- LaugarithmeFidèle du forum
Dans notre lycée, nada. Durant l'année non plus. Aucune heure dédiée à la préparation, comme je l'ai vu pour certains sur ce forum ( peu de témoignages il est vrai). Comme j'ai 30 élèves en maths et aucune salle informatique libre sur mes créneaux ; j'envoie la moitié de mes élèves au CDI pour les recherches, quand il y a des créneaux libres.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me direz qu'il eut fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encore le programme, toujours le programme.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me direz qu'il eut fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encore le programme, toujours le programme.
- chmarmottineGuide spirituel
Laugarithme a écrit:Dans notre lycée, nada. Durant l'année non plus. Aucune heure dédiée à la préparation, comme je l'ai vu pour certains sur ce forum ( peu de témoignages il est vrai). Comme j'ai 30 élèves en maths et aucune salle informatique libre sur mes créneaux ; j'envoie la moitié de mes élèves au CDI pour kes recherches, quand il y a des créneaux libres.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me durez qu'il aurait fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encire le programme, toujours le programme
Dans les matières scientifiques, on est clairement à la rue ...
Je donne un coup de main aux élèves pendant mes heures d'enseignement scientifique (je n'ai rien demandé à personne, c'est de ma propre initiative, tant je hais cet enseignement et les élèves aussi ...) ... et je constate que quasiment tous les élèves qui ont de spés non scientifiques ont leurs sujets et que beaucoup ont le contenu déjà abouti, alors que les élèves qui ont des spé scientifiques galèrent pour formuler des sujets ... surtout ceux qui ont maths !
- CatalunyaExpert spécialisé
C'est bien connu, dans les matières littéraires, les programmes de spés sont super légers :|chmarmottine a écrit:Laugarithme a écrit:Dans notre lycée, nada. Durant l'année non plus. Aucune heure dédiée à la préparation, comme je l'ai vu pour certains sur ce forum ( peu de témoignages il est vrai). Comme j'ai 30 élèves en maths et aucune salle informatique libre sur mes créneaux ; j'envoie la moitié de mes élèves au CDI pour kes recherches, quand il y a des créneaux libres.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me durez qu'il aurait fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encire le programme, toujours le programme
Dans les matières scientifiques, on est clairement à la rue ...
Je donne un coup de main aux élèves pendant mes heures d'enseignement scientifique (je n'ai rien demandé à personne, c'est de ma propre initiative, tant je hais cet enseignement et les élèves aussi ...) ... et je constate que quasiment tous les élèves qui ont de spés non scientifiques ont leurs sujets et que beaucoup ont le contenu déjà abouti, alors que les élèves qui ont des spé scientifiques galèrent pour formuler des sujets ... surtout ceux qui ont maths !
- JennyMédiateur
Mes collègues d’HGGSP font la préparation des questions en classe entière.
- LaugarithmeFidèle du forum
Il y aurait, peut etre, des sujets intéressants à aborder en maths, à condition d'avoir le temps depuis le collège de faire ce que préconise les programmes, par exemple un peu d'histoire des notions abordées. A condition aussi d'avoir des élèves plus solides (politiquement correct).chmarmottine a écrit:Laugarithme a écrit:Dans notre lycée, nada. Durant l'année non plus. Aucune heure dédiée à la préparation, comme je l'ai vu pour certains sur ce forum ( peu de témoignages il est vrai). Comme j'ai 30 élèves en maths et aucune salle informatique libre sur mes créneaux ; j'envoie la moitié de mes élèves au CDI pour kes recherches, quand il y a des créneaux libres.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me durez qu'il aurait fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encire le programme, toujours le programme
Dans les matières scientifiques, on est clairement à la rue ...
Je donne un coup de main aux élèves pendant mes heures d'enseignement scientifique (je n'ai rien demandé à personne, c'est de ma propre initiative, tant je hais cet enseignement et les élèves aussi ...) ... et je constate que quasiment tous les élèves qui ont de spés non scientifiques ont leurs sujets et que beaucoup ont le contenu déjà abouti, alors que les élèves qui ont des spé scientifiques galèrent pour formuler des sujets ... surtout ceux qui ont maths !
Je ne sais même pas quoi leur conseiller à part les sujets bateaux utilisant les probas conditionnelles. Une des mes élèves, en réussite différée, veut parler de la machine Enigma (elle ne fait pas SNI). Euh....
- LaugarithmeFidèle du forum
On ne dit pas que les programmes des matières littéraires sont plus légers, seulement qu'ils prêtent, peut être, plus aisement matière à un sujet de grand oral, présentable sans écrire au tableau. N'est pas vulgarisateur scientifique qui veut. Et puis les maths, c'est c....t , c'est bien connu
Attention, je ne dis pas que préparer un sujet de grand oral dans les matières littéraires soit facile, en classe entière ou pas. Je dis juste que moi, je n'y arrive pas sans ressources informatiques. J'ajoute que j'ai une dizaine d'élèves particulièrement pénibles. Impossible de les laisser en autonomie.
Désolée d'écrire deux messages en suivant : je ne sais pas encore écrire un seul message en éditant deux messages différents.
Attention, je ne dis pas que préparer un sujet de grand oral dans les matières littéraires soit facile, en classe entière ou pas. Je dis juste que moi, je n'y arrive pas sans ressources informatiques. J'ajoute que j'ai une dizaine d'élèves particulièrement pénibles. Impossible de les laisser en autonomie.
Désolée d'écrire deux messages en suivant : je ne sais pas encore écrire un seul message en éditant deux messages différents.
- MathsenstockNiveau 5
J'aime beaucoup "en réussite différée".
GO = blague de mauvais goût (particulièrement) en maths
Je suis loin d'avoir fini le programme, et je vais faire passer les élèves (juste la présentation) pendant les cours de spé.
Il faudrait un mois de plus !!!
GO = blague de mauvais goût (particulièrement) en maths
Je suis loin d'avoir fini le programme, et je vais faire passer les élèves (juste la présentation) pendant les cours de spé.
Il faudrait un mois de plus !!!
- chmarmottineGuide spirituel
Laugarithme a écrit:Il y aurait, peut etre, des sujets intéressants à aborder en maths, à condition d'avoir le temps depuis le collège de faire ce que préconise les programmes, par exemple un peu d'histoire des notions abordées. A condition aussi d'avoir des élèves plus solides (politiquement correct).chmarmottine a écrit:Laugarithme a écrit:Dans notre lycée, nada. Durant l'année non plus. Aucune heure dédiée à la préparation, comme je l'ai vu pour certains sur ce forum ( peu de témoignages il est vrai). Comme j'ai 30 élèves en maths et aucune salle informatique libre sur mes créneaux ; j'envoie la moitié de mes élèves au CDI pour kes recherches, quand il y a des créneaux libres.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me durez qu'il aurait fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encire le programme, toujours le programme
Dans les matières scientifiques, on est clairement à la rue ...
Je donne un coup de main aux élèves pendant mes heures d'enseignement scientifique (je n'ai rien demandé à personne, c'est de ma propre initiative, tant je hais cet enseignement et les élèves aussi ...) ... et je constate que quasiment tous les élèves qui ont de spés non scientifiques ont leurs sujets et que beaucoup ont le contenu déjà abouti, alors que les élèves qui ont des spé scientifiques galèrent pour formuler des sujets ... surtout ceux qui ont maths !
Je ne sais même pas quoi leur conseiller à part les sujets bateaux utilisant les probas conditionnelles. Une des mes élèves, en réussite différée, veut parler de la machine Enigma (elle ne fait pas SNI). Euh....
J'essaie de leur faire prendre conscience qu'un sujet "maths" n'est pas nécessairement à être "contextualisé" ... ils se trouvent rapidement confrontés à des domaines dont ils ne connaissent rien, ce qui est normal ... ils balancent de vagues sujets trouvés plus ou moins sur le Net mais quand je leur demande "et c'est quoi la partie du programme que tu vas exposer ?" ... ils s'aperçoivent qu'ils sont hors sujet ... j'essaie de les renvoyer vers des sujets purement mathématiques ...
- chmarmottineGuide spirituel
Catalunya a écrit:C'est bien connu, dans les matières littéraires, les programmes de spés sont super légers :|chmarmottine a écrit:Laugarithme a écrit:Dans notre lycée, nada. Durant l'année non plus. Aucune heure dédiée à la préparation, comme je l'ai vu pour certains sur ce forum ( peu de témoignages il est vrai). Comme j'ai 30 élèves en maths et aucune salle informatique libre sur mes créneaux ; j'envoie la moitié de mes élèves au CDI pour kes recherches, quand il y a des créneaux libres.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me durez qu'il aurait fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encire le programme, toujours le programme
Dans les matières scientifiques, on est clairement à la rue ...
Je donne un coup de main aux élèves pendant mes heures d'enseignement scientifique (je n'ai rien demandé à personne, c'est de ma propre initiative, tant je hais cet enseignement et les élèves aussi ...) ... et je constate que quasiment tous les élèves qui ont de spés non scientifiques ont leurs sujets et que beaucoup ont le contenu déjà abouti, alors que les élèves qui ont des spé scientifiques galèrent pour formuler des sujets ... surtout ceux qui ont maths !
rien à voir avec la lourdeur des programmes.
Disons que je constate que mes collègues des disciplines non scientifiques parviennent plus facilement à intégrer la préparation du grand oral dans leurs cours (par la pratique de l'exposé, notamment, qui n'est pas dans la "culture" des profs de sciences).
On peut aussi dire qu'en maths, on travaille rarement la recherche de problématique ...
- VinZTDoyen
Le gros problème, en mathématiques et physique, c'est que les sujets potentiellement intéressants dépassent très vite le contenu « technique » vu au lycée, ce qui rebute pas mal d'élèves.
À l'heure actuelle, à la louche, j'ai une moitié des élèves qui a trouvé un sujet (souvent les meilleurs), qui cherche des informations, et l'autre qui n'a aucune idée précise (souvent ceux qui ont subi la spé).
On va donc se coltiner, comme l'an passé, des sujets bateau (qui a inventé le logarithme, la suite de Fibonacci, etc.) pompés sur le net. D'ailleurs dans mon lycée de cambrousse, quel autre source d'info les élèves ont-ils ? Pas de musée scientifique, pas de bibliothèque fournie, pas d'expo … Une inégalité de plus. Et j'avoue humblement que je ne maîtrise pas tous les sujets extra-mathématiques.
Pour répondre à la question posée plus haut, dans mon lycée, rien n'est prévu. Il faut dire qu'on commence à avoir pas mal de pertes d'effectifs, à tous les niveaux du lycée (la fameuse reconquête du mois dejuin mai).
De plus le programme de la spé n'est toujours pas fini, je panache donc mes cours entre la fin du programme (intégrales, équa-diffs, fonctions trigo, somme de VA) et granToral, où souvent, je suis le seul à parler.
Mais certains élèves ne sont motivés par rien. La fin du programme ? Bah, ils feront des études où la part des maths est plus que réduite. Le granToral ? Ils se mettent dans la tête que, l'épreuve écrite étant passée, ils bricoleront un truc vite fait et auront une note potable quoi qu'il arrive. Ils n'ont pas forcément tort.
Je hais cette réforme.
Je hais ce granToral.
À l'heure actuelle, à la louche, j'ai une moitié des élèves qui a trouvé un sujet (souvent les meilleurs), qui cherche des informations, et l'autre qui n'a aucune idée précise (souvent ceux qui ont subi la spé).
On va donc se coltiner, comme l'an passé, des sujets bateau (qui a inventé le logarithme, la suite de Fibonacci, etc.) pompés sur le net. D'ailleurs dans mon lycée de cambrousse, quel autre source d'info les élèves ont-ils ? Pas de musée scientifique, pas de bibliothèque fournie, pas d'expo … Une inégalité de plus. Et j'avoue humblement que je ne maîtrise pas tous les sujets extra-mathématiques.
Pour répondre à la question posée plus haut, dans mon lycée, rien n'est prévu. Il faut dire qu'on commence à avoir pas mal de pertes d'effectifs, à tous les niveaux du lycée (la fameuse reconquête du mois de
De plus le programme de la spé n'est toujours pas fini, je panache donc mes cours entre la fin du programme (intégrales, équa-diffs, fonctions trigo, somme de VA) et granToral, où souvent, je suis le seul à parler.
Mais certains élèves ne sont motivés par rien. La fin du programme ? Bah, ils feront des études où la part des maths est plus que réduite. Le granToral ? Ils se mettent dans la tête que, l'épreuve écrite étant passée, ils bricoleront un truc vite fait et auront une note potable quoi qu'il arrive. Ils n'ont pas forcément tort.
Je hais cette réforme.
Je hais ce granToral.
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- HélipsProphète
Et même en faisant NSI, on tombe vite sur du "bon ben finalement attendez, je vais vous expliquer de cryptage de César, ça sera déjà pas mal" et donc à quasi du vide (et rien qui se raccroche au programme de spé maths en plus).Laugarithme a écrit:Il y aurait, peut etre, des sujets intéressants à aborder en maths, à condition d'avoir le temps depuis le collège de faire ce que préconise les programmes, par exemple un peu d'histoire des notions abordées. A condition aussi d'avoir des élèves plus solides (politiquement correct).chmarmottine a écrit:Laugarithme a écrit:Dans notre lycée, nada. Durant l'année non plus. Aucune heure dédiée à la préparation, comme je l'ai vu pour certains sur ce forum ( peu de témoignages il est vrai). Comme j'ai 30 élèves en maths et aucune salle informatique libre sur mes créneaux ; j'envoie la moitié de mes élèves au CDI pour kes recherches, quand il y a des créneaux libres.
Bilan des courses : à peine la moitié des élèves ont une vague idée de leur sujet. Vous me durez qu'il aurait fallu s'en préoccuper plus tôt. Comment dire, j'étais pleine de bonnes intentions le 2 septembre. Le 10 septembre elles avaient fondues comme neige au soleil. Le programme, encire le programme, toujours le programme
Dans les matières scientifiques, on est clairement à la rue ...
Je donne un coup de main aux élèves pendant mes heures d'enseignement scientifique (je n'ai rien demandé à personne, c'est de ma propre initiative, tant je hais cet enseignement et les élèves aussi ...) ... et je constate que quasiment tous les élèves qui ont de spés non scientifiques ont leurs sujets et que beaucoup ont le contenu déjà abouti, alors que les élèves qui ont des spé scientifiques galèrent pour formuler des sujets ... surtout ceux qui ont maths !
Je ne sais même pas quoi leur conseiller à part les sujets bateaux utilisant les probas conditionnelles. Une des mes élèves, en réussite différée, veut parler de la machine Enigma (elle ne fait pas SNI). Euh....
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- LaugarithmeFidèle du forum
Vinzt, on doit être dans le même lycée sans le savoirVinZT a écrit:Le gros problème, en mathématiques et physique, c'est que les sujets potentiellement intéressants dépassent très vite le contenu « technique » vu au lycée, ce qui rebute pas mal d'élèves.
À l'heure actuelle, à la louche, j'ai une moitié des élèves qui a trouvé un sujet (souvent les meilleurs), qui cherche des informations, et l'autre qui n'a aucune idée précise (souvent ceux qui ont subi la spé).
On va donc se coltiner, comme l'an passé, des sujets bateau (qui a inventé le logarithme, la suite de Fibonacci, etc.) pompés sur le net. D'ailleurs dans mon lycée de cambrousse, quel autre source d'info les élèves ont-ils ? Pas de musée scientifique, pas de bibliothèque fournie, pas d'expo … Une inégalité de plus. Et j'avoue humblement que je ne maîtrise pas tous les sujets extra-mathématiques.
Pour répondre à la question posée plus haut, dans mon lycée, rien n'est prévu. Il faut dire qu'on commence à avoir pas mal de pertes d'effectifs, à tous les niveaux du lycée (la fameuse reconquête du mois dejuinmai).
De plus le programme de la spé n'est toujours pas fini, je panache donc mes cours entre la fin du programme (intégrales, équa-diffs, fonctions trigo, somme de VA) et granToral, où souvent, je suis le seul à parler.
Mais certains élèves ne sont motivés par rien. La fin du programme ? Bah, ils feront des études où la part des maths est plus que réduite. Le granToral ? Ils se mettent dans la tête que, l'épreuve écrite étant passée, ils bricoleront un truc vite fait et auront une note potable quoi qu'il arrive. Ils n'ont pas forcément tort.
Je hais cette réforme.
Je hais ce granToral.
Perso je laisse tomber la somme des VA...
- BalthazaardVénérable
Laugarithme a écrit:Vinzt, on doit être dans le même lycée sans le savoirVinZT a écrit:Le gros problème, en mathématiques et physique, c'est que les sujets potentiellement intéressants dépassent très vite le contenu « technique » vu au lycée, ce qui rebute pas mal d'élèves.
À l'heure actuelle, à la louche, j'ai une moitié des élèves qui a trouvé un sujet (souvent les meilleurs), qui cherche des informations, et l'autre qui n'a aucune idée précise (souvent ceux qui ont subi la spé).
On va donc se coltiner, comme l'an passé, des sujets bateau (qui a inventé le logarithme, la suite de Fibonacci, etc.) pompés sur le net. D'ailleurs dans mon lycée de cambrousse, quel autre source d'info les élèves ont-ils ? Pas de musée scientifique, pas de bibliothèque fournie, pas d'expo … Une inégalité de plus. Et j'avoue humblement que je ne maîtrise pas tous les sujets extra-mathématiques.
Pour répondre à la question posée plus haut, dans mon lycée, rien n'est prévu. Il faut dire qu'on commence à avoir pas mal de pertes d'effectifs, à tous les niveaux du lycée (la fameuse reconquête du mois dejuinmai).
De plus le programme de la spé n'est toujours pas fini, je panache donc mes cours entre la fin du programme (intégrales, équa-diffs, fonctions trigo, somme de VA) et granToral, où souvent, je suis le seul à parler.
Mais certains élèves ne sont motivés par rien. La fin du programme ? Bah, ils feront des études où la part des maths est plus que réduite. Le granToral ? Ils se mettent dans la tête que, l'épreuve écrite étant passée, ils bricoleront un truc vite fait et auront une note potable quoi qu'il arrive. Ils n'ont pas forcément tort.
Je hais cette réforme.
Je hais ce granToral.
Perso je laisse tomber la somme des VA...
Idem à vous, même constat, je laisse également tomber la somme de VA, pas le temps! ou peut être une une heure comme ça.
- BalthazaardVénérable
VinZT a écrit:Globalement, j’en ai pensé que c’est une épreuve lamentable.
Le fond étant le plus souvent indigent, on en est réduit à évaluer — ou du moins à prendre en compte inconsciemment — des critères très subjectifs qui n’ont aucun rapport avec la discipline qu'on enseigne : talent de baratinage, posture, voire sympathie ou tenue vestimentaire du candidat. Tout cela me met mal très à l’aise.
Mettre une relative « bonne » note à un candidat qui ignore tout du logarithme (ln(ab) ?) mais qui parle avec une aisance relative de sa « découverte » me gêne énormément.
La plupart des que j'ai vus ont été pompés sur internet (comment pourrait-il en être autrement ?). Une candidate nous a d’ailleurs avoué avec une franchise désarmante avec trouvé son sujet sur Instagram.
J’ai eu des sujets traitant de SVT (où je n’ai eu pratiquement aucune question intelligente à poser) et de physique (où mes souvenirs datent du siècle dernier). Les maths ? Reléguées à un rôle d’outil, dans le meilleur des cas, de faire-valoir ou absentes dans les autres.
La troisième partie n’a aucune espèce d’intérêt : qui suis-je pour évaluer un projet d’orientation ? Et quel intérêt de donner des conseils pour quelque chose qui est déjà joué ?
Bref, je me répète, mais à part fournir des cohortes de gens parlant pour ne rien dire — et dont il ne me paraît pas urgent d’augmenter l’effectif — je ne vois pas en quoi cette épreuve permet de certifier quoi que ce soit quant à la capacité de réussir des études supérieures, notamment scientifiques.
Réussir à faire pire et plus dégoulinant de « bienveillance » que les TPE, ce n’était pas facile. Bravo l’EN l’a fait.
Il conviendrait de supprimer cette épreuve farcesque au plus vite.
Je réponds pour que tu ne te sentes pas trop seul, je souligne ce avec quoi je suis absolument d'accord.
Ce truc est haïssable, au sens premier du mot, pas de discussion, j'en veux la destruction, bruler les textes fondateurs, chasser cela de la mémoire de l'EN
Le problème c'est qu'il n'y a pas mal de collègues qui trouvent que "ce n'est pas si mal que ça"...disons que ce serait perfectible mais que l'idée n'est pas à jeter, et ils sont finalement assez nombreux.
C'est ce qui me déprime le plus, les plus sensés sont encore les élèves qui ont bien compris que ce n'est que de la poudre aux yeux et qui y consacrent le temps que cela vaut.
Finalement l'espoir viendrait de la jeunesse après tout.
- ProtonExpert
Je ne pense pas que cette épreuve disparaitra car le nouveau ministre a été prof à Sciences Po. Il doit adorer cela comme son collègue à l'origine de cette épreuve.
Par contre, il serait bien d'avoir un peu plus de flexibilité, comme notamment la possibilité d'un support. Là ça deviendrait plus intéressant pour les mathématiques.
Par contre, il serait bien d'avoir un peu plus de flexibilité, comme notamment la possibilité d'un support. Là ça deviendrait plus intéressant pour les mathématiques.
- MoonchildSage
Laugarithme a écrit:On ne dit pas que les programmes des matières littéraires sont plus légers, seulement qu'ils prêtent, peut être, plus aisement matière à un sujet de grand oral, présentable sans écrire au tableau.
C'est pourtant évident comme un éléphant au milieu du couloir !
D'un côté, les mathématiques sont un langage écrit, un élève à qui on coupe le son mais qui a accès à l'ensemble des traces écrites (tableau + documents) est théoriquement en mesure de comprendre ce qui a été fait lors d'une séance (bon, il arrive que, parfois, on dicte certaines phrases du cours mais c'est un artifice pédagogique qui est généralement motivé par la nécessité d'obtenir le calme). En revanche, si l'enseignant ne peut plus écrire ou projeter ses documents, s'il ne peut que parler, il n'y a tout bonnement plus de cours. En maths, l'écrit constitue l'essentiel du contenu et l'oral vient en complément.
En revanche, en lettres, philo, histoire, au niveau du lycée, si on n'a que la trace de ce qu'a écrit ou projeté le prof, on n'a qu'une toute petite partie du cours et on ne peut pas réellement le comprendre ; bien sûr, il y a parfois besoin de distribuer des documents comme supports d'étude mais l'essentiel du message transmis par l'enseignant est oral, l'écrit venant en complément soit ponctuellement, soit pour un plan. Dans ces disciplines, les élèves doivent se rôder à l'exercice de la "prise de notes" qui, en maths, n'a pas lieu d'être car tout ce qui est indispensable est censé être écrit explicitement par l'enseignant.
Bref, entre les maths et les sciences humaines, dans la transmission du contenu, le rapport écrit vs oral est complètement renversé, il est donc normal qu'une épreuve purement orale s'intègre plutôt bien dans certaines disciplines sous réserve que les conditions le permettent (effectifs et volume horaire) tandis qu'elle sera intrinsèquement bancale en maths voire incompatible avec la matière.
Les sciences se retrouvent dans une position intermédiaires : en physique-chimie, le recours aux maths pose de réelles difficultés dans le cadre d'une épreuve orale qui doit alors se tourner vers un contenu qualitatif plus que quantitatif, mais l'absence de document ou de schéma est un obstacle majeur (penser aux émissions de vulgarisation comme "C'est pas sorcier" : on ne pourrait pas les suivre à la radio) ; l'informatique et la SI sont confrontées au même écueil que la physique-chimie mais sans doute accentué car l'aspect qualitatif y peut-être encore plus tributaire des schémas et documents ; la SVT est dans une position moins inconfortable car, avec la possibilité de gribouiller un petit schéma au brouillon pour le jury, il y a plus de marge dans la palette de contenu qualitatif raisonnablement transmissible dans le cadre de cette épreuve.
Les élèves qui ont les combinaisons maths+NSI ou maths+SI sont structurellement les plus pénalisés par cette épreuve.
- kaprekar6174Niveau 2
Idem, la somme de VA et l'inégalité de BT passent à la trappe, ça ne manquera à personne.
Pour le GO, j'ai 3 élèves faibles qui font Maths et Arts plastiques, elles veulent parler du nbre d'or... Le pire c'est que je n'ai pas d'autre idée a leur proposer en lien avec leurs 2 spes.
Les autres sont en Ses ou en physique et a part 1 ou 2 sujets intéressants comme la loi de Benford, les autres se contentent de sujets archi bato comme la surréservation des compagnies aériennes, l'invention des log, le coefficient de gini, les jeux de casino, ou les equadif appliquées à l'électricité..
Pour le GO, j'ai 3 élèves faibles qui font Maths et Arts plastiques, elles veulent parler du nbre d'or... Le pire c'est que je n'ai pas d'autre idée a leur proposer en lien avec leurs 2 spes.
Les autres sont en Ses ou en physique et a part 1 ou 2 sujets intéressants comme la loi de Benford, les autres se contentent de sujets archi bato comme la surréservation des compagnies aériennes, l'invention des log, le coefficient de gini, les jeux de casino, ou les equadif appliquées à l'électricité..
- elsassfreiNiveau 7
Mon IPR a essayé de me convoquer à une formation (bidon amha) sur "La question de sciences physiques au grand oral". J'ai eu la chance d'avoir -en même temps- une formation très sérieuse, et j'ai refusé d'y aller (préparer la "question"), préférant participer à une vraie formation (type LIESSE).
En direct avec mon CDE, j'ai expliqué qu'on ouvrait une section théatre à la rentrée, et qu'on devrait plutôt utiliser cette formation pour vraiment former les élèves à l'oral (en plus de leur apprendre plein de choses TRÈS utiles, via le théatre qui est une activité merveilleuse à cet âge). ça a un peu crié mais depuis je n'existe plus (tant mieux) et je ne serai pas invité à cette grande farce. C'est regrettable.
@VinZT et @Balthazaard : j'ai perdu beaucoup de temps et d'énergie avec l'enseignement scientifique** aussi, et je suis de tout coeur avec vous.
**Lors d'une audition dans un IUT, certains élèves ont appelé cet enseignement "la physique pour les nuls". ça m'a profondément vexé, vu le sérieux avec lequel j'ai préparé mes cours et tous les contrôles qui allaient avec :-/
En direct avec mon CDE, j'ai expliqué qu'on ouvrait une section théatre à la rentrée, et qu'on devrait plutôt utiliser cette formation pour vraiment former les élèves à l'oral (en plus de leur apprendre plein de choses TRÈS utiles, via le théatre qui est une activité merveilleuse à cet âge). ça a un peu crié mais depuis je n'existe plus (tant mieux) et je ne serai pas invité à cette grande farce. C'est regrettable.
@VinZT et @Balthazaard : j'ai perdu beaucoup de temps et d'énergie avec l'enseignement scientifique** aussi, et je suis de tout coeur avec vous.
**Lors d'une audition dans un IUT, certains élèves ont appelé cet enseignement "la physique pour les nuls". ça m'a profondément vexé, vu le sérieux avec lequel j'ai préparé mes cours et tous les contrôles qui allaient avec :-/
- BalthazaardVénérable
Proton a écrit:Je ne pense pas que cette épreuve disparaitra car le nouveau ministre a été prof à Sciences Po. Il doit adorer cela comme son collègue à l'origine de cette épreuve.
Par contre, il serait bien d'avoir un peu plus de flexibilité, comme notamment la possibilité d'un support. Là ça deviendrait plus intéressant pour les mathématiques.
Tu es libre de tes propos, mais cela illustre bien ce que je dis...."ça pourrait...si...."
@ Moonchild,
Je ne partage pas tout à fait ce que tu dis, il est évident que maths ou physique sans support, c'est impossible (ce qui ne veut pas dire qu'avec un support cela conduirait à quoi que ce soit de valable, sauf à changer radicalement les choses et à en faire des mini soutenances de thèses et le lycée n'est certainement pas le lieu pour ça, surtout dans l’état où en est l'apprentissage des fondamentaux)
Par contre en tant que curieux de philo, d'histoire et d'économie, je n'arrive pas du tout à focaliser mes idées sur un texte de quelque profondeur sans avoir les support écrit, le lire, le relire...et quand j'ai de la chance le comprendre!
Pour moi, la philo, par exemple (la vraie) me semble utiliser un langage où chaque mot compte et interroge, sous peine de commettre des imprécisions ou pire des contresens.
- RuthvenGuide spirituel
Cela serait pourtant tellement plus simple de leur proposer en maths ou en SPC la résolution d'un exercice au tableau avec explication ... Il y aurait la dimension orale et la dimension disciplinaire ... On pourrait même imaginer que les élèves choisissent à l'avance un type d'exercice dans des grandes familles pour pouvoir le préparer.
- MoonchildSage
kaprekar6174 a écrit:Idem, la somme de VA et l'inégalité de BT passent à la trappe, ça ne manquera à personne.
Pour le GO, j'ai 3 élèves faibles qui font Maths et Arts plastiques, elles veulent parler du nbre d'or... Le pire c'est que je n'ai pas d'autre idée a leur proposer en lien avec leurs 2 spes.
Les autres sont en Ses ou en physique et a part 1 ou 2 sujets intéressants comme la loi de Benford, les autres se contentent de sujets archi bato comme la surréservation des compagnies aériennes, l'invention des log, le coefficient de gini, les jeux de casino, ou les equadif appliquées à l'électricité..
Pareil, et je n'ai aucun état-d'âme car, à ce niveau de formation, cette partie n'apporte rien qui ne pourra être rattrapé par la suite si nécessaire.
Je suis plus embêté d'être en train de bâcler l'intégration pour pouvoir quand même faire un peu de trigo. Je vais certainement devoir laisser tomber les équations différentielles par manque de temps ; c'est pas l'idéal mais, vu que le contenu est assez restreint, je crois que ça se rattrape assez facilement dans le supérieur, en tout cas plus que l'intégration et la trigo.
Pour le grand oral, je n' m'en préoccupe pas en classe, je me limite à répondre à certaines questions individuelles posées à la sortie du cours. Par ailleurs, nos élèves de terminale ont à leur EDT une heure (hebdomadaire ou quinzaine ? je ne sais plus) de préparation au grand oral depuis septembre mais je me désintéresse complètement de ce qui s'y fait.
Balthazaard a écrit:Proton a écrit:Je ne pense pas que cette épreuve disparaitra car le nouveau ministre a été prof à Sciences Po. Il doit adorer cela comme son collègue à l'origine de cette épreuve.
Par contre, il serait bien d'avoir un peu plus de flexibilité, comme notamment la possibilité d'un support. Là ça deviendrait plus intéressant pour les mathématiques.
Tu es libre de tes propos, mais cela illustre bien ce que je dis...."ça pourrait...si...."
Même avec la possibilité d'un support, cette épreuve n'est pas du tout pertinente en maths à ce niveau de formation car ce qu'on y travaille n'est pas ce dont manqueront les futurs étudiants scientifiques : de la technicité. C'était pareil avec les TPE, travailler la présentation d'un exposé sur un sujet de maths choisi par l'élève est une perte de temps quand par ailleurs les notions de base ne sont pas correctement acquises. Si on veut vraiment qu'il y ait une épreuve orale en maths, il faut adopter le format de la colle c'est-à-dire d'un exercice donné au moment de l'épreuve sur un programme prédéfini... mais en réalité, une colle de maths n'est dans le fond ni plus ni moins qu'un écrit au tableau complété par la possibilité d'échanger avec l'examiniteur.
Balthazaard a écrit:@ Moonchild,
Je ne partage pas tout à fait ce que tu dis, il est évident que maths ou physique sans support, c'est impossible (ce qui ne veut pas dire qu'avec un support cela conduirait à quoi que ce soit de valable, sauf à changer radicalement les choses et à en faire des mini soutenances de thèses et le lycée n'est certainement pas le lieu pour ça, surtout dans l’état où en est l'apprentissage des fondamentaux)
Par contre en tant que curieux de philo, d'histoire et d'économie, je n'arrive pas du tout à focaliser mes idées sur un texte de quelque profondeur sans avoir les support écrit, le lire, le relire...et quand j'ai de la chance le comprendre!
Pour moi, la philo, par exemple (la vraie) me semble utiliser un langage où chaque mot compte et interroge, sous peine de commettre des imprécisions ou pire des contresens.
Je comprends ce que tu veux dire, mais tu as toi-même précisé "de quelque profondeur", or ici le niveau d'enseignement et surtout le format impliquent qu'on en reste à la surface donc il n'y pas vraiment d'incompatibilité avec un échange exclusivement oral.
- CasparProphète
Une épreuve également humiliante, j'ose les grands mots, pour le juré dit "candide" qui en connaît moins que le candidat (en général), se trouve donc en position d'infériorité et pourrait être remplacé par n'importe quel passant dans la rue puisqu'il s'agit d'évaluer uniquement la forme et non le fond. D'ailleurs il était question de faire appelle à des personnes "extérieures" au début.
- VinZTDoyen
En somme, académiquement, c'est de la [modéré], tout le monde le sait, mais comme ça rapporte des points faciles aux candidats, que ça fait travailler les soft skills chers au patronat, que ça se vend bien dans la presse et que certaines officines y trouvent leur compte, ça restera probablement.
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- ProtonExpert
Je suis résigné, je déteste cette épreuve et ce bac. Je déteste cette organisation (et encore on n'a pas eu le bac en mars !) ... mais c'est ainsi. Je me fais une raison. Je me dis que si jamais le ministère retravaille un peu sa copie pour le GO, l'amélioration que je souhaiterais, c'est le support comme aux TPE.
Cette épreuve ne disparaitra pas dans les 5 ans à venir. Et la réforme du lycée ne bougera pas (sauf les maths en première).
J'ai passé les TPE quand j'étais élève sur un truc bancal les illusions d'optique. On a tout fait la veille ou presque. On a eu entre 16 et 18 ... je sais très bien que tout ceci est totalement fumeux. Mais c'est ainsi.
Cette épreuve ne disparaitra pas dans les 5 ans à venir. Et la réforme du lycée ne bougera pas (sauf les maths en première).
J'ai passé les TPE quand j'étais élève sur un truc bancal les illusions d'optique. On a tout fait la veille ou presque. On a eu entre 16 et 18 ... je sais très bien que tout ceci est totalement fumeux. Mais c'est ainsi.
- CasparProphète
C'est probable en effet...et ça ne doit pas coûter très cher à organiser.VinZT a écrit:En somme, académiquement, c'est de la [modéré], tout le monde le sait, mais comme ça rapporte des points faciles aux candidats, que ça fait travailler les soft skills chers au patronat, que ça se vend bien dans la presse et que certaines officines y trouvent leur compte, ça restera probablement.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum