- Pontorson50Fidèle du forum
Si je tente un résumé des gênes relatives au port du masque en classe, j'aboutis à la remise en cause de la prise de parole longue et avec l'ensemble du groupe. Bref le masque accélèrerait la volonté de l'institution (qui n'a pas imposé le masque pour ça, pas de complotisme svp) de favoriser les pédagogies non frontales, typiquement l'ilotage et, d'une façon générale, la mise au travail essentiellement écrit en petits groupes à partir de fiches préétablies avec corrigé au tableau ou/et construction de la trace écrite par l'apprenant.
C'est aussi en cela que juger du port du masque sur un mois et demi n'a pas le même sens que d'observer son impact sur une année voire plusieurs ; d'autant que la chance que nous avons eue jusqu'ici (des pandémies épargnant l'Europe) ne durera pas forcément, surtout si les calculs du GIEC sont exacts sur les effets microbiens du réchauffement climatique (extension des infections intertropicales par exemple).
Or je suis toujours gêné qu'une pédagogie se diffuse non par ses vertus intrinsèques mais par défaut, parce qu'elle répond à l'imposition d'une contrainte sans rapport avec la liberté pédagogique. Certes, la contrainte fait partie de tout métier (un nombre minimal d'élèves par prof budgétairement par exemple), mais je ne souhaiterais pas que se rajoutent à cela des contraintes sanitaires pour modifier ma pédagogie qui, en toute hypothèse, devrait être d'abord un compromis entre mes talents et mes failles d'une part, et les besoins des élèves d'autre part (et c'est déjà assez compliqué).
Il y a un risque de renoncer en tout ou partie à la prise de parole et à rendre toute stratégie autre que l'écrit exceptionnelle. Le distanciel favorise également davantage les échanges écrits (sauf la correction sur pdf qui reste un sport de longue haleine).
C'est aussi en cela que juger du port du masque sur un mois et demi n'a pas le même sens que d'observer son impact sur une année voire plusieurs ; d'autant que la chance que nous avons eue jusqu'ici (des pandémies épargnant l'Europe) ne durera pas forcément, surtout si les calculs du GIEC sont exacts sur les effets microbiens du réchauffement climatique (extension des infections intertropicales par exemple).
Or je suis toujours gêné qu'une pédagogie se diffuse non par ses vertus intrinsèques mais par défaut, parce qu'elle répond à l'imposition d'une contrainte sans rapport avec la liberté pédagogique. Certes, la contrainte fait partie de tout métier (un nombre minimal d'élèves par prof budgétairement par exemple), mais je ne souhaiterais pas que se rajoutent à cela des contraintes sanitaires pour modifier ma pédagogie qui, en toute hypothèse, devrait être d'abord un compromis entre mes talents et mes failles d'une part, et les besoins des élèves d'autre part (et c'est déjà assez compliqué).
Il y a un risque de renoncer en tout ou partie à la prise de parole et à rendre toute stratégie autre que l'écrit exceptionnelle. Le distanciel favorise également davantage les échanges écrits (sauf la correction sur pdf qui reste un sport de longue haleine).
- ditaNeoprof expérimenté
N'est-il pas écrit, dans les consignes sanitaires pour septembre, que ce sera obligatoire ?Jacq a écrit:Nous verrons bien à la rentrée, nous serons obligés ou non, voia.
- jeromebrNiveau 6
Pontorson50 a écrit:jeromebr a écrit:Quand je vois le niveau du débat ici...de la part d enseignants qui utilisent des comparaisons foireuses ...
Qui sont prêts à utiliser n'importe quel lien internet suggérant telle ou telle séquelle afin d'alimenter leur propre névrose...
Pour en finir à imaginer que le masque pourrait être un remède aux problèmes de gestion de classe...
Les mots me manquent.. je suis affligé par autant de ......
Et les chevilles, ça va en passant les portes :sourit: ?
Blague à part, merci de bien vouloir nous dire en quoi les comparaisons sont foireuses, en quoi certains liens internet sont à disqualifier ici, en quoi la psychiatrisation des contradicteurs ("névrose") s'impose à ton esprit équilibré, en quoi la thèse (que je ne partage d'ailleurs pas du tout, mais c'est l'intérêt d'un débat justement) du masque auxiliaire de la gestion de classe est contestable, bref...argumenter.
Comparer le Covid et le VIH il y a besoin d'argumenter pour affirmer que c'est foireux?
@Danska la liberté d'expression....
- ProvençalLeGauloisExpert
dita a écrit:N'est-il pas écrit, dans les consignes sanitaires pour septembre, que ce sera obligatoire ?Jacq a écrit:Nous verrons bien à la rentrée, nous serons obligés ou non, voia.
On est en juillet, les consignes ont le temps de changer 3 fois d'ici septembre en fonction de l'évolution de l'épidémie et du sens du vent.
_________________
N'empêche que je suis une légende.
Perceval
- henrietteMédiateur
On ne t'a pas attendu pour remettre en cause cette comparaison : tu arrives avec tes gros sabots de redresseur de torts et donneur de leçons bien après la bataille, alors que le problème avec cette comparaison a été largement exposé et admis, et que le fil est passé à autre chose. En outre, ta "liberté d'expression" ressemble effectivement à un trollage puisque tu te contentes de balancer ta critique pour raviver la polémique sans par ailleurs participer à la discussion de fond : comportement très classique du troll.jeromebr a écrit:Pontorson50 a écrit:jeromebr a écrit:Quand je vois le niveau du débat ici...de la part d enseignants qui utilisent des comparaisons foireuses ...
Qui sont prêts à utiliser n'importe quel lien internet suggérant telle ou telle séquelle afin d'alimenter leur propre névrose...
Pour en finir à imaginer que le masque pourrait être un remède aux problèmes de gestion de classe...
Les mots me manquent.. je suis affligé par autant de ......
Et les chevilles, ça va en passant les portes :sourit: ?
Blague à part, merci de bien vouloir nous dire en quoi les comparaisons sont foireuses, en quoi certains liens internet sont à disqualifier ici, en quoi la psychiatrisation des contradicteurs ("névrose") s'impose à ton esprit équilibré, en quoi la thèse (que je ne partage d'ailleurs pas du tout, mais c'est l'intérêt d'un débat justement) du masque auxiliaire de la gestion de classe est contestable, bref...argumenter.
Comparer le Covid et le VIH il y a besoin d'argumenter pour affirmer que c'est foireux?
@Danska cela ne s'appelle pas du troll, mais la liberté d'expression. Je choisis désormais la fonction ignorer aussi à ton sujet cela me soulagera
Si tu ne veux pas être traité de troll, ne poste pas comme si tu en étais un.
_________________
"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Pontorson50Fidèle du forum
Garance a écrit:Pour avoir fait cours avec masque, on s'y habitue. Les élèves aussi même si, quand ils faisaient chaud, ce n'était pas facile ni pour eux, ni pour moi.
C'est pour l'instant notre seule protection (avec le lavage des mains).
Comment font les personnels soignants qui le portent toute la journée à l'hôpital ? Les masques ffp2 leur laissaient de sérieuses plaies sur le visage... Je ne crois pas qu'ils se soient plaints... Des photos ont circulé pour nous montrer ce que l'on pouvait faire pour les aider : rester chez nous, respecter les gestes barrière. Qu'on ne le dise pas qu'ils ne parlent pas. Les généralistes les portent actuellement toute la journée pour leur consultation où, me semble-t-il, ils dialoguent.
Les caissières de supermarché elles aussi portent un masque.
Les contraintes inhérentes à chaque métier n'ont pas vocation à être partagées par tous. Il est par exemple légitime quoique dangereux que des soignants fassent des maladies nosocomiales et que les profs fassent davantage de maladies contagieuses en général, surtout en début de carrière le temps que l'organisme mette en place des parades.
La question du port du masque relance cette controverse qui voudrait que chaque métier ait les mêmes charges et les mêmes agréments que tout autre. Je suis très gêné à l'idée que je doive porter le masque en tant que prof simplement parce que c'est le cas dans d'autres métiers. Et après tout, je pourrais avec une logique aussi implacable, le refuser au motif que je trouverais des métiers où il ne s'impose pas (exemple : conducteur de TGV, c'est assez solitaire le trajet quand même!).
La contrainte sanitaire s'impose à moi, c'est suffisant pour que je n'aille pas en plus m'imposer le masque au motif que j'ai de la peine de voir d'autres en subir le port. L'argument est, on le sait bien, toujours là en cas de contestation sociale : "oui, mais vous voyez bien que truc et machin y arrivent, eux, donc vous aussi". C'est en grande partie ce qui a fait échouer lamentablement plusieurs réformes pédagogiques : les inspecteurs et le ministère partaient de rapports remarquables sur l'efficacité de telle ou telle pratique dont en général l'auteur avait comme caractéristique de travailler avec une passion telle que la généralisation ne passait pas sur des personnels moins motivés. En clair, quand un collègue enthousiaste bosse 70 h par semaine, sa pédagogie est efficace d'abord parce qu'il y passe ce temps et à cause de son enthousiasme, mais par essence, on n'imposera pas ces 70 heures par semaine à la moyenne des profs sur une carrière qui plus est, encore moins la programmation de l'enthousiasme. Une pédagogie efficace en termes institutionnels est celle qui est applicable par le plus grand nombre de profs ordinaires. À voir tout ce que x ou y endure comme contraintes sans apparemment s'en plaindre ni en souffrir de façon chronique, on finit par accepter un référentiel de métier inapplicable pour le plus grand nombre par souci égalitaire entre x y et z (le dernier exemple en cours : partir des suivis individuels pratiqués fort bien par des profs d'école qui ont 27 heures avec 30 élèves pour expliquer au prof de musique ou d'arts plastiques qui a 18 classes de 25 que le suivi individuel est dans son référentiel de prof...).
- User20159Esprit éclairé
Pontorson50 a écrit:Bref le masque accélèrerait la volonté de l'institution (qui n'a pas imposé le masque pour ça, pas de complotisme svp) de favoriser les pédagogies non frontales, typiquement l'ilotage et, d'une façon générale, la mise au travail essentiellement écrit en petits groupes à partir de fiches préétablies avec corrigé au tableau ou/et construction de la trace écrite par l'apprenant.
On peut aussi faire la lecture inverse , le masque et la distanciation favorisent la pédagogie frontale :
- îlots interdits, trop de proximité, trop de brassage
- échange de matériel interdit (contaminant toussa...)
- distance de sécurité entre élèves, le mètre, le demi mètre, le quart de mètre, latéral bien sûr...
- le prof qui a pris le soin de vider son premier rang peut faire cours sans masque, derrière son bureau tranquille au chaud, s'il a une estrade c'est encore mieux, il peut postillonner de haut..
- formation en autobus donc
- cours magistral dicté ou vidéo-projeté
merdre, ça ressemble vachement à ce que je faisais déjà
- pas de sédentarisation des classes, ce n'est pas au vieux prof, personnel à risque de se brasser dans 6 à 18 classes différentes par semaine, avec 6 à 18 claviers/ordis/poignées de portes/etc....j'en passe et des meilleures, mais bien aux élèves ! Ils risquent rien eux...
Quid de la
Bon humour hein, pas taper ..
Je préfère réagir par l'absurde que me torturer l'esprit sur ma prochaine rentrée, qui se passera, je le souhaite et je l'ai déjà écrit, le plus normalement possible...
- ditaNeoprof expérimenté
Pourquoi ?gregforever a écrit:La visière seule m'a été formellement interdite par l'infirmière du lycée, confirmé par le cde.
- Pontorson50Fidèle du forum
Ha@_x a écrit:Pontorson50 a écrit:Bref le masque accélèrerait la volonté de l'institution (qui n'a pas imposé le masque pour ça, pas de complotisme svp) de favoriser les pédagogies non frontales, typiquement l'ilotage et, d'une façon générale, la mise au travail essentiellement écrit en petits groupes à partir de fiches préétablies avec corrigé au tableau ou/et construction de la trace écrite par l'apprenant.
On peut aussi faire la lecture inverse , le masque et la distanciation favorisent la pédagogie frontale :
- îlots interdits, trop de proximité, trop de brassage
- échange de matériel interdit (contaminant toussa...)
- distance de sécurité entre élèves, le mètre, le demi mètre, le quart de mètre, latéral bien sûr...
- le prof qui a pris le soin de vider son premier rang peut faire cours sans masque, derrière son bureau tranquille au chaud, s'il a une estrade c'est encore mieux, il peut postillonner de haut..
- formation en autobus donc
- cours magistral dicté ou vidéo-projeté
merdre, ça ressemble vachement à ce que je faisais déjà
- pas de sédentarisation des classes, ce n'est pas au vieux prof, personnel à risque de se brasser dans 6 à 18 classes différentes par semaine, avec 6 à 18 claviers/ordis/poignées de portes/etc....j'en passe et des meilleures, mais bien aux élèves ! Ils risquent rien eux...
Quid de lacorrection, pardon, de la désinfection des copies ? Il faudrait réunir un CHSCT d'urgence !
Bon humour hein, pas taper ..
Je préfère réagir par l'absurde que me torturer l'esprit sur ma prochaine rentrée, qui se passera, je le souhaite et je l'ai déjà écrit, le plus normalement possible...
Pas mal vu merci! :sourit:
- Monsieur_TeslaNiveau 10
Pontorson50 a écrit:Garance a écrit:Pour avoir fait cours avec masque, on s'y habitue. Les élèves aussi même si, quand ils faisaient chaud, ce n'était pas facile ni pour eux, ni pour moi.
C'est pour l'instant notre seule protection (avec le lavage des mains).
Comment font les personnels soignants qui le portent toute la journée à l'hôpital ? Les masques ffp2 leur laissaient de sérieuses plaies sur le visage... Je ne crois pas qu'ils se soient plaints... Des photos ont circulé pour nous montrer ce que l'on pouvait faire pour les aider : rester chez nous, respecter les gestes barrière. Qu'on ne le dise pas qu'ils ne parlent pas. Les généralistes les portent actuellement toute la journée pour leur consultation où, me semble-t-il, ils dialoguent.
Les caissières de supermarché elles aussi portent un masque.
Les contraintes inhérentes à chaque métier n'ont pas vocation à être partagées par tous. Il est par exemple légitime quoique dangereux que des soignants fassent des maladies nosocomiales et que les profs fassent davantage de maladies contagieuses en général, surtout en début de carrière le temps que l'organisme mette en place des parades.
La question du port du masque relance cette controverse qui voudrait que chaque métier ait les mêmes charges et les mêmes agréments que tout autre. Je suis très gêné à l'idée que je doive porter le masque en tant que prof simplement parce que c'est le cas dans d'autres métiers. Et après tout, je pourrais avec une logique aussi implacable, le refuser au motif que je trouverais des métiers où il ne s'impose pas (exemple : conducteur de TGV, c'est assez solitaire le trajet quand même!).
La contrainte sanitaire s'impose à moi, c'est suffisant pour que je n'aille pas en plus m'imposer le masque au motif que j'ai de la peine de voir d'autres en subir le port. L'argument est, on le sait bien, toujours là en cas de contestation sociale : "oui, mais vous voyez bien que truc et machin y arrivent, eux, donc vous aussi". C'est en grande partie ce qui a fait échouer lamentablement plusieurs réformes pédagogiques : les inspecteurs et le ministère partaient de rapports remarquables sur l'efficacité de telle ou telle pratique dont en général l'auteur avait comme caractéristique de travailler avec une passion telle que la généralisation ne passait pas sur des personnels moins motivés. En clair, quand un collègue enthousiaste bosse 70 h par semaine, sa pédagogie est efficace d'abord parce qu'il y passe ce temps et à cause de son enthousiasme, mais par essence, on n'imposera pas ces 70 heures par semaine à la moyenne des profs sur une carrière qui plus est, encore moins la programmation de l'enthousiasme. Une pédagogie efficace en termes institutionnels est celle qui est applicable par le plus grand nombre de profs ordinaires. À voir tout ce que x ou y endure comme contraintes sans apparemment s'en plaindre ni en souffrir de façon chronique, on finit par accepter un référentiel de métier inapplicable pour le plus grand nombre par souci égalitaire entre x y et z (le dernier exemple en cours : partir des suivis individuels pratiqués fort bien par des profs d'école qui ont 27 heures avec 30 élèves pour expliquer au prof de musique ou d'arts plastiques qui a 18 classes de 25 que le suivi individuel est dans son référentiel de prof...).
Prof. de SPC en collège, j'ai 365 élèves !
Comment faire du suivi personnalisé ?
_________________
Ce que j'entends je l'oublie.
Ce que le lis je le retiens.
Ce que je fais, je le comprends !
Tchuang Tseu
- Pontorson50Fidèle du forum
Monsieur_Tesla a écrit:Pontorson50 a écrit:Garance a écrit:Pour avoir fait cours avec masque, on s'y habitue. Les élèves aussi même si, quand ils faisaient chaud, ce n'était pas facile ni pour eux, ni pour moi.
C'est pour l'instant notre seule protection (avec le lavage des mains).
Comment font les personnels soignants qui le portent toute la journée à l'hôpital ? Les masques ffp2 leur laissaient de sérieuses plaies sur le visage... Je ne crois pas qu'ils se soient plaints... Des photos ont circulé pour nous montrer ce que l'on pouvait faire pour les aider : rester chez nous, respecter les gestes barrière. Qu'on ne le dise pas qu'ils ne parlent pas. Les généralistes les portent actuellement toute la journée pour leur consultation où, me semble-t-il, ils dialoguent.
Les caissières de supermarché elles aussi portent un masque.
Les contraintes inhérentes à chaque métier n'ont pas vocation à être partagées par tous. Il est par exemple légitime quoique dangereux que des soignants fassent des maladies nosocomiales et que les profs fassent davantage de maladies contagieuses en général, surtout en début de carrière le temps que l'organisme mette en place des parades.
La question du port du masque relance cette controverse qui voudrait que chaque métier ait les mêmes charges et les mêmes agréments que tout autre. Je suis très gêné à l'idée que je doive porter le masque en tant que prof simplement parce que c'est le cas dans d'autres métiers. Et après tout, je pourrais avec une logique aussi implacable, le refuser au motif que je trouverais des métiers où il ne s'impose pas (exemple : conducteur de TGV, c'est assez solitaire le trajet quand même!).
La contrainte sanitaire s'impose à moi, c'est suffisant pour que je n'aille pas en plus m'imposer le masque au motif que j'ai de la peine de voir d'autres en subir le port. L'argument est, on le sait bien, toujours là en cas de contestation sociale : "oui, mais vous voyez bien que truc et machin y arrivent, eux, donc vous aussi". C'est en grande partie ce qui a fait échouer lamentablement plusieurs réformes pédagogiques : les inspecteurs et le ministère partaient de rapports remarquables sur l'efficacité de telle ou telle pratique dont en général l'auteur avait comme caractéristique de travailler avec une passion telle que la généralisation ne passait pas sur des personnels moins motivés. En clair, quand un collègue enthousiaste bosse 70 h par semaine, sa pédagogie est efficace d'abord parce qu'il y passe ce temps et à cause de son enthousiasme, mais par essence, on n'imposera pas ces 70 heures par semaine à la moyenne des profs sur une carrière qui plus est, encore moins la programmation de l'enthousiasme. Une pédagogie efficace en termes institutionnels est celle qui est applicable par le plus grand nombre de profs ordinaires. À voir tout ce que x ou y endure comme contraintes sans apparemment s'en plaindre ni en souffrir de façon chronique, on finit par accepter un référentiel de métier inapplicable pour le plus grand nombre par souci égalitaire entre x y et z (le dernier exemple en cours : partir des suivis individuels pratiqués fort bien par des profs d'école qui ont 27 heures avec 30 élèves pour expliquer au prof de musique ou d'arts plastiques qui a 18 classes de 25 que le suivi individuel est dans son référentiel de prof...).
Prof. de SPC en collège, j'ai 365 élèves !
Comment faire du suivi personnalisé ?
Facile : dans mon exemple les collègues en ont 450, donc c'est possible, quoi...
- zigmag17Guide spirituel
Monsieur_Tesla a écrit:Pontorson50 a écrit:Garance a écrit:Pour avoir fait cours avec masque, on s'y habitue. Les élèves aussi même si, quand ils faisaient chaud, ce n'était pas facile ni pour eux, ni pour moi.
C'est pour l'instant notre seule protection (avec le lavage des mains).
Comment font les personnels soignants qui le portent toute la journée à l'hôpital ? Les masques ffp2 leur laissaient de sérieuses plaies sur le visage... Je ne crois pas qu'ils se soient plaints... Des photos ont circulé pour nous montrer ce que l'on pouvait faire pour les aider : rester chez nous, respecter les gestes barrière. Qu'on ne le dise pas qu'ils ne parlent pas. Les généralistes les portent actuellement toute la journée pour leur consultation où, me semble-t-il, ils dialoguent.
Les caissières de supermarché elles aussi portent un masque.
Les contraintes inhérentes à chaque métier n'ont pas vocation à être partagées par tous. Il est par exemple légitime quoique dangereux que des soignants fassent des maladies nosocomiales et que les profs fassent davantage de maladies contagieuses en général, surtout en début de carrière le temps que l'organisme mette en place des parades.
La question du port du masque relance cette controverse qui voudrait que chaque métier ait les mêmes charges et les mêmes agréments que tout autre. Je suis très gêné à l'idée que je doive porter le masque en tant que prof simplement parce que c'est le cas dans d'autres métiers. Et après tout, je pourrais avec une logique aussi implacable, le refuser au motif que je trouverais des métiers où il ne s'impose pas (exemple : conducteur de TGV, c'est assez solitaire le trajet quand même!).
La contrainte sanitaire s'impose à moi, c'est suffisant pour que je n'aille pas en plus m'imposer le masque au motif que j'ai de la peine de voir d'autres en subir le port. L'argument est, on le sait bien, toujours là en cas de contestation sociale : "oui, mais vous voyez bien que truc et machin y arrivent, eux, donc vous aussi". C'est en grande partie ce qui a fait échouer lamentablement plusieurs réformes pédagogiques : les inspecteurs et le ministère partaient de rapports remarquables sur l'efficacité de telle ou telle pratique dont en général l'auteur avait comme caractéristique de travailler avec une passion telle que la généralisation ne passait pas sur des personnels moins motivés. En clair, quand un collègue enthousiaste bosse 70 h par semaine, sa pédagogie est efficace d'abord parce qu'il y passe ce temps et à cause de son enthousiasme, mais par essence, on n'imposera pas ces 70 heures par semaine à la moyenne des profs sur une carrière qui plus est, encore moins la programmation de l'enthousiasme. Une pédagogie efficace en termes institutionnels est celle qui est applicable par le plus grand nombre de profs ordinaires. À voir tout ce que x ou y endure comme contraintes sans apparemment s'en plaindre ni en souffrir de façon chronique, on finit par accepter un référentiel de métier inapplicable pour le plus grand nombre par souci égalitaire entre x y et z (le dernier exemple en cours : partir des suivis individuels pratiqués fort bien par des profs d'école qui ont 27 heures avec 30 élèves pour expliquer au prof de musique ou d'arts plastiques qui a 18 classes de 25 que le suivi individuel est dans son référentiel de prof...).
Prof. de SPC en collège, j'ai 365 élèves !
Comment faire du suivi personnalisé ?
Tu fais un effort. Si le ministre le dit c'est qu'il a raison Et puis hein, 365 élèves c'est le chiffre parfait: un élève par jour de l'année, tant pis les vacances, les we et les jours fériés vont sauter mais tu vas pouvoir individualiser. Ces profs, toujours à se plaindre...!
- User20159Esprit éclairé
Avec un jour de repos les années bissextiles !!
- Madame_ProfEsprit sacré
Pontorson, les soignants ont dû porter le masque autrement (de façon automatique et sur de longues durées) que d'habitude. Et, il ne s'agit pas de partager les contraintes de leur métier, mais de se protéger et protéger les autres face à une épidémie qui n'est pas terminée.
_________________
2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- zigmag17Guide spirituel
Il faut supprimer les années bissextiles qui fichent toute la théorie par terre. Ah tiens, on a échappé pour l'instant à la refonte du calendrier par l'équipe de choc au pouvoir. Prochaine lubie peut-être: changer le nom des mois, leur durée, modifier l'espace-temps pour faire de toute notre vie un "espace apprenant" . Et puis Saint Jean-michel (jour travaillé 14h) succédant au Saint Emmanuel (jour travaillé 16h) et à Sainte Sibeth (journée de cueillette de fruits obligatoire pour tous), ça aurait du panache non?
Etonnant que personne n'y ait encore pensé au Ministère
Etonnant que personne n'y ait encore pensé au Ministère
- User20159Esprit éclairé
Déjà fait, @zigmag17, tu as oublié le calendrier révolutionnaire avec ses 3 semaines de 10 jours et un seul jour chômé, le calendrier parfait pour faire bosser la plèbe...
Sinon pour l'asperge c'est le 3 germinal
et pour la fraise le 11 prairial...
mais bon en soit une journée de travail de 16h, au XIXe pour un ouvrier, c'était la norme.
Sinon pour l'asperge c'est le 3 germinal
et pour la fraise le 11 prairial...
mais bon en soit une journée de travail de 16h, au XIXe pour un ouvrier, c'était la norme.
- zigmag17Guide spirituel
Non je n'ai pas oublié ce calendrier en effet. D'ici à ce qu'on y revienne...
- Monsieur_TeslaNiveau 10
zigmag17 a écrit:Monsieur_Tesla a écrit:Pontorson50 a écrit:Garance a écrit:Pour avoir fait cours avec masque, on s'y habitue. Les élèves aussi même si, quand ils faisaient chaud, ce n'était pas facile ni pour eux, ni pour moi.
C'est pour l'instant notre seule protection (avec le lavage des mains).
Comment font les personnels soignants qui le portent toute la journée à l'hôpital ? Les masques ffp2 leur laissaient de sérieuses plaies sur le visage... Je ne crois pas qu'ils se soient plaints... Des photos ont circulé pour nous montrer ce que l'on pouvait faire pour les aider : rester chez nous, respecter les gestes barrière. Qu'on ne le dise pas qu'ils ne parlent pas. Les généralistes les portent actuellement toute la journée pour leur consultation où, me semble-t-il, ils dialoguent.
Les caissières de supermarché elles aussi portent un masque.
Les contraintes inhérentes à chaque métier n'ont pas vocation à être partagées par tous. Il est par exemple légitime quoique dangereux que des soignants fassent des maladies nosocomiales et que les profs fassent davantage de maladies contagieuses en général, surtout en début de carrière le temps que l'organisme mette en place des parades.
La question du port du masque relance cette controverse qui voudrait que chaque métier ait les mêmes charges et les mêmes agréments que tout autre. Je suis très gêné à l'idée que je doive porter le masque en tant que prof simplement parce que c'est le cas dans d'autres métiers. Et après tout, je pourrais avec une logique aussi implacable, le refuser au motif que je trouverais des métiers où il ne s'impose pas (exemple : conducteur de TGV, c'est assez solitaire le trajet quand même!).
La contrainte sanitaire s'impose à moi, c'est suffisant pour que je n'aille pas en plus m'imposer le masque au motif que j'ai de la peine de voir d'autres en subir le port. L'argument est, on le sait bien, toujours là en cas de contestation sociale : "oui, mais vous voyez bien que truc et machin y arrivent, eux, donc vous aussi". C'est en grande partie ce qui a fait échouer lamentablement plusieurs réformes pédagogiques : les inspecteurs et le ministère partaient de rapports remarquables sur l'efficacité de telle ou telle pratique dont en général l'auteur avait comme caractéristique de travailler avec une passion telle que la généralisation ne passait pas sur des personnels moins motivés. En clair, quand un collègue enthousiaste bosse 70 h par semaine, sa pédagogie est efficace d'abord parce qu'il y passe ce temps et à cause de son enthousiasme, mais par essence, on n'imposera pas ces 70 heures par semaine à la moyenne des profs sur une carrière qui plus est, encore moins la programmation de l'enthousiasme. Une pédagogie efficace en termes institutionnels est celle qui est applicable par le plus grand nombre de profs ordinaires. À voir tout ce que x ou y endure comme contraintes sans apparemment s'en plaindre ni en souffrir de façon chronique, on finit par accepter un référentiel de métier inapplicable pour le plus grand nombre par souci égalitaire entre x y et z (le dernier exemple en cours : partir des suivis individuels pratiqués fort bien par des profs d'école qui ont 27 heures avec 30 élèves pour expliquer au prof de musique ou d'arts plastiques qui a 18 classes de 25 que le suivi individuel est dans son référentiel de prof...).
Prof. de SPC en collège, j'ai 365 élèves !
Comment faire du suivi personnalisé ?
Tu fais un effort. Si le ministre le dit c'est qu'il a raison Et puis hein, 365 élèves c'est le chiffre parfait: un élève par jour de l'année, tant pis les vacances, les we et les jours fériés vont sauter mais tu vas pouvoir individualiser. Ces profs, toujours à se plaindre...!
Tu as raison, un jour par élève. Je vais pouvoir me reposer les années bissextiles
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Ce que j'entends je l'oublie.
Ce que le lis je le retiens.
Ce que je fais, je le comprends !
Tchuang Tseu
- Pontorson50Fidèle du forum
Madame_Prof a écrit:Pontorson, les soignants ont dû porter le masque autrement (de façon automatique et sur de longues durées) que d'habitude. Et, il ne s'agit pas de partager les contraintes de leur métier, mais de se protéger et protéger les autres face à une épidémie qui n'est pas terminée.
Je pense que se mêle parfois aux nécessités sanitaires ce souci de prendre sa part des corvées par principe de partage. C'est un sentiment louable, mais qu'il faut éviter de pousser trop loin à mon sens. Je crois que c'est pour cela que comme cela a été observé cet exemple des caissières revient en boucle.
Si on s'en tient au seul aspect sanitaire, si la situation actuelle ne change pas (état endémique du virus mais mortalité faible quoique substancielle -30 morts par jour ce serait 10 000 par an ou plus et c'est quand même plus de trois fois les décès sur la route), la question n'est évidemment pas de savoir si le masque sert à quelque chose, mais à partir de quel niveau nous devons estimer qu'il puisse remettre en cause les modalités de notre travail, tout comme sur la route nous acceptons un niveau de contrainte déterminé sur lequel tous les automobilistes ne sont pas d'accord.
En revanche, en sécurité routière, il se trouve encore des gens pour contester l'efficacité de mesures incontestables. Ici, ce ne sera pas le cas, il est clair qu'il vaut mieux avoir le masque que ne pas l'avoir. Après, c'est un peu comme la vitesse sur la route : ceux qui nient la vitesse et ceux qui veulent descendre les voitures à 30 à l'heure tout le temps (seuil inférieur de létalité) ne sont pas considérés comme crédibles. Donc il faut un équilibre. Lequel? Il appartient à chacun de prendre part au débat pour le déterminer.
Mais le problème, c'est que l'équilibre dépend d'un danger qui est bien plus mouvant dans le temps que la sécurité routière, donc il faut attendre au moins la mi août pour voir ce qu'il convient d'accepter.
- Volo'Neoprof expérimenté
Sinon outre le port du masque, il y a quand même des éléments plus inquiétants que le simple port du masque. Le sujet tourne en boucle sur le masque mais quand même, le fond de la circulaire ce n'est pas cela.
Qui assurera ces heures ? Et d'où viennent les heures si elles sont "hors 26 heures d'enseignement" ? Les profs de maths et de français ? En plus de leurs heures ? D'autres profs ?
Même question que plus haut sur les heures. Les HSE ou heures de AD sont gonflées ou sont-elles prises sur les marges ?
Il y a également une partie qui se nomme "Parachever la réforme du lycée"... Recours aux personnes en préprofessionnalisation etc.
Si elles le jugent utile, les équipes éducatives des collèges offrent un parcours de soutien aux élèves qui éprouvent des difficultés à lire, notamment lors du test de fluence en 6e. En effet, la classe de 6e, dernière année du cycle 3, est l'aboutissement des apprentissages de l'école primaire et le tremplin vers l'acquisition de compétences plus complexes qui nécessitent une solide maîtrise des savoirs fondamentaux. Le chef d'établissement peut notamment proposer aux familles :
- soit un parcours scolaire et périscolaire intégré du lundi au vendredi avec, d'une part, les enseignements obligatoires renforcés par des heures de lecture et d'accompagnement personnalisé centrées sur les savoirs fondamentaux, et, d'autre part, une offre périscolaire éducative. Cela peut être particulièrement pertinent dans le cadre d'une Cité éducative ;
- soit un parcours scolaire renforcé en lecture : sur les 26 heures d'enseignements obligatoires hebdomadaires en 6e, jusqu'à 5 heures pourront être consacrées à la remédiation en lecture, écriture ou calcul. Ces heures peuvent être assurées par un professeur du collège ou un professeur des écoles. Elles sont organisées en petits groupes, sur le temps consacré à d'autres enseignements et en fonction des compétences acquises par l'élève pour lui permettre de dépasser ses difficultés. À mesure que les difficultés des élèves se résorbent, le volume d'heures consacré à la lecture et au calcul diminue.
Qui assurera ces heures ? Et d'où viennent les heures si elles sont "hors 26 heures d'enseignement" ? Les profs de maths et de français ? En plus de leurs heures ? D'autres profs ?
Au collège, le dispositif Devoirs faits est renforcé. Les heures, positionnées dans l'emploi du temps, sont proposées aux élèves dès la première semaine de septembre, dans le double objectif d'offrir à tous les élèves volontaires un service d'accompagnement aux devoirs et d'aider les élèves en difficulté. Il s'agit de proposer 3 heures d'accompagnement aux devoirs par semaine pour chaque élève (4 heures pour chaque élève de 6e sur la période septembre-décembre).
Afin de permettre aux élèves en fragilité scolaire d'aborder la rentrée en confiance, les chefs d'établissement et professeurs informent les familles de cette possibilité et les encouragent à s'y inscrire. Les directeurs d'école attirent l'attention des principaux sur les élèves entrant en classe de 6e qui auraient été fragilisés du fait d'un éloignement de l'école pendant le confinement.
Même question que plus haut sur les heures. Les HSE ou heures de AD sont gonflées ou sont-elles prises sur les marges ?
Il y a également une partie qui se nomme "Parachever la réforme du lycée"... Recours aux personnes en préprofessionnalisation etc.
- LadyOlennaModérateur
Pour cette année je n'ai pas encore connaissance de l'enveloppe Devoirs faits, mais l'an passé, si on avait fait 4h par classe comme le Dasen nous le demandait déjà, l'enveloppe nous aurait permis de payer les profs jusqu'à la Toussaint :|
- kiwiGuide spirituel
LadyOlenna a écrit:Pour cette année je n'ai pas encore connaissance de l'enveloppe Devoirs faits, mais l'an passé, si on avait fait 4h par classe comme le Dasen nous le demandait déjà, l'enveloppe nous aurait permis de payer les profs jusqu'à la Toussaint :|
Et encore, tu vois large...
- Volo'Neoprof expérimenté
LadyOlenna a écrit:Pour cette année je n'ai pas encore connaissance de l'enveloppe Devoirs faits, mais l'an passé, si on avait fait 4h par classe comme le Dasen nous le demandait déjà, l'enveloppe nous aurait permis de payer les profs jusqu'à la Toussaint :|
De toute manière, cela va encore être le tout débrouille. Et comme le dit si bien la circulaire "les établissements peuvent". Donc à tous les coups, on fait une circulaire parce qu'il faut, mais les moyens adieux.
- RendashBon génie
LadyOlenna a écrit:Pour cette année je n'ai pas encore connaissance de l'enveloppe Devoirs faits, mais l'an passé, si on avait fait 4h par classe comme le Dasen nous le demandait déjà, l'enveloppe nous aurait permis de payer les profs jusqu'à la Toussaint :|
On a tenu jusqu'à janvier. (REP+, sans doute plus de moyens ; et on était loin des 4h par classe, de toute façon.)
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Agrippina furiosaFidèle du forum
Ca s'est arrêté chez nous à peu près à cette date-là aussi et on n'avait pas 4h par classe, on en était même loin (je dirais 2h pour les 6 et les 5 et 1 pour les autres). Il y a de moins en moins de collègues volontaires pour le faire, car tous les ans il n'y a pas assez, donc les collègues se lassent ... sans compter ceux qui ont bossé pour des prunes (ou la beauté du sport, comme on veut !) la 1ère année, et ont catégoriquement refusé de recommencer !
- JennyMédiateur
Jusqu’au confinement chez nous (mais en REP).
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