Neo défi lecture 2021 - Ici, on papote !

J'ai ce livre dans ma PAL depuis au moins deux ans! Je le classerai pour le défi des sorcières qui ne m'inspire que moyennement et je pense que je trouverai un autre livre d'un auteur libanais.

J'en avais repéré d'autres sur la liste babelio, je lirai encore certainement d'autres d'auteurs libanais dans ou hors défi, notamment Amin Maalouf.

Adren a écrit:J'en avais repéré d'autres sur la liste babelio, je lirai encore certainement d'autres d'auteurs libanais dans ou hors défi, notamment Amin Maalouf.

Pas si simple, ce défi. Je regarde une liste sur Internet, je me rends compte que je connais peu d'auteurs libanais: Maalouf, oui, bien sur, Gilbran, OK, Mouawad, pour ceux qui aiment son style (j'en fais partie), Salah Stetie le poète... et voilà. Si on creuse, la famille Chedid est d'origine libanaise: OK pour Andrée, la grand-mère de M. Je dois avouer mon incurie pour le reste: preneuse de pistes et de conseils!

Pour le défi 50 "le Sud", j'ai lu Le Soleil des Scorta de Laurent Gaudé, prix Goncourt 2004. Dans la région des Pouilles, on suit la famille Scorta sur plusieurs générations dans un petit village grillé par le soleil. Violence (famille fondée à partir d'un viol), misère, bannissement, petits trafics ... mais aussi amour fraternel et bonheurs simples, travail acharné, questionnement sur le sens de la vie. La plume de Gaudé est puissamment évocatrice (réussir à sentir le parfum des oliviers et de la terre brûlée alors qu'on vit en Picardie et qu'il flotte, c'est fort ). Néanmoins, j'ai eu du mal à m'attacher au roman, il n'y a que vers la fin que je l'ai trouvé beau.

Gaudé je n'accroche pas. J'ai détesté Le soleil des Scorta. Trop pompeux comme style pour moi. Je ne m'attache pas aux personnages.Et pourtant je reconnaîs des qualités mais ca ne veut pas.

Clecle78 a écrit:Gaudé je n'accroche pas. J'ai détesté Le  soleil des Scorta. Trop pompeux comme style  pour moi. Je ne m'attache pas aux personnages.Et pourtant je reconnaîs des qualités mais ca ne veut pas.

Je ne suis pas toute seule, ça me rassure. J'ai lu quelques romans de cet auteur, que je trouve très sur-écrits. Je ne dirais pas que je déteste, mais plutôt que j'aurais tant aimé aimer. J'aime bien les thématiques, il y a de beaux passages, mais je n'accroche pas vraiment.

Comme vous, j'ai eu du mal. J'ai aimé l'écriture, à nouveau très évocatrice, j'ai bien aimé les questionnements existentiels à la fin, mais je me suis ennuyée.

Sur-ecrit ! C'est exactement ça ! Je n'aurais pas mieux dit.

Moi, j'adore Le Soleil des Scorta, je viens de le donner à lire à mes 3e, alors que je n'ai pas accroché à Eldorado par exemple. Il faudrait que je relise La Porte des enfers, je suis passée à côté et le reste, je m'en souviens à peine. Tout ça pour dire que je ne suis pas une fan inconditionnelle de L. Gaudé. Je comprends tout à fait qu'on n'accroche pas mais l'écriture n'a rien de pompeux. Ou alors je n'entends pas "pompeux" de la même manière que vous.

Je ne le trouve pas pompeux non plus, mais je n'avais pas accroché au Soleil des Scorta non plus, enfin je l'avais trouvé bien sans plus. J'avais eu l'impression de lire une tentative de faire les Rougon-Macquart en un seul volume, donc forcément on n'allait pas au fond des choses, les personnages restaient superficiels. Le style était plaisant, mais là aussi ça me rappelait une tentative de faire du Zola, et forcément en ayant Zola en tête, la comparaison n'était pas flatteuse. M'enfin, c'est sans doute très personnel comme impression...

Je suis d'accord avec Eloah, Sphinx et Amaliah pour le style: ce n'est pas sur-écrit, ni pompeux (j'ai des points de comparaison dans mes lectures récentes ), c'est seulement bien écrit, dans une langue riche et bien rythmée, mais on n'a plus l'habitude qu'un écrivain encore vivant écrive comme cela. :p
Je n'ai pas du tout aimé la Mort du roi Tsongor, que j'ai trouvé d'un ennui total, et si cela avait été le premier texte de Gaudé que j'avais lu, je ne serais pas allée au-delà. J'avais lu Le Soleil des Scorta avant et j'avais été emportée par ce roman: je n'ai pas trouvé, Sphinx, pour Zola. La porte des enfers et Eldorado m'ont beaucoup plu aussi. Cependant, je comprends l'impression d'ennui car je trouve aussi des longueurs, des attentes parce qu'il raconte des personnages toujours en quête d'une vie, d'une identité (?). Il y a des pages d'une grande force, d'une urgence, de très belles scènes qui pour moi compensent les passages un peu plus mous.
J'ai encore Ouragan dans ma PAL et j'en suis à un rythme de lecture d'un roman de Gaudé par an: je prends mon temps pour ne pas être envahie par les défauts que vous avez pointés.

Bonjour Aphrodisia. Ce n'est pas vraiment le style de Gaudé qui me dérange. "Sur-écrit" n'est peut-etre pas la bonne formule : ce que je veux exprimer, c'est une impression assez diffuse, quand je lis ses romans, d'un auteur qui connait les recettes pour écrire un ouvrage qui fonctionne, et qui les applique très bien. C'est cette impression qui me laisse toujours un peu à coté; à regret, car il y a par ailleurs chez Gaudé de belles qualités de narration et un talent d'évocation, déjà évoqué par certains lecteurs. Je ne suis jamais loin d'aimer... mais je suis toujours un peu déçue quand je finis la lecture - sans toujours parvenir à m'expliquer totalement pourquoi d'ailleurs. Je n'ai non plus tout lu de cet auteur, loin de là: il faudrait que je réessaie.

Oui, je comprends ce que tu veux dire et je comprends aussi que l'on puisse pencher d'un côté ou de l'autre.

Je comprends ce que tu veux dire, Cle. J'ai aussi parfois ce sentiment face à Gaudé ou EE Schmidt : l'impression de lire la copie d'un (très) bon élève, qui a compris ce qu'on attend de lui et nous le sert bien comme il faut. Mais c'est parfois seulement. Il y a aussi de belles réussites. En fait, ce sont des auteurs que je trouve irréguliers (ce n'est sans doute pas évident de répondre chaque année ou presque à la commande éditoriale) , mais dont j'apprécie certaines oeuvres - Le Soleil des Scorta en fait partie. Le roman a sans doute ses défauts, mais il y a tout de même un sacré souffle et des personnages forts. Comme le dit Aphrodissia, nous n'avons plus l'habitude des auteurs contemporains qui s'efforcent d'écrire vraiment, de trouver une voix, un style, sans se contenter des platitudes et recettes de construction de romans à l'américaine. Personnellement, j'apprécie et je leur en sais gré, même si les réussites sont inégales.

Sphinx a écrit:Je ne le trouve pas pompeux non plus, mais je n'avais pas accroché au Soleil des Scorta non plus, enfin je l'avais trouvé bien sans plus. J'avais eu l'impression de lire une tentative de faire les Rougon-Macquart en un seul volume, donc forcément on n'allait pas au fond des choses, les personnages restaient superficiels. Le style était plaisant, mais là aussi ça me rappelait une tentative de faire du Zola, et forcément en ayant Zola en tête, la comparaison n'était pas flatteuse. M'enfin, c'est sans doute très personnel comme impression...

J'aime moins la fin des Scorta pour cette raison également : j'ai l'impression que chaque personnage n'est qu'esquissé quand j'aurais voulu des centaines de pages en plus. Le début est centré sur les trois enfants Scorta et Raffaele et je trouve cette histoire prenante mais la fin du livre qui évoque la destinée de tous les enfants perd forcément en densité à cause de la multiplication des personnages.

Cle73 a écrit:Bonjour Aphrodisia. Ce n'est pas vraiment le style de Gaudé qui me dérange. "Sur-écrit" n'est peut-etre pas la bonne formule : ce que je veux exprimer, c'est une impression assez diffuse, quand je lis ses romans, d'un auteur qui connait les recettes pour écrire un ouvrage qui fonctionne, et qui les applique très bien. C'est cette impression qui me laisse toujours un peu à coté; à regret, car il y a par ailleurs chez Gaudé de belles qualités de narration et un talent d'évocation, déjà évoqué par certains lecteurs. Je ne suis jamais loin d'aimer... mais je suis toujours un peu déçue quand je finis la lecture - sans toujours parvenir à m'expliquer totalement pourquoi d'ailleurs. Je n'ai non plus tout lu de cet auteur, loin de là: il faudrait que je réessaie.

Je comprends ce que tu veux dire, c'est toujours la même chose au niveau de l'écriture, du présent, parfois des phrases nominales brèves. C'est son style certes mais c'est un peu lassant si la narration n'est pas bien ficelée.

*Ombre* a écrit:Je comprends ce que tu veux dire, Cle. J'ai aussi parfois ce sentiment face à Gaudé ou EE Schmidt : l'impression de lire la copie d'un (très) bon élève, qui a compris ce qu'on attend de lui et nous le sert bien comme il faut. Mais c'est parfois seulement. Il y a aussi de belles réussites. En fait, ce sont des auteurs que je trouve irréguliers (ce n'est sans doute pas évident de répondre chaque année ou presque à la commande éditoriale) , mais dont j'apprécie certaines oeuvres - Le Soleil des Scorta en fait partie. Le roman a sans doute ses défauts, mais il y a tout de même un sacré souffle et des personnages forts. Comme le dit Aphrodissia, nous n'avons plus l'habitude des auteurs contemporains qui s'efforcent d'écrire vraiment, de trouver une voix, un style, sans se contenter des platitudes et recettes de construction de romans à l'américaine. Personnellement, j'apprécie et je leur en sais gré, même si les réussites sont inégales.

Je n'aime pas les romans d'E.-E. Schmitt, ils ne me laissent aucun souvenir, j'en ai d'ailleurs lu un l'an dernier, je ne m'en souviens pas du tout. Une très bonne rédaction, oui, c'est ce que je ressens également.

Bonjour à tous,
j'aime bien EE Schmitt :oups: je n'ai pas lu toute son oeuvre, loin de là, mais il maîtrise suffisamment habilement les ficelles de l'écriture pour que je passe de bons moments de lecture. Je suis plus partagée sur Gaudé dont je fais régulièrement lire Cris à mes 3e par exemple mais dont Le soleil des Scorta ne m'a pas plu du tout, les personnages m'ont paru trop caricaturaux, trop "typiques". Je suis peut-être passée à côté, cela dit.
Je reviens pour le défi "un ou des trains". Je pensais lire La prose du transsibérien, mais impossible de le retrouver, ce sera pour les poèmes en prose si je remets la main dessus. J'ai donc une fois du plus suivi vos bons conseils pour lire La plus précieuse des marchandises de Jean-Claude Grumberg, et j'ai bien fait ! Vous avez déjà résumé plusieurs fois ce conte de la pauvre bûcheronne qui regarde le train traverser la forêt de son pays en guerre en espérant qu'une marchandise en tombe. J'ai beaucoup aimé l'alternance entre "le conte" du côté de la bûcheronne et "l'histoire vraie" du père ainsi que le style qui mêle si adroitement les deux. A mon tour donc de le conseiller.

D'accord avec vous pour EE Schmitt. Gaudé est clairement un cran au-dessus, je trouve, j'avais bien aimé Tsongor et les Scorta. Je n'ai pas tout lu non plus (et je crois que j'ai beaucoup oublié !). En écriture pompeuse, j'aurais plutôt cité Mathias Enard !

De mon côté, j'ai lu Serpent et séduction de MC Beaton (la série des Agatha Raisin) que je fais entrer dans le défi 42 (cultivons notre jardin).
Effervescence dans les Cotswolds... George, le jardinier qui faisait tourner toutes les têtes, vient d'être retrouvé mort, mordu par des dizaines de vipères. Agatha, qui faisait partie de ses prétendantes, mène l'enquête...
Un petit roman policier parfait pour la détente, sans aucune prétention si ce n'est divertir. Sympa, comme toute la série.

J'ai aussi fini ma rererelecture de Bel-Ami pour le défi 4 (un livre avec un journaliste ou qui se passe dans le milieu de la presse). Quel plaisir ! L'été dernier j'avais relu tous ses autres romans et je m'étais déjà régalée.

Pour le roman libanais, je peine un peu à trouver. Il n'y a que du Maalouf à la bibliothèque du coin et le seul que j'avais lu ne m'a pas laissé de souvenir impérissable (j'en ai même oublié le titre !). Je crois même que le chien de mes parents l'avait à moitié mangé ! Je vais donner Le Message en cursive à mes 3e aux prochaines vacances, je le rerererelirai peut-être ! (ça fait bp de relectures, tout ça !)

Mon message a disparu !
Pour le roman libanais, j'avais aussi repéré sur babelio Cinquante grammes de paradis d'Imane Humaydane que je pensais aller chercher ce matin à la médiathèque, mais il pleut. Je fais donc une pause dans mes lectures libanaises. Ne l'ayant pas lu, je ne peux même pas vous donner un avis dessus. A part le titre et l'auteur, vous voilà bien avancés

Je vois que ma lecture du Soleil des Scorta vous fait débattre, c'est intéressant de vous lire ! Pour ma part, j'avais bien aimé Ouragan ainsi que Voyages en terres inconnues. Ma fille a étudié Eldorado cette année et a bien aimé aussi. Là je me suis ennuyée, même si la langue est belle et évocatrice. J'ai posté ma chronique sur mon compte insta et reçu plusieurs messages de personnes surprises par ma déception car elles ont beaucoup aimé voire adoré ce roman. Comme quoi ...

Quant à EE Schmitt, j'ai aimé Quand j'étais une œuvre d'art, L'Evangile selon Pilate et La Rêveuse d'Ostende mais j'ai détesté ses romans plus récents ainsi que ceux plus jeunesse ...

Adren, merci de nous parler de Blaise Cendrars, je n'y aurais pas pensé alors que oui ce serait une belle lecture pour le défi "train" !

Eloah a écrit:Je vois que ma lecture du Soleil des Scorta vous fait débattre, c'est intéressant de vous lire ! Pour ma part, j'avais bien aimé Ouragan ainsi que Voyages en terres inconnues. Ma fille a étudié Eldorado cette année et a bien aimé aussi. Là je me suis ennuyée, même si la langue est belle et évocatrice. J'ai posté ma chronique sur mon compte insta et reçu plusieurs messages de personnes surprises par ma déception car elles ont beaucoup aimé voire adoré ce roman. Comme quoi ...

Quant à EE Schmitt, j'ai aimé Quand j'étais une œuvre d'art, L'Evangile selon Pilate et La Rêveuse d'Ostende mais j'ai détesté ses romans plus récents ainsi que ceux plus jeunesse ...

Adren, merci de nous parler de Blaise Cendrars, je n'y aurais pas pensé alors que oui ce serait une belle lecture pour le défi "train" !

J'avais oublié Ouragan que j'avais beaucoup aimé aussi ! D'EE Schmitt, j'ai aimé La Part de l'autre car c'était le premier roman du genre que je lisais. Et je donne parfois en cursive Les enfants de Noé à mes 3e.

J'ai relu Lucrèce Borgia d'Hugo pour le défi 32 (Remèdes et poisons). J'adore cette pièce !

J'ai lu le tome 1 de Quartier lointain que certains ont conseillé plus haut et je vous en remercie. J'ai beaucoup aimé le tome 1 et je m'apprête à lire le tome 2. Je crois que si j'ai aimé, c'est parce que je n'ai pas eu l'impression de lire un manga, mais un roman graphique.

Oui, il est vraiment beau. Avec cette mélancolie poignante propre au Japon, je trouve.
J'ai lu aussi (je l'ai mis pour le défi vacances de l'an dernier mais ça peut convenir pour manga cette année) My summer holiday, vraiment plutôt beau aussi.

Pour le défi 22, Un livre qui évoque la vie familiale, je viens de terminer Xavier Dupont de Ligonnès de Pierre Boisson (entre autres).

Il s'agit de l'enquête publiée l'été dernier par le magazine Society qui reprend point par point tous les détails de cet incroyable fait divers. Il décrit d'une manière très précise l'enquête autour de l'assassinat de la famille Dupont de Ligonnès et la fuite du père de famille.

Mon avis : un petit livre très intéressant sur un fait divers passionnant, encore plus sans doute car il n'est toujours pas résolu. On suit les jours précédents le drame et la nuit du drame heure par heure, les auteurs décrivent aussi la vie et la personnalité de Xavier Dupont de Ligonnès, ses amis, ses relations de couple, son étrange famille.

Je classe ce livre dans cette catégorie car l'idée de famille y est très présente, dans tout ce qu'elle peut avoir de beau ou de moins beau.

Je viens de terminer Les Choses humaines, de Karine Tuil, reçu en cadeau, et je me suis aperçue en le lisant que c'était un roman dont une Néo avait fait un compte-rendu ici-même il y a peu. On y suit Jean Farel, célèbre journaliste télé vieillissant, séducteur, sa femme Claire, essayiste engagée dans les combats féministes, et leur fils Alexandre, promis à un brillant avenir. Mais cet avenir est remis en cause quand Alexandre est accusé de viol. Dans ce récit terrible, la narratrice ne prend pas parti. Chacun est sincère dans ses positions : la fille a réellement vécu un viol et, ayant déjà subi des violences, s'est retrouvée dans un état de sidération qui l'a empêchée d'émettre la moindre protestation. Le garçon ne comprend pas pourquoi une fille qui l'a suivi librement dans un réduit et n'a jamais clairement dit non, ne l'a jamais fermement repoussé, l'accuse d'avoir abusé d'elle. Il n'y a pas de monstre, dans cette histoire, seulement un double drame et deux vies gâchées par ce qu'on pourrait appeler un simple malentendu si les conséquences n'étaient pas si graves. A travers ce procès, mais aussi à travers l'histoire des parents, des limites que la mère rencontre dans sa carrière en tant que femme, de l'attitude du père qui pense que si les jeunes stagiaires lui tombent dans les bras, c'est simplement parce qu'il est séduisant, l'autrice pense avec subtilité la question du consentement. Alexandre est-il coupable ? de quoi exactement ? Les jeunes femmes qui couchent avec Farel en sachant qu'il peut propulser ou condamner leur carrière sont-elles réellement consentantes ? Sont-elles de viles opportunistes ? les victimes d'un système où le pouvoir confisqué par les hommes ne leur laisse pas d'autre choix ? La narratrice pose ces questions sans jamais livrer de jugement moral, et c'est toute la force de ce roman, que j'ai trouvé très réussi.

Comme je ne vois pas tellement d'autre item où le classer, je le mets dans Histoire qui se passe dans le milieu de la presse et fais basculer A. Ténor dans Résister / se soumettre.

Coucou ! Je passe juste signaler que Les Furtifs de Damasio vient de sortir en Folio SFR

Pour l'année de publication, a-t-on dit quelque chose sur la publication originale et la traduction? Prend-on en compte l'année de publication originale ou peut-on prendre en compte l'année de publication en français? Il me semble que quelqu'un avait posé la question, mais je ne me souviens plus de ce qui a été dit.