes sans être totalement décidée et choisir "définitivement" après le Bac.
En fin de 1re année elle obtiendra une équivalence pour la fac dans une matière au moins si les notes sont satisfaisantes.
Enfin et surtout, il faut qu'elle en ait envie, une prépa c'est enrichissant que si on le vit bien, donc il lui reste un peu de temps pour prendre sa décision. Elle peut aussi faire les demandes sans être totalement décidée et choisir "définitivement" après le Bac.
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Gryphe a écrit:Si elle est assez "scolaire", ça peut coller.
Peut-être peut-elle aller se renseigner, demander un rendez-vous...
Ah oui, cela ne m'était pas venu à l'esprit ! Je vais lui dire de faire ça. Henri Bergson fait peut-être partie des petites prépas rassurantes.
Je lui ai suggéré d'en parler à ses professeurs, aussi. Du coup, la maman veut prendre rendez-vous avec le professeur principal. Il va être content.
Enfin et surtout, il faut qu'elle en ait envie, une prépa c'est enrichissant que si on le vit bien, donc il lui reste un peu de temps pour prendre sa décision.
Oui, très important. Pour l'instant, l'idée l'intéresse, elle y réfléchit. Mais comme elle n'y avait pas pensé et n'en avait qu'une idée très vague (comme moi, à son âge ; dans la famille, personne n'a dépassé le collège, alors ce qu'il y a après le bac, c'est le grand mystère) elle n'en est pas encore au stade de l'enthousiasme. Donc, je vais lui apporter toute cette matière, la pousser à se renseigner, et on verra bien ce qui va germer de tout cela.
Elle est aussi attirée par le métier d'orthophoniste, et les sciences du langage. Est-ce qu'une prépa littéraire peut être d'une quelconque utilité pour ensuite s'orienter de ce côté ?
- IzambardFidèle du forum
C'est un peu son travail, au pp de terminale non?
Elle peut aussi demander si certains anciens élèves ayant fait une prépa seraient d'accord pour la rencontrer.
Elle peut aussi demander si certains anciens élèves ayant fait une prépa seraient d'accord pour la rencontrer.
- FelixANiveau 6
Après, elle peut toujours aller en prépa et s'inscrire en parallèle à la fac, au cas où elle se rendrait compte que ça ne lui convient pas...
Concernant la méthode de la dissertation, c'est vraiment en prépa (dans mon cas, petite prépa de province) que je l'ai apprise (j'étais bien contente de maîtriser l'exercice en préparant le CAPES, du coup): au lycée, je prenais principalement les commentaires de texte...
Concernant la méthode de la dissertation, c'est vraiment en prépa (dans mon cas, petite prépa de province) que je l'ai apprise (j'étais bien contente de maîtriser l'exercice en préparant le CAPES, du coup): au lycée, je prenais principalement les commentaires de texte...
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
FelixA a écrit:Concernant la méthode de la dissertation, c'est vraiment en prépa (dans mon cas, petite prépa de province) que je l'ai apprise (j'étais bien contente de maîtriser l'exercice en préparant le CAPES, du coup)
J'avoue que c'est aussi un avantage que je trouve à la prépa quand on a un profil littéraire : l'enseignement reste le débouché majeur, et si elle ne trouvait rien d'autre à faire que passer un concours, elle serait armée.
Elle peut aussi demander si certains anciens élèves ayant fait une prépa seraient d'accord pour la rencontrer.
Ouais... La demoiselle est ultra timide (ce qui nous livre un autre élément de son profil : grosses difficultés à l'oral, alors que la préparation de l'exercice est généralement correcte). A moins de tout organiser à sa place, c'est peu envisageable.
- elisa18Neoprof expérimenté
Je me pose les mêmes questions, mais pour ma fille! La prépa lui fait peur pour la masse de travail, mais la fac pour l'absence de contraintes; c'est une élève qui a de bons résultats grâce à un travail soutenu, mais pas une élève brillante. Je me dis que cela lui donnerait des bases, de la méthodologie, et pour l'instant nous avons plutôt pensé à une petite prépa de province, familiale. J'attends les portes ouvertes pour voir.
- IzambardFidèle du forum
Quand je disais "petites prépa tranquilles", je ne voulais pas forcément dire "provinciales ". Il y en a de ce type en idf ou à paris egalememt.
Les prepas qui intègrent régulièrement leurs élèves, ça se compte sur les doigts d'une main, même à Paris !
Les prepas qui intègrent régulièrement leurs élèves, ça se compte sur les doigts d'une main, même à Paris !
- elisa18Neoprof expérimenté
Je rajoute une idée: il est important d'aller aux portes ouvertes, on y rencontre les profs, et des élèves qui y sont, c'est rassurant! Les profs peuvent déjà donner une idée de ce qu'ils attendent. Nous avons commencé l'an dernier, en 1°, et cela nous a permis déjà d'éliminer des formations. Puisque vous parlez d'Angers, j'ai regardé en vitesse sur le site du lycée: les portes ouvertes auront lieu le 15 janvier: http://bergson.paysdelaloire.e-lyco.fr/etablissement/portes-ouvertes/
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Izambard a écrit:Les prepas qui intègrent régulièrement leurs élèves, ça se compte sur les doigts d'une main, même à Paris !
Pardon, mais que signifie "intégrer régulièrement" ?
Merci pour l'info, elisa !
- IzambardFidèle du forum
Où tu as chaque année plusieurs élèves par promo qui intègrent une des écoles normales Supérieures.
Comme, il fut un temps mais je ne sais pas si c'est toujours d'actualité, le lycée lakanal à sceaux.
Comme, il fut un temps mais je ne sais pas si c'est toujours d'actualité, le lycée lakanal à sceaux.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
D'ac, merci !
- piescoModérateur
Intégrer l'ENS.
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Nos han quitado tanto, nos quitaron el miedo.
https://www.youtube.com/watch?v=oeU7rb-dBow&t=277s
- IzambardFidèle du forum
Et puis sans parler de la possibilité d'intégrer sciences po ou hec.
Cela se fait.
Cela se fait.
- ZazkFidèle du forum
Bonsoir,
J'ai fait une hypokhâgne, il y a ... fort, fort longtemps, à Rouen. Puis, contrainte et forcée par la famille, j'ai fait une khâgne plutôt catastrophique par manque de motivation (et sans doute aussi de capacités !). Avec le recul, je ne regrette absolument pas l'année d'hypokhâgne qui fut difficile mais très formatrice : on y apprend des méthodes de travail qui sont bien utiles et j'ai eu l'impression d'avoir le CAPES sans trop de mal. En revanche, la Khâgne est à réserver aux personnes solides et bien motivées par le concours et son programme. L'Hypokhâgne permet la transition "en douceur" des méthodes du lycéen à celles de l'étudiant efficace.
J'ai fait une hypokhâgne, il y a ... fort, fort longtemps, à Rouen. Puis, contrainte et forcée par la famille, j'ai fait une khâgne plutôt catastrophique par manque de motivation (et sans doute aussi de capacités !). Avec le recul, je ne regrette absolument pas l'année d'hypokhâgne qui fut difficile mais très formatrice : on y apprend des méthodes de travail qui sont bien utiles et j'ai eu l'impression d'avoir le CAPES sans trop de mal. En revanche, la Khâgne est à réserver aux personnes solides et bien motivées par le concours et son programme. L'Hypokhâgne permet la transition "en douceur" des méthodes du lycéen à celles de l'étudiant efficace.
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