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- HypermnestreÉrudit
Merci de vos réactions, c'est intéressant de voir les choses sous un autre angle.
Pour les LCA qui rapportent beaucoup : encore heureux, après avoir eu 3h/semaines souvent de 17h à 18h ou pendant l'heure de repas, pendant six ans... Nous sommes déjà en situation de mort programmée, alors si en plus on se montre sévères avec ceux qui restent...
Pour les LCA qui rapportent beaucoup : encore heureux, après avoir eu 3h/semaines souvent de 17h à 18h ou pendant l'heure de repas, pendant six ans... Nous sommes déjà en situation de mort programmée, alors si en plus on se montre sévères avec ceux qui restent...
- Ramanujan974Érudit
mathmax a écrit:En revanche l’option maths expertes, avec des notions difficiles et demandant beaucoup de travail, n’est pas "rentable" du tout, avec des notes souvent inférieures à celles de spécialité ! Et en maths complémentaires c’est entre les deux. Bref, les options maths ne sont certainement pas choisies au détriment des LCA si la motivation est la chasse aux points.
Sauf que sans maths expertes, tu peux courir pour certaines formations sur ParcourSup.
- BoubouleDoyen
Simeon a écrit:mathmax a écrit:En revanche l’option maths expertes, avec des notions difficiles et demandant beaucoup de travail, n’est pas "rentable" du tout, avec des notes souvent inférieures à celles de spécialité ! Et en maths complémentaires c’est entre les deux. Bref, les options maths ne sont certainement pas choisies au détriment des LCA si la motivation est la chasse aux points.
L'idée de prendre les maths en option pour que ça "rapporte" pour le bac me semble aussi être une idée franchement marginale chez les élèves, et sera rarement un pari gagnant à mon avis. Les options de maths sont prises très majoritairement dans la perspective de poursuites d'études et de parcoursup.
Je pense la même chose. Les options qui rapportent pour le bac, ce n'est plus un bon argument (et peut-être même contre-productif).
- HypermnestreÉrudit
L'inverse est pourtant vrai. Les options LV3 ont vu leurs chiffres s'effondrer brutalement avec la réforme et la perte du coefficient.
- InvitéInvité
On ne sait pas si l'effondrement est lié a la baisse d'offre ou a la baisse de demande.
Dans mon lycée, c'est la baisse d'offre qui a divisé le nombre d'élèves par deux: le cde avait décidé brutalememnt de passer de 4 groupes a 2.
Les chiffres qui manquent c'est le taux de pression entre demande et acceptation sur chaque option, et c'est encore plus difficile puisque les familles neqdemundent pas une option qui n'existe pas ou plus dans un lycée.
Il faudrait sonder statistiquement les familles de 3ème, ca c'est un travail pour nos syndicats ou pour les syndicats de parents d'élèves.
Dans mon lycée, c'est la baisse d'offre qui a divisé le nombre d'élèves par deux: le cde avait décidé brutalememnt de passer de 4 groupes a 2.
Les chiffres qui manquent c'est le taux de pression entre demande et acceptation sur chaque option, et c'est encore plus difficile puisque les familles neqdemundent pas une option qui n'existe pas ou plus dans un lycée.
Il faudrait sonder statistiquement les familles de 3ème, ca c'est un travail pour nos syndicats ou pour les syndicats de parents d'élèves.
- HypermnestreÉrudit
L'offre n'a pas du tout baissé dans mon établissement, et les chiffres se sont effondré (je pèse mes mots) presque partout...
Un rapport indique que le latin et le grec ont vu leurs effectifs baisser de 20% environ (je n'ai plus le chiffre exact) en deux ans alors qu'elles sont les seules disciplines optionnaires à garder un coefficicent au bac avec la réforme. Imaginez celles qui ne rapportaient plus rien... C'est sinistrement logique (c'est même prémédité)...
Un rapport indique que le latin et le grec ont vu leurs effectifs baisser de 20% environ (je n'ai plus le chiffre exact) en deux ans alors qu'elles sont les seules disciplines optionnaires à garder un coefficicent au bac avec la réforme. Imaginez celles qui ne rapportaient plus rien... C'est sinistrement logique (c'est même prémédité)...
- henrietteMédiateur
Et pour les LCA, il risque d'y avoir des conséquences en cascade au collège aussi. Cette valorisation spécifique au bac pesait dans la balance pour le choix du latin et du grec - parce que depuis que la chorale donne systématiquement les 20 points bonus au DNB, ce n'est plus un argument si attractif.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- ProvenceEnchanteur
Dans le lycée de mon secteur, la réforme a entraîné la suppression du latin. Mes élèves qui souhaitent poursuivre doivent demander un lycée à plus d’une heure de route de chez eux. Être interne, quitter tous les copains, cela joue bien évidemment sur la décision de ne plus suivre l’option. On perd des élèves motivés mais de qui on ne peut exiger tous les sacrifices pour quelques heures de langues anciennes.
- InvitéInvité
En si-cit pour l’année 2021 le CDE a accepté de remettre 4 groupes, on a fait le plein. En fait en technologie ca a un effet cascade vers les spé si, nsi et la filière sti2d. L’année dernière en seconde je connais deux familles dont le jeune avait été refusé en SI, je ne vous cache pas que en terminale ils n’ont pas choisi la spé si. C’est pour la technologie un pool de recrutement vital. Résultat, en sti2D, à certains endroits on ferme des classes en faveur de la filière générale.
Ca mériterait un rapport spécifique à la filière technologique, sauf bien sur si l’objectif est aussi de progressivement la fermer, ou la transformer en spé de bac général, ou en spé du bac techno au format du bac général. Ceci permettrai de supprimer bien la moitié ou les 2/3 des postes en technologie et sans doute de résoudre le problème de recrutement.
Ca mériterait un rapport spécifique à la filière technologique, sauf bien sur si l’objectif est aussi de progressivement la fermer, ou la transformer en spé de bac général, ou en spé du bac techno au format du bac général. Ceci permettrai de supprimer bien la moitié ou les 2/3 des postes en technologie et sans doute de résoudre le problème de recrutement.
- InvitéInvité
Provence a écrit:Dans le lycée de mon secteur, la réforme a entraîné la suppression du latin. Mes élèves qui souhaitent poursuivre doivent demander un lycée à plus d’une heure de route de chez eux. Être interne, quitter tous les copains, cela joue bien évidemment sur la décision de ne plus suivre l’option. On perd des élèves motivés mais de qui on ne peut exiger tous les sacrifices pour quelques heures de langues anciennes.
Ah, des dérogations au lycée de secteur sont possibles hors art plastique ? Car officiellement le discours c’est non.
- ProvenceEnchanteur
youpeka a écrit:Provence a écrit:Dans le lycée de mon secteur, la réforme a entraîné la suppression du latin. Mes élèves qui souhaitent poursuivre doivent demander un lycée à plus d’une heure de route de chez eux. Être interne, quitter tous les copains, cela joue bien évidemment sur la décision de ne plus suivre l’option. On perd des élèves motivés mais de qui on ne peut exiger tous les sacrifices pour quelques heures de langues anciennes.
Ah, des dérogations au lycée de secteur sont possibles hors art plastique ? Car officiellement le discours c’est non.
Pas besoin de dérogation dans ce cas précis. Mais ça ne fait pas tout.
- InvitéInvité
Provence a écrit:youpeka a écrit:Provence a écrit:Dans le lycée de mon secteur, la réforme a entraîné la suppression du latin. Mes élèves qui souhaitent poursuivre doivent demander un lycée à plus d’une heure de route de chez eux. Être interne, quitter tous les copains, cela joue bien évidemment sur la décision de ne plus suivre l’option. On perd des élèves motivés mais de qui on ne peut exiger tous les sacrifices pour quelques heures de langues anciennes.
Ah, des dérogations au lycée de secteur sont possibles hors art plastique ? Car officiellement le discours c’est non.
Pas besoin de dérogation dans ce cas précis. Mais ça ne fait pas tout.
Je ne comprends pas, il n’y a pas chez vous un seul lycée par adresse d’habitation ?
- ProvenceEnchanteur
La continuité pédagogique, en langues anciennes, dispense de demander une dérogation. Dans la mesure où le latin n’est plus proposé dans le lycée de secteur, les élèves peuvent poursuivre dans celui de la grande ville, qui est loin et mal reliée par les transports en commun…
- kai002Niveau 9
youpeka a écrit:Ça n'est pas une réforme: c'est un plan social !
C'est tout à fait ça!
- Pourquoi 3,14159Expert
kai002 a écrit:youpeka a écrit:Ça n'est pas une réforme: c'est un plan social !
C'est tout à fait ça!
Doublé d'un remplacement des titulaires par des contractuels avant vente au privé.
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- Manu7Expert spécialisé
Diviser pour mieux régner c'est exactement cela !!! Les sciences se sont pris une énorme claque, alors qu'on manquait de profs de maths, maintenant presque tous les profs de maths sont obligés d'enseigner une nouvelle matière, comme SNT que certains ne maîtrisent pas du tout, et certains ont même du changer d'établissement !
Et je reste aussi persuadé que cette dévalorisation globale des sciences n'arrange pas du tout l'assenceur social. Quand on vient d'un milieu modeste, c'est bien plus facile de gravir les échelons par la voie des sciences.
Et je reste aussi persuadé que cette dévalorisation globale des sciences n'arrange pas du tout l'assenceur social. Quand on vient d'un milieu modeste, c'est bien plus facile de gravir les échelons par la voie des sciences.
- kai002Niveau 9
pareil chez nous: en deux ans seulement effondrement de ma LV3 alors que nous étions très dynamiques avec 2 échanges par an, notre propre association avec des parents d'élèves, programmation de films du pays concerné avec le cinéma du coin... Il n'y a pas si longtemps, nous avions même 2 groupes en secondes LV3, à la rentrée on nous regroupe 1eres et Terminales dans un même groupe. Et c'est le même schéma pour la collègue d'italien....C'est le début de la fin. Tant d'implication, d'investissement toutes ces années au détriment de la vie personnelle et de ses loisirs pour aboutir à une mort programmée de la discipline. On ne m'y reprendra plus
- InvitéInvité
kai002 a écrit:pareil chez nous: en deux ans seulement effondrement de ma LV3 alors que nous étions très dynamiques avec 2 échanges par an, notre propre association avec des parents d'élèves, programmation de films du pays concerné avec le cinéma du coin... Il n'y a pas si longtemps, nous avions même 2 groupes en secondes LV3, à la rentrée on nous regroupe 1eres et Terminales dans un même groupe. Et c'est le même schéma pour la collègue d'italien....C'est le début de la fin. Tant d'implication, d'investissement toutes ces années au détriment de la vie personnelle et de ses loisirs pour aboutir à une mort programmée de la discipline. On ne m'y reprendra plus
Kai002, comment explique tu ce déclin malgré tous ces investissements ? Ca m’intéresse grandement car ce que tu décris est ce qu’il me semble entendre que l’on attende de nous,…
Si ils veulent supprimer toutes ces options, nous ne pourrons rien y faire. Pour la filière technologique, ca reviendra à supprimer l’enseignement technologique au Lycée pour le déléguer au supérieur, car déjà là ca ne ressemble plus que à une vague initiation à la technologie, les heures ne permettent pas de leur en apprendre plus.
Donc si c’est un plan social, nous devrions par contre monter au créneau pour négocier des mesures sociales d’accompagnement, comme ca se fait dans le privé.
- Dame JouanneÉrudit
Oui, les sciences en général, et pas que les maths se prennent une énorme claque car il est plus simple de raboter encore les horaires et les postes que 'essayer de combler le déficit. Et effectivement, gravir les échelons en sciences pour des élèves d' un milieu social modeste est plus simple que dans d'autres domaines car on n'a pas vraiment besoin du bagage culturel que peut apporter la famille. En sabordant les sciences, c'est aussi ces élèves là qu'on lèse.Manu7 a écrit:Diviser pour mieux régner c'est exactement cela !!! Les sciences se sont pris une énorme claque, alors qu'on manquait de profs de maths, maintenant presque tous les profs de maths sont obligés d'enseigner une nouvelle matière, comme SNT que certains ne maîtrisent pas du tout, et certains ont même du changer d'établissement !
Et je reste aussi persuadé que cette dévalorisation globale des sciences n'arrange pas du tout l'assenceur social. Quand on vient d'un milieu modeste, c'est bien plus facile de gravir les échelons par la voie des sciences.
- kai002Niveau 9
youpeka a écrit:kai002 a écrit:pareil chez nous: en deux ans seulement effondrement de ma LV3 alors que nous étions très dynamiques avec 2 échanges par an, notre propre association avec des parents d'élèves, programmation de films du pays concerné avec le cinéma du coin... Il n'y a pas si longtemps, nous avions même 2 groupes en secondes LV3, à la rentrée on nous regroupe 1eres et Terminales dans un même groupe. Et c'est le même schéma pour la collègue d'italien....C'est le début de la fin. Tant d'implication, d'investissement toutes ces années au détriment de la vie personnelle et de ses loisirs pour aboutir à une mort programmée de la discipline. On ne m'y reprendra plus
Kai002, comment explique tu ce déclin malgré tous ces investissements ? Ca m’intéresse grandement car ce que tu décris est ce qu’il me semble entendre que l’on attende de nous,…
Si ils veulent supprimer toutes ces options, nous ne pourrons rien y faire. Pour la filière technologique, ca reviendra à supprimer l’enseignement technologique au Lycée pour le déléguer au supérieur, car déjà là ca ne ressemble plus que à une vague initiation à la technologie, les heures ne permettent pas de leur en apprendre plus.
Donc si c’est un plan social, nous devrions par contre monter au créneau pour négocier des mesures sociales d’accompagnement, comme ca se fait dans le privé.
Exactement! On nous fait croire que nous devons organiser toutes ces activités diverses, variées, chronophages et non rémunérées soit disant pour faire rayonner notre discipline et recruter davantage d'élèves pour faire vivre notre section. Mais je me suis rendu compte de l'hypocrisie totale de ce chantage (il n'y a pas d'autre mot): Il y a deux ans, j'apprends que 37 élèves veulent choisir ma langue en sixième section bilangue. Je me suis battu bec et ongles pour ouvrir un second groupe, résultat: pas d'ouverture de second groupe mais demande de lettre de motivation pour sélectionner les élèves (à des gamins de CM2...), un seul groupe de 30 élèves maximum. Conclusion: on nous culpabilise à mort quand nous n'avons pas de gros effectifs pour faire voyages, échanges et que sais-je encore sous menace de fermer le section mais quand ça marche du tonnerre après tant de sacrifices, et bien, on n'obtient rien de plus! Donc pour moi c'est fini. Dans tous les cas de figure nous sommes perdants! De toutes façons ils veulent la mort de nos disciplines. Moi, petit prof seul dans ma discipline, seul dans mon coin, je peux faire le poids face à cette machine infernale qu'est le MEN? Quitte à se faire tuer autant le faire dans la dignité et pas en esclave qui implore son maître.
La raison de changement brutal? Je n'en vois qu'une: la réforme du lycée et du bac! Mais aussi le fait que les élèves qui arrivent sont de moins en moins motivés et travailleurs années après années.
- InvitéInvité
kai002 a écrit:youpeka a écrit:kai002 a écrit:pareil chez nous: en deux ans seulement effondrement de ma LV3 alors que nous étions très dynamiques avec 2 échanges par an, notre propre association avec des parents d'élèves, programmation de films du pays concerné avec le cinéma du coin... Il n'y a pas si longtemps, nous avions même 2 groupes en secondes LV3, à la rentrée on nous regroupe 1eres et Terminales dans un même groupe. Et c'est le même schéma pour la collègue d'italien....C'est le début de la fin. Tant d'implication, d'investissement toutes ces années au détriment de la vie personnelle et de ses loisirs pour aboutir à une mort programmée de la discipline. On ne m'y reprendra plus
Kai002, comment explique tu ce déclin malgré tous ces investissements ? Ca m’intéresse grandement car ce que tu décris est ce qu’il me semble entendre que l’on attende de nous,…
Si ils veulent supprimer toutes ces options, nous ne pourrons rien y faire. Pour la filière technologique, ca reviendra à supprimer l’enseignement technologique au Lycée pour le déléguer au supérieur, car déjà là ca ne ressemble plus que à une vague initiation à la technologie, les heures ne permettent pas de leur en apprendre plus.
Donc si c’est un plan social, nous devrions par contre monter au créneau pour négocier des mesures sociales d’accompagnement, comme ca se fait dans le privé.
Exactement! On nous fait croire que nous devons organiser toutes ces activités diverses, variées, chronophages et non rémunérées soit disant pour faire rayonner notre discipline et recruter davantage d'élèves pour faire vivre notre section. Mais je me suis rendu compte de l'hypocrisie totale de ce chantage (il n'y a pas d'autre mot): Il y a deux ans, j'apprends que 37 élèves veulent choisir ma langue en sixième section bilangue. Je me suis battu bec et ongles pour ouvrir un second groupe, résultat: pas d'ouverture de second groupe mais demande de lettre de motivation pour sélectionner les élèves (à des gamins de CM2...), un seul groupe de 30 élèves maximum. Conclusion: on nous culpabilise à mort quand nous n'avons pas de gros effectifs pour faire voyages, échanges et que sais-je encore sous menace de fermer le section mais quand ça marche du tonnerre après tant de sacrifices, et bien, on n'obtient rien de plus! Donc pour moi c'est fini. Dans tous les cas de figure nous sommes perdants! De toutes façons ils veulent la mort de nos disciplines. Moi, petit prof seul dans ma discipline, seul dans mon coin, je peux faire le poids face à cette machine infernale qu'est le MEN? Quitte à se faire tuer autant le faire dans la dignité et pas en esclave qui implore son maître.
La raison de changement brutal? Je n'en vois qu'une: la réforme du lycée et du bac! Mais aussi le fait que les élèves qui arrivent sont de moins en moins motivés et travailleurs années après années.
Ton témoignage est édifiant. C'est facile pour eux, ca ne leur coûte rien. Ils décident de ne par créer un deuxième groupe, ou comme pour nous il décident d'en supprimer deux, c'est sans conséquence pour eux puisque l'on doit travailler gratuitement apres pour ratttraper leurs décisions.
Je crois que quand on va me demander de faire la promotion, le demanderai si c'est payé en hse.
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