- lilith888Grand sage
Ce n'est pas parce que quelque chose s'est démocratisé (payer pour travailler) que c'est normal. Personnellement, je place mon zèle dans le fait de refuser de tendre la main pour finir par se faire manger le bras. La résistance passe aussi par là.
- Ajonc35Sage
Je m'etonne devoir des gamins, plutôt école primaire, dans la rue à toute heure de la journée, faire les courses, de la trottinette, etc.... classes fermées?
- Mona Lisa KlaxonEsprit éclairé
Dans l’école de notre village de rase campagne, classe de CM1CM2 fermée pour une semaine. On ne doit sûrement pas être les seuls…Ajonc35 a écrit:Je m'etonne devoir des gamins, plutôt école primaire, dans la rue à toute heure de la journée, faire les courses, de la trottinette, etc.... classes fermées?
- henrietteMédiateur
Sur les détecteurs commandés par mon collège, apparemment il y a des diodes de couleur : le rouge correspond à une situation de danger. Comme je fais déjà cours porte et oscillobattants ouverts, si on passe au rouge, le seul moyen de faire baisser le taux sera de faire sortir les élèves. Mon chef et d'accord avec ça.Not a Panda a écrit:henriette a écrit:Ben si, ça va changer des choses assez concrètement. Si on atteint un seuil dangereux, ça va être très vite vu pour ma part : prise en photo du taux, et évacuation de la salle. Je descends dans la cour avec les élèves en laissant tout ouvert pendant 10 minutes. Puis on remonte. Si le taux est suffisamment descendu, on reprend le cours. Sinon, on redescend.A Tuin a écrit:Je trouve que c'est vraiment cher. Et imaginons que les résultats soient négatifs ? Quelles seront les suites ? Cela ne changera pas le fait de devoir aller travailler, mais vous risquez de vivre dans la crainte continuellement. Je comprends la curiosité et l'intention, mais suis dubitative malgré tout.
Et dès la pause suivante, j'abonde le registre CHSCT, avec photo jointe + photocopie du tout adressé à un syndicat siégeant en commission académique hygiène et sécurité.
Et je recommence à chaque fois que c'est trop haut. Toutes les heures s'il le faut. Si on fait tous ça dans mon collège, et dans tous ceux qui ont été construits sur ce même modèle, cela fera peut-être enfin bouger les choses pour faire les travaux qu'on réclame depuis des dizaines d'années : des stores pour les salles exposées plein sud de façon à ne pas devoir fermer les volets et donc couper l'arrivée de l'air qui passe par les oscillobattants, et de vraies fenêtres qui s'ouvrent ou une VMC.
Je fais l'avocat du diable exprès : quel taux justifie un arrêt du cours et une descente des élèves dans la cours ? Sur quel texte s'appuyer pour justifier une mesure aussi ferme ? J'ai lu les dernières pages du fil en travers mais je n'ai vu, comme d'habitude, que des recommandations.
- Spoiler:
Pour l'anecdote, une collègue a obtenu la parole pendant la messe de pré-rentrée pour présenter les capteurs de CO2 et leur utilisation. Après son speech, elle nous montre le taux dans la salle : 1500ppm. On ouvre quelques fenêtres mais sans plus. Une heure plus tard, je regarde le capteur qui était resté posé sur la table en quittant la salle : 1200ppm. Ça ne choquait pas grand monde. Pourtant les seuils avaient bien été expliqués par la collègue qui a fait un super boulot.
Sinon, à une semaine de la rentrée, nous avons déjà une classe quasi fermée pour une semaine : il ne reste que 8 élèves qui viennent en cours...
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- A TuinVénérable
henriette a écrit:Ben si, ça va changer des choses assez concrètement. Si on atteint un seuil dangereux, ça va être très vite vu pour ma part : prise en photo du taux, et évacuation de la salle. Je descends dans la cour avec les élèves en laissant tout ouvert pendant 10 minutes. Puis on remonte. Si le taux est suffisamment descendu, on reprend le cours. Sinon, on redescend.A Tuin a écrit:Je trouve que c'est vraiment cher. Et imaginons que les résultats soient négatifs ? Quelles seront les suites ? Cela ne changera pas le fait de devoir aller travailler, mais vous risquez de vivre dans la crainte continuellement. Je comprends la curiosité et l'intention, mais suis dubitative malgré tout.
Et dès la pause suivante, j'abonde le registre CHSCT, avec photo jointe + photocopie du tout adressé à un syndicat siégeant en commission académique hygiène et sécurité.
Et je recommence à chaque fois que c'est trop haut. Toutes les heures s'il le faut. Si on fait tous ça dans mon collège, et dans tous ceux qui ont été construits sur ce même modèle, cela fera peut-être enfin bouger les choses pour faire les travaux qu'on réclame depuis des dizaines d'années : des stores pour les salles exposées plein sud de façon à ne pas devoir fermer les volets et donc couper l'arrivée de l'air qui passe par les oscillobattants, et de vraies fenêtres qui s'ouvrent ou une VMC.
Je conçois tout à fait pour les cas de salles mal aérées. Dans un établissement, les salles de tout un bâtiment n'avaient pas de fenêtre, mais un seul et unique velux, petit et ouvrant mal, au fond dans un coin. Cette configuration doit être terrible depuis le covid, et c'était déjà affreux avant (odeurs, sensation de suffocation, chaleur).
C'est peut-être moins urgent ou nécessaire pour des salles bien ouvertes et comportant un grand nombre de fenêtres.
- EnaecoVénérable
Quand on voit la réactivité lors des problèmes de température dans les salles, je pense que l'épidémie sera passée avant une vraie prise en compte de la qualité de l'air.
Je pense qu'il faudrait des capteurs commandés par l'établissement et installés dans les normes plutôt que l'enseignant qui vient avec la photo de son capteur perso et posé n'importe où pour que ça bouge.
Entre temps, il faudra définir un seuil officiel à partir duquel on estime qu'il faut évacuer.
Et la, on va bien rire quand dans certains établissements, on aura la moitié des salles qui sont inaccessibles au bout de 10 minutes. Les autres salles ne seront utilisables qu'à la condition d'ouvrir la majeure partie du temps et dans ce cas là, on sera tous en doudoune.
Je pense qu'il faudrait des capteurs commandés par l'établissement et installés dans les normes plutôt que l'enseignant qui vient avec la photo de son capteur perso et posé n'importe où pour que ça bouge.
Entre temps, il faudra définir un seuil officiel à partir duquel on estime qu'il faut évacuer.
Et la, on va bien rire quand dans certains établissements, on aura la moitié des salles qui sont inaccessibles au bout de 10 minutes. Les autres salles ne seront utilisables qu'à la condition d'ouvrir la majeure partie du temps et dans ce cas là, on sera tous en doudoune.
- lilith888Grand sage
Enaeco a écrit:Quand on voit la réactivité lors des problèmes de température dans les salles, je pense que l'épidémie sera passée avant une vraie prise en compte de la qualité de l'air.
Je pense qu'il faudrait des capteurs commandés par l'établissement et installés dans les normes plutôt que l'enseignant qui vient avec la photo de son capteur perso et posé n'importe où pour que ça bouge.
Entre temps, il faudra définir un seuil officiel à partir duquel on estime qu'il faut évacuer.
Et la, on va bien rire quand dans certains établissements, on aura la moitié des salles qui sont inaccessibles au bout de 10 minutes. Les autres salles ne seront utilisables qu'à la condition d'ouvrir la majeure partie du temps et dans ce cas là, on sera tous en doudoune.
Donc, on en revient à ce que tu as dit en première phrase : cela n'arrivera jamais...
- Nina68Niveau 9
Manu7 a écrit:Esméralda a écrit:lilith888 a écrit:Non, mais il faut arrêter de faire du zèle aussi... Quand on voit que les collègues achètent sur leurs deniers des capteurs de Co2 juste pour se faire peur, ça devient un peu ridicule.
Complètement d'accord avec toi ! J'hallucine de lire que des collègues achètent des capteurs en lisant ce topic. Alors je ne fais pas la folle hein, soyons clairs, je reste vigilante mais à un moment, il faut quand même se détendre ...
Acheter soi-même son matériel dans l'EN ce n'est pas nouveau, presque tous mes collègues se sont achetés un ordinateur portable pour l'utiliser dans l'établissement et c'est plus cher qu'un capteur de CO2, à la limite, on peut toujours le faire passer dans les frais réels...
Le bon côté des choses c'est que nous ne sommes plus très nombreux à utiliser les 3 ordi gentiment mis à notre disposition mais il faut compter 10 à 15 minutes pour imprimer une feuille en passant de l'un à l'autre car ils plantent une fois sur deux et cela s'aggrave vu que plus personne ne les utilise...
Peut-être que ce n'est pas nouveau, mais ce n'est pas normal et je trouve problématique que de plus en plus de collègues apportent leur matériel personnel au collège. J'ai un collègue qui a équipé sa salle d'enceintes perso ; résultat, quand il partira, sa salle ne sera plus équipée, et le nouveau ou la nouvelle collègue devra attendre un certain temps pour avoir du son dans sa salle... (Alors qu'il aurait juste fallu faire une demande à la gestionnaire !)
- PhyliaNiveau 9
Première semaine : un cas covid dans une classe. Les élèves ayant un schéma vaccinal complet (peu nombreux) peuvent assister aux cours ; les autres en distanciel, avec les moyens du bord (encore moins nombreux !).
Chose que je ne savais pas : les enseignants non vaccinés sont placés en quatorzaine. Et de votre côté ? Comment ça se passe ?
Chose que je ne savais pas : les enseignants non vaccinés sont placés en quatorzaine. Et de votre côté ? Comment ça se passe ?
- EnaecoVénérable
lilith888 a écrit:Enaeco a écrit:Quand on voit la réactivité lors des problèmes de température dans les salles, je pense que l'épidémie sera passée avant une vraie prise en compte de la qualité de l'air.
Je pense qu'il faudrait des capteurs commandés par l'établissement et installés dans les normes plutôt que l'enseignant qui vient avec la photo de son capteur perso et posé n'importe où pour que ça bouge.
Entre temps, il faudra définir un seuil officiel à partir duquel on estime qu'il faut évacuer.
Et la, on va bien rire quand dans certains établissements, on aura la moitié des salles qui sont inaccessibles au bout de 10 minutes. Les autres salles ne seront utilisables qu'à la condition d'ouvrir la majeure partie du temps et dans ce cas là, on sera tous en doudoune.
Donc, on en revient à ce que tu as dit en première phrase : cela n'arrivera jamais...
C'est ce que je pense.
A part à l'échelle locale peut-être.
Alors, à moins de renvoyer les élèves chez eux, en lycée nous aurons le traditionnel "nous sommes au courant du problème que nous avons fait remonter à la région, propriétaire des locaux"
- Isis39Enchanteur
Phylia a écrit:Première semaine : un cas covid dans une classe. Les élèves ayant un schéma vaccinal complet (peu nombreux) peuvent assister aux cours ; les autres en distanciel, avec les moyens du bord (encore moins nombreux !).
Chose que je ne savais pas : les enseignants non vaccinés sont placés en quatorzaine. Et de votre côté ? Comment ça se passe ?
Pourtant avant les vacances on n'était même pas considérés comme cas contact quand une classe fermait.
- henrietteMédiateur
J'ai expliqué que ce serait le cas dans mon établissement : capteurs commandés par le CDE sur budget établissement et qui seront livrés et installés début octobre. Ils affichent une diode rouge lorsque le taux de CO2 est trop élevé et qu'il faut aérer pour le faire descendre.Enaeco a écrit:Quand on voit la réactivité lors des problèmes de température dans les salles, je pense que l'épidémie sera passée avant une vraie prise en compte de la qualité de l'air.
Je pense qu'il faudrait des capteurs commandés par l'établissement et installés dans les normes plutôt que l'enseignant qui vient avec la photo de son capteur perso et posé n'importe où pour que ça bouge.
Entre temps, il faudra définir un seuil officiel à partir duquel on estime qu'il faut évacuer.
Et la, on va bien rire quand dans certains établissements, on aura la moitié des salles qui sont inaccessibles au bout de 10 minutes. Les autres salles ne seront utilisables qu'à la condition d'ouvrir la majeure partie du temps et dans ce cas là, on sera tous en doudoune.
Et comme nous faisons déjà presque tous cours porte et vasistas ouverts, il n'y aura pas d'autre moyen de faire baisser le taux de CO2 que de faire sortir tout le monde.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Isis39Enchanteur
Isis39 a écrit:Phylia a écrit:Première semaine : un cas covid dans une classe. Les élèves ayant un schéma vaccinal complet (peu nombreux) peuvent assister aux cours ; les autres en distanciel, avec les moyens du bord (encore moins nombreux !).
Chose que je ne savais pas : les enseignants non vaccinés sont placés en quatorzaine. Et de votre côté ? Comment ça se passe ?
Pourtant avant les vacances on n'était même pas considérés comme cas contact quand une classe fermait.
Je suis allée voir :
Un enseignant n'est pas considéré comme cas contact, quel que soit son statut vaccinal.l’apparition d’un cas confirmé parmi les élèves n’implique pas que les personnels ou les autres élèves soient identifiés comme contacts à risque, dès lors que ces derniers portent un masque.
- EnaecoVénérable
Je faisais plutôt allusion aux quelques collègues qui se promenaient avec un capteur acheté sur des plateformes de commerce en ligne (dont certaines citées ici qui sont connues avant tout pour leurs contrefaçons ou publicités mensongères).
Du moment que vous avez le CDE derrière c'est une bonne chose.
On trouve dans les études un seuil aux alentours de 800ppm pour un air bien renouvelé.
Les capteurs que j'ai vu avaient souvent 3 diodes, une verte qui va jusqu'à 800-1000ppm, une jaune qui allait de 800-1000ppm à 2000-2500ppm et une rouge au delà de 2000-2500ppm.
Une salle de classe doit tourner rapidement à 1000-1500ppm et les détecteurs sonneront aux alentours de 2000-2500ppm, donc concrètement, ça ne va pas sonner souvent...
Du moment que vous avez le CDE derrière c'est une bonne chose.
On trouve dans les études un seuil aux alentours de 800ppm pour un air bien renouvelé.
Les capteurs que j'ai vu avaient souvent 3 diodes, une verte qui va jusqu'à 800-1000ppm, une jaune qui allait de 800-1000ppm à 2000-2500ppm et une rouge au delà de 2000-2500ppm.
Une salle de classe doit tourner rapidement à 1000-1500ppm et les détecteurs sonneront aux alentours de 2000-2500ppm, donc concrètement, ça ne va pas sonner souvent...
- RogerMartinBon génie
Effectivement, le plus sûr est de ne rien mesurer.Enaeco a écrit:Je faisais plutôt allusion aux quelques collègues qui se promenaient avec un capteur acheté sur des plateformes de commerce en ligne (dont certaines citées ici qui sont connues avant tout pour leurs contrefaçons ou publicités mensongères).
Du moment que vous avez le CDE derrière c'est une bonne chose.
On trouve dans les études un seuil aux alentours de 800ppm pour un air bien renouvelé.
Les capteurs que j'ai vu avaient souvent 3 diodes, une verte qui va jusqu'à 800-1000ppm, une jaune qui allait de 800-1000ppm à 2000-2500ppm et une rouge au delà de 2000-2500ppm.
Une salle de classe doit tourner rapidement à 1000-1500ppm et les détecteurs sonneront aux alentours de 2000-2500ppm, donc concrètement, ça ne va pas sonner souvent...
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
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- EnaecoVénérable
Ce n'est pas ce que j'ai dit.
C'est une bonne façon de faire un état des lieux qui aurait du être fait bien en amont et indépendamment de l'épidémie.
Mais concrètement, si on fixe un seuil à 800ppm, dans certains établissements, il faudra choisir entre faire cours au dessus du seuil ou faire cours à moins de 15°C (pour les établissements où on peut ouvrir les fenêtres en grand et où les élèves côté fenêtres ne prennent pas la pluie sur le bureau). Pour les autres, il faudra trouver des idées d'activités en extérieur.
C'est une bonne façon de faire un état des lieux qui aurait du être fait bien en amont et indépendamment de l'épidémie.
Mais concrètement, si on fixe un seuil à 800ppm, dans certains établissements, il faudra choisir entre faire cours au dessus du seuil ou faire cours à moins de 15°C (pour les établissements où on peut ouvrir les fenêtres en grand et où les élèves côté fenêtres ne prennent pas la pluie sur le bureau). Pour les autres, il faudra trouver des idées d'activités en extérieur.
- elisa18Neoprof expérimenté
Chez nous, seuls les élèves de la même tablée de la cantine sont renvoyés chez eux car ils mangent sans le masque.. Les autres restent donc tranquillement en classe, avec les profs.
- ysabelDevin
Donc, dans mon lycée, des élèves covid+ asymptomatiques viennent en classe car vaccinés...
Je n'ai jamais vu autant d'absents la 1ère semaine de septembre.
Je n'ai jamais vu autant d'absents la 1ère semaine de septembre.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Manu7Expert spécialisé
ysabel a écrit:Donc, dans mon lycée, des élèves covid+ asymptomatiques viennent en classe car vaccinés...
Je n'ai jamais vu autant d'absents la 1ère semaine de septembre.
Un élève positif n'a pas le droit de venir en classe qu'il soit vacciné ou pas, je ne comprends pas ton message ? Tu parles d'élèves testés positifs ou pas ?
- ysabelDevin
oui, des élèves testés positifs viennent en classe sous prétexte qu'ils sont vaccinés.Manu7 a écrit:ysabel a écrit:Donc, dans mon lycée, des élèves covid+ asymptomatiques viennent en classe car vaccinés...
Je n'ai jamais vu autant d'absents la 1ère semaine de septembre.
Un élève positif n'a pas le droit de venir en classe qu'il soit vacciné ou pas, je ne comprends pas ton message ? Tu parles d'élèves testés positifs ou pas ?
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Clecle78Bon génie
Mais ce n'est pas possible. Positif égale éviction. On peut transmettre le virus même vacciné.
- Manu7Expert spécialisé
lilith888 a écrit:Ce n'est pas parce que quelque chose s'est démocratisé (payer pour travailler) que c'est normal. Personnellement, je place mon zèle dans le fait de refuser de tendre la main pour finir par se faire manger le bras. La résistance passe aussi par là.
Nous sommes du même avis, sauf que dans mon établissement je suis minoritaire, et je vois arriver à grand pas le moment où il sera totalement impossible de faire autrement.
- Manu7Expert spécialisé
ysabel a écrit:oui, des élèves testés positifs viennent en classe sous prétexte qu'ils sont vaccinés.Manu7 a écrit:ysabel a écrit:Donc, dans mon lycée, des élèves covid+ asymptomatiques viennent en classe car vaccinés...
Je n'ai jamais vu autant d'absents la 1ère semaine de septembre.
Un élève positif n'a pas le droit de venir en classe qu'il soit vacciné ou pas, je ne comprends pas ton message ? Tu parles d'élèves testés positifs ou pas ?
Mais comment savez-vous qu'ils sont positifs ?
Prétexte ou pas, il est clair qu'avec le résultat du test on reçoit aussi un message qui nous rappelle l'obligation de l'isolement. Donc si on va en cours c'est illégal et c'est une situation inadmissible.
Au passage, comme l'élève est positif alors la classe doit être fermée (sauf pour les vaccinés testés négatifs), donc cette situation me semble totalement absurde, un élève serait positif, on ferme sa classe et il continue de venir en cours, j'ai vraiment du mal à le croire ???
- wilfried12Habitué du forum
On ne ferme plus les classes pour un cas positif dans le secondaire.
Mais évidemment les cas positifs restent chez eux.
Mais évidemment les cas positifs restent chez eux.
- mgb35Érudit
Et puis, si les élèves sont positifs et veulent venir en cours, il suffit de ne pas le dire !
Cela ressemble tout de même à une fausse rumeur...
Cela ressemble tout de même à une fausse rumeur...
- henrietteMédiateur
Ysabel explique la situation qu'elle constate dans son établissement et toi tu l'accuses de répandre une fausse rumeur ? Avant de porter un tel jugement, tu ne crois pas que tu pourrais lui demander d'expliquer la situation qu'elle relate ?mgb35 a écrit:Et puis, si les élèves sont positifs et veulent venir en cours, il suffit de ne pas le dire !
Cela ressemble tout de même à une fausse rumeur...
Ysabel, je n'ai pas compris : l'administration chez toi accepte officiellement que des élèves positifs mais vaccinés et asymptomatiques viennent en classe ? Ou bien s'agit-il d'élèves qui se vantent d'être positifs mais de venir en classe tout de même au prétexte qu'ils sont sans symptômes et vaccinés ?
Si c'est le premier cas, ton CDE va à l'encontre du protocole sanitaire, c'est grave, il ne faut pas accepter cela, c'est complètement hors les clous.
Si c'est le second cas, alors on a eu la même chose l'an passé à plusieurs reprises dans mon établissement : des élèves covid+ asymptomatiques (mais pas vaccinés, forcément à cette époque), envoyés tout de même en classe par leurs parents. On ne sait pas combien en tout il a pu y en avoir, on a juste repéré ceux qui s'en vantaient, et les CPE ont alors systématiquement contacté les parents... qui ont confirmé la positivité, ne voyant pas le problème à les mettre encours puisque sans symptômes. Mais le chef a agi, fait venir chercher immédiatement l'élève par sa famille - et même, dans le cas d'un parent agressif qui insultait un CPE au téléphone et refusait de venir chercher son gamin, il a fait intervenir la police.
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- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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