- chokokrokNiveau 2
Bonjour,
Je sèche sur une question très banale.
Quelles sont les classe grammaticale et fonction de "1968" dans "en mai 1968"?
classe grammaticale: adjectif numéral?
fonction: épithète ?
Merci de votre aide
Je sèche sur une question très banale.
Quelles sont les classe grammaticale et fonction de "1968" dans "en mai 1968"?
classe grammaticale: adjectif numéral?
fonction: épithète ?
Merci de votre aide
- NLM76Grand Maître
Je dirais plutôt qu'il s'agit d'un nom de nombre, cardinal à valeur d'ordinal. Ce serait le versant nominal de l'adjectif. Pour la fonction, va savoir ! Pourquoi pas complément du nom. En tout cas, sémantiquement, cela signifie "mai de la 1968e année depuis la naissance supposée du Christ".
Comment dit-on en anglais ? In may of 1968 ?
Comment dit-on en anglais ? In may of 1968 ?
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- *Ombre*Grand sage
Même analyse que NLM. Je perçois davantage "1968" comme le nom d'une année que comme un adjectif. Quant à la fonction, il permet de déterminer le nom "mois", donc complément du nom : le mois de mai (de l'année) 1968.
- SomniumNiveau 5
Je dirais aussi complément du nom "mai" pour la fonction.
- SomniumNiveau 5
Bonjour à tous,
j'ai deux cas pour lesquels je ne suis pas trop sûr de mon coup:
1) Phrases du type Je suis sûr qu'il viendra.
J'aurais tendance à voir deux interprétations possibles:
(a) On considère qu'il s'agit d'une structure attributive avec sûr attribut du sujet je; qu'il viendra serait alors complément de l'adjectif sûr.
(b) On considère plutôt que l'ensemble être sûr constitue un verbe, auquel cas ce qui suit serait un complément d'objet. Celui-ci est pronominalisable en en (J'en suis sûr) et serait donc un COI (Je suis sûr qu'il viendra = Je suis sûr de ce qu'il viendra). Que pensez-vous de ces deux analyses?
2) Rôle de quel dans les phrases du type Quelle surprise de le voir!
Quelle est un déterminant qui fixe également la modalité exclamative de la phrase. Mais ne peut-on pas considérer au fond qu'il y a une structure attributive sous-jacente (Quelle est/ Quelle fut ma surprise de le voir)? Dans ce cas peut-on considérer que le fonctionnement du mot quel se rapproche de celui d'un adjectif?
j'ai deux cas pour lesquels je ne suis pas trop sûr de mon coup:
1) Phrases du type Je suis sûr qu'il viendra.
J'aurais tendance à voir deux interprétations possibles:
(a) On considère qu'il s'agit d'une structure attributive avec sûr attribut du sujet je; qu'il viendra serait alors complément de l'adjectif sûr.
(b) On considère plutôt que l'ensemble être sûr constitue un verbe, auquel cas ce qui suit serait un complément d'objet. Celui-ci est pronominalisable en en (J'en suis sûr) et serait donc un COI (Je suis sûr qu'il viendra = Je suis sûr de ce qu'il viendra). Que pensez-vous de ces deux analyses?
2) Rôle de quel dans les phrases du type Quelle surprise de le voir!
Quelle est un déterminant qui fixe également la modalité exclamative de la phrase. Mais ne peut-on pas considérer au fond qu'il y a une structure attributive sous-jacente (Quelle est/ Quelle fut ma surprise de le voir)? Dans ce cas peut-on considérer que le fonctionnement du mot quel se rapproche de celui d'un adjectif?
- IphigénieProphète
Pour le 1 je pencherais plutôt pour le complément de l’adjectif
Pour le 2 je ne comprends pas la question: quel est déterminant et plus précisément adjectif exclamatif. D’où mon on peut toujours sous entendre un verbe : quelle est ma surprise, quelle surprise je ressens, …. Mais est-ce nécessaire?
Pour le 2 je ne comprends pas la question: quel est déterminant et plus précisément adjectif exclamatif. D’où mon on peut toujours sous entendre un verbe : quelle est ma surprise, quelle surprise je ressens, …. Mais est-ce nécessaire?
- SomniumNiveau 5
Ok merci. Pour le deuxième cas c'est peut-être normal que tu ne comprennes pas la question, j'ai l'impression d'être un peu à côté de la plaque avec les adjectifs déterminants... Du coup quelle est la fonction de "quelle"? Déterminant? (???)
- NLM76Grand Maître
Au fait, ce n'est pas une question très banale. C'est surtout une question à ne pas donner aux élèves !chokokrok a écrit:Bonjour,
Je sèche sur une question très banale.
Quelles sont les classe grammaticale et fonction de "1968" dans "en mai 1968"?
classe grammaticale: adjectif numéral?
fonction: épithète ?
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- chokokrokNiveau 2
Oui, je suis d'accord mais malheureusement c'est ce que j'ai fait!
Merci à tous pour vos réponses et votre réactivité.
Je reviendrai certainement par ici vous poser d'autres de ces question banales et épineuses.
Merci à tous pour vos réponses et votre réactivité.
Je reviendrai certainement par ici vous poser d'autres de ces question banales et épineuses.
- NLM76Grand Maître
Pour le 1), tes deux analyses me paraissent très claires et valables, l'une comme l'autre.Somnium a écrit:Bonjour à tous,
j'ai deux cas pour lesquels je ne suis pas trop sûr de mon coup:
1) Phrases du type Je suis sûr qu'il viendra.
J'aurais tendance à voir deux interprétations possibles:
(a) On considère qu'il s'agit d'une structure attributive avec sûr attribut du sujet je; qu'il viendra serait alors complément de l'adjectif sûr.
(b) On considère plutôt que l'ensemble être sûr constitue un verbe, auquel cas ce qui suit serait un complément d'objet. Celui-ci est pronominalisable en en (J'en suis sûr) et serait donc un COI (Je suis sûr qu'il viendra = Je suis sûr de ce qu'il viendra). Que pensez-vous de ces deux analyses?
2) Rôle de quel dans les phrases du type Quelle surprise de le voir!
Quelle est un déterminant qui fixe également la modalité exclamative de la phrase. Mais ne peut-on pas considérer au fond qu'il y a une structure attributive sous-jacente (Quelle est/ Quelle fut ma surprise de le voir)? Dans ce cas peut-on considérer que le fonctionnement du mot quel se rapproche de celui d'un adjectif?
Pour le 2). Eh oui ! "quelle, quel" est un adjectif interrogatif/exclamatif, contrairement à ce qu'on voudrait nous faire croire. En l'espèce, cet adjectif exclamatif détermine (fonction) bien le nom "surprise", et ce nom est bien attribut de l'infinitif sujet "voir". En particulier dans la phrase exclamative, il n'est pas rare d'avoir un sujet et son attribut sans "copule" exprimée, en français comme dans les langues anciennes.
Mais effectivement, l'adjectif "quel" peut être utilisé en fonction d'attribut, contrairement à ce qu'on nous raconte, dans des phrases telles que celles que tu suggères, ou dans "Quel est votre avis sur la question ?"
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- SomniumNiveau 5
Wunderbar! Merci. Je suis un peu rassuré...
Une question supplémentaire pour l'attribut du sujet en revanche: si je te suis bien, @NLM76, surprise est l'attribut de voir (en considérant je suppose que la phrase peut être reformulée en Quelle surprise est-ce de le voir!). Mais si on choisit comme je l'ai fait la reformulation Quelle est ma surprise de le voir, n'est-ce pas alors quelle qui est attribut de surprise?
Je me rends compte que je m'embobine moi-même, ha ha!
Une question supplémentaire pour l'attribut du sujet en revanche: si je te suis bien, @NLM76, surprise est l'attribut de voir (en considérant je suppose que la phrase peut être reformulée en Quelle surprise est-ce de le voir!). Mais si on choisit comme je l'ai fait la reformulation Quelle est ma surprise de le voir, n'est-ce pas alors quelle qui est attribut de surprise?
Je me rends compte que je m'embobine moi-même, ha ha!
- NLM76Grand Maître
Mouais. Je n'en sais trop rien; mais je dirais qu'ici c'est un complément d'origine ou de cause.
Maintenant, pas besoin de la réécriture avec "est-ce" pour considérer un attribut du sujet. Voir : "Les politiques, tous des pourris !". Quand tu produis un énoncé, tu veux dire quelque chose, et l'interlocuteur le suppose aussi, et la structure de la phrase, la situation de communication t'indique quel est le thème, quel est le propos, et la juxtaposition est une structure qui peut produire la relation de sens sujet-attribut.
Maintenant, pas besoin de la réécriture avec "est-ce" pour considérer un attribut du sujet. Voir : "Les politiques, tous des pourris !". Quand tu produis un énoncé, tu veux dire quelque chose, et l'interlocuteur le suppose aussi, et la structure de la phrase, la situation de communication t'indique quel est le thème, quel est le propos, et la juxtaposition est une structure qui peut produire la relation de sens sujet-attribut.
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- IphigénieProphète
mouais: vous ne compliquez pas un peupour compliquer?Somnium a écrit:Wunderbar! Merci. Je suis un peu rassuré...
Une question supplémentaire pour l'attribut du sujet en revanche: si je te suis bien, @NLM76, surprise est l'attribut de voir (en considérant je suppose que la phrase peut être reformulée en Quelle surprise est-ce de le voir!). Mais si on choisit comme je l'ai fait la reformulation Quelle est ma surprise de le voir, n'est-ce pas alors quelle qui est attribut de surprise?
Je me rends compte que je m'embobine moi-même, ha ha!
"La surprise de te voir" est typiquement la situation de ce qu'on appelle en L.A "génitif subjectif" versus "génitif objectif "(metus hostium) : dans tous les cas n'est -il pas plus simple de voir dans "la surprise de le voir" une situation de génitif (subjectif)- ou à la rigueur de relation: quant au fait de te voir- mais donc de complément-de "surpris?
quelle fut la surprise de Paul de te voir: deux cdn, un subjectif l'autre objectif (te voir surprend Paul=la surprise de PAul de te voir)
Je m’aperçois aussi que l’on a proposé plusieurs phrases différemment construites :
« Quelle surprise , cette rencontre » ( là je vois bien un attribut) ne me paraît pas la même construction que « quelle surprise de te rencontrer »idem pour « quelle surprise de te voir »
- NLM76Grand Maître
Mouais. Ça se défend.
Mais ça me paraît vraiment contre-intuitif.
Je n'ai pas l'impression d'un génitif subjectif, même si on peut faire les transformations (te voir surprend Paul). Comment te débrouilles-tu pour "Quel idiot d'y avoir cru !" ? [Si tant est que cette phrase est vraiment possible... à vérifier.]
Mais ça me paraît vraiment contre-intuitif.
Je n'ai pas l'impression d'un génitif subjectif, même si on peut faire les transformations (te voir surprend Paul). Comment te débrouilles-tu pour "Quel idiot d'y avoir cru !" ? [Si tant est que cette phrase est vraiment possible... à vérifier.]
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- IphigénieProphète
Un génitif de relation simplement? En tout cas ça me paraît impossible d’y voir un attribut là, non?
Ps: drôle d’idée de faire de la grammaire: là :attribut ou apposition plutôt comme pour la ville de Paris
Et paf nouveau débat en vue
Ps: drôle d’idée de faire de la grammaire: là :attribut ou apposition plutôt comme pour la ville de Paris
Et paf nouveau débat en vue
- EsméraldaGrand sage
J'ai eu un moment de doute ce matin, peut-être n'étais-je pas très réveillée ...
Est-ce que l'on considère qu'un verbe est conjugué s'il s'agit d'un participe présent ?
Est-ce que l'on considère qu'un verbe est conjugué s'il s'agit d'un participe présent ?
- InvitéInvité
La formulation est ambigüe ; tout dépend de ce que tu appelles "conjuguer", d'un point de vue linguistique. En grammaire scolaire, on dirait que le participe présent est une des formes non conjuguées du verbe, avec l'infinitif et le participe passé. D'aucuns préfèrent dire que le participe présent est un verbe conjugué à un mode impersonnel.
- IphigénieProphète
Oui s’il a son propre sujet: il fonctionne comme verbe d’une proposition participiale à quelque temps qu’il soit:
La cigale ayant chanté tout l’été , l’hiver fut difficile.
Mais pas s’il n’a pas son propre sujet: la cigale, ayant chanté tout l’été, se trouva fort dépourvue.( là le participe fonctionne comme un adjectif)
Comme son nom l’indique il participe des deux natures
La cigale ayant chanté tout l’été , l’hiver fut difficile.
Mais pas s’il n’a pas son propre sujet: la cigale, ayant chanté tout l’été, se trouva fort dépourvue.( là le participe fonctionne comme un adjectif)
Comme son nom l’indique il participe des deux natures
- EsméraldaGrand sage
Iphigénie a écrit:Oui s’il a son propre sujet: il fonctionne comme verbe d’une proposition participiale à quelque temps qu’il soit:
La cigale ayant chanté tout l’été , l’hiver fut difficile.
Mais pas s’il n’a pas son propre sujet: la cigale, ayant chanté tout l’été, se trouva fort dépourvue.( là le participe fonctionne comme un adjectif)
Comme son nom l’indique il participe des deux natures
Bon là, on est dans la subtilité, déjà si mes 3èmes arrivent à nommer le participe présent.
Je crois que j'ai tendance à dire que le verbe est à un mode impersonnel, sans dire qu'il est conjugué dans ce cas.
- IphigénieProphète
Tu dis pareil pour le participe passé, (mode impersonnel?) alors?
Cela me gêne bcp, personnellement. Je dirais comme Nizab.
Mais je n’enseigne plus et encore moins en collège depuis longtemps donc, attendons des avis plus autorisés
Cela me gêne bcp, personnellement. Je dirais comme Nizab.
Mais je n’enseigne plus et encore moins en collège depuis longtemps donc, attendons des avis plus autorisés
- AsarteLilithEsprit sacré
Je sèche sur une question posée par l'aesh de l'ulis dans mon cours, durant une correction d'interrogation de grammaire: on met le pluriel au participe passé avec auxiliaire être et à l'adjectif quand on emploie la 2e p. du plu.
Mais comment accorde-t-on lors qu'il s'agit d'un vous de politesse ?
Mais comment accorde-t-on lors qu'il s'agit d'un vous de politesse ?
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- InvitéInvité
"Si nous est employé comme pluriel de majesté ou de modestie à la place des pronoms je ou moi, ou si vous l’est comme pluriel de politesse en place de tu, le verbe se conjugue normalement avec nous et vous, mais l’accord des éventuels adjectifs et participes se fait toujours au singulier (on fait bien l’accord en genre)"
https://www.dictionnaire-academie.fr/article/QDL059#:~:text=Cependant%2C%20si%20nous%20est%20employ%C3%A9,singulier%20(on%20fait%20bien%20l'
https://www.dictionnaire-academie.fr/article/QDL059#:~:text=Cependant%2C%20si%20nous%20est%20employ%C3%A9,singulier%20(on%20fait%20bien%20l'
- AsarteLilithEsprit sacré
Merci !
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- NLM76Grand Maître
Un exemple-type :
"Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau !"
"Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau !"
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- AzinwxonJe viens de m'inscrire !
Bonjour,
Certaines grammaires (ex : Le Grevisse de l'étudiant) classent dont dans la catégorie des pronoms adverbiaux (avec en, y et où).
Pourquoi ? Quel adverbe représente-il ?
Merci d'avance.
Certaines grammaires (ex : Le Grevisse de l'étudiant) classent dont dans la catégorie des pronoms adverbiaux (avec en, y et où).
Pourquoi ? Quel adverbe représente-il ?
Merci d'avance.
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