Je suis venu te dire que je m'en vais...

Caspar a écrit:

Patience et raison a écrit:Vos inspecteurs savent-ils qu'une partie des parents sont plus demandeurs de transmissions de connaissance que de ludopédagogie pour caricaturer?
[question théorique]

Une expression qui est rarement prononcée ou écrite de nos jours. En revanche on va entendre parler de "projets" de "vivre-ensemble", de la sempiternelle "bienveillance"...

Je n'ai rien contre les projets et la bienveillance... (en même temps être contre la bienveillance ) mais pour moi cela passe après la transmission de savoir par des personnes plus qualifiées que moi pour que mes enfants en sachent autant si ce n'est plus que moi.

Je suis un dinosaure...

Patience et raison a écrit:

Caspar a écrit:

Patience et raison a écrit:Vos inspecteurs savent-ils qu'une partie des parents sont plus demandeurs de transmissions de connaissance que de ludopédagogie pour caricaturer?
[question théorique]

Une expression qui est rarement prononcée ou écrite de nos jours. En revanche on va entendre parler de "projets" de "vivre-ensemble", de la sempiternelle "bienveillance"...

Je n'ai rien contre les projets et la bienveillance... (en même temps être contre la bienveillance ) mais pour moi cela passe après la transmission de savoir par des personnes plus qualifiées que moi pour que mes enfants en sachent autant si ce n'est plus que moi.

Je suis un dinosaure...

Oui, c'est la langue de coton (un peu différente de la langue de bois): on ne peut pas être contre.

Bon, l'appel téléphonique de l'APEC n'a été d'aucune utilité puisque le conseiller a été incapable de répondre à toutes mes questions... Et hors de question de chercher les réponses. C'est pas comme "nous" (je reste encore prof dans ma tête) qui nous nous faisons un trou au cul pour chercher les informations ou les documents nécessaires à nos cours. Du coup j'ai un nouveau rendez-vous téléphonique pour début novembre, que j'imagine aussi productif...
C'est bien des planques comme ça, conseiller spécialement mandaté mais qui n'a rien à proposer pour aider. J'aimerais bien, comme métier, encore que regarder la pendule toute la journée, ça doit devenir lassant...

boris vassiliev a écrit:

En bref, ma question dans tout ça : puis-je bénéficier de mon compte de formation personnel (CPF) en étant en congé maladie (officiellement 1500 €, en pratique 900 € sur Aix-Marseille...) ? Le BA dit que non, tout en soulignant que les personnels en reconversion sont prioritaires... Une de mes interlocutrices me dit que dois pouvoir bénéficier de ce CPF, l'autre peut-être pas ; de son côté la responsable du CPF au rectorat est aux abonnés absents, impossible d'aboucher d'une réponse; le service proxiRH non plus. En bref l'institution elle-même se perd dans son propre fonctionnement, ce qui n'est guère étonnant vu que certains services (la DAP et ProxiRH notamment) se superposent voire se font concurrence...
Donc demain matin, j'ai un rendez-vous téléphonique avec un représentant de l'APEC, et je vais improviser en free style avec les éléments de réponse que j'ai glanés aujourd'hui et mes questionnements . Peut-être cela sera-t-il utile dans tout ce merdier...
Toute expérience à me relater dans ce domaine est la bienvenue... .
Salut à tous, bonne fin de semaine !

Bonjour Boris,

J'ai fait une demande de financement via mon CPF pour un bilan de compétence. Réponse négative de la part du rectorat car celui-ci propose un bilan professionnel (ce qui est différent mais sans savoir me l'expliquer - je m'étais renseignée de mon côté) que j'ai accepté (rdv le 4 janvier) car je pleure continuellement depuis cette rentrée et le fossé entre ma manière de concevoir l'enseignement et l'institution devient trop abyssal... On m'a proposé de faire, en parallèle, un bilan de compétence à moitié prix et sur mes fonds propres avec des gens du rectorat (mais ce n'est pas le bilan professionnel) : j'ai refusé et suis en train de chercher un autre moyen de m'en financer un.
Nous avons 150H et, en moyenne, 1h équivaut à 25 euros mais nous n'avons pas le droit de choisir comment les utiliser contrairement au CPF du privé et la personne que j'ai vue a ajouté " si on a les crédits...".

Je te souhaite beaucoup de courage pour ta reconversion... Je cherche encore la mienne.

Merci pour ton message, je vois que je ne suis pas seul... Je te souhaite surtout le meilleur pour t'en sortir
Je viens d'essayer de joindre par téléphone le bureau qui gère le CPF de mon rectorat. La responsable ne réponds pas, et le numéro de la "sous-responsable" renvoie à une messagerie sur laquelle on ne peut laisser de message ; on a juste droit à un "merci pour votre appel"...

Bon courage à toi !

Essaie de passer par ton syndicat, Boris, pour avoir quelqu'un qui te réponde, peut-être ?

Est-ce que demander un congé formation et en simultané une mutation en collège (le temps de faire les trois ans dus après le CF) ne pourrait pas être une solution pour préparer une reconversion ?
J'ai le sentiment qu'en collège on est moins sous pression, plus libres de faire ce que l'on aime (enseigner l'histoire)...

Ouhla... l'ambiance en collège est bien souvent épuisante... on gère des tas de choses qui sont moins présentes ou moins lourdes en lycée. La pression dans mon collège cette année est par exemple énorme en termes de climat scolaire.

Audrey a écrit:Ouhla... l'ambiance en collège est bien souvent épuisante... on gère des tas de choses qui sont moins présentes ou moins lourdes en lycée. La pression dans mon collège cette année est par exemple énorme en termes de climat scolaire.

Tout dépend peut-être de la taille du collège et du type de public, je n'ai pas l'impression d'être écrasée, personnellement... (le problème est plus le nombre restreint de collègues et de sujets de conversation épanouissants, bien plus que les élèves, pour ma part).

Merci pour l'idée proposée, mais c'est niet d'office.
Après avoir subi trois années de souffrance dans des collèges des quartiers Nord ou de la banlieue de Marseille, hors de question pour moi d'y remettre les pieds. Je me suis épanoui pour la 1ère fois lorsque je suis entré en lycée, comme remplaçant pendant quelques années puis en poste fixe, dans un lycée disons "lambda" (classes populaires/classes moyennes) ; c'est déjà assez le bordel avec des STMG ou des 2ndes, même dans un établissement géré de main de maître au niveau administration et CPE.
J'ai tiré un trait définitif sur l'enseignement, si ce n'est mettre en valeur les compétences que le métier m'a apporté, mais plus jamais devant élèves. La charge de travail est peut-être moins lourde en collège ; et encore, il faut tellement inventer de trucs et de bidules pour suivre les modes pédagogiques et "mettre l'élève au centre de son apprentissage" (cf le Meirieutron...), faire de l'EMC, des "projets" et autres commémorations "citoyennes" dont je n'ai pas grand chose à foutre.
Comme je l'ai dit dans mon message initial, je ne veux plus d'un métier où on recommence une journée de travail en arrivant chez soi et où on passe ses weekends et ses vacances à travailler, tout en étant considéré fatalement comme un fainéant puisqu'on est dans la fonction publique...
A 43 ans, je n'ai pas honte de dire que je suis usé et que je cherche un boulot peut-être moins payé, mais moins inhumain. Je me suis sans doute trop investi, j'ai trop donné de ma personne mais c'est mon caractère : quand j'ai un travail à faire, je veux que ce soit nickel et cela me prend un temps inouï. Je suis peut-être con, mais c'est comme ça, on ne se refait pas.

Moi aussi, j'ai pensé plusieurs fois à changer de voie et je n'ai pas trouvé mieux ! L'idée d'obéir à un petit chef dans un bureau m'horripile ! Je suis toujours prof et je fais de mon mieux et je développe ma vie sociale et mes loisirs. J'espère qu'on pourra toujours prendre sa retraite à 62 ans, sinon je me mettrai à mi-temps.

Oula, la retraite pour moi, ce ne sera pas avant 67 ans, et encore la fameuse réforme n'a pas encore eu lieu. Je me demande même si je serai encore en vie pour en bénéficier. C'est pourquoi j'ai renoncé à me faire des trous au cul, pour profiter un peu (comme tant d'autres) de l'assistanat public et me trouver une planque dans un petit burlingue ou une bibliothèque/médiathèque, un service d'archives, de secrétariat, je ne sais pas encore car je gère de front ma santé, mon arrêt de longue maladie pour éviter de piocher dans les éconocroques, les choix de formation et leur éventuel financement par le CPF, et l'épluchage des offres d'emploi si possible de catégorie A pour exploiter la technostructure à fond. Celle-ci m'a tué, je compte maintenant lui rendre la monnaie de sa pièce.

Pense à toi et bon courage !

Tout mon soutien pour ta reconversion ! Ton parcours prouve vraiment que l'éducation nationale est comme une tornade qui détruit tout sur son passage. Bravo d'avoir tenu déjà si longtemps la tête haute dans cette tempête...
Récemment lu qu'un enseignant avait tout plaqué pour aller élever des chèvres, comme quoi, tout est possible.
Et très bon choix de s'occuper en faisant du sport, ça évacue bien le stress !

Mon amie travaille dans l'administration de la ville de Paris. Elle est mieux payée que moi pour le même niveau d'études et même si elle a parfois un coup de stress ou un petit chef à gerer elle a infiniment moins de charge mentale au quotidien. Son boulot est intéressant mais la plupart du temps elle le laisse derrière elle dès la sortie du vureau. Elle bosse quatre jours par semaine dont un en télétravail, en pointant. Elle a un équipement au top. Des avantages sociaux. Et elle envisage sans trop d'appréhension d'aller à 67 ans alors même qu'elle est handicapée. Au fur et à mesure de nos carrières respectives j'ai vu le fossé se creuser et même si je ne suis objectivement pas à plaindre, dans l'ensemble elle a une vie professionnelle bien plus cool que ma mienne et elle au moins ne se demande pas chaque année si son poste va sauter, si son emploi du temps sera correct et ses classes pas trop pénibles. Non la vie de bureau n'est pas une sinécure mais, à refaire, je me poserais sérieusement la question et pourtant j'aime vraiment enseigner. C'est le reste qui souvent nous détruit.

Bonjour,
À ceux qui pensent qu'un bilan de compétences est un préalable à une réorientation, je dis : vraiment ?
Franchement, regardez le temps passé à essayer de trouver quelqu'un qui voudra bien débloquer la misère qui servira à vous permettre de savoir où aller ... Faire ce bilan sera d'autant plus improbable que vous aurez indiqué au préalable votre intention de partir car l'EN se réserve - et c'est compréhensible - les CPF pour former des gens qui veulent évoluer en son sein : mais pour vous au final ça se chiffre en combien d'années, cette attente ? Et pour quel résultat ? car si je peux me permettre un conseil, c'est de sortir de l'idéologie du métier-passion-vocation et partir des quelques points très concrets qui peuvent vous donner des satisfactions : pour des enseignants, on entend facilement des souhaits comme 'mieux séparer vie perso/ vie pro', 'ne plus servir une soupe pédagogique vidée de substance', 'avoir des outils de travail', 'diriger mon affaire' ... Vous verrez si la suite à donner vous emmènera plutôt sur les chemins des concours extrêmement nombreux de la fonction publique ou s'il faudra emprunter la voie de l'auto entreprenariat (il n'y a pas 50 voies possibles).
Si vous repartez dans la FP, vous ne serez pas plus mal payés et il y a de fortes chances pour que vous soyez même mieux payés !
Vous trouverez plusieurs fils sur ce forum qui donnent des pistes pour les reconversions : lisez-les. Choisissez au moins 2 demi-journées par semaine pour vous consacrer à votre reconversion : cela place l'aspirant en  mode actif et ouvre des perspectives sans même rien attendre de l'institution et de son CPF fantomatique.
Bonne route !

Merci pour ces messages
Je quitte un instant le forum pour faire mon sport quotidien, "affronter" mon père au téléphone puisqu'il ne comprends pas grand chose à ma vie, et revenir les idées claires.
A plus

Encore une fois, toutes mes excuses aux modérateurs pour mon langage parfois peu châtié, je ferai désormais très attention aux propos que je tiens de manière à n'offenser personne, ce qui est évidemment la moindre des choses.

boris vassiliev a écrit:Merci pour ces messages
Je quitte un instant le forum pour faire mon sport quotidien, "affronter" mon père au téléphone puisqu'il ne comprends pas grand chose à ma vie, et revenir les idées claires.
A plus

Encore une fois, toutes mes excuses aux modérateurs pour mon langage parfois peu châtié, je ferai désormais très attention aux propos que je tiens de manière à n'offenser personne, ce qui est évidemment la moindre des choses.

Ne t'inquiète pas. Ton langage truffé de "trou au cul", ***" et j'en passe n'a l'air de gêner personne.

( bizarre, des étoiles apparaissent en lieu et place de certains mots...?)

Je ne les emploierai plus, c'est promis. Je tiens trop à l'aide que tous vous pouvez m'apporter sur ce forum.

Ah mais  moi je m'en fiche hein! C'était juste une remarque en passant !

Bonjour à toutes et à tous
Je viens d'avoir la réponse du bureau responsable du CPF de mon rectorat : impossible de le mobiliser si on est en arrêt maladie, alors que les personnes en reconversion professionnelle sont censées être prioritaires pour l'attribution des crédits, dixit le même BA.
Du coup je vais tenter de rechercher un bilan de compétences et une formation à Excel, ce qui m'est le plus indispensable dans mon projet, faire jouer la concurrence vu qu'il s'agit généralement d'organismes privés, et payer de ma poche le nécessaire.
Je suis certes déçu, mais au moins j'ai obtenu une réponse claire et nette.
Bonne journée à toutes et tous, bon courage pour cette dernière semaine, que je sais difficile, avant les vacances.

Bonjour à toutes et tous
Je me suis rendu ce matin à mon lycée pour la finalisation et la transmission par voie hiérarchique de mon dossier de congé longue maladie. Je ne me fais guère d'illusion et m'attends à puiser un peu dans les éconocroques pour les mois qui viennent (à demi-traitement) mais, sait-on jamais, sur un malentendu, avec en plus une reconnaissance par la MGEN d'une ALD et un statut de travailleur handicapé... .
J'ai vu un peu toutes les huiles du bahut, secrétaires et surtout cheffes d'établissement. J'ai pu me présenter auprès de la nouvelle proviseure que je ne connaissais pas encore, et j'ai pu adresser mes remerciements et mes excuses à ma proviseure adjointe qui m'avait concocté un emploi du temps au poil (mon remplaçant a sauté de joie, d'autant plus qu'il touche les ISSR) ; je suis content pour lui et "rassuré" pour "mes "élèves qui lui sont confiés car c'est quelqu'un au top . J'ai évidemment échangé quelques minutes avec mon ami CPE qui m'a sorti de l'abyme en février et avec qui je communique régulièrement : je ne connais pas de psychiatre ou de psychologue aussi compétent que lui, tout ce qu'il me dit reste gravé dans ma tête et m'aide à ressortir du trou.
Entre temps j'ai eu des soucis de téléphone portable mais c'est bon, la situation est à nouveau sous contrôle après l'achat d'un nouvel appareil à ma maman (son téléphone n'a pas apprécié la chute dans les toilettes. Le mien remarche car on réussi à retrouver la carte nano SIM qui a dû tomber chez elle lorsque je suis venu l'aider et lui montrer comment l'enlever. Ouf... On a à nouveau de l'internet sans problème...
Bonne fin d'après-midi et bon courage à toutes et à tous pour la fin de cette dure semaine.

Les choses avancent Boris, c'est bien... Bon repos et bon courage dans les démarches que tu as engagées....

Merci Corailc
Cela m'a fait chaud au coeur de retrouver ma proviseure adjointe, mes secrétaires et et mon ami CPE, mais aussi quelques surveillants dont j'ai été leur prof d'histoire et avec qui on a tellement travaillé. Mais "je suis venu leur dire que je m'en vais", que la page était définitivement tournée, donc on repart sur une feuille blanche.

Alcine a écrit:Bonne route. Je ne pense pas qu'un enseignant qui souhaiterait quitter le métier pour la FPE ou FPT soit fatalement  amené à  postuler sur un poste de catégorie B ou C.  

Ce n'est en effet pas une fatalité. Je suis moi-même enseignant reconverti directement en catégorie A (dans la FPE, par concours). J'ai aussi entendu parler d'enseignants détachés en catégorie A, sur le forum et dans ma nouvelle administration.

Patience et raison a écrit:

Cochonou a écrit:Je crois qu'une partie des postes administratifs devraient être réservée aux enseignants qui souhaitent quitter la classe, et je ne trouve pas normal qu'à l'Education Nationale certains fassent toute leur carrière dans des bureaux pendant que d'autres sont sur le front en permanence. Notre ministère est tellement en retard dans sa réflexion sur les secondes carrières... et plus en retard encore dans la mise en oeuvre de solutions pratiques !

Bon courage à tous

Je ne trouve pas normal qu'on considère que l'administration soit une seconde carrière pour les enseignants... être administratif demande des connaissances et des compétences que la majorité des enseignants n'ont pas. (Réciproquement, la majorité des administratifs n'a pas les compétences et les connaissances pour enseigner).
Pour se reconvertir dans l'administration (qui est loin d'être un bloc uniforme), je conseille vivement le concours ou le détachement. Et surtout il faut que ce soit un choix. Quand c'est une fuite de l'élève (pour caricaturer) cela ne peut pas bien se passer.

Dans mon administration, les postes liés aux fonctions supports (logistique, RH, etc.) sont pourvus par les mêmes corps que les postes techniques. Par contre, tous les postes sont profilés…

boris vassiliev a écrit:- En attendant mon tour chez ma toubib, j'ai cliqué sur une paire de formations du site de l'Apec (Association pour la formation des cadres), puisqu'en tant que prof on est cadre ). Là ce n'est pas pareil que dans la fonction publique, ce sont des organismes de formations privés qui m'ont recontacté par téléphone aussi sec pour m'expliquer et me "vendre" leurs formations à priori certificatives. Le hic, c'est le prix : 3000 € pour un bilan de compétences avec l'aide d'un conseiller, certes, mais n'y a-t-il pas comme de l'abus ? Hein ?

Je ne suis pas convaincu que l'APEC soit l'interlocuteur adéquat dans ta situation.
Si tu souhaites te former (plutôt pour passer dans le privé, bien qu'à te lire cela ne semble pas l'objectif premier), c'est plutôt Pole Emploi qui peut t'aiguiller vers des dispositifs de formation financés sur fonds publics.
Pour info, j'ai réalisé une reconversion pro l'an passé. Plus exactement je suis passé par une POEI de 3 mois, en étant inscrit à Pôle Emploi et petitement indemnisé, après avoir sollicité une urgence une disponibilité pour convenance personnelle auprès de mon rectorat. 3 mois plus tard, j'étais un heureux reconverti avec un CDI en poche.
Je peux te renseigner au besoin.

Bon courage !

Merci beaucoup pour ton message, je vais l'intégrer à ma stratégie et te contacter le cas échéant. Merci mille fois !