- zigmag17Guide spirituel
celitian a écrit:Il manquerait plus que ça, j'espère bien que personne ne l'acceptera !ethelred a écrit:Ce que je vois gros comme une maison, c'est que dans peu de temps la majorité d'entre nous (élèves comme professeurs) sera contaminée, et que foutu pour foutu, on nous dira que si on est positif mais asymptomatique et avec un schéma vaccinal complet, allez hop, au boulot (avec un bon masque). Clairement désormais le but n'est plus de nous protéger de la contamination mais d'éviter qu'on aille à l'hôpital (d'où le forcing à la vaccination de tout le monde).
Cela fait presque deux ans que je me suis fermée à toute vie sociale pour éviter de chopper le virus, vu que je suis en surpoids. Là je suis effarée de voir que je vais de toute façon être positive, si je ne suis pas contaminée au collège je le serai par mon fils de 14 mois qui va à la crèche. On en parle de la hausse des cas pédiatriques dans les hôpitaux aux Etats Unis ??
Rien n'est fait pour protéger les enseignants, aucune considération, des critiques permanentes, aucune revalorisation salariale, pas de pc, pas de dédommagement pour le télétravail....et on doit pouvoir continuer la liste.
Je crains que cela, si cela doit advenir, n'advienne. Comme tout le reste.
- ethelredNiveau 6
Justement, rajouter une ligne de plus à la longue liste des actes de mépris qui concernent la profession n'est vraiment plus un problème. Ils sont hors sol, on ouvre les écoles (et c'est très bien) mais on ne fait ABSOLUMENT RIEN pour la sécurité de ceux qui s'y trouvent. Si Omicron touche davantage les enfants, on va peut être voir les parents se bouger ??
- celitianSage
Je ne vois pas bien comment le médecin peut savoir si tu es totalement asymptomatique.
De plus, j'imagine que les collègues seraient ravis d'avoir un positif à côté deux dans les salles, à la cantine.., et les parents, ils ne sont pas tous inconscients des risques.
De plus, j'imagine que les collègues seraient ravis d'avoir un positif à côté deux dans les salles, à la cantine.., et les parents, ils ne sont pas tous inconscients des risques.
- ethelredNiveau 6
Je suis d'accord avec toi, Celitian, mais à un moment donné il y aura tellement de contaminés "bien portants" en majorité (puisqu'Omicron a l'air très contagieux mais moins virulent, et ils tablent là dessus), que les lignes bougeront.
- celitianSage
Mais nous ne sommes pas obligés d'accepter n'importe quoi, vu comment nous sommes traités,, nous semblons n'avoir pas grande importance pour la société.
Moins virulent peut-être mais il y aura toujours un risque pour le personnel/élèves avec des risques, les plus âgés, et ceux qui n'auront pas de chance.
Moins virulent peut-être mais il y aura toujours un risque pour le personnel/élèves avec des risques, les plus âgés, et ceux qui n'auront pas de chance.
- Anne_68Niveau 10
roxanne a écrit:Ceci dit si vraiment ce variant ou d'autres n'occasionnent plus de formes graves, pourquoi pas. Bon, j'ai bien dit "si". On n'en est pas encore là.
Cette vidéo de Martin Moder, microbiologiste, docteur en médecine et vulgarisateur sérieux mais avec humour, explique le passage de la phase pandémique vers la phase endémique des coronavirus en général. Le tout en allemand d'Autriche.
En gros, ce passage se fait par l'exposition répétée et régulière au virus - tous les 2 à 4 ans pour les autres coronavirus qui donnent des rhumes. Ce qui les rend beaucoup moins dangereux que lors de la/des premières expositions car ces expositions naturelles fonctionnent comme des rappels qui renforcent l'immunité pour un certain temps. La période très dangereuse, au niveau de la population comme individuellement, est la première phase (pandémique) où la population n'a pas de défenses immunitaires contre un virus nouveau. Il plaide clairement pour la vaccination afin de limiter les dégâts lors de cette phase pandémique.
Donc oui, tout le monde va le choper à un moment, mais chacun y sera plus ou moins bien préparé.
Est-ce déjà le moment de laisser filer ? Je n'en sais rien, pour ma part je reste prudente.
https://m.youtube.com/watch?v=mR5KktWEz6g
- zigmag17Guide spirituel
celitian a écrit:Mais nous ne sommes pas obligés d'accepter n'importe quoi, vu comment nous sommes traités,, nous semblons n'avoir pas grande importance pour la société.
Moins virulent peut-être mais il y aura toujours un risque pour le personnel/élèves avec des risques, les plus âgés, et ceux qui n'auront pas de chance.
Nous acceptons déjà n'importe quoi. Alors...
- chmarmottineGuide spirituel
Beaucoup de jeunes positifs ... ça va poser problème pour le fonctionnement des vies scolaires, non ?
- Pontorson50Fidèle du forum
roxanne a écrit:Ceci dit si vraiment ce variant ou d'autres n'occasionnent plus de formes graves, pourquoi pas. Bon, j'ai bien dit "si". On n'en est pas encore là.
Peut-être pas si loin quand même, les nouvelles de Londres semblent bonnes cette fois :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/30/face-a-la-vague-omicron-les-hopitaux-britanniques-resistent-pour-l-instant_6107670_3244.html
Pour l’instant, les premiers signes semblent encourageants. « Ça va pour le moment, ce n’est rien comparé aux vagues précédentes », confie un médecin anesthésiste d’un hôpital du sud de Londres, qui requiert l’anonymat. « Ce n’est plus la même maladie, a estimé, sur la BBC, John Bell, professeur de médecine à l’université d’Oxford, très impliqué dans le développement du vaccin AstraZeneca. Les scènes horribles de l’an dernier – les soins intensifs qui sont pleins, beaucoup de gens qui meurent prématurément – sont de l’histoire ancienne. » Paul Hunter, professeur de médecine à l’université d’East Anglia, fait le même diagnostic, bien qu’un peu plus prudemment : « Personne ne sait avec certitude si les hôpitaux seront débordés par la vague, mais j’aurais tendance à penser que ce ne sera pas le cas. »
Mais comment mettre le curseur dans les écoles ? On part dans une semaine de brouillard dans les écoles, pilotage à vue...
- Flo44Érudit
Pontorson50 a écrit:roxanne a écrit:Ceci dit si vraiment ce variant ou d'autres n'occasionnent plus de formes graves, pourquoi pas. Bon, j'ai bien dit "si". On n'en est pas encore là.
Peut-être pas si loin quand même, les nouvelles de Londres semblent bonnes cette fois :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/30/face-a-la-vague-omicron-les-hopitaux-britanniques-resistent-pour-l-instant_6107670_3244.html
Pour l’instant, les premiers signes semblent encourageants. « Ça va pour le moment, ce n’est rien comparé aux vagues précédentes », confie un médecin anesthésiste d’un hôpital du sud de Londres, qui requiert l’anonymat. « Ce n’est plus la même maladie, a estimé, sur la BBC, John Bell, professeur de médecine à l’université d’Oxford, très impliqué dans le développement du vaccin AstraZeneca. Les scènes horribles de l’an dernier – les soins intensifs qui sont pleins, beaucoup de gens qui meurent prématurément – sont de l’histoire ancienne. » Paul Hunter, professeur de médecine à l’université d’East Anglia, fait le même diagnostic, bien qu’un peu plus prudemment : « Personne ne sait avec certitude si les hôpitaux seront débordés par la vague, mais j’aurais tendance à penser que ce ne sera pas le cas. »
Mais comment mettre le curseur dans les écoles ? On part dans une semaine de brouillard dans les écoles, pilotage à vue...
Le Royaume-Uni a plus souffert que nous des vagues précédentes, il est possible qu'une partie importante de la population la plus sensible au virus ait déjà été éliminée... Attention au biais du survivant. Espérons que ce ne soit pas juste cet effet qu'on observe.
NB : il y a certainement des facteurs génétiques inconnus, qui fait qu'une personne diabétique et obèse de 70 ans peut s'en sortir très bien et un jeune sportif de 30 ans y passer.
https://presse.inserm.fr/covid-19-15-des-formes-graves-de-la-maladie-sexpliquent-par-des-anomalies-genetiques-et-immunologiques/40880/
- Pontorson50Fidèle du forum
ethelred a écrit:Ce que je vois gros comme une maison, c'est que dans peu de temps la majorité d'entre nous (élèves comme professeurs) sera contaminée, et que foutu pour foutu, on nous dira que si on est positif mais asymptomatique et avec un schéma vaccinal complet, allez hop, au boulot (avec un bon masque). Clairement désormais le but n'est plus de nous protéger de la contamination mais d'éviter qu'on aille à l'hôpital (d'où le forcing à la vaccination de tout le monde).
Cela fait presque deux ans que je me suis fermée à toute vie sociale pour éviter de chopper le virus, vu que je suis en surpoids. Là je suis effarée de voir que je vais de toute façon être positive, si je ne suis pas contaminée au collège je le serai par mon fils de 14 mois qui va à la crèche. On en parle de la hausse des cas pédiatriques dans les hôpitaux aux Etats Unis ??
Il est clair que pour cette rentrée, finalement maintenue en prenant un pari, les personnels à co-morbidité auraient dû avoir le droit d'être en distanciel sur avis conforme de leur toubib. Sans doute le ministère a t-il calculé que cela faisait beaucoup de monde, notamment dans le second degré (pyramide des âges défavorable), mais là c'est prendre des paris en obligeant des gens qui n'ont pas demandé à jouer à en endosser les risques.
- ylmExpert spécialisé
Ça va, pour chacune de mes classes je n'ai qu'une chance sur 6 qu'il s'y trouve une personne positive lundi. Par contre j'ai 5 classes, si mes souvenirs de loi binomiale sont exacts ça doit faire autour de 60 % de chances d'avoir à faire à au moins un élève positif lundi.
(Simulateur : Covid Tracker)
(Simulateur : Covid Tracker)
_________________
The life of man, solitary, poor, nasty, brutish and short.
Thomas Hobbes
- ethelredNiveau 6
Je viens de regarder une rediffusion de C dans l'air (émission d'hier soir), l'idée générale c'est que le virus Omicron est tellement contagieux qu'on va tous l'avoir, que même s'il est moins virulent le niveau de contagion est tel qu'ils parlent de "mur" pour janvier. Les spécialistes invités sont très confiants pour ceux qui ont eu une troisième dose, il a même été question que les asymptomatiques ayant eu les trois doses pourraient faire partie des non confinés. Par contre inquiétude pour les enfants non vaccinés, la hausse des cas fait que maintenant vacciner son enfant n'est plus seulement un acte civique pour le collectif mais aussi un acte de protection individuelle.
- Clecle78Bon génie
C'est criminel tout simplement.Pontorson50 a écrit:ethelred a écrit:Ce que je vois gros comme une maison, c'est que dans peu de temps la majorité d'entre nous (élèves comme professeurs) sera contaminée, et que foutu pour foutu, on nous dira que si on est positif mais asymptomatique et avec un schéma vaccinal complet, allez hop, au boulot (avec un bon masque). Clairement désormais le but n'est plus de nous protéger de la contamination mais d'éviter qu'on aille à l'hôpital (d'où le forcing à la vaccination de tout le monde).
Cela fait presque deux ans que je me suis fermée à toute vie sociale pour éviter de chopper le virus, vu que je suis en surpoids. Là je suis effarée de voir que je vais de toute façon être positive, si je ne suis pas contaminée au collège je le serai par mon fils de 14 mois qui va à la crèche. On en parle de la hausse des cas pédiatriques dans les hôpitaux aux Etats Unis ??
Il est clair que pour cette rentrée, finalement maintenue en prenant un pari, les personnels à co-morbidité auraient dû avoir le droit d'être en distanciel sur avis conforme de leur toubib. Sans doute le ministère a t-il calculé que cela faisait beaucoup de monde, notamment dans le second degré (pyramide des âges défavorable), mais là c'est prendre des paris en obligeant des gens qui n'ont pas demandé à jouer à en endosser les risques.
- ethelredNiveau 6
Apparemment ma triple vaccination, récente, me protège de faire un covid grave. Ça arrangerait tout le monde, on est d'accord ...
- elisa18Neoprof expérimenté
Un parent vient de m'avertir que son enfant serait absent jusqu'au 6 janvier. Covid intra familial. Ça commence
- RogerMartinBon génie
Si aucune amélioration structurelle n'a été mise en place durant les fermetures d'été, Toussaint, etc., je ne vois pas comment 7 jours de fermeture, avant ou après les vacances de fin d'année, permettraient d'équiper magiquement l'ensemble des établissements en quoi que ce soit. Aucune décision n'a été prise en amont précisément pour que rien ne soit dépensé à cette fin, ni par l'Etat, ni par les collectivités locales--sauf efficacité ponctuelle... et dérogatoire dans certains cas.ProvençalLeGaulois a écrit:Mais vous croyez vraiment que ça aurait tout changé ?
Ce n'est pas une solution miracle.
La problématique est la même dans les facs et dans les autres établissements : les autorités de tutelle ou les entités qui ont engagé des dépenses l'ont fait de leur propre initiative, sans injonction ni aide financière spécifique d'en haut (quel que soit le en-haut).
Les fermetures seront inéluctables si la durée d'isolement n'est pas modifiée, en premier lieu parce que certains établissements ne pourront pas ouvrir, faute de personnel de sécurité par ex, de gardien, etc., ensuite parce que le corps enseignant sera lui aussi absent même si on est dans l'ensemble très vaccinés. Donc la durée d'isolement va être réduite. Et pour que l'ouverture soit garantie dans les établissements d'enseignement, il faudra probablement autoriser les positifs non symptomatiques à venir travailler, comme pour les soignants.
Ça va être le grand n'importe quoi.
Le pari maintenant, c'est que le nouveau variant ne soit pas moins dangereux, mais totalement inoffensif.
_________________
Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- RogerMartinBon génie
ylm a écrit:Ça va, pour chacune de mes classes je n'ai qu'une chance sur 6 qu'il s'y trouve une personne positive lundi. Par contre j'ai 5 classes, si mes souvenirs de loi binomiale sont exacts ça doit faire autour de 60 % de chances d'avoir à faire à au moins un élève positif lundi.
(Simulateur : Covid Tracker)
Petit joueur !!! 100% de chances avec 200 étudiants dans un amphi
_________________
Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- ethelredNiveau 6
RogerMartin a écrit:Si aucune amélioration structurelle n'a été mise en place durant les fermetures d'été, Toussaint, etc., je ne vois pas comment 7 jours de fermeture, avant ou après les vacances de fin d'année, permettraient d'équiper magiquement l'ensemble des établissements en quoi que ce soit. Aucune décision n'a été prise en amont précisément pour que rien ne soit dépensé à cette fin, ni par l'Etat, ni par les collectivités locales--sauf efficacité ponctuelle... et dérogatoire dans certains cas.ProvençalLeGaulois a écrit:Mais vous croyez vraiment que ça aurait tout changé ?
Ce n'est pas une solution miracle.
La problématique est la même dans les facs et dans les autres établissements : les autorités de tutelle ou les entités qui ont engagé des dépenses l'ont fait de leur propre initiative, sans injonction ni aide financière spécifique d'en haut (quel que soit le en-haut).
Les fermetures seront inéluctables si la durée d'isolement n'est pas modifiée, en premier lieu parce que certains établissements ne pourront pas ouvrir, faute de personnel de sécurité par ex, de gardien, etc., ensuite parce que le corps enseignant sera lui aussi absent même si on est dans l'ensemble très vaccinés. Donc la durée d'isolement va être réduite. Et pour que l'ouverture soit garantie dans les établissements d'enseignement, il faudra probablement autoriser les positifs non symptomatiques à venir travailler, comme pour les soignants.
Ça va être le grand n'importe quoi.
Le pari maintenant, c'est que le nouveau variant ne soit pas moins dangereux, mais totalement inoffensif.
C'est exactement comme cela que je le vois. On est très bien vaccinés, ils vont nous envoyer travailler, avec l'aval des scientifiques. Ils prennent juste le pari qu'Omicron soit plus inoffensif, on sera vite fixé. Et effectivement cela ne sert à rien de fermer les écoles, ils ne feront rien de plus que ces derniers 22 mois pour essayer de nous protéger. Ça va être un bordel pédagogique sans nom car il y aura pas mal d'absents mais au moins le ministres pourra se vanter d'avoir laissé les écoles ouvertes.
- EnaecoVénérable
elisa18 a écrit:Un parent vient de m'avertir que son enfant serait absent jusqu'au 6 janvier. Covid intra familial. Ça commence
Ça commence et ça va continuer. Comme avant les vacances, en pire.
C'est l inverse qui ne serait pas normal.
Le choix c'est de mettre de côté une partie des élèves et de manière ponctuelle plutôt que tous les élèves sur une longue période.
- Fesseur ProGuide spirituel
Un tantinet exagéré non ?Clecle78 a écrit:C'est criminel tout simplement.Pontorson50 a écrit:ethelred a écrit:Ce que je vois gros comme une maison, c'est que dans peu de temps la majorité d'entre nous (élèves comme professeurs) sera contaminée, et que foutu pour foutu, on nous dira que si on est positif mais asymptomatique et avec un schéma vaccinal complet, allez hop, au boulot (avec un bon masque). Clairement désormais le but n'est plus de nous protéger de la contamination mais d'éviter qu'on aille à l'hôpital (d'où le forcing à la vaccination de tout le monde).
Cela fait presque deux ans que je me suis fermée à toute vie sociale pour éviter de chopper le virus, vu que je suis en surpoids. Là je suis effarée de voir que je vais de toute façon être positive, si je ne suis pas contaminée au collège je le serai par mon fils de 14 mois qui va à la crèche. On en parle de la hausse des cas pédiatriques dans les hôpitaux aux Etats Unis ??
Il est clair que pour cette rentrée, finalement maintenue en prenant un pari, les personnels à co-morbidité auraient dû avoir le droit d'être en distanciel sur avis conforme de leur toubib. Sans doute le ministère a t-il calculé que cela faisait beaucoup de monde, notamment dans le second degré (pyramide des âges défavorable), mais là c'est prendre des paris en obligeant des gens qui n'ont pas demandé à jouer à en endosser les risques.
Vaccinée 3 fois, même une personne à co-morbidité est protégée.
_________________
Pourvu que ça dure...
- PaleoprofFidèle du forum
Non. Tout dépend de la comorbidite. Une personne immunodéprimée (et il y en a bien plus qu’on ne le pense, pas uniquement de vieux croûtons) ne résiste pas.
_________________
Je construis ma suite......
- frimoussette77Guide spirituel
Les personnes sévèrement immunodéprimées ont encore le droit à l'ASA.Paleoprof a écrit:Non. Tout dépend de la comorbidite. Une personne immunodéprimée (et il y en a bien plus qu’on ne le pense, pas uniquement de vieux croûtons) ne résiste pas.
- trompettemarineMonarque
@elisa18 a écrit:
Un parent vient de m'avertir que son enfant serait absent jusqu'au 6 janvier. Covid intra familial. Ça commence
Au moins, ce parent est sérieux. Chez nous, les élèves ont bizarrement tous eu une gastro. Aucun test effectué. Visiblement les médecins ne les demandent pas à cause des laboratoires qui sont surchargés... Mouais, un test antigénique dans une pharmacie dans mon bled, ça prend 30 minutes trajet compris (il n'y a pas les files parisiennes).
Le refus et les colères des adolescents devant le coton tige doivent aussi y être pour quelque chose en plus du problème de garde des enfants.
Quand je suis devant les étudiants en amphi, bien moins scrupuleux que les élèves de collège, je ne suis pas rassurée. Ils sont une petite centaine dans un vieux petit amphi : il n'y a aucune fenêtre et deux misérables portes coupe-feu qu'on doit laisser fermées parce qu'il y a trop de bruit dans les couloirs.
J'ai acheté des FFp2 pour me protéger et je ne vais plus manger des salades sodebo que dans ma salle (j'ai la chance d'être toujours dans la même salle): on verra bien.
Bref, la seule chose sur la table dans l'éducation nationale se résume pour moi à la salade.
- Fesseur ProGuide spirituel
Mouais.
J'y suis moi-même mais protégé d'une forme grave par les 3 doses.
Il faut si c'est vraiment dangereux à ce point pour certains aller consulter et demander à être en arrêt maladie ou en ASA.
J'y suis moi-même mais protégé d'une forme grave par les 3 doses.
Il faut si c'est vraiment dangereux à ce point pour certains aller consulter et demander à être en arrêt maladie ou en ASA.
_________________
Pourvu que ça dure...
- Flo44Érudit
Pour la dangerosité, il faut surveiller ce qui se passe au Royaume-Uni. On devrait être fixé d'ici une semaine environ (les cas commencent à refluer, mais les réanimations actuelles sont des gens contaminés vers le 10 décembre...). Ce sera trop tard pour la rentrée malheureusement.
La repousser d'une semaine (ou autre mesure vraiment efficace) aurait surtout donné le temps au gouvernement de réagir en cas de catastrophe sanitaire prévisible.
La repousser d'une semaine (ou autre mesure vraiment efficace) aurait surtout donné le temps au gouvernement de réagir en cas de catastrophe sanitaire prévisible.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Education Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum