- lulucastagnetteEmpereur
Le roman d'Anne Berest est dans ma PAL pour le défi 30 aussi !
Je note le titre de Delphine de Vigan pour le défi 32.
De mon côté, pour le défi 31 : un livre d'un auteur palestinien ou sur la Palestine, j'ai lu Apeirogon de Colum Mc Cann.
Rami est juif, Bassam est arabe, tout semble les opposer et ils ne se seraient sûrement jamais croisés s'ils n'avaient pas vécu le même drame : la perte d'un de leurs enfants dans des circonstances tragiques.
Je n'en dis pas plus car il est impossible de présenter cette oeuvre qui tient à la fois du roman, du documentaire, du témoignage, du reportage... La construction en très courts chapitres (qu'on pourrait qualifier de versets) déstabilise, j'ai mis presque la moitié du roman à m'y faire car la narration est sans cesse interrompue par des considérations aussi bien ornithologiques que mathématiques ou des anecdotes qui semblent sans lien avec l'histoire, mais j'ai été happée et émue.
Ce roman convient aussi pour les défis 2 (la politique), 3 ((re)naissance), 8 (violence), 14 (étrangeté... narrative), 18 (mot inconnu, si comme moi vous ignorez qu'un apeirogone est un polygone ayant un nombre infini de côtés), 30 (deux époques différentes).
Je note le titre de Delphine de Vigan pour le défi 32.
De mon côté, pour le défi 31 : un livre d'un auteur palestinien ou sur la Palestine, j'ai lu Apeirogon de Colum Mc Cann.
Rami est juif, Bassam est arabe, tout semble les opposer et ils ne se seraient sûrement jamais croisés s'ils n'avaient pas vécu le même drame : la perte d'un de leurs enfants dans des circonstances tragiques.
Je n'en dis pas plus car il est impossible de présenter cette oeuvre qui tient à la fois du roman, du documentaire, du témoignage, du reportage... La construction en très courts chapitres (qu'on pourrait qualifier de versets) déstabilise, j'ai mis presque la moitié du roman à m'y faire car la narration est sans cesse interrompue par des considérations aussi bien ornithologiques que mathématiques ou des anecdotes qui semblent sans lien avec l'histoire, mais j'ai été happée et émue.
Ce roman convient aussi pour les défis 2 (la politique), 3 ((re)naissance), 8 (violence), 14 (étrangeté... narrative), 18 (mot inconnu, si comme moi vous ignorez qu'un apeirogone est un polygone ayant un nombre infini de côtés), 30 (deux époques différentes).
- lulucastagnetteEmpereur
Dorine a écrit:Je ne comprends pas pourquoi le message d'Amaliah que j'ai voulu citer n'est pas dans un cadre bleu...
Je pense que ce que tu as sélectionné pour le mettre en gras a "débordé" sur le balisage de la citation.
- farfallaEmpereur
Cléopatra2 a écrit:Il est très moyen, ce roman. Bon après, c'est une lecture pas trop prise de tête.farfalla a écrit:J’ai commencé Une relation dangereuse, de Douglas Kennedy pour l’item violences.
Les personnages principaux sont des reporters internationaux qui font connaissance dans une situation de danger. Leur histoire d’amour commence sur les chapeaux de roues et lui obtient une promotion à Londres. Ils se marient et s’y installent. Commence alors la descente aux Enfers pour elle : grossesse difficile, peu de soutien du père, allaitement compliqué, relation amoureuse compliquée (il se révèle être un pervers narcissique), puis vient le temps du divorce et du combat où tout est permis pour la garde de l’enfant.
Jusqu’où l’amour peut-il entraîner la haine et la violence du quotidien ?
C’est le premier roman que je lis de cet auteur (je pioche parmi les livres laissés par les anciens propriétaires). Je ne sais pas trop quoi en penser pour le moment. Je lis mais je n’ai pas l’impression que c’est un livre qui va me marquer.
Tu résumes bien ce que j’en pense. J’avance difficilement.
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"Si nada nos salva de la muerte, al menos que el amor nos salve de la vida" Pablo Neruda
"Yo lloré porque no tenía zapatos hasta que vi un niño que no tenía pies." Oswaldo Guayasamin
- floisaNiveau 9
Pour le défi 2, un livre qui évoque la vie politique, Hong Kong cité déchue, de Kwong-shing Lau, documentaire illustré sur les évènements de 2019-2020, et ce qui pourrait advenir dans la prochaine décennie. Des passages BD, d'autres plutôt texte illustré. Nombreuses notes du traducteur pour expliciter les allusions, sigles, etc. En parallèle, retrace le basculement de son auteur, auparavant spécialisé manga, vers l'illustration militante. Très effrayant, dessins noir et blanc magnifiques.
Pour le 14, Étrangeté, faut-il encore présenter Dune de Herbert? J'étais passée au travers bien que lisant pas mal de SF. Je précise que je n'ai pas vu le film. J'aime beaucoup les descriptions, les lieux, l'atmosphère. Mais c'est trop guindé à mon goût dans les dialogues.
Pour le 14, Étrangeté, faut-il encore présenter Dune de Herbert? J'étais passée au travers bien que lisant pas mal de SF. Je précise que je n'ai pas vu le film. J'aime beaucoup les descriptions, les lieux, l'atmosphère. Mais c'est trop guindé à mon goût dans les dialogues.
- RyuzakiNiveau 9
Défi 40, Un livre dont le titre comprend un nom d’oiseau : Le dindon, Georges Feydeau
Un chassé-croisé amoureux entre des hommes et des femmes qui se poursuivent, se séduisent, se trompent et se croient trompés.
Ma foi, on pouvait commencer plus mal l’année et le défi. Feydeau reprend tous les codes du vaudeville avec un seul but : faire rire le plus souvent possible. Et il y arrive remarquablement bien. Tout est fait pour garder le spectateur captivé, grâce à un rythme sans temps mort et à des répliques travaillées pour produire un maximum d’effet comique. En lisant, j’ai pu très facilement imaginer la pièce dans ma tête. Une première lecture fort sympathique, donc.
Verdict : drôle
Feydeau a écrit:Pontagnac. Mais, entre nous, ce n’est pas un homme capable d’inspirer une passion.
Lucienne, sévèrement. C’est mon mari !
Pontagnac, se levant. Là, vous voyez bien que vous êtes de mon avis.
Lucienne. Mais pas du tout!
Pontagnac. Mais si ! Mais si ! Si vous l’aimiez, ce qui s’appelle aimer -je ne parle pas d’affection-, est-ce que vous auriez besoin de motiver votre amour ? La femme qui aime dit : « j’aime parce que j’aime », elle ne dit pas : « j’aime parce qu’il est mon mari. » L’amour n’est pas une conséquence, c’est un principe ! Il n’existe, il ne vaut qu’à l’état d’essence ; vous, vous ne le servez à l’état d’extrait.
Un chassé-croisé amoureux entre des hommes et des femmes qui se poursuivent, se séduisent, se trompent et se croient trompés.
Ma foi, on pouvait commencer plus mal l’année et le défi. Feydeau reprend tous les codes du vaudeville avec un seul but : faire rire le plus souvent possible. Et il y arrive remarquablement bien. Tout est fait pour garder le spectateur captivé, grâce à un rythme sans temps mort et à des répliques travaillées pour produire un maximum d’effet comique. En lisant, j’ai pu très facilement imaginer la pièce dans ma tête. Une première lecture fort sympathique, donc.
Verdict : drôle
- nicole 86Expert spécialisé
Pour le défi 26, un campus novel : Un tout petit monde de David Lodge. Dans le tout petit monde des professeurs de littérature anglaise moderne, les rencontres, coups-bas et intrigues amoureuses ou érotiques se multiplient au gré des séminaires successifs. Je me réjouissais de retrouver l'auteur de La vie en sourdine, la langue est fluide, l'humour caustique voire féroce fait mouche mais j'ai trouvé certains chapitres bien longs (500 pages au total) au point de parfois survoler quelques pages avant de reprendre la lecture à un épisode plus incisif. Bref, avis mitigé pour un roman que je n'ai terminé que parce qu'il entrait dans le cadre du défi.
Convient aussi pour le défi 25 : une satire.
Convient aussi pour le défi 25 : une satire.
- lulucastagnetteEmpereur
nicole 86 a écrit:Pour le défi 26, un campus novel : Un tout petit monde de David Lodge. Dans le tout petit monde des professeurs de littérature anglaise moderne, les rencontres, coups-bas et intrigues amoureuses ou érotiques se multiplient au gré des séminaires successifs. Je me réjouissais de retrouver l'auteur de La vie en sourdine, la langue est fluide, l'humour caustique voire féroce fait mouche mais j'ai trouvé certains chapitres bien longs (500 pages au total) au point de parfois survoler quelques pages avant de reprendre la lecture à un épisode plus incisif. Bref, avis mitigé pour un roman que je n'ai terminé que parce qu'il entrait dans le cadre du défi.
Convient aussi pour le défi 25 : une satire.
Je n'ai déjà pas trop aimé La Vie en sourdine, tu me convaincs que Lodge n'est pas pour moi.
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
2022 commence à peine et je vois que le fil de discussion a déjà six pages. Je m'inscris donc pour 2022, mais contrairement aux années précédentes, je vais essayer de ne pas laisser le défi dicter mes lectures, mais plutôt de faire entrer mes lectures dans le défi, sans me priver de celles qui n'y entreraient pas, surtout que je participe aussi à trois défis sur babelio, c'est bien suffisant.
Je commence donc l'année avec une relecture prévue depuis longtemps mais que je n'avais pas encore pris le temps de faire, le livre est d'ailleurs en retard à la médiathèque. Il s'agit de Amerigo, récit d'une erreur historique de Stefan Zweig pour le défi n°45 "un récit de moins de 100 pages". Ce récit de 90 pages reprend par étapes l'attribution du nom d'Amérique au nouveau continent découvert à la fin du XVe siècle, en référence à Amerigo Vespucchi. Stefan Zweig montre que c'est par une succession de méprises et de tromperies que ce nom est attribué et que ledit Amerigo n'y est pas pour grand chose, sa seul action étant d'avoir écrit trois lettres de comptes-rendus aux commanditaires de ses trois voyages à la découvertes des Indes et d'avoir le premier donné le nom de mundus novus à ce que Colomb prétendait alors être le pays du grand Khan. Les réécritures, impressions et diffusions de l'époque et des siècles suivants ont fait le reste, créant au passage une controverse qui n'avait pas lieu d'être.
2022 commence à peine et je vois que le fil de discussion a déjà six pages. Je m'inscris donc pour 2022, mais contrairement aux années précédentes, je vais essayer de ne pas laisser le défi dicter mes lectures, mais plutôt de faire entrer mes lectures dans le défi, sans me priver de celles qui n'y entreraient pas, surtout que je participe aussi à trois défis sur babelio, c'est bien suffisant.
Je commence donc l'année avec une relecture prévue depuis longtemps mais que je n'avais pas encore pris le temps de faire, le livre est d'ailleurs en retard à la médiathèque. Il s'agit de Amerigo, récit d'une erreur historique de Stefan Zweig pour le défi n°45 "un récit de moins de 100 pages". Ce récit de 90 pages reprend par étapes l'attribution du nom d'Amérique au nouveau continent découvert à la fin du XVe siècle, en référence à Amerigo Vespucchi. Stefan Zweig montre que c'est par une succession de méprises et de tromperies que ce nom est attribué et que ledit Amerigo n'y est pas pour grand chose, sa seul action étant d'avoir écrit trois lettres de comptes-rendus aux commanditaires de ses trois voyages à la découvertes des Indes et d'avoir le premier donné le nom de mundus novus à ce que Colomb prétendait alors être le pays du grand Khan. Les réécritures, impressions et diffusions de l'époque et des siècles suivants ont fait le reste, créant au passage une controverse qui n'avait pas lieu d'être.
- *Ombre*Grand sage
Je commence l'année avec des lectures aussi pieuses qu'édifiantes, avec La Grâce, de Thibaut de Montaigu, qui convient pour les items Renaissance ou La couverture est en noir et blanc (enfin, surtout en blanc). Ce journaliste raconte sa conversion tardive et s'interroge sur la nature de la grâce divine et ses manifestations. Il s'appuie sur sa propre expérience, mais aussi sur le parcours de son oncle, moine franciscain, et sur la vie de saint François d'Assises. La réflexion sur la façon dont la foi advient chez certaines personnes qui ne vivent pas dans un milieu croyant m'a intéressée, mais plus encore les références multiples sur les définitions de la grâce. Il m'a fallu me replonger dans Pascal, mais aussi m'informer sur saint Augustin (dont le je connais que le peu qu'on peut étudier en fac de lettres), saint Thomas, Ignace de Loyola... (merci Wikipédia). J'ai été stupéfaite d'apprendre qu'il a fallu attendre le XVIe siècle et la compagnie de Jésus pour concilier foi et libre arbitre. Si j'ai bien compris, jusque là, pour les pères de l'Eglise, la grâce est un don de Dieu qui l'accorde à qui Il veut, et qui seule assure le salut de l'homme. Jusqu'aux Jésuites, l'idée que l'homme peut se sauver lui-même, par ses actes, l'exercice de son libre arbitre, est hérétique. Cela m'a laissée songeuse. Mais au-delà de ce qui peut me heurter dans telle ou telle représentation, j'ai trouvé très touchant ce témoignage personnel sur l'expérience de la grâce, ce qu'elle a d'inconstant et de frustrant, et la façon dont une conversion peut fiche le bazar dans une vie.
Une lecture de Noël intéressante.
Une lecture de Noël intéressante.
- nicole 86Expert spécialisé
*Ombre* a écrit:Je commence l'année avec des lectures aussi pieuses qu'édifiantes, avec La Grâce, de Thibaut de Montaigu, qui convient pour les items Renaissance ou La couverture est en noir et blanc (enfin, surtout en blanc). Ce journaliste raconte sa conversion tardive et s'interroge sur la nature de la grâce divine et ses manifestations. Il s'appuie sur sa propre expérience, mais aussi sur le parcours de son oncle, moine franciscain, et sur la vie de saint François d'Assises. La réflexion sur la façon dont la foi advient chez certaines personnes qui ne vivent pas dans un milieu croyant m'a intéressée, mais plus encore les références multiples sur les définitions de la grâce. Il m'a fallu me replonger dans Pascal, mais aussi m'informer sur saint Augustin (dont le je connais que le peu qu'on peut étudier en fac de lettres), saint Thomas, Ignace de Loyola... (merci Wikipédia). J'ai été stupéfaite d'apprendre qu'il a fallu attendre le XVIe siècle et la compagnie de Jésus pour concilier foi et libre arbitre. Si j'ai bien compris, jusque là, pour les pères de l'Eglise, la grâce est un don de Dieu qui l'accorde à qui Il veut, et qui seule assure le salut de l'homme. Jusqu'aux Jésuites, l'idée que l'homme peut se sauver lui-même, par ses actes, l'exercice de son libre arbitre, est hérétique. Cela m'a laissée songeuse. Mais au-delà de ce qui peut me heurter dans telle ou telle représentation, j'ai trouvé très touchant ce témoignage personnel sur l'expérience de la grâce, ce qu'elle a d'inconstant et de frustrant, et la façon dont une conversion peut fiche le bazar dans une vie.
Une lecture de Noël intéressante.
Une vidéo de KTO où l'auteur s'exprime sur son livre à partir de 9 min 26 :
https://www.youtube.com/watch?v=lRXoZ_3kVbQ
- *Ombre*Grand sage
Merci, Nicole.
Bon, si je me mets regarder KTO après avoir lu un bouquin sur la grâce, mon mari va commencer à se poser des questions.
Bon, si je me mets regarder KTO après avoir lu un bouquin sur la grâce, mon mari va commencer à se poser des questions.
- nicole 86Expert spécialisé
*Ombre* a écrit:Merci, Nicole.
Bon, si je me mets à regarder KTO après avoir lu un bouquin sur la grâce, mon mari va commencer à se poser des questions.
Je n'ai pas lu ce livre mais il y avait une émission revigorante sur la grâce (vue par un protestant) sur France Culture à 8h 30 ce matin
- Spoiler:
- En ce qui concerne M *Ombre* : Le patriarcat ... toussa toussa
- farfallaEmpereur
farfalla a écrit:Cléopatra2 a écrit:Il est très moyen, ce roman. Bon après, c'est une lecture pas trop prise de tête.farfalla a écrit:J’ai commencé Une relation dangereuse, de Douglas Kennedy pour l’item violences.
Les personnages principaux sont des reporters internationaux qui font connaissance dans une situation de danger. Leur histoire d’amour commence sur les chapeaux de roues et lui obtient une promotion à Londres. Ils se marient et s’y installent. Commence alors la descente aux Enfers pour elle : grossesse difficile, peu de soutien du père, allaitement compliqué, relation amoureuse compliquée (il se révèle être un pervers narcissique), puis vient le temps du divorce et du combat où tout est permis pour la garde de l’enfant.
Jusqu’où l’amour peut-il entraîner la haine et la violence du quotidien ?
C’est le premier roman que je lis de cet auteur (je pioche parmi les livres laissés par les anciens propriétaires). Je ne sais pas trop quoi en penser pour le moment. Je lis mais je n’ai pas l’impression que c’est un livre qui va me marquer.
Tu résumes bien ce que j’en pense. J’avance difficilement.
J’ai terminé le livre. Je ne le garderai pas. Il ne m’en restera pas un souvenir impérissable, c’est certain. Je trouve la fin convenue et ça ne me donne pas envie de lire un nouveau livre de cet auteur.
- EloahExpert spécialisé
J'ai terminé aujourd'hui Constance de Rosie Thomas qui peut entrer dans
le défi 2 (re)naissance
le défi 22 trahison
le défi 30 un livre qui se déroule sur deux époques
le défi 41 l'histoire se déroule dans une capitale européenne
le défi 49 quête d'identité
... je ne sais pas encore où je vais le classer
En tout cas cette lecture est une bonne surprise ! C'est un livre que j'ai acheté en occasion un peu par hasard. C'est le genre de roman qui aborde tant de thèmes, qui fait ressentir tant d'émotions, que le résumer n'est pas lui faire honneur car l'intrigue en somme est assez classique : l'histoire d'une femme qui cherche à savoir qui elle est (enfant abandonnée) et qui vit pendant plus de 20 ans un amour brûlant mais impossible. La plume elle aussi est assez simple. Ce qui m'a plu, c'est d'une part qu'on voyage de Londres à Bali et en Ouzbékistan et ces lieux ne sont pas de simples décors : à Bali on vit diverses coutumes et c'est passionnant, en Ouzbékistan on comprend à quel point religion et politique peuvent ruiner la vie d'une population. Les relations entre les personnages sont mouvementées et le roman prend le temps d'en développer les complexités. Beaucoup d'autres thèmes sont abordés, parmi ceux qui m'ont plu : la difficulté de grandir avec une sœur handicapée, la question de l'intégration dans un pays qui n'est pas le sien, le poids de la trahison sur un destin, la fin de vie.
le défi 2 (re)naissance
le défi 22 trahison
le défi 30 un livre qui se déroule sur deux époques
le défi 41 l'histoire se déroule dans une capitale européenne
le défi 49 quête d'identité
... je ne sais pas encore où je vais le classer
En tout cas cette lecture est une bonne surprise ! C'est un livre que j'ai acheté en occasion un peu par hasard. C'est le genre de roman qui aborde tant de thèmes, qui fait ressentir tant d'émotions, que le résumer n'est pas lui faire honneur car l'intrigue en somme est assez classique : l'histoire d'une femme qui cherche à savoir qui elle est (enfant abandonnée) et qui vit pendant plus de 20 ans un amour brûlant mais impossible. La plume elle aussi est assez simple. Ce qui m'a plu, c'est d'une part qu'on voyage de Londres à Bali et en Ouzbékistan et ces lieux ne sont pas de simples décors : à Bali on vit diverses coutumes et c'est passionnant, en Ouzbékistan on comprend à quel point religion et politique peuvent ruiner la vie d'une population. Les relations entre les personnages sont mouvementées et le roman prend le temps d'en développer les complexités. Beaucoup d'autres thèmes sont abordés, parmi ceux qui m'ont plu : la difficulté de grandir avec une sœur handicapée, la question de l'intégration dans un pays qui n'est pas le sien, le poids de la trahison sur un destin, la fin de vie.
- AdrenFidèle du forum
Eloah, tu donnes envie de le lire, je note.
- alprechac2Expert
Je me lance dans le défi lecture !
J'ai lu, au départ pour le collège (projet autour d'un spectacle, en lien avec ma collègue de musique et d'anglais) Black boy, de Richard Wright, que j'ai classé dans le défi 5. Un livre dont le titre contient une lettre comptant dix points au scrabble.
C'est l'autobiographie de l'auteur ; j'ai beaucoup aimé : malgré l'extrême dureté et pauvreté (sa faim constante m'a marquée) de l'enfance de Richard Wright, j'ai trouvé ce livre finalement plutôt optimiste : se dire qu'il est devenu un grand écrivain en n'ayant été quasiment pas scolarisé (et avec l'environnement dans lequel il a grandi), ça donne de l'espoir !
Pour le défi 3. (Re)naissance, j'ai immédiatement pensé à Mon petit AVC, de Margot Turcat : renaissance de par les gestes fondamentaux qu'elle doit réapprendre, mais aussi de par tout ce que cet AVC lui a appris sur elle-même. J'ai adoré : c'est drôle, émouvant, inventif (je lis très peu de romans graphiques, donc je n'ai pas trop de références) et c'est un bel hommage, aux soignants, à ses parents, son Barbu.
Pour le défi 9. La suite d’un livre, j'ai lu L'Arabe du futur, de Riad Sattouf (tome 5), que j'ai nettement préféré aux 4 premiers, parce que je ne suis pas très portée sur l'histoire du Moyen-Orient. Ce tome se focalise plus sur l'introspection de Riad Sattouf, son adolescence, ses sentiments, tiraillés entre sa situation familiale, son statut social au collège, l'absence de son petit frère.
J'ai lu, au départ pour le collège (projet autour d'un spectacle, en lien avec ma collègue de musique et d'anglais) Black boy, de Richard Wright, que j'ai classé dans le défi 5. Un livre dont le titre contient une lettre comptant dix points au scrabble.
C'est l'autobiographie de l'auteur ; j'ai beaucoup aimé : malgré l'extrême dureté et pauvreté (sa faim constante m'a marquée) de l'enfance de Richard Wright, j'ai trouvé ce livre finalement plutôt optimiste : se dire qu'il est devenu un grand écrivain en n'ayant été quasiment pas scolarisé (et avec l'environnement dans lequel il a grandi), ça donne de l'espoir !
Pour le défi 3. (Re)naissance, j'ai immédiatement pensé à Mon petit AVC, de Margot Turcat : renaissance de par les gestes fondamentaux qu'elle doit réapprendre, mais aussi de par tout ce que cet AVC lui a appris sur elle-même. J'ai adoré : c'est drôle, émouvant, inventif (je lis très peu de romans graphiques, donc je n'ai pas trop de références) et c'est un bel hommage, aux soignants, à ses parents, son Barbu.
Pour le défi 9. La suite d’un livre, j'ai lu L'Arabe du futur, de Riad Sattouf (tome 5), que j'ai nettement préféré aux 4 premiers, parce que je ne suis pas très portée sur l'histoire du Moyen-Orient. Ce tome se focalise plus sur l'introspection de Riad Sattouf, son adolescence, ses sentiments, tiraillés entre sa situation familiale, son statut social au collège, l'absence de son petit frère.
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Habillez vos petits ! Mise à jour 18/04/2022 :
https://www.neoprofs.org/t120915-vd-fille-6-mois-9-ans-sm-pb-maj-18-04-2022#4574437
- DHMonarque
- StephieNiveau 5
Deuxième livre du défi, je l'ai classé en couverture noir et blanc, mais il aurait pu rentrer aussi dans "récit de moins de 100 pages"
Un livre dont la couverture est en noir et blanc. La meute d'Adèle Tariel
Petit roman pour grands ados : dans un lycée, une jeune fille pour se faire intégrer va participer au harcèlement d'un enseignant.
Récit intéressant dans une collection qui donne accès au texte lu par l'auteur grâce à un QR Code.
Un livre dont la couverture est en noir et blanc. La meute d'Adèle Tariel
Petit roman pour grands ados : dans un lycée, une jeune fille pour se faire intégrer va participer au harcèlement d'un enseignant.
Récit intéressant dans une collection qui donne accès au texte lu par l'auteur grâce à un QR Code.
- MédéeÉrudit
Défi 20. Un livre d'un auteur d'Afrique francophone.
J'ai fini La plus secrète mémoire des hommes... Quelle claque !
Je dois dire que je n'ai pas accroché dès les premières pages, il m'a fallu avancer pour être happée et finir par dévorer le livre. L'écriture est puissante et magnifique, les différents récits qui se succèdent sont passionnants et d'une grande profondeur.
J'ai l'impression que tout ce que je pourrais dire sur ce livre sonnerait creux ! Hâte d'en discuter avec ceux qui l'ont lu sur le fil dédié, je vais d'abord me remettre de cette lecture !
J'ai fini La plus secrète mémoire des hommes... Quelle claque !
Je dois dire que je n'ai pas accroché dès les premières pages, il m'a fallu avancer pour être happée et finir par dévorer le livre. L'écriture est puissante et magnifique, les différents récits qui se succèdent sont passionnants et d'une grande profondeur.
J'ai l'impression que tout ce que je pourrais dire sur ce livre sonnerait creux ! Hâte d'en discuter avec ceux qui l'ont lu sur le fil dédié, je vais d'abord me remettre de cette lecture !
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Rentrée 2024 : Poste fixe ! (et 16e établissement )
2021-2024 : TZR en remplacements courts
2020-2021 : T3 - TZR en AFA : 1 collège 6e, 5e + PP 5e
2019-2020 : T2 - TZR en AFA : 2 collèges 6e, 5e, 4e + PP 5e
2018-2019 : T1 - TZR en AFA : 3 collèges 5e, 4e
2017-2018 : Stagiaire en lycée (2nde x2)
- BartleboothNiveau 7
Mes premiers livres du défi 2022!
- pour le thème "Trahison", La Maîtresse du peintre de Simone Van der Vlugt
L'autrice reconstitue ce qu'a pu être l'existence de Geertje Dircx, qui fut pendant huit ans la compagne de Rembrandt et que le peintre fit enfermer pendant cinq ans dans une sorte de maison de correction pour femmes, en usant sans doute de fausses accusations. Pendant longtemps les biographes de Rembrandt ont passé sous silence cette sinistre affaire, quand ils ne décrivaient pas Geertje comme une arriviste à moitié folle; mais Van der Vlugt base sa reconstitution sur des documents d'archives qui suggèrent une vengeance liée à des questions d'argent. Passé les premières pages j'ai beaucoup aimé.
- pour le thème "couverture en noir et blanc", Neverland de Timothée de Fombelle
L'auteur retrace dans une prose très poétique sa quête pour retrouver son enfance. C'est vraiment très bien écrit et certains passages m'ont beaucoup émue en ma rappelant des souvenirs personnels. (convient aussi pour la quête d'identité ou le voyage dans le temps)
- Pour la pièce de théâtre écrite au XXIe siècle, Edmond de Michalik
J'ai aimé lire cette pièce, que j'avais déjà vue sur scène.
- Pour "la ville et ses bas-fonds", La Ville noire de George Sand
C'est un de ces romans d'inspiration socialiste où les ouvriers débattent avec un langage assez peu en adéquation avec l'éducation qu'ils ont reçue, mais ça se laisse lire.
Le prix Goncourt est dans ma PAL... J'ai hâte mais j'ai d'autres livres à lire avant pour le boulot...
- pour le thème "Trahison", La Maîtresse du peintre de Simone Van der Vlugt
L'autrice reconstitue ce qu'a pu être l'existence de Geertje Dircx, qui fut pendant huit ans la compagne de Rembrandt et que le peintre fit enfermer pendant cinq ans dans une sorte de maison de correction pour femmes, en usant sans doute de fausses accusations. Pendant longtemps les biographes de Rembrandt ont passé sous silence cette sinistre affaire, quand ils ne décrivaient pas Geertje comme une arriviste à moitié folle; mais Van der Vlugt base sa reconstitution sur des documents d'archives qui suggèrent une vengeance liée à des questions d'argent. Passé les premières pages j'ai beaucoup aimé.
- pour le thème "couverture en noir et blanc", Neverland de Timothée de Fombelle
L'auteur retrace dans une prose très poétique sa quête pour retrouver son enfance. C'est vraiment très bien écrit et certains passages m'ont beaucoup émue en ma rappelant des souvenirs personnels. (convient aussi pour la quête d'identité ou le voyage dans le temps)
- Pour la pièce de théâtre écrite au XXIe siècle, Edmond de Michalik
J'ai aimé lire cette pièce, que j'avais déjà vue sur scène.
- Pour "la ville et ses bas-fonds", La Ville noire de George Sand
C'est un de ces romans d'inspiration socialiste où les ouvriers débattent avec un langage assez peu en adéquation avec l'éducation qu'ils ont reçue, mais ça se laisse lire.
Le prix Goncourt est dans ma PAL... J'ai hâte mais j'ai d'autres livres à lire avant pour le boulot...
- farfallaEmpereur
Un livre dont l'histoire se passe dans une capitale d'Europe. => Mes amis, mes amours de Marc Lévy
Je continue de piocher dans la pile des livres laissés par les anciens proprio. Je l’ai commencé hier soir.
Comme beaucoup de Marc Levy c’est, pour moi, de la lecture facile. Je n’en suis qu’au début, ça se lit, mais j’ai du mal à comprendre pourquoi cet auteur est si apprécié.
Je continue de piocher dans la pile des livres laissés par les anciens proprio. Je l’ai commencé hier soir.
Comme beaucoup de Marc Levy c’est, pour moi, de la lecture facile. Je n’en suis qu’au début, ça se lit, mais j’ai du mal à comprendre pourquoi cet auteur est si apprécié.
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"Si nada nos salva de la muerte, al menos que el amor nos salve de la vida" Pablo Neruda
"Yo lloré porque no tenía zapatos hasta que vi un niño que no tenía pies." Oswaldo Guayasamin
- MalagaModérateur
Pour le défi 32. Écrans, j'ai lu Acide sulfurique d'Amélie Nothomb. J'ai ce livre dans ma PAL depuis un moment et je pensais "l'utiliser" pour le défi "écrivain belge" mais finalement, il fonctionne encore mieux pour le défi 32.
Une jeune femme, Pannonique, est brutalement capturée pour participer contre son gré à une émission de télé-réalité appelé "Concentration". Cette émission reprend le fonctionnement des camps de concentration nazis avec les kapos qui surveillent, les tâches harassantes, les repas très frugaux et l'élimination des personnes les plus faibles. Le tout sous l'oeil des caméras..
Mon avis : j'aime beaucoup l'écriture d'Amélie Nothomb, son style, ses réflexions. Donc, de ce côté-là, je n'ai pas été déçue. En revanche, le thème du livre m'a paru très excessif : la critique de la télé-réalité pouvait se faire de manière plus nuancée et donc plus juste. Là, le côté excessif empêche une vraie réflexion.
Une jeune femme, Pannonique, est brutalement capturée pour participer contre son gré à une émission de télé-réalité appelé "Concentration". Cette émission reprend le fonctionnement des camps de concentration nazis avec les kapos qui surveillent, les tâches harassantes, les repas très frugaux et l'élimination des personnes les plus faibles. Le tout sous l'oeil des caméras..
Mon avis : j'aime beaucoup l'écriture d'Amélie Nothomb, son style, ses réflexions. Donc, de ce côté-là, je n'ai pas été déçue. En revanche, le thème du livre m'a paru très excessif : la critique de la télé-réalité pouvait se faire de manière plus nuancée et donc plus juste. Là, le côté excessif empêche une vraie réflexion.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
pour le défi n°5 "consonne à dix points", j'ai lu Voix d'extinction de Sophie Hénaff. C'est une auteure que j'aime bien et même si je préfère ses Poulets grillés j'ai bien aimé aussi ce dernier titre trouvé sous le sapin.
En 2031, les espèces animales que nous connaissons comme "menacées" sont en voie d'extinction, ou pire, disparues. Dieu (qui est une femme) est en colère, Noé se fait remonter les bretelles de sa toge et est sommé, avec Gabriel, son pote de pétanque, de trouver une solution. Il propose alors de métamorphoser en humains quatre animaux pour faire entendre leur voix au grand sommet mondial de protection de la nature où doit être signé par tous les pays un nouveau traité. A ce sommet auquel la presse n'est pas conviée, on trouve aussi bien un prix Nobel qui tente désespérément de sauver les dernières girafes que des lobbyistes chasseurs visant les profits du CAC 40 et des actionnaires. Les quatre animaux métamorphosés, si grâce à Dieu ils comprennent et parlent toutes les langues, il leur manque cependant encore bien des codes sociaux humains, ce qui donne évidemment lieu à nombre de quiproquos et situations loufoques comme l'auteure les affectionne.
pour le défi n°5 "consonne à dix points", j'ai lu Voix d'extinction de Sophie Hénaff. C'est une auteure que j'aime bien et même si je préfère ses Poulets grillés j'ai bien aimé aussi ce dernier titre trouvé sous le sapin.
En 2031, les espèces animales que nous connaissons comme "menacées" sont en voie d'extinction, ou pire, disparues. Dieu (qui est une femme) est en colère, Noé se fait remonter les bretelles de sa toge et est sommé, avec Gabriel, son pote de pétanque, de trouver une solution. Il propose alors de métamorphoser en humains quatre animaux pour faire entendre leur voix au grand sommet mondial de protection de la nature où doit être signé par tous les pays un nouveau traité. A ce sommet auquel la presse n'est pas conviée, on trouve aussi bien un prix Nobel qui tente désespérément de sauver les dernières girafes que des lobbyistes chasseurs visant les profits du CAC 40 et des actionnaires. Les quatre animaux métamorphosés, si grâce à Dieu ils comprennent et parlent toutes les langues, il leur manque cependant encore bien des codes sociaux humains, ce qui donne évidemment lieu à nombre de quiproquos et situations loufoques comme l'auteure les affectionne.
- miss sophieExpert spécialisé
Ton résumé fait vraiment envie ! Je ne connaissais pas du tout cette écrivaine mais je vois que ma médiathèque a ses quatre romans, j'irai certainement en emprunter un cette année.
- AdrenFidèle du forum
Si tu connais et aimes J.M. Erre, c'est du même tonneau, je trouve. Drôle, distrayant, des personnages sympathiques, une lecture agréable de dimanche après-midi
Edit : il faut commencer par le premier Poulets grillés, où l'équipe se met en place puis lire 2 et 3.
Edit : il faut commencer par le premier Poulets grillés, où l'équipe se met en place puis lire 2 et 3.
- Cléopatra2Guide spirituel
Je commence l'année avec deux polars.
Tout d'abord Lisa Gardner A même la peau. Je le place dans auteur prolifique ou suite de livre. On retrouve le commandant DD Warren, gravement blessée en service qui, mise sur la touche, tente de résoudre une série de crimes atroces : les victimes sont écorchées. Ces crimes font écho à une série de crimes ayant eu lieu 30 ans plus tôt.
Bon, c'est sympa, ça se laisse lire, comme tous les romans de cette série, mais c'est de plus en plus invraisemblable. Tout est improbable, du déroulé de l'enquête aux actions des personnages. A lire si vous avez lu les autres, sinon c'est hautement dispensable.
Ensuite A la folie, pas du tout de M-J Arlidge. Je le mets dans violence, ou suite de livre. On retrouve cette fois le commandant Helen Grace qui vient de vivre des événements très bouleversants professionnellement et personnellement (je n'en dis pas plus au cas où vous voudriez lire les romans précédents). Là encore, ça devient un peu du n'importe quoi, la palme étant remportée par le tome précédent. Bref, l'équipe de policiers de Southampton doit arrêter des meurtriers en cavale qui semblent tuer des inconnus au hasard.
Le polar est assez haletant, car l'ensemble de l'histoire se déroule sur une seule journée, moins de 24h. Il y a tout de même des deus ex machina pour faire avancer l'enquête mais on va dire que ça se tient. Là aussi on sent que l'auteur peine à se réinventer.
Après, les deux romans permettent une lecture sympa et sans prise de tête, avec du bon suspense. Il ne faut juste pas trop penser à la crédibilité du truc.
Tout d'abord Lisa Gardner A même la peau. Je le place dans auteur prolifique ou suite de livre. On retrouve le commandant DD Warren, gravement blessée en service qui, mise sur la touche, tente de résoudre une série de crimes atroces : les victimes sont écorchées. Ces crimes font écho à une série de crimes ayant eu lieu 30 ans plus tôt.
Bon, c'est sympa, ça se laisse lire, comme tous les romans de cette série, mais c'est de plus en plus invraisemblable. Tout est improbable, du déroulé de l'enquête aux actions des personnages. A lire si vous avez lu les autres, sinon c'est hautement dispensable.
Ensuite A la folie, pas du tout de M-J Arlidge. Je le mets dans violence, ou suite de livre. On retrouve cette fois le commandant Helen Grace qui vient de vivre des événements très bouleversants professionnellement et personnellement (je n'en dis pas plus au cas où vous voudriez lire les romans précédents). Là encore, ça devient un peu du n'importe quoi, la palme étant remportée par le tome précédent. Bref, l'équipe de policiers de Southampton doit arrêter des meurtriers en cavale qui semblent tuer des inconnus au hasard.
Le polar est assez haletant, car l'ensemble de l'histoire se déroule sur une seule journée, moins de 24h. Il y a tout de même des deus ex machina pour faire avancer l'enquête mais on va dire que ça se tient. Là aussi on sent que l'auteur peine à se réinventer.
Après, les deux romans permettent une lecture sympa et sans prise de tête, avec du bon suspense. Il ne faut juste pas trop penser à la crédibilité du truc.
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