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- boris vassilievGrand sage
Merci pour tous vos messages de soutien, je ne manquerai pas de vous tenir au courant de mon parcours.
En attendant, j'essaie chaque demi-journée de me fixer une tâche à accomplir, sinon je m'effondre sur mon lit. J'ai l'air d'être la pire des feignasses, le koulak d'Eisenstein par exemple quand je craque, c'est dur à vivre, tout en pensant au peu que cela représente par rapport au boulot de prof que vous exercez courageusement tous les jours.
En attendant, j'essaie chaque demi-journée de me fixer une tâche à accomplir, sinon je m'effondre sur mon lit. J'ai l'air d'être la pire des feignasses, le koulak d'Eisenstein par exemple quand je craque, c'est dur à vivre, tout en pensant au peu que cela représente par rapport au boulot de prof que vous exercez courageusement tous les jours.
- HonchampDoyen
Et tes voitures, tu as laissé tomber ? Tu aimais la mécanique, non ?
En tout cas, bon courage à toi.
En tout cas, bon courage à toi.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- boris vassilievGrand sage
Pour l'instant oui, un peu car mon père avec qui je bricole au garage est provisoirement invalide. La révision de ma voiture de tous les jours est dans les tuyaux, voire la vidange de la boîte automatique mais je suis moins sûr de moi pour le coup, je n'ai jamais fait cela.
Pour l'anecdote, mon père utilise mon ancienne Mini car c'est la seule qu'il arrive à conduire avec sa chaussure orthopédique... Donc le garage familial survit, même s'il est vrai qu'il a besoin d'une très grosse remise à niveau :
Ce sont des MOIS de travail qui m'attendent chez lui, nonobstant ce que j'ai à faire chez moi...
Bonne fin de semaine à tous
Pour l'anecdote, mon père utilise mon ancienne Mini car c'est la seule qu'il arrive à conduire avec sa chaussure orthopédique... Donc le garage familial survit, même s'il est vrai qu'il a besoin d'une très grosse remise à niveau :
Ce sont des MOIS de travail qui m'attendent chez lui, nonobstant ce que j'ai à faire chez moi...
Bonne fin de semaine à tous
- Anne_68Niveau 10
boris vassiliev a écrit:Merci pour tous vos messages de soutien, je ne manquerai pas de vous tenir au courant de mon parcours.
En attendant, j'essaie chaque demi-journée de me fixer une tâche à accomplir, sinon je m'effondre sur mon lit. J'ai l'air d'être la pire des feignasses, le koulak d'Eisenstein par exemple quand je craque, c'est dur à vivre, tout en pensant au peu que cela représente par rapport au boulot de prof que vous exercez courageusement tous les jours.
La fatigue aussi est un symptôme, et pas un vice de quelqu'un qui se laisse aller. En apparence, les deux n'arrivent pas à se bouger le c*l, mais en apparence seulement. Tu n'es pas quelqu'un qui se laisse aller et qui n'en a rien à faire. Je pense qu'au contraire tu mets la barre assez haut et que tu souffres de ne pas être à la hauteur de tes propres attentes.
Peux-tu pour chaque demi-journée, ou pour chaque jour, ou un jour sur deux, trouver et vivre quelque chose qui te remplit de gratitude ? La vie n'est pas faite que de devoirs, d'obligations et de contraintes. Courage a toi 🦚
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- "Wo alles dunkel ist, macht Licht !" :
Was keiner wagt, das sollt ihr wagen // Was keiner sagt, das sagt heraus
Was keiner denkt, das wagt zu denken // Was keiner anfängt, das führt aus
Wenn keiner ja sagt, sollt ihr′s sagen // Wenn keiner nein sagt, sagt doch nein
Wenn alle zweifeln, wagt zu glauben // Wenn alle mittun, steht allein
Wo alle loben, habt Bedenken // Wo alle spotten, spottet nicht
Wo alle geizen, wagt zu schenken // Wo alles dunkel ist, macht Licht
Lothar Zenetti
https://lyricstranslate.com/de/was-keiner-wagt-what-no-one-dares.html
- CondorcetOracle
Tu traverses un moment de profonde remise en question comme beaucoup en connaissent durant leur vie sous des formes plus ou moins prononcées. Je te souhaite de trouver ta Venise, fût-elle mécanique. As-tu essayé la photographie qui apaise bien des angoisses ? Le choix du sujet, de la composition, de la mise au point dirige l'esprit vers d'autres horizons.
- BlackMailExpert
Boris, entre hier et aujourd'hui, j'ai lu l'intégralité de tes pérégrinations depuis que tu es en arrêt maladie suite à ton burn out.
Contrairement à ce que tu penses de toi peut-être aujourd'hui, tu n'es pas un homme feignant et sans valeur. Premièrement, contrairement à ce que l'on croit bien souvent dans notre société, ce n'est pas notre travail salarial qui définit notre valeur (on pourrait aller plus loin et se demander si la notion de "valeur" pour un être vivant est pertinente).
Tu as accompli énormément de choses depuis le début de ton arrêt, on s'en rend compte quand on lit le sujet d'une traite : tu as cherché des pistes par centaines, contacté beaucoup de personnes, réfléchi à un possible emploi dans un musée, écrit sur ta situation, passé une certification, élaboré ton CV et rédigé des lettres de motivation, envisagé une carrière en auto-entrepreneur pour devenir écrivain public... à côté, la vie continue, parfois avec ses méandres, comme l'attestent le caractère de ton père qui a l'air assez difficile à vivre et la dépression profonde de ta mère. A cela s'ajoute le refus du CLM (ce moment du topic m'a ulcérée ), sans parler du refus du PACD... Bref, tu as dû affronter un grand nombre d'obstacles, alors même que tu souffres également de dépression.
En tout cas, je te souhaite de trouver une voie de sortie pour pouvoir vivre plus sereinement, sans que le travail ne te gangrène ainsi.
Je compatis avec ta situation car je suis également en arrêt pour burn-out, ce depuis fin octobre. Ce mois-ci, je toucherai mon premier salaire incomplet...
Je trouve difficile d'appliquer les conseils pourtant bien fondés de se recentrer sur soi, prendre du temps pour faire des activités que l'on apprécie, retrouver goût à la vie. En effet, je ressens depuis le début de mon arrêt un sentiment d'urgence : vite, vite, retrouver quelque chose, partir de l'éducation nationale. N'ayant pas les fameuses "éconocroques", un grand stress me colle à la peau au quotidien. Je me suis tournée de mon côté vers un concours administratif de catégorie B après avoir postulé à un certain nombre d'offres d'emploi du service public, où je n'ai tout simplement eu aucune réponse à part un refus. Maintenant, évidemment, je vis avec la peur chevillée à l'âme d'échouer : lorsque j'évoque ma situation avec mon entourage, ou des collègues qui prennent de mes nouvelles, tout le monde s'attend à ce que j'aie un plan B, voire C, ou D. Seulement, j'ai l'impression qu'il n'existe pas une infinité de possibilités (mais peut-être ai-je tort) pour changer de métier lorsque l'on est une professeure de Lettres Modernes. Quand j'ai dit que je voulais passer un concours administratif, on m'a fait remarquer qu'on ne me "voyait pas là-dedans", et pourquoi ne pas faire un métier qui me plairait vraiment, comme écrivain ? Eh bien, je ne sais pas encore si un métier administratif me conviendra. Cependant, je me suis renseignée et j'ai envie de tenter l'expérience. Quant à devenir écrivain, disons que je trouve l'idée mignonette, mais je ne crois pas être la future J.K Rowling .
Il ne tient plus qu'à moi de réussir lesdits concours administratifs. Or, la très faible estime de moi et mon anxiété très forte sont des boulets considérables que je traîne lorsqu'il s'agit de passer des épreuves.
A côté, je postule parfois à des offres du privé en me demandant bien comment je ferais si j'étais acceptée : une démission dans l'EN est très longue à obtenir, et je ne suis plus dans les délais pour une dispo .
Pardon, je profite de ton sujet pour m'épancher aussi. En tout cas, je compatis fortement à ta situation et je souhaite beaucoup de courage à tous ceux et celles qui sont dans un processus de reconversion.
Contrairement à ce que tu penses de toi peut-être aujourd'hui, tu n'es pas un homme feignant et sans valeur. Premièrement, contrairement à ce que l'on croit bien souvent dans notre société, ce n'est pas notre travail salarial qui définit notre valeur (on pourrait aller plus loin et se demander si la notion de "valeur" pour un être vivant est pertinente).
Tu as accompli énormément de choses depuis le début de ton arrêt, on s'en rend compte quand on lit le sujet d'une traite : tu as cherché des pistes par centaines, contacté beaucoup de personnes, réfléchi à un possible emploi dans un musée, écrit sur ta situation, passé une certification, élaboré ton CV et rédigé des lettres de motivation, envisagé une carrière en auto-entrepreneur pour devenir écrivain public... à côté, la vie continue, parfois avec ses méandres, comme l'attestent le caractère de ton père qui a l'air assez difficile à vivre et la dépression profonde de ta mère. A cela s'ajoute le refus du CLM (ce moment du topic m'a ulcérée ), sans parler du refus du PACD... Bref, tu as dû affronter un grand nombre d'obstacles, alors même que tu souffres également de dépression.
En tout cas, je te souhaite de trouver une voie de sortie pour pouvoir vivre plus sereinement, sans que le travail ne te gangrène ainsi.
Je compatis avec ta situation car je suis également en arrêt pour burn-out, ce depuis fin octobre. Ce mois-ci, je toucherai mon premier salaire incomplet...
Je trouve difficile d'appliquer les conseils pourtant bien fondés de se recentrer sur soi, prendre du temps pour faire des activités que l'on apprécie, retrouver goût à la vie. En effet, je ressens depuis le début de mon arrêt un sentiment d'urgence : vite, vite, retrouver quelque chose, partir de l'éducation nationale. N'ayant pas les fameuses "éconocroques", un grand stress me colle à la peau au quotidien. Je me suis tournée de mon côté vers un concours administratif de catégorie B après avoir postulé à un certain nombre d'offres d'emploi du service public, où je n'ai tout simplement eu aucune réponse à part un refus. Maintenant, évidemment, je vis avec la peur chevillée à l'âme d'échouer : lorsque j'évoque ma situation avec mon entourage, ou des collègues qui prennent de mes nouvelles, tout le monde s'attend à ce que j'aie un plan B, voire C, ou D. Seulement, j'ai l'impression qu'il n'existe pas une infinité de possibilités (mais peut-être ai-je tort) pour changer de métier lorsque l'on est une professeure de Lettres Modernes. Quand j'ai dit que je voulais passer un concours administratif, on m'a fait remarquer qu'on ne me "voyait pas là-dedans", et pourquoi ne pas faire un métier qui me plairait vraiment, comme écrivain ? Eh bien, je ne sais pas encore si un métier administratif me conviendra. Cependant, je me suis renseignée et j'ai envie de tenter l'expérience. Quant à devenir écrivain, disons que je trouve l'idée mignonette, mais je ne crois pas être la future J.K Rowling .
Il ne tient plus qu'à moi de réussir lesdits concours administratifs. Or, la très faible estime de moi et mon anxiété très forte sont des boulets considérables que je traîne lorsqu'il s'agit de passer des épreuves.
A côté, je postule parfois à des offres du privé en me demandant bien comment je ferais si j'étais acceptée : une démission dans l'EN est très longue à obtenir, et je ne suis plus dans les délais pour une dispo .
Pardon, je profite de ton sujet pour m'épancher aussi. En tout cas, je compatis fortement à ta situation et je souhaite beaucoup de courage à tous ceux et celles qui sont dans un processus de reconversion.
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- Spoiler:
I'm watching you.
- Reine MargotDemi-dieu
Tout cela me rappelle ce que j'ai traversé il y a maintenant une quinzaine d'années. Simplement pour dire qu'on en sort (et pas grâce à l'EN, seulement grâce à soi et à son travail).
Tu es bien suivi et entouré, c'est une période difficile à traverser mais mes pensées t'accompagnent.
Tu es bien suivi et entouré, c'est une période difficile à traverser mais mes pensées t'accompagnent.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- OxfordNeoprof expérimenté
Boris et BlackMail, courage à vous deux, mes pensées vous accompagnent
_________________
Tutti i ghjorna si n'impara.
- Lowpow29Fidèle du forum
Pareil, et j'espère que vous êtes bien entourés.Oxford a écrit:Boris et BlackMail, courage à vous deux, mes pensées vous accompagnent
Je suis en train de planifier une reconversion pour essayer d'accompagner les collègues en souffrance sans en arriver à ces extrémités où le métier détruit, car si on s'y prenait à temps, on éviterait un tel gâchis. Seulement quand on ne sait pas qu'on est en train de se sur-investir au travail et qu'on n'est pas accompagné pour lever le pied, on peut arriver à un point de non-retour et c'est dommage (et surtout c'est grave par rapport à la santé des agents...).
Les enseignants devraient être beaucoup plus soutenus psychologiquement, en tant que profession à risque pour la santé mentale.
- boris vassilievGrand sage
Bonjour
Merci à BlackMail et à vous tous pour vos expériences et réflexions qui m'aident à tenir la tête hors de l'eau.
Mes nuits se passent un peu mieux depuis quelques jours, je me réveille souvent mais plus en panique.
Je tâche de faire un peu d'exercice mais n'en ai pas toujours le courage, pour au moins juguler ma prise de poids et essayer de redevenir "présentable" physiquement.
Je scrute impatiemment ma messagerie académique et tous autres médias pour savoir de quoi il pourrait en retourner au niveau du rectorat, sans grand espoir évidemment.
Bon week-end à tous
Merci à BlackMail et à vous tous pour vos expériences et réflexions qui m'aident à tenir la tête hors de l'eau.
Mes nuits se passent un peu mieux depuis quelques jours, je me réveille souvent mais plus en panique.
Je tâche de faire un peu d'exercice mais n'en ai pas toujours le courage, pour au moins juguler ma prise de poids et essayer de redevenir "présentable" physiquement.
Je scrute impatiemment ma messagerie académique et tous autres médias pour savoir de quoi il pourrait en retourner au niveau du rectorat, sans grand espoir évidemment.
Bon week-end à tous
- AcamilleNiveau 4
Il y a un service au Pôle Emploi, un parcours santé qui s'occupe plus particulièrement des personnes RQTH. Ils orientent vers les CAP emploi pour une meilleure employabilite quand on a eu des soucis de santé. Je ne sais pas ce que ça vaut, je n'ai pas encore essayé mais peut-être que ton Pôle Emploi est réactif de ce côté-là.
- Anne_68Niveau 10
@Boris Tu as probablement parlé de ta mauvaise qualité du sommeil avec ta psychiatre, et des cauchemars. Cela peut être lié à la dépression bien sûr, mais aussi à d'autres causes d'ordre physiologique comme l'apnée du sommeil.
https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/apnee-du-sommeil/symptomes-diagnostic-evolution
Je t'envoie plein de "bonnes ondes" pour ce WE 🦚
https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/apnee-du-sommeil/symptomes-diagnostic-evolution
Je t'envoie plein de "bonnes ondes" pour ce WE 🦚
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- "Wo alles dunkel ist, macht Licht !" :
Was keiner wagt, das sollt ihr wagen // Was keiner sagt, das sagt heraus
Was keiner denkt, das wagt zu denken // Was keiner anfängt, das führt aus
Wenn keiner ja sagt, sollt ihr′s sagen // Wenn keiner nein sagt, sagt doch nein
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Lothar Zenetti
https://lyricstranslate.com/de/was-keiner-wagt-what-no-one-dares.html
- boris vassilievGrand sage
Bonsoir Anne
Oui, bien sûr on a parlé du sommeil (les antidépresseurs prescrits étant sensé l'améliorer) mais je n'ai pas fait ka démarche pour l'apnée du sommeil, sachant que je me réveille souvent avec les sinus encombrés ; je vis seul, je peux renifler tant que je veux, parfois jusqu'à la nausée, mais ben sûr qu'il y aurait des progrès à faire en ce domaine.
Merci !
Oui, bien sûr on a parlé du sommeil (les antidépresseurs prescrits étant sensé l'améliorer) mais je n'ai pas fait ka démarche pour l'apnée du sommeil, sachant que je me réveille souvent avec les sinus encombrés ; je vis seul, je peux renifler tant que je veux, parfois jusqu'à la nausée, mais ben sûr qu'il y aurait des progrès à faire en ce domaine.
Merci !
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- Clecle78Bon génie
L'apnée du sommeil n'est pas seulement désagréable pour le voisin de lit ou la maisonnée. Elle peut avoir de graves conséquences sur la santé, notamment des avc.
- boris vassilievGrand sage
J'ai parcouru le lien de ton mail, Anne, et me vois tout à fait dans cette situation, notamment au niveau du surpoids qui complique tout. Merci, je réfléchis désormais à une solution medicale.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- Anne_68Niveau 10
Il y a un fil de discussion à propos de l'apnée du sommeil sur le forum. La qualité du sommeil est vraiment très importante pour toutes les activités éveillées.
Bon WE 🦚
Bon WE 🦚
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- "Wo alles dunkel ist, macht Licht !" :
Was keiner wagt, das sollt ihr wagen // Was keiner sagt, das sagt heraus
Was keiner denkt, das wagt zu denken // Was keiner anfängt, das führt aus
Wenn keiner ja sagt, sollt ihr′s sagen // Wenn keiner nein sagt, sagt doch nein
Wenn alle zweifeln, wagt zu glauben // Wenn alle mittun, steht allein
Wo alle loben, habt Bedenken // Wo alle spotten, spottet nicht
Wo alle geizen, wagt zu schenken // Wo alles dunkel ist, macht Licht
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- CondorcetOracle
Boris, attention à la chirurgie bariatrique qui n'est pas sans risques.
- AcamilleNiveau 4
Je rejoins Condorcet, avant d'envisager une opération, qui est très lourde, tente si tu le souhaites l'hypnose, l'anneau gastrique virtuel. J'ai perdu 50 kilos en suivant cette méthode et suis stable depuis 4 ans. Ça vaut le coup d'essayer.
- dandelionVénérable
Peut-être essayer d’avoir un rendez-vous avec un interniste pour faire le point sur tes problèmes médicaux afin d’être sûr que rien n’a été oublié dans le diagnostic et que tu as accès à un traitement et une aide vraiment adaptés à ta situation?
- Ajonc35Sage
Je lis ce fil et la reconversion de Boris.
Le problème des reconversions, c'est qu'elles se font parfois un peu tard. Quand le corps et la tête sont déjà usés, plombés et que la priorité n'est plus à la reconversion mais à la reconstruction. Une situation très difficile voire ubuesque. Aucun dispositif ne prévoit un temps pour cette reconstruction. Un temps plus ou moins long pour opérer ce virage. Fermer une porte, en ouvrir une autre tout en pensant à sa santé. Cela fait beaucoup pour une seule personne.
Je ne sais que te dire Boris sauf qu'il te faut bien du courage pour tourner la page.
Le problème des reconversions, c'est qu'elles se font parfois un peu tard. Quand le corps et la tête sont déjà usés, plombés et que la priorité n'est plus à la reconversion mais à la reconstruction. Une situation très difficile voire ubuesque. Aucun dispositif ne prévoit un temps pour cette reconstruction. Un temps plus ou moins long pour opérer ce virage. Fermer une porte, en ouvrir une autre tout en pensant à sa santé. Cela fait beaucoup pour une seule personne.
Je ne sais que te dire Boris sauf qu'il te faut bien du courage pour tourner la page.
- boris vassilievGrand sage
Bonjour
J'ai vu ma psychiatre ce matin et j'ai évoqué ce qui n'allait toujours pas (et encore, rien que d'en parler me donnerait presque du courage) : retrait social, peu d'élan vital, apathie, aboulie comme elle-même a dit sur mon etat de santé.
Et puis ce qui va un peu mieux : moins de grignotage "compulsif", moins de cauchemars, et (c'est malheureux que ce soit pour ça), le sentiment de retrouver une certaine utilité sociale en aidant mon père dans sa maladie (rendez-vous ambulances, courses, gestion d'internet et de son téléphone portable...). Ce n'est pas grand chose certes mais pour lui c'est beaucoup et il m'en est reconnaissant.
Voilà, c'est un petit rayon de soleil aujourd'hui, même s'il ne faut pas trop m'en demander, en attendant la pluie demain et après demain...
Bon courage à tous
J'ai vu ma psychiatre ce matin et j'ai évoqué ce qui n'allait toujours pas (et encore, rien que d'en parler me donnerait presque du courage) : retrait social, peu d'élan vital, apathie, aboulie comme elle-même a dit sur mon etat de santé.
Et puis ce qui va un peu mieux : moins de grignotage "compulsif", moins de cauchemars, et (c'est malheureux que ce soit pour ça), le sentiment de retrouver une certaine utilité sociale en aidant mon père dans sa maladie (rendez-vous ambulances, courses, gestion d'internet et de son téléphone portable...). Ce n'est pas grand chose certes mais pour lui c'est beaucoup et il m'en est reconnaissant.
Voilà, c'est un petit rayon de soleil aujourd'hui, même s'il ne faut pas trop m'en demander, en attendant la pluie demain et après demain...
Bon courage à tous
- ElaïnaDevin
Courage Boris.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- BlackMailExpert
Question épineuse : imaginons que l'on réussisse un entretien d'embauche dans le privé (je postule à certaines annonces, il faudrait déjà que l'on me réponde ), comment faire pour partir de l'éduc nat' quand les délais pour une demande de dispo sont passés ? Si je réussissais un entretien d'embauche pour un emploi qui m'attirerait réellement, je serais prête à démissionner : seulement, je ne pense pas que mon potentiel employeur serait prêt à attendre gentiment 4 mois ou plus que l'EN se décide à répondre. Je vois sur internet qu'on conseille, dans le pire des cas, de faire un abandon de poste.
Qu'en pensez-vous ?
Je ne sais pas si tu avais postulé dans le privé Boris ou seulement dans le public.
Qu'en pensez-vous ?
Je ne sais pas si tu avais postulé dans le privé Boris ou seulement dans le public.
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- Spoiler:
I'm watching you.
- boris vassilievGrand sage
Bonjour BlackMail
Non, je n'ai pas encore postulé dans le privé et je t'avoue que je ne me suis jamais trop posé la question des délais de mise en disponibilité ou de démission, comme tu le soulignes fort justement.
A bientôt, bon dimanche après-midi malgré le stress.
Non, je n'ai pas encore postulé dans le privé et je t'avoue que je ne me suis jamais trop posé la question des délais de mise en disponibilité ou de démission, comme tu le soulignes fort justement.
A bientôt, bon dimanche après-midi malgré le stress.
- AcamilleNiveau 4
Moi je postule et je bosse dans le privé. Je suis en dispo et j'ai dit dans ma demande que si elle ne m'étais pas accordée je démissionais mais j'avais un CLM derrière moi, ça a peut-être joué. J'ai fait ma demande de renouvellement de dispo. Je croise les doigts pour l'obtenir, j'ai encore insisté sur le côté médical, rien que de penser reprendre me donne des cauchemars. Donc je dirais, dispo avec force arguments ou démission en disant que tu as trouvé autre chose et que tu ne viendras plus, donc abandon de poste, c'est pas correct je sais...
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- Je suis venu vous dire que je pense sérieusement à quitter l'EN...
- Je crois que je ne vais pas y arriver et que je suis nulle.
- [résolu] Est-ce que je vais toucher la Prime ZEP si je ne suis en ZEP que pour un complément de service ?
- moi, j'ai glandé pendant 2 mois ! (faut dire que je suis T15+....)
- Michèle Alliot-Marie (tête de liste UMP dans le Sud-Ouest) : "Si je suis élue députée européenne, je vais perdre de l'argent".
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