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- Ajonc35Sage
Je suis d'accord sur le fait que ces formations privées très chères, ne garantissent pas l'emploi, sans que ces diplômes reconnus par un autre ministère ne le sont pas toujours par l'EN. Mais je connais aussi des universitaires, des enseignants de classes prepa qui vont arrondir leurs fins de mois dans ce type d'écoles. Et ça, ça m'énerve!.il y en a qui se tirent une balle dans le pied et pire dans celui des autres.Jim Prideaux a écrit:Pour ce qui est des CPGE, et plus particulièrement des ECG le problème n'est pas la réforme des Maths (pour mémoire la décroissance des effectifs touche aussi bien le parcours Maths appliquées, accessible aux élèves qui ont suivi Maths complémentaires, que maths approfondies, où la spécialité Maths avec Maths expert est plutôt souhaitable). La décroissance des effectifs a commencé bien avant la réforme du lycée, avec la profusion des bachelors et des écoles de commerce postbac, qui ouvrent toutes des campus partout. On peut d'ailleurs s'interroger sur l'employabilité de certains étudiants dans ces cursus au coût rédhibitoire, alors que les CPGE garantissent un accès direct à des écoles de qualité, avec une garantie sur le marché de l'emploi.
De façon plus globale le modèles des CPGE est aujourd'hui en question. Maintenir des classes avec parfois moins de 20 étudiants dans des endroits avec une offre pléthorique a-t-il un sens ? Les hypokhâgnes prennent de plein fouet les ouvertures de doubles licences, là aussi à très court terme il y aura des questions sur le maintien de certaines de ces classes en région parisienne. Pour les prépas scientifiques il faudra voir (les ENV ouvrent des prépas intégrées, donc question pour BCPST, et les écoles d'ingénieurs post bac, avec un titre d'ingénieur protégé donc crédible sur le marché de l'emploi, aspirent également bon nombre d'élèves qui auparavant auraient candidaté en CPGE, c'est le cas pour des écoles comme les INSA, l'UTC ou quelques écoles très spécifiques en informatique).
A titre personnel je suis convaincu que ces CPGE sont une vraie opportunité (je voue une reconnaissance éternelle à mes propres professeurs de prépa littéraire, et je suis très fier de diriger un lycée à CPGE), et qu'elles garantissent une très solide formation, mais je pense aussi que certains se sont tirés une balle dans le pied, ou ont scié avec allégresse la branche sur laquelle ils étaient assis ! Plus dure sera la chute, et le mouvement national des postes en CPGE ira en se rétrécissant.
- chmarmottineGuide spirituel
Sinon, pendant que le niveau de maths des petits français ne s'améliore pas :
https://etudiant.lefigaro.fr/article/leur-niveau-en-maths-est-incroyable-l-insolent-succes-des-marocains-aux-concours-des-ecoles-d-ingenieurs_3c696c10-5c2f-11ec-8986-b8ee2f4285c7/?utm_term=Autofeed&utm_campaign=echobox&utm_medium=Social&origine=VWT16001&utm_source=Twitter#Echobox=1639557486
Et ce n'est pas une légende ... ma fille le constate en 1ere année de prépa cette année !
Excellents en maths et en physique, les étudiants marocains brillent aux concours des meilleures écoles d’ingénieurs françaises comme l’École polytechnique et CentraleSupélec.
https://etudiant.lefigaro.fr/article/leur-niveau-en-maths-est-incroyable-l-insolent-succes-des-marocains-aux-concours-des-ecoles-d-ingenieurs_3c696c10-5c2f-11ec-8986-b8ee2f4285c7/?utm_term=Autofeed&utm_campaign=echobox&utm_medium=Social&origine=VWT16001&utm_source=Twitter#Echobox=1639557486
Et ce n'est pas une légende ... ma fille le constate en 1ere année de prépa cette année !
- InvitéInvité
Ah je confond peut-être avec "Activité mentale" du coup.egomet a écrit:Manu7 a écrit:A ma visite de rdv de carrière, mon IPR m'a dit que ma question flash était trop longue (résolution d'une équation du style : 2x + 4 = 5x - 8), il faut dire que l'élève qui est passé au tableau avait fait une erreur et il m'a dit que j'ai perdu du temps en corrigeant. J'aurai du dire la solution était 4 et c'est tout, pas de correction et pas de passage au tableau mais comme la dernière fois, il m'avait dit que je devais envoyer au moins 5 fois par heure des élèves au tableau je croyais bien faire...
Je pense qu'il a raison sur un point ce n'était pas très flash, j'aurai du annoncer : Question flash nonne troppo !!! (avec des vrai morceaux de correction dedans).
Je ne comprends pas bien le problème. J'ai l'impression qu'il y a surtout confusion des genres. Certainement de ton côté, mais peut-être aussi du côté de l'IPR qui n'a pas su expliquer.
Les questions flash, c'est un exercice pour créer des automatismes ou réviser des notions déjà bien connues. Et c'est tout. Ca travaille la mémoire et l'application de règles simples. En ce sens, il n'y a rien à réexpliquer. C'est de l'entraînement pur et simple. Les exercices avec correction au tableau ont déjà été faits.
Si on veut vraiment que flash veuille dire quelque chose, il convient d'adopter un dispositif adéquat. Les questions peuvent être sur des flashcards, ou simplement dictées, ou écrites à l'avance au tableau, ou sur une fiche distribuée aux élèves. N'importe quoi, pourvu que les élèves puissent répondre vite.
Les réponses peuvent se faire sur ardoise. La réponse est vérifiée d'un coup d'œil. On peut distribuer les flashcards aux élèves les plus rapides. Ou demander aux élèves de compléter une fiche d'exercices le plus vite possible. Le premier qui finit (et a tout juste) gagne le jeu. Ou encore on le fait en temps limité, 3 minutes, on compte les réponses justes et on passe à autre chose.
Les mêmes exercices sont répétés le lendemain.
Et on augmente la difficulté progressivement. Pourquoi pas jusqu'au niveau de tes équations.
- Ramanujan974Érudit
chmarmottine a écrit:Sinon, pendant que le niveau de maths des petits français ne s'améliore pas :
Excellents en maths et en physique, les étudiants marocains brillent aux concours des meilleures écoles d’ingénieurs françaises comme l’École polytechnique et CentraleSupélec.
https://etudiant.lefigaro.fr/article/leur-niveau-en-maths-est-incroyable-l-insolent-succes-des-marocains-aux-concours-des-ecoles-d-ingenieurs_3c696c10-5c2f-11ec-8986-b8ee2f4285c7/?utm_term=Autofeed&utm_campaign=echobox&utm_medium=Social&origine=VWT16001&utm_source=Twitter#Echobox=1639557486
Et ce n'est pas une légende ... ma fille le constate en 1ere année de prépa cette année !
Le contraire serait étonnant, l'Afrique francophone en est encore au bac C des années 80-90 avec les programmes qui vont avec.
Il suffit d'aller voir les sujets de bac malien, sénégalais, etc..
- Manu7Expert spécialisé
egomet a écrit:Manu7 a écrit:A ma visite de rdv de carrière, mon IPR m'a dit que ma question flash était trop longue (résolution d'une équation du style : 2x + 4 = 5x - 8), il faut dire que l'élève qui est passé au tableau avait fait une erreur et il m'a dit que j'ai perdu du temps en corrigeant. J'aurai du dire la solution était 4 et c'est tout, pas de correction et pas de passage au tableau mais comme la dernière fois, il m'avait dit que je devais envoyer au moins 5 fois par heure des élèves au tableau je croyais bien faire...
Je pense qu'il a raison sur un point ce n'était pas très flash, j'aurai du annoncer : Question flash nonne troppo !!! (avec des vrai morceaux de correction dedans).
Je ne comprends pas bien le problème. J'ai l'impression qu'il y a surtout confusion des genres. Certainement de ton côté, mais peut-être aussi du côté de l'IPR qui n'a pas su expliquer.
Les questions flash, c'est un exercice pour créer des automatismes ou réviser des notions déjà bien connues. Et c'est tout. Ca travaille la mémoire et l'application de règles simples. En ce sens, il n'y a rien à réexpliquer. C'est de l'entraînement pur et simple. Les exercices avec correction au tableau ont déjà été faits.
Si on veut vraiment que flash veuille dire quelque chose, il convient d'adopter un dispositif adéquat. Les questions peuvent être sur des flashcards, ou simplement dictées, ou écrites à l'avance au tableau, ou sur une fiche distribuée aux élèves. N'importe quoi, pourvu que les élèves puissent répondre vite.
Les réponses peuvent se faire sur ardoise. La réponse est vérifiée d'un coup d'œil. On peut distribuer les flashcards aux élèves les plus rapides. Ou demander aux élèves de compléter une fiche d'exercices le plus vite possible. Le premier qui finit (et a tout juste) gagne le jeu. Ou encore on le fait en temps limité, 3 minutes, on compte les réponses justes et on passe à autre chose.
Les mêmes exercices sont répétés le lendemain.
Et on augmente la difficulté progressivement. Pourquoi pas jusqu'au niveau de tes équations.
Résoudre une équation sur une ardoise, non merci. De toute manière je suis allergique aux ardoises, pour moi c'est vraiment difficile d'accepter les ardoises au collège...
J'ai du mal à comprendre ton histoire de niveau de difficulté pour les équations ??? En troisième quand le chapitre est terminé, mon exemple correspond au niveau le plus facile et d'ailleurs en fin de chapitre je fais des exos "top chrono" dans lesquels les élèves doivent effectuer 10 équations en 10 minutes et il y a aussi des équations du type : 2(5x +2) = (x+5) - (2x - 8).
Donc pour revenir sur mon histoire de ma question flash, cela sonne, je sors du cours précédent, je traverse la cour, les élèves rentrent en cours, je note l'équation au tableau, je fais l'appel sur pronote, puis je présente l'inspecteur aux élèves car il vient d'inspecter mon collègue donc il arrive en retard pendant que l'élève passe au tableau, et je rectifie son erreur -8-4 n'est pas à égal à -4 mais à -12... L'inspecteur regarde sa montre, et en effet il y a 10 minutes que c'est sonné... Pour moi le cours n'a pas vraiment débuté... Chacun sa vision mais il me semble que dans ces dix minutes c'est ma traversée de la cour qui a été trop lente...
PS: en dehors de l'IPR qui m'a validé le concours, qui était vraiment très sympa et constructif et qui m'a donné d'excellents conseils que j'utilise encore aujourd'hui, j'ai vraiment du mal avec le timing pendant les inspections et des IPR en retard. J'ai encore en travers une inspection où l'IPR arrive 10 minutes en retard et ne voit pas ma partie calcul mental, il me reproche d'avoir mis 15 minutes à corriger le travail à la maison, je lui signale qu'avant la correction j'ai fait une activité de calcul mental, et d'ailleurs il a bien vu que les élèves sortaient leur cahier pendant qu'il s'installait... Mais pourtant dans le rapport j'ai à nouveau ce seul reproche d'avoir passé trop de temps à corriger le travail à la maison et il ajoute même que je devrai penser à varier les débuts de cours avec des exemples : questions flashs, activités, et même du calcul mental !!!
Il faut dire que pour ma collègue c'était encore pire, elle avait eu des remarques sur le manque de devoir maison en 3ème à l'inspection précédente, donc pour son RDV de carrière elle était contente de montrer ses 3 DM déjà donnés à la mi-ocotobre et bien dans le rapport il a encore reproché le manque de DM !!! Et moi qui avait fait un seul DM, car je ne voulais pas changer mes habitudes, et bien je n'ai eu aucune remarque...
- Dame JouanneÉrudit
Je suis tombée un peu par hasard sur une ancienne émission de France Culture où l'intervenant déclare:
Je trouve cela assez juste. Et ce qu'ils disent aussi sur les programmes tronçonnés en morceaux pour tenir dans des horaires diminués et qui ne s'imbriquent plus ensemble.
https://www.franceculture.fr/sciences/comment-les-petits-francais-sont-devenus-nuls-en-mathsC’est peut être encore plus problématique pour les profs d’école. Il y a à peu près entre 75 et 80% d’étudiants issus des filières non scientifiques. En soi, ce ne serait pas un problème, si l’enseignement était d’excellent niveau en primaire et dans le secondaire, on aurait des gens qui auraient une connaissance tout à fait suffisante. Mais actuellement, on a des gens qui n’ont pratiquement plus fait de sciences au lycée. En plus, en général, ils ont horreur des maths. Donc vous avez des futurs professeurs d’école qui haïssent les maths, n’en ont plus fait depuis fort longtemps, et à qui on dit brutalement : “Il va falloir refaire un peu de maths, et enseigner ça à des élèves”.
Je trouve cela assez juste. Et ce qu'ils disent aussi sur les programmes tronçonnés en morceaux pour tenir dans des horaires diminués et qui ne s'imbriquent plus ensemble.
- dandelionVénérable
J’ai fait assez peu de maths (section A1 à l’époque) mais quand j’ai dû enseigner en primaire (du fait de nos nombreux déménagements j’ai enseigné à tous les âges) cela ne m’a pas posé problème, malgré les 25 années écoulées depuis que j’en étais sortie. Bon, j’ai refait des divisions posées, dont j’avais perdu l’habitude, c’est vrai. Par contre, j’ai demandé conseil et ai été orientée vers des manuels qui proposaient une approche cohérente. Je constate qu’il n’y a qu’en France que les enseignants sont censés tout créer eux-mêmes. Bien sûr, un manuel n’est jamais complet mais c’est vraiment une grande aide quand on se retrouve à devoir enseigner avec peu de formation. Quand j’ai enseigné l’anglais en Suisse, il y avait un programme lexical commun, un manuel commun (éditeur anglais), un fichier d’exercices commun. Je rajoutais pas mal de choses, mais pour moi qui remplaçais, c’était un vrai confort. Les élèves n’étaient pas moins compétents que leurs homologues français.
Le programme de primaire en maths, ce n’est tout de même pas très avancé. Par contre, c’est technique, comme l’enseignement de la lecture. Ayant été confrontée aux deux, l’approche facile à suivre de manuels anciens et les conseils d’enseignants m’ont été d’une grande aide. Quand on ne peut plus recruter des personnes d’un bon niveau disciplinaire, on ne leur demande pas en plus, et pour un salaire de misère, de créer leurs propres supports. On leur donne des manuels et des cahiers d’exercices d’approche facile, et avec des corrigés. On peut bien sûr également leur proposer une formation adaptée.
Le programme de primaire en maths, ce n’est tout de même pas très avancé. Par contre, c’est technique, comme l’enseignement de la lecture. Ayant été confrontée aux deux, l’approche facile à suivre de manuels anciens et les conseils d’enseignants m’ont été d’une grande aide. Quand on ne peut plus recruter des personnes d’un bon niveau disciplinaire, on ne leur demande pas en plus, et pour un salaire de misère, de créer leurs propres supports. On leur donne des manuels et des cahiers d’exercices d’approche facile, et avec des corrigés. On peut bien sûr également leur proposer une formation adaptée.
- egometDoyen
Manu7 a écrit:
Résoudre une équation sur une ardoise, non merci. De toute manière je suis allergique aux ardoises, pour moi c'est vraiment difficile d'accepter les ardoises au collège...
Dommage ce refus, ce n'est que l'idée que l'on s'en fait. Mais bon, l'ardoise n'est qu'un outil parmi d'autres. Tout comme la question flash, ou n'importe quelle activité en fait.
C'était juste en réaction à l'idée de ton IPR, selon laquelle ton équation était trop longue pour une question flash. Ce n'est pas évident. Je pense qu'avec suffisamment d'entrainement, c'est un niveau adapté.Manu7 a écrit:
J'ai du mal à comprendre ton histoire de niveau de difficulté pour les équations ??? En troisième quand le chapitre est terminé, mon exemple correspond au niveau le plus facile et d'ailleurs en fin de chapitre je fais des exos "top chrono" dans lesquels les élèves doivent effectuer 10 équations en 10 minutes et il y a aussi des équations du type : 2(5x +2) = (x+5) - (2x - 8).
Mais juste une remarque par rapport à ce que tu dis. L'idée derrière les questions flashs et les petits exercices de début de cours, c'est de réactiver les connaissances existantes, donc typiquement, on va se situer un ou deux niveaux en dessous de la leçon en cours. Il s'agit de créer des automatismes, en visant une vitesse plus grande encore qu'une réponse toutes les minutes (ce qui est déjà bien en fin de chapitre).
Manu7 a écrit:
L'inspecteur regarde sa montre, et en effet il y a 10 minutes que c'est sonné... Pour moi le cours n'a pas vraiment débuté... Chacun sa vision mais il me semble que dans ces dix minutes c'est ma traversée de la cour qui a été trop lente...
Si un cours n'a pas vraiment commencé au bout de 10 minutes, il y a effectivement un problème. Mais j'ai l'impression que ce n'est pas de ton fait. Y a-t-il une seule sonnerie entre deux cours dans ton collège? Normalement, les sonneries devraient tenir compte des temps de trajet. Mais je sais que ce n'est pas toujours le cas. Avec la complexifications des emplois du temps, beaucoup d'établissements ont la tentation de tasser les cours.
Manu7 a écrit: PS: en dehors de l'IPR qui m'a validé le concours, qui était vraiment très sympa et constructif et qui m'a donné d'excellents conseils que j'utilise encore aujourd'hui, j'ai vraiment du mal avec le timing pendant les inspections et des IPR en retard. J'ai encore en travers une inspection où l'IPR arrive 10 minutes en retard et ne voit pas ma partie calcul mental, il me reproche d'avoir mis 15 minutes à corriger le travail à la maison, je lui signale qu'avant la correction j'ai fait une activité de calcul mental, et d'ailleurs il a bien vu que les élèves sortaient leur cahier pendant qu'il s'installait... Mais pourtant dans le rapport j'ai à nouveau ce seul reproche d'avoir passé trop de temps à corriger le travail à la maison et il ajoute même que je devrai penser à varier les débuts de cours avec des exemples : questions flashs, activités, et même du calcul mental !!!
Je compatis. J'ai connu moi aussi ces inspecteurs qui arrivent en retard n'écoutent rien. C'est à se flinguer.
D'ailleurs, je crains que la forme même des inspections n'encourage ce genre d'attitudes.
_________________
Primum non nocere.
Ubi bene, ibi patria.
Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
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