- Lisak40Expert spécialisé
Contente pour toi que cette rentrée se passe finalement bien. Bon courage pour la suite de l'année en tous les cas et n'oublie pas de te reposer, de prendre du temps pour toi, tes loisirs, ta familles, tes amis, ton/ta conjoint(e) s'il y en a, de bien manger, etc. Ca compte autant pour la réussite (et pour la suite de ta carrière) que le travail et la rigueur !
- OxfordNeoprof expérimenté
Contente de ce retour positif, Colinvian, poursuis sur cette lancée !
C'est normal de tâtonner au début, courage !
C'est normal de tâtonner au début, courage !
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- ColinvianNiveau 2
Bonjour à toutes et tous,
Finalement, les choses se complexifient, et je doute d'aller bien loin. J'en suis déjà à ma deuxième journée de manquée (aujourd'hui c'est la fac, l'autre fois c'était le collège), qui fait suite à une journée et à une nuit passées paralysé par l'anxiété et des idées suicidaires. Je ne suis pas certain du tout d'aller travailler demain et après demain, puisque je n'ai rien de prêt, et puisque je n'arrive pas à m'y remettre. Je me sens en fait très détaché, je n'arrive pas du tout à m'impliquer, j'ai l'impression d'être sollicité de toutes parts, d'avoir 40 choses à penser, et je n'y arrive pas, je fuis. Et ça va pas aller en s'arrangeant, les parents, les élèves, ma tutrice, vont de plus en plus attendre quelque chose que je ne me sens pas être en mesure de fournir.
Mais nous ne sommes pas sur un forum de psychologie, et voici plus précisément mes questions, auxquels certains d'entre vous, plus expérimentés, auront peut-être des réponses :
- Je ne me sens pas capable de continuer correctement dans un futur proche. Et en même temps je culpabilise beaucoup de laisser ces élèves sans cours de français, ou sans cours de français de qualité, ce qui me semble être vraiment problématique. Je suis dans un collège où, parait-il, les remplacements sont difficiles, comment maximiser les chances d'être remplacé ? Devrais-je démissionner ? Peut-on vraiment remplacé quand on est arrêté ?
- À qui puis-je selon vous parler de ma souffrance, au moins dans ce qu'elle implique la vie professionnelle ? J'ai l'impression que parler à ma tutrice (qui sent bien, je crois, mon manque d'implication) ou à des formateurs de l'Inspe me mettrait seulement en difficulté supplémentaire.
Merci, je prends tous les conseils et toutes les remarques qui permettraient d'avancer ou de faire au mieux dans une situation difficile !
Finalement, les choses se complexifient, et je doute d'aller bien loin. J'en suis déjà à ma deuxième journée de manquée (aujourd'hui c'est la fac, l'autre fois c'était le collège), qui fait suite à une journée et à une nuit passées paralysé par l'anxiété et des idées suicidaires. Je ne suis pas certain du tout d'aller travailler demain et après demain, puisque je n'ai rien de prêt, et puisque je n'arrive pas à m'y remettre. Je me sens en fait très détaché, je n'arrive pas du tout à m'impliquer, j'ai l'impression d'être sollicité de toutes parts, d'avoir 40 choses à penser, et je n'y arrive pas, je fuis. Et ça va pas aller en s'arrangeant, les parents, les élèves, ma tutrice, vont de plus en plus attendre quelque chose que je ne me sens pas être en mesure de fournir.
Mais nous ne sommes pas sur un forum de psychologie, et voici plus précisément mes questions, auxquels certains d'entre vous, plus expérimentés, auront peut-être des réponses :
- Je ne me sens pas capable de continuer correctement dans un futur proche. Et en même temps je culpabilise beaucoup de laisser ces élèves sans cours de français, ou sans cours de français de qualité, ce qui me semble être vraiment problématique. Je suis dans un collège où, parait-il, les remplacements sont difficiles, comment maximiser les chances d'être remplacé ? Devrais-je démissionner ? Peut-on vraiment remplacé quand on est arrêté ?
- À qui puis-je selon vous parler de ma souffrance, au moins dans ce qu'elle implique la vie professionnelle ? J'ai l'impression que parler à ma tutrice (qui sent bien, je crois, mon manque d'implication) ou à des formateurs de l'Inspe me mettrait seulement en difficulté supplémentaire.
Merci, je prends tous les conseils et toutes les remarques qui permettraient d'avancer ou de faire au mieux dans une situation difficile !
- Mélusine2Niveau 10
Colinvian, je pense que c'est à ton médecin qu'il faut aller parler, et tout de suite. Là, c'est de toi qu'il faut t'occuper : non, ne démissionne pas pour accélérer ton remplacement ! Accepte un arrêt et ne t'occupe pas de son remplacement, ce n'est pas ton problème. Soigne-toi.
- SochNiveau 7
Bonjour Colinvian,
La priorité, c'est de t'occuper de toi.
Si tu n'oses pas / ne peux pas en parler à ton médecin traitant, tu peux aller aux urgences les plus proches afin d'exposer ta forte anxiété et tes idées noires. Ils sont là aussi pour prendre en charge la souffrance psychologique et t'orienter rapidement. N'hésite pas.
La priorité, c'est de t'occuper de toi.
Si tu n'oses pas / ne peux pas en parler à ton médecin traitant, tu peux aller aux urgences les plus proches afin d'exposer ta forte anxiété et tes idées noires. Ils sont là aussi pour prendre en charge la souffrance psychologique et t'orienter rapidement. N'hésite pas.
- JennyMédiateur
+1. Il faut vraiment que tu consultes. Le remplacement n'est pas ton problème.
- OudemiaBon génie
Il faut voir un médecin, et vite ; il y aura un arrêt, et c'est à l'EN de gérer ensuite. Tu as droit à trois mois de sécurité à plein traitement.
Ne pas avoir peur du psychiatre : j'y ai eu recours moi-même avec deux classes très difficiles, les pires de ma carrière rassemblées sur une année de cauchemar.
Ne pas avoir peur du psychiatre : j'y ai eu recours moi-même avec deux classes très difficiles, les pires de ma carrière rassemblées sur une année de cauchemar.
- ColinvianNiveau 2
Merci pour vos réponses. J'ai déjà vu mon médecin pour mon premier arrêt, je retourne le voir tout à l'heure.
Les psychiatres coutent extrêmement chers de ce que je vois, et il me semble que c'est mal remboursé. Je vais redemander des précisions à mon médecin.
Je n'ai pas peur du psychiatre ni de parler de mes problèmes, je suis juste découragé. Mais merci, tu as raison, il est toujours nécessaire de dédramatiser l'aide en matière de santé mentale.
Oudemia a écrit:Il faut voir un médecin, et vite ; il y aura un arrêt, et c'est à l'EN de gérer ensuite. Tu as droit à trois mois de sécurité à plein traitement.
Ne pas avoir peur du psychiatre : j'y ai eu recours moi-même avec deux classes très difficiles, les pires de ma carrière rassemblées sur une année de cauchemar.
Les psychiatres coutent extrêmement chers de ce que je vois, et il me semble que c'est mal remboursé. Je vais redemander des précisions à mon médecin.
Je n'ai pas peur du psychiatre ni de parler de mes problèmes, je suis juste découragé. Mais merci, tu as raison, il est toujours nécessaire de dédramatiser l'aide en matière de santé mentale.
- SphinxProphète
1) Ton médecin
2) Il existe des services psy au rectorat pour tout ce qui est souffrance au travail, je ne sais pas dans quelle académie tu es mais dans la mienne (Versailles) il était facile et rapide d'avoir un rendez-vous (numéro de téléphone sur l'annuaire en ligne du rectorat, passe par Google pour trouver).
N'hésite pas à contacter les deux : le médecin dans l'urgence et le psy du rectorat pour avoir une ligne de conduite face au travail (mais aussi pour avoir une vraie consultation).
Ne reste pas tout seul, les pensées suicidaires sont un vrai signal d'urgence.
(J'ajoute que le français est une matière où il est comparativement moins difficile de trouver des remplaçants, donc vraiment, ne te soucie pas de ça, ce n'est pas à toi de porter ça sur tes épaules.)
2) Il existe des services psy au rectorat pour tout ce qui est souffrance au travail, je ne sais pas dans quelle académie tu es mais dans la mienne (Versailles) il était facile et rapide d'avoir un rendez-vous (numéro de téléphone sur l'annuaire en ligne du rectorat, passe par Google pour trouver).
N'hésite pas à contacter les deux : le médecin dans l'urgence et le psy du rectorat pour avoir une ligne de conduite face au travail (mais aussi pour avoir une vraie consultation).
Ne reste pas tout seul, les pensées suicidaires sont un vrai signal d'urgence.
(J'ajoute que le français est une matière où il est comparativement moins difficile de trouver des remplaçants, donc vraiment, ne te soucie pas de ça, ce n'est pas à toi de porter ça sur tes épaules.)
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- ColinvianNiveau 2
Sphinx a écrit:1) Ton médecin
2) Il existe des services psy au rectorat pour tout ce qui est souffrance au travail, je ne sais pas dans quelle académie tu es mais dans la mienne (Versailles) il était facile et rapide d'avoir un rendez-vous (numéro de téléphone sur l'annuaire en ligne du rectorat, passe par Google pour trouver).
N'hésite pas à contacter les deux : le médecin dans l'urgence et le psy du rectorat pour avoir une ligne de conduite face au travail (mais aussi pour avoir une vraie consultation).
Ne reste pas tout seul, les pensées suicidaires sont un vrai signal d'urgence.
(J'ajoute que le français est une matière où il est comparativement moins difficile de trouver des remplaçants, donc vraiment, ne te soucie pas de ça, ce n'est pas à toi de porter ça sur tes épaules.)
Mille fois merci, je viens de regarder ça, et c'est vrai que c'était facile, contrairement à d'habitude. J'ai normalement un rdv la semaine prochaine, ça peut être un début !
- Mélusine2Niveau 10
Colinvian a écrit:Merci pour vos réponses. J'ai déjà vu mon médecin pour mon premier arrêt, je retourne le voir tout à l'heure.Oudemia a écrit:Il faut voir un médecin, et vite ; il y aura un arrêt, et c'est à l'EN de gérer ensuite. Tu as droit à trois mois de sécurité à plein traitement.
Ne pas avoir peur du psychiatre : j'y ai eu recours moi-même avec deux classes très difficiles, les pires de ma carrière rassemblées sur une année de cauchemar.
Les psychiatres coutent extrêmement chers de ce que je vois, et il me semble que c'est mal remboursé. Je vais redemander des précisions à mon médecin.
Je n'ai pas peur du psychiatre ni de parler de mes problèmes, je suis juste découragé. Mais merci, tu as raison, il est toujours nécessaire de dédramatiser l'aide en matière de santé mentale.
Très bien.
Les consultations psychiatriques sont remboursées comme celles de tous les médecins, sauf dépassement d'honoraires délirant : ce sont les psychologues qui, à ma connaissance, ne le sont pas. Parles-en à ton médecin tout à l'heure.
- SphinxProphète
Bon courage
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- mafalda16Modérateur
Fil nettoyé et rouvert.
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- MathadorEmpereur
Et ton employeur en porte la responsabilité en t'attribuant des responsabilités excessives dès ta nomination, conjointement à un encadrement défectueux.Colinvian a écrit:Bonjour à toutes et tous,
Finalement, les choses se complexifient, et je doute d'aller bien loin. J'en suis déjà à ma deuxième journée de manquée (aujourd'hui c'est la fac, l'autre fois c'était le collège), qui fait suite à une journée et à une nuit passées paralysé par l'anxiété et des idées suicidaires. Je ne suis pas certain du tout d'aller travailler demain et après demain, puisque je n'ai rien de prêt, et puisque je n'arrive pas à m'y remettre. Je me sens en fait très détaché, je n'arrive pas du tout à m'impliquer, j'ai l'impression d'être sollicité de toutes parts, d'avoir 40 choses à penser, et je n'y arrive pas, je fuis. Et ça va pas aller en s'arrangeant, les parents, les élèves, ma tutrice, vont de plus en plus attendre quelque chose que je ne me sens pas être en mesure de fournir.
Un peu de lecture sur le site de l'INRS:
https://www.inrs.fr/risques/stress/ce-qu-il-faut-retenir.html
INRS a écrit:La surcharge de travail, des objectifs insuffisamment définis, des relations difficiles avec la hiérarchie ou les collègues, un manque d’autonomie peuvent être en cause.
https://www.inrs.fr/risques/epuisement-burnout/ce-qu-il-faut-retenir.htmlINRS a écrit:L'employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés au travail. Pour remplir cette obligation, il doit privilégier les actions de prévention collective. Celles-ci permettent en effet d’agir sur les causes du stress plutôt que sur ses symptômes.
(je crois bien qu'à l'EN on a souvent les 6 facteurs de risque à la fois…)INRS a écrit:L’épuisement professionnel étant une conséquence du stress au travail, on retrouve parmi les causes du burnout des facteurs de stress. Différentes études ont spécifiquement permis de souligner le rôle des facteurs suivants :
Surcharge de travail, pression temporelle,
Faible contrôle sur son travail,
Faibles récompenses,
Manque d’équité,
Conflits de valeur, demandes contradictoires,
Manque de clarté dans les objectifs, les moyens.
L’effet de ces facteurs de risque peut se combiner, pour certaines professions de relations d’aide (infirmières, médecins, travailleurs sociaux, enseignants,…), à la charge émotionnelle inhérente à ces professions.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- ColinvianNiveau 2
Bonsoir à tous,
Je me permets de poser une question sur ce fil que j'ai crée, d'autant que ma question est liée. Si l'on démissionne de l'Education Nationale en tant que stagiaire et en cours d'année, peut-on être radié à vie ?
J'ai cru comprendre cela sur d'autres topics.
Merci à vous
Je me permets de poser une question sur ce fil que j'ai crée, d'autant que ma question est liée. Si l'on démissionne de l'Education Nationale en tant que stagiaire et en cours d'année, peut-on être radié à vie ?
J'ai cru comprendre cela sur d'autres topics.
Merci à vous
- MathadorEmpereur
Je ne pense pas: la révocation est une mesure disciplinaire, séparée de l'acceptation de la démission ou du licenciement pour abandon de poste.
En tout cas, quand on est licencié à l'issue du stage je suis certain que ce n'est pas le cas.
En tout cas, quand on est licencié à l'issue du stage je suis certain que ce n'est pas le cas.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- ColinvianNiveau 2
Merci pour vos réponses. Je demande car je sais que je serai en arrêt maladie cette semaine et prépare ma sortie.
- JennyMédiateur
Tu ne peux pas avoir une prolongation ?
Tu sais ce que tu vas faire ?
Tu sais ce que tu vas faire ?
- ColinvianNiveau 2
Jenny a écrit:Tu ne peux pas avoir une prolongation ?
Tu sais ce que tu vas faire ?
Je ne sais pas... Et je ne sais pas !
Je vois une psychiatre mardi, pour l'instant je ne suis pas arrêté. Demain j'étais convaincu d'y aller mais je n'ai pas réussi à faire quoi que ce soit ce week-end, sans cesser d'y penser pour autant, donc je ne sais pas encore si j'y vais sans préparation ou si je n'y vais pas.
Je suis convaincu de toute façon que ça ne peut pas continuer comme ça à moyen terme, à bâcler des préparations en panique et en sueur dans le RER parce que je me dis que je n'ai pas le choix - et j'y arrive de moins en moins d'ailleurs. Ce n'est certainement pas un métier que l'on peut faire quand on a l'esprit constamment sur d'autres choses et/ou qu'on est dans une tristesse permanente.
- JennyMédiateur
Bon courage en tout cas. Un arrêt pourrait te laisser du temps pour réfléchir.
- LUTISTE88Je viens de m'inscrire !
Non car c'est ta décision.
- MitcindyNiveau 10
Courage !
La première année est un enfer de travail.
C'est comme si devait faire 5 représentations d'affilée tous les jours et en plus, tout le monde est sur votre dos, sans aucune indulgence.
La vie change quand tous les cours sont prêts et sur clé usb ! Il n'y a plus qu'à adapter et faire de l'amélioration continue.
On se consacre alors uniquement sur la gestion de classe.
Repose-toi tout d'abord.
N'abandonne pas si tu sens que ce n'est qu'une question d'overdose de travail.
J'en suis à ma sixième année, tous mes cours sont prêts et je m'éclate.
La première année n'est absolument pas représentative.
La première année est un enfer de travail.
C'est comme si devait faire 5 représentations d'affilée tous les jours et en plus, tout le monde est sur votre dos, sans aucune indulgence.
La vie change quand tous les cours sont prêts et sur clé usb ! Il n'y a plus qu'à adapter et faire de l'amélioration continue.
On se consacre alors uniquement sur la gestion de classe.
Repose-toi tout d'abord.
N'abandonne pas si tu sens que ce n'est qu'une question d'overdose de travail.
J'en suis à ma sixième année, tous mes cours sont prêts et je m'éclate.
La première année n'est absolument pas représentative.
- mafalda16Modérateur
A titre de rappel toujours utile : on ne se met pas en arrêt. On va voir un médecin à qui on explique la situation et qui lui décide du bien fondé d'un arrêt de travail, ou pas.
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- CasparProphète
mafalda16 a écrit:A titre de rappel toujours utile : on ne se met pas en arrêt. On va voir un médecin à qui on explique la situation et qui lui décide du bien fondé d'un arrêt de travail, ou pas.
Oui, c'est une expression qui me surprend toujours aussi. Elle est utilisée par une des collègues interrogées dans le documentaire "L'école est finie" dont il est question sur un autre fil: "Je n'en pouvais plus alors je me suis mis en arrêt."
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