- Isis39Enchanteur
Avec un masque, il faut beaucoup hausser la voix sinon les élèves au fond de la salle n’entendent rien.
Ils ne voient pas les expressions de notre visage.
Ça va être top pour connaître et reconnaître les 6e avec un masque !
Ils ne voient pas les expressions de notre visage.
Ça va être top pour connaître et reconnaître les 6e avec un masque !
- EnaecoVénérable
Donc dans ton collège où ça s'est visiblement relativement bien passé, dans une période où les gens étaient encore un peu flippés et où il était obligatoire dans plus d'endroits qu'actuellement :
Des grosses chaleurs, ça arrive aussi en Septembre.
Il était obligatoire pour tous, peu importe le contexte (sauf les jours de grosse chaleur, possibilité de le retirer dans certains cours si accord du prof)
En fait, c'est surtout les collègues qui râlaient de devoir le porter.
Des grosses chaleurs, ça arrive aussi en Septembre.
- Madame_ProfEsprit sacré
Isis39 a écrit:Avec un masque, il faut beaucoup hausser la voix sinon les élèves au fond de la salle n’entendent rien.
Ils ne voient pas les expressions de notre visage.
Ça va être top pour connaître et reconnaître les 6e avec un masque !
Oui, mais pour moi, ce sont des détails, par rapport aux enjeux sanitaires...
_________________
2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- Madame_ProfEsprit sacré
Enaeco a écrit:Donc dans ton collège où ça s'est visiblement relativement bien passé, dans une période où les gens étaient encore un peu flippés et où il était obligatoire dans plus d'endroits qu'actuellement :
Il était obligatoire pour tous, peu importe le contexte (sauf les jours de grosse chaleur, possibilité de le retirer dans certains cours si accord du prof)
En fait, c'est surtout les collègues qui râlaient de devoir le porter.
Des grosses chaleurs, ça arrive aussi en Septembre.
Oui, et ?
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- celitianSage
Donc à rendre rapidement obligatoire dans tous les endroits clos pour pouvoir s'y habituer pour la rentrée.Enaeco a écrit:Donc dans ton collège où ça s'est visiblement relativement bien passé, dans une période où les gens étaient encore un peu flippés et où il était obligatoire dans plus d'endroits qu'actuellement :
Il était obligatoire pour tous, peu importe le contexte (sauf les jours de grosse chaleur, possibilité de le retirer dans certains cours si accord du prof)
En fait, c'est surtout les collègues qui râlaient de devoir le porter.
Des grosses chaleurs, ça arrive aussi en Septembre.
- Isis39Enchanteur
Madame_Prof a écrit:Isis39 a écrit:Avec un masque, il faut beaucoup hausser la voix sinon les élèves au fond de la salle n’entendent rien.
Ils ne voient pas les expressions de notre visage.
Ça va être top pour connaître et reconnaître les 6e avec un masque !
Oui, mais pour moi, ce sont des détails, par rapport aux enjeux sanitaires...
Si les enjeux sanitaires étaient une priorité pour le ministère, il aurait dégagé des moyens pour la rentrée pour ne pas laisser toutes ces classes à 30 et plus...
- EnaecoVénérable
Madame_Prof a écrit:Enaeco a écrit:Donc dans ton collège où ça s'est visiblement relativement bien passé, dans une période où les gens étaient encore un peu flippés et où il était obligatoire dans plus d'endroits qu'actuellement :
Il était obligatoire pour tous, peu importe le contexte (sauf les jours de grosse chaleur, possibilité de le retirer dans certains cours si accord du prof)
En fait, c'est surtout les collègues qui râlaient de devoir le porter.
Des grosses chaleurs, ça arrive aussi en Septembre.
Oui, et ?
Et donc, permission de l'enlever aussi s'il fait trop chaud ?
Je comprends ton point de vue voire même je le partage. Simplement, dans les faits, ce n'est pas aussi simple que ça. Pas aussi simple à faire entendre à tout le monde et à faire appliquer à l'échelle de certains établissements.
- Madame_ProfEsprit sacré
Isis39 a écrit:Madame_Prof a écrit:Isis39 a écrit:Avec un masque, il faut beaucoup hausser la voix sinon les élèves au fond de la salle n’entendent rien.
Ils ne voient pas les expressions de notre visage.
Ça va être top pour connaître et reconnaître les 6e avec un masque !
Oui, mais pour moi, ce sont des détails, par rapport aux enjeux sanitaires...
Si les enjeux sanitaires étaient une priorité pour le ministère, il aurait dégagé des moyens pour la rentrée pour ne pas laisser toutes ces classes à 30 et plus...
Faut aussi que ça rentre dans les locaux... Mais, je n'attends rien du ministère de ce côté-là.
En revanche, si on m'enferme plusieurs heures par jour avec 30 enfants (par heure) non masqués, là clairement, on m'expose. Mais bon, ça dérange pas grand monde, puisque c'est ce qu'il s'est passé dans le primaire depuis le 11 mai.
Enaeco, cette permission de le retirer, c'était avec de grandes distances entre les individus. En classe pleine, ce n'est pas forcément possible. Je suis d'accord aussi avec toi pour dire que c'est compliqué, ça nécessite un travail de surveillance constant, et aussi un travail éducatif, mais je préfère ça plutôt que le masque ne soit plus de rigueur et qu'on se retrouve dans la situation initiale... Alors, qu'on sait parfaitement qu'une classe avec 30 personnes ou plus, est un lieu confiné.
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- EnaecoVénérable
celitian a écrit:Donc à rendre rapidement obligatoire dans tous les endroits clos pour pouvoir s'y habituer pour la rentrée.Enaeco a écrit:Donc dans ton collège où ça s'est visiblement relativement bien passé, dans une période où les gens étaient encore un peu flippés et où il était obligatoire dans plus d'endroits qu'actuellement :
Il était obligatoire pour tous, peu importe le contexte (sauf les jours de grosse chaleur, possibilité de le retirer dans certains cours si accord du prof)
En fait, c'est surtout les collègues qui râlaient de devoir le porter.
Des grosses chaleurs, ça arrive aussi en Septembre.
Si on veut pouvoir sereinement faire appliquer le port du masque en classe, oui, ça me semble indispensable.
Je ne vois pas comment on va pouvoir contraindre des élèves qui n'ont pas envie de porter leur masque et qui ne vont pas comprendre l'intérêt étant donné qu'il ne fait plus partie du quotidien et qu'on entend plus parler du virus en permanence à la télé.
Le tout avec des collègues qui ne seront pas tous de bonne volonté.
- Madame_ProfEsprit sacré
Ces élèves là devraient se voir refuser l'accès à l'établissement. Comme dit plus haut, si ça devient une obligation, elle doit être respectée, c'est tout. Si un élève se ramène en slip, il ne rentrera pas. Ben là, c'est pareil. Ensuite, punitions, sanctions... Signalement (comme pour l'absentéisme). A partir du moment où des masques ont été fournis, c'est de la responsabilité de la famille. Il faut protéger les autres. Non ?
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- celitianSage
+1 avec des collègues,nous sommes persuadés qu'il va y avoir des gros clashs à la rentrée en sdp.Enaeco a écrit:celitian a écrit:Donc à rendre rapidement obligatoire dans tous les endroits clos pour pouvoir s'y habituer pour la rentrée.Enaeco a écrit:Donc dans ton collège où ça s'est visiblement relativement bien passé, dans une période où les gens étaient encore un peu flippés et où il était obligatoire dans plus d'endroits qu'actuellement :
Il était obligatoire pour tous, peu importe le contexte (sauf les jours de grosse chaleur, possibilité de le retirer dans certains cours si accord du prof)
En fait, c'est surtout les collègues qui râlaient de devoir le porter.
Des grosses chaleurs, ça arrive aussi en Septembre.
Si on veut pouvoir sereinement faire appliquer le port du masque en classe, oui, ça me semble indispensable.
Je ne vois pas comment on va pouvoir contraindre des élèves qui n'ont pas envie de porter leur masque et qui ne vont pas comprendre l'intérêt étant donné qu'il ne fait plus partie du quotidien et qu'on entend plus parler du virus en permanence à la télé.
Le tout avec des collègues qui ne seront pas tous de bonne volonté.
J'ai beaucoup apprécié le discours de certains médecins qui comparaient l'utilisation du masque et du préservatif, ça ennuie tout le monde mais c'est le seul moyen de se protéger contre certaines maladies.
Un exemple https://www.courrierinternational.com/article/prevention-les-masques-sont-ils-les-nouveaux-preservatifs
Pour David O’Connor, qui fait des recherches sur le VIH et d’autres virus à l’université de Wisconsin-Madison, le nouveau coronavirus, comme le VIH, se propage “pendant que les gens se sentent bien”. Selon lui, il est donc judicieux de s’inspirer de “l’utilisation constante et correcte des préservatifs”, qui est “une mesure barrière contre les virus sexuellement transmissibles qui fonctionne”.
Les masques faciaux sont eux aussi “une mesure barrière qui pourrait également devoir être portée de manière constante” pour prévenir la propagation du Covid-19, ajoute David O’Connor, pour qui il est temps de “banaliser les masques faciaux, et vite”.
- User20159Esprit éclairé
celitian a écrit:J'ai beaucoup apprécié le discours de certains médecins qui comparaient l'utilisation du masque et du préservatif, ça ennuie tout le monde mais c'est le seul moyen de se protéger contre certaines maladies.
Une société où tout le monde est masqué en permanence, ça fait franchement rêver...et puis comparer le coronavirus au VIH
Pour rappel le coronavirus on en guérit, le VIH non...
Par contre si ça ne dérange personne de voir généraliser des mesures de contrôle social...je vais sortir de ce fil.
- celitianSage
Ça ne fait pas rêver du tout mais le confinement encore moins donc pour l'instant, c'est la solution la plus simple.
Je me suis mal exprimée, la comparaison est sur l'utilisation d'un objet qui ennuie tout le monde mais qui se reveler indispensable pour se protéger et protéger les autres.
Je me suis mal exprimée, la comparaison est sur l'utilisation d'un objet qui ennuie tout le monde mais qui se reveler indispensable pour se protéger et protéger les autres.
- User20159Esprit éclairé
celitian a écrit:Ça ne fait pas rêver du tout mais le confinement encore moins donc pour l'instant, c'est la solution la plus simple.
Je me suis mal exprimée, la comparaison est sur l'utilisation d'un objet qui ennuie tout le monde mais qui se révèle indispensable pour se protéger et protéger les autres.
Oui certes, et je pense d'ailleurs qu'il risque de se généraliser dans les transports en commun et d'entrer dans les mœurs, mais à l'école....vu que c'est le sujet à la base....
Rien ne m'a plus déprimé que les heures de cours post-confinement : les demi-groupes/les demi-cohortes par demi journées, les élèves par groupe de 12 (plutôt 6 ou 7 en réalité), les 3 à 4 demi-journées de travail par semaine...
Mais la reprise post-22 juin avec tout le monde, c'était risible : le protocole a totalement explosé, les sens de circulation n'existaient plus, et le brassage,( somme toute relatif, ne nous mentons pas, dans mon bahut, 60% des 6e, 50% des 5e, 40% des 4e et 10% des 3e sont revenus, mais ça faisait déjà beaucoup par rapport aux semaines précédentes ) a repris de plus belle.
Et de toute manière, tout protocole sanitaire est totalement inapplicable avec une reprise réelle avec 100% des élèves. Ou alors il faudrait multiplier la tailles des établissements par 2 ou 3 et embaucher deux fois plus de personnels...
Bon, on va essayer de rester positifs : l'épidémie va s'éteindre, on va trouver un traitement, un vaccin, et on oubliera la psychose, j'essaie de rêver un peu.
- JennyMédiateur
Ha@_x a écrit:celitian a écrit:J'ai beaucoup apprécié le discours de certains médecins qui comparaient l'utilisation du masque et du préservatif, ça ennuie tout le monde mais c'est le seul moyen de se protéger contre certaines maladies.
Une société où tout le monde est masqué en permanence, ça fait franchement rêver...et puis comparer le coronavirus au VIH
Pour rappel le coronavirus on en guérit, le VIH non...
Par contre si ça ne dérange personne de voir généraliser des mesures de contrôle social...je vais sortir de ce fil.
Je nuancerais : on n'en connait pas les conséquences, notamment neurologiques, à long terme. D'où un principe de précaution.
Ca ne me pose pas trop de souci de faire cours avec un masque. A part la déshydratation, mais je m'autorise à boire pendant les interclasses (et j'autorise les élèves à le faire également).
- celitianSage
@Ha@_x Tu as raison, il faut espérer que tout ça s'arrête rapidement !
Ce qui est marrant, c'est qu'utiliser un masque n'est pas une nouveauté, même en france, mon généraliste nous recommandait de le faire avec nos enfants lorsque nous étions malades, c'était il y a 17 ans.
Ce qui est marrant, c'est qu'utiliser un masque n'est pas une nouveauté, même en france, mon généraliste nous recommandait de le faire avec nos enfants lorsque nous étions malades, c'était il y a 17 ans.
- MesonMixingNiveau 10
La secrétaire de mon établissement sera contente de lire ça sachant que depuis mars elle n'a toujours pas récupéré le goût. Elle aurait préféré que tout le monde portât des masques depuis bien longtemps...Ha@_x a écrit:celitian a écrit:J'ai beaucoup apprécié le discours de certains médecins qui comparaient l'utilisation du masque et du préservatif, ça ennuie tout le monde mais c'est le seul moyen de se protéger contre certaines maladies.
Une société où tout le monde est masqué en permanence, ça fait franchement rêver...et puis comparer le coronavirus au VIH
Pour rappel le coronavirus on en guérit, le VIH non...
Par contre si ça ne dérange personne de voir généraliser des mesures de contrôle social...je vais sortir de ce fil.
- User20159Esprit éclairé
@MesonMixing
Je vais éviter de rentrer dans le débat, mais l'agueusie ne tue personne, le VIH a tué 25 millions de personnes en 40 ans.
désolé de m'énerver, mais je trouve la comparaison avec le VIH désolante et affligeante, et blague d'historien en prime, il y a franchement des gens que je n'aurais pas aimé connaître en 1349...
Je vais éviter de rentrer dans le débat, mais l'agueusie ne tue personne, le VIH a tué 25 millions de personnes en 40 ans.
désolé de m'énerver, mais je trouve la comparaison avec le VIH désolante et affligeante, et blague d'historien en prime, il y a franchement des gens que je n'aurais pas aimé connaître en 1349...
- Pontorson50Fidèle du forum
celitian a écrit:@Ha@_x Tu as raison, il faut espérer que tout ça s'arrête rapidement !
Ce qui est marrant, c'est qu'utiliser un masque n'est pas une nouveauté, même en france, mon généraliste nous recommandait de le faire avec nos enfants lorsque nous étions malades, c'était il y a 17 ans.
Sur le plan médical, je serais fort surpris qu'à respirer toute la journée pendant toute une année et pas un mois nos propres expectorations, cela soit inoffensif.
J'ajoute partager les propos tenus dans une tribune avant le déconfinement comme quoi les rapports aux autres sont en partie masqués par les masques :
https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/28/annabelle-martin-golay-meme-un-cours-virtuel-est-preferable-a-une-fausse-presence_6037963_3232.html
Enseigner, c’est une relation incarnée, vivante, qui passe par l’expressivité du visage, par le sourire et la voix. Tel est le principe fondamental de la pédagogie : pour accéder au savoir, il faut se sentir en confiance au sein d’un environnement bienveillant et rassurant.
Quand je préparais mon doctorat aux Etats-Unis, nous apprenions, dans le cadre d’un séminaire, à penser et à développer une « philosophie de l’enseignement », une sorte d’éthique de la transmission du savoir. Ce que j’ai retenu de mes études en France comme à l’étranger, de ma formation comme de ma pratique, c’est une priorité absolue : la nécessité de créer un environnement favorable aux apprentissages.
D’où l’importance du contexte : une salle de classe pensée et organisée pour offrir cet espace de travail sécurisant, l’attitude mentale d’un professeur qui laisse tous ses soucis personnels de côté au moment où il franchit le seuil de sa salle de classe pour être entièrement présent à ses élèves. Comme en psychanalyse, se produit alors une sorte de transfert, une relation affective. L’enseignant incarne de façon animée et vivante ce qu’il transmet.
Comment un enseignement digne de ce nom serait-il seulement concevable sans un face-à-face des visages ? Même un cours virtuel où l’on distingue la voix et les traits du professeur est préférable à cet effacement, à cette fausse présence, grevée d’un signe écrasant, où pointe en permanence la menace d’un virus qui contamine les relations avant de s’insinuer dans les corps.
Donc oui, physiquement comme symboliquement, je n'imagine guère effectuer toute une année masquée devant les élèves et eux devant moi. Le temporaire ce n'est pas durable par définition. C'est un point qui va devenir majeur : que je sache, au Moyen Age, nous ne vivions pas masqués alors même que les gens n'étaient pas idiots, ils savaient bien que bien des troubles mortels ou invalidants se transmettaient même s'ils ne voyaient pas le vecteur. (même quand Dieu en était tenu responsable - ce qui a toujours été discuté à l'interne- cela n'empêchait pas que la transmission avait des modalités physiques). Nous ne savons pas encore du tout quel sera le niveau du risque, donc son admissibilité. Mais il se peut qu'il ne soit ni nul ni massif.
J'ajoute que dans la tribune le passage graissé concernant l'agencement de la salle de classe pose aussi la question de la salle de classe vécue comme un cabaret où chaque artiste vient à tour de rôle faire son numéro, ou si c'est le lieu choisi et organisé par tel prof et pas tel autre, espace dans lequel l'élève prend place comme mis en situation optimale de travail et non comme spectateur. Car nous allons aussi tout droit vers la systématisation du prof tournant.
- celitianSage
@Ha@_x La comparaison ne porte pas sur le nombre de morts mais sur le fait que ce sont des maladies qui ne se soignent pas, et que l'on peut éviter en utilisant «un objet».
- MesonMixingNiveau 10
Merci celitian d'avoir explicité ma pensée.
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2020-2021 : Contrôleur des Finances Publiques
2021 - ... : Inspecteur des Finances Publiques
- HimpyExpert spécialisé
En tout cas, si la décision sur le masque n'est pas claire, les élèves finiront par ne plus le porter en classe : puisqu'ils sont assignés à une salle, dès lors qu'un collègue autorisera le retrait, les suivants auront beaucoup de mal à leur faire remettre.
(Aucuns jugements, c'est un constat).
(Aucuns jugements, c'est un constat).
- ditaNeoprof expérimenté
La covid, on n'en guérit pas toujours, il y a parfois des séquelles effroyables, le sida, on peut vivre avec, les médicaments ne guérissent pas, mais permettent de mener une vie satisfaisante. Et pour le sida, faut pas laisser trainer son biscuit n'importe où et sans préservatif, c'est tout.Ha@_x a écrit:celitian a écrit:J'ai beaucoup apprécié le discours de certains médecins qui comparaient l'utilisation du masque et du préservatif, ça ennuie tout le monde mais c'est le seul moyen de se protéger contre certaines maladies.
Une société où tout le monde est masqué en permanence, ça fait franchement rêver...et puis comparer le coronavirus au VIH
Pour rappel le coronavirus on en guérit, le VIH non...
Par contre si ça ne dérange personne de voir généraliser des mesures de contrôle social...je vais sortir de ce fil.
- celitianSage
@MesonMixing porter un masque ne m'amuse pas du tout mais c'est une contrainte supportable.
- User20159Esprit éclairé
celitian a écrit:La comparaison ne porte pas sur le nombre de morts mais sur le fait que ce sont des maladies qui ne se soignent pas, et que l'on peut éviter en utilisant «un objet».
Quantité de maladies ne se "soignent"pas, pour mémoire, comme....la grippe tiens...on ne soigne que les symptômes.
Pontorson50 a écrit:C'est un point qui va devenir majeur : que je sache, au Moyen Age, nous ne vivions pas masqués alors même que les gens n'étaient pas idiots, ils savaient bien que bien des troubles mortels ou invalidants se transmettaient même s'ils ne voyaient pas le vecteur. (même quand Dieu en était tenu responsable - ce qui a toujours été discuté à l'interne- cela n'empêchait pas que la transmission avait des modalités physiques). Nous ne savons pas encore du tout quel sera le niveau du risque, donc son admissibilité. Mais il se peut qu'il ne soit ni nul ni massif.
Non seulement ils ne vivaient pas masqués, mais ils se savaient parfaitement à la merci d'une épidémie, masqués ou pas d'ailleurs.
Le problème de l'air du temps actuel, c'est que se croyant totalement invincible à la maladie, l'humanité a redécouvert ce qu'est une épidémie : une de celles qui touche aussi et surtout, âge aidant, les riches et les puissants. Depuis le début des années 2000, l'épidémie c'est pour les pauvres, là-bas, loin (exemple : ebola), depuis les années 80 c'était les déviants et les pauvres, là bas, loin, toujours (VIH, cas d'école). Il y a 3 siècles, les marseillais survivants de la peste auraient ricané de notre conversation.
Edit : merci de confirmer ce que pensais à lecture de ce fil :
dita a écrit:La covid, on n'en guérit pas toujours, il y a parfois des séquelles effroyables, le sida, on peut vivre avec, les médicaments ne guérissent pas, mais permettent de mener une vie satisfaisante. Et pour le sida, faut pas laisser trainer son biscuit n'importe où et sans préservatif, c'est tout.
Le sida donc, c'est la maladie des autres, on voit donc cher collègue que vous n'y connaissez rien.....vivre avec ? Ah oui c'est hyper simple de vivre avec tiens....
- A reboursEsprit éclairé
Volubilys a écrit:Je ne comprends pas votre psychose avec le masque, on enseigne très bien avec un masque...
Le port prolongé du masque (plus de 2 ou 3 h) me donne des migraines invalidantes. Pire quand il fait chaud.
Donc non, à titre personnel, je n'enseigne pas bien avec un masque.
J'ai eu le covid, sûrement chopé au bahut en mars, je m'en serais bien passé, mais ça ne change rien au fait qu'enseigner avec un masque me pose de sérieux problèmes.
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