- Thalia de GMédiateur
chmarmottine a écrit:Il a un côté très ado en fait. Ceci explique peut-être cela.
C'est bôôôôôôôô ! J'en suis toute retournée.
- Spoiler:
- C'est parfaitement indigne, il vous prend pour des imbéciles.
- VanGogh59Expert spécialisé
Un message printanier que Jean Yanne eut apprécié
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- Agrippina furiosaFidèle du forum
FZ a écrit:Dinimip! a écrit:pogonophile a écrit:Si tu fais grève en estimant que ça c'est assez bien pour toi, et ça non, comment dire..
"Agent de l'Etat", " fonctionnaire", ça a des ramifications, pas seulement qu'il ne sera pas question de nous mettre au chômage partiel si d'aventure on laissait tomber cette continuité brinquebalante.
Très bien dit, j'ai vraiment l'impression qu'une minorité bruyante cherche à tout prix à ce que le retour à l'école se passe mal.
Je ne comprends pas le but, tout le monde reconnait pourtant que la situation que nous vivons est absolument exceptionnelle : les "sacrifices" que nous devons faire (ne pas boucler le programme, voire regrouper des élèves de différentes classes) me paraissent bien minimes comparé aux millions de concitoyens qui vont se prendre la crise de plein fouet.
Tout pareil. Il faudrait peut-être regarder ce qui se passe autour de nous : on va toucher nos salaires entièrement, c'est déjà énorme (le fait de les toucher, hein, je ne parle pas du salaire ...). S'il faut faire garderie, et bien je le ferai, pas forcément heureuse de le faire, mais parce que j'estime que oui, en ce moment, si ça peut aider, et bien je dois le faire. Je ne suis pas certaine que ces derniers temps, dans les hôpitaux, chacun se soit contenté de faire strictement ce pour quoi il est payé, et heureusement.
- TangledingGrand Maître
@beaverforever : Je ne suis pas convaincu. En tout cas pas dans le cas où on refuserait des élèves sur la base d'une absence de justificatif de travail à distance impossible dont la légalité est déjà sujet à caution - outre que quand les parents travaillent à distance, ils ne sont toujours pas professeurs et n'ont pas le temps de s'occuper de l'enseignement de leur enfant alors qu'ils télétravaillent.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- LokomazoutNiveau 9
Dinimip! a écrit:pogonophile a écrit:Si tu fais grève en estimant que ça c'est assez bien pour toi, et ça non, comment dire..
"Agent de l'Etat", " fonctionnaire", ça a des ramifications, pas seulement qu'il ne sera pas question de nous mettre au chômage partiel si d'aventure on laissait tomber cette continuité brinquebalante.
Très bien dit, j'ai vraiment l'impression qu'une minorité bruyante cherche à tout prix à ce que le retour à l'école se passe mal.
Je ne comprends pas le but, tout le monde reconnait pourtant que la situation que nous vivons est absolument exceptionnelle : les "sacrifices" que nous devons faire (ne pas boucler le programme, voire regrouper des élèves de différentes classes) me paraissent bien minimes comparé aux millions de concitoyens qui vont se prendre la crise de plein fouet.
Sur quelle base te réfères-tu pour parler de "minorité bruyante" ?
Ce qui est sûr, et là ce ne sont pas des suppositions gratuites, c'est que les revendications de la plupart des organisations syndicales sont basées pour un bon nombre sur les recommandations du conseil scientifique, dont les sages préconisaient un retour en Septembre :
Coronavirus : pourquoi le Conseil scientifique recommande une rentrée scolaire en Septembre
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-pourquoi-le-conseil-scientifique-recommande-une-rentree-scolaire-en-septembre_3937205.html
Extrait :
"le risque de transmission est important dans les lieux de regroupement massif que sont les écoles et les universités, avec des mesures barrières particulièrement difficiles à mettre en œuvre chez les plus jeunes".
En parallèle de cette mise en garde, les scientifiques avancent, dans leur seconde note datée du 24 avril, les chiffres montrant l'importance de la population concernée par ce déconfinement. "En France, soulignent-ils, on décompte 12 875 650 élèves" (tous niveaux confondus) et "870 900 enseignants." Soit environ 20% de la population."
- FireflyNiveau 9
Tangleding a écrit:@beaverforever : Je ne suis pas convaincu. En tout cas pas dans le cas où on refuserait des élèves sur la base d'une absence de justificatif de travail à distance impossible dont la légalité est déjà sujet à caution - outre que quand les parents travaillent à distance, ils ne sont toujours pas professeurs et n'ont pas le temps de s'occuper de l'enseignement de leur enfant alors qu'ils télétravaillent.
il n'y aura aucun enseignant en présentiel...
- LaotziSage
Je ne crois pas que cela ait été posté (mais le fil a été très vite) : le dernier communiqué du SNPDEN, beaucoup plus conciliant sur la réouverture par rapport au précédent (mission impossible) : https://www.snpden.net/reprise-a-compter-du-11-mai-la-voix-du-snpden-unsa-pronant-securite-sanitaire-prudence-progressivite-et-adaptabilite-a-devidence-porte/
Au regard des hypothèses présentées par le Ministre de l’Education nationale devant les députés le 21 avril, les dispositions retenues mardi 28 avril par le 1er Ministre pour ce qui concerne la reprise d’activité des établissements secondaires publics à compter du 11 mai vont pour le SNPDEN-UNSA globalement dans le bon sens tant du point de vue de la direction que du raisonnable.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- Pontorson50Fidèle du forum
beaverforever a écrit:J'avais bien compris ton argument. Je doute très fortement qu'il parvienne à convaincre un juge administratif. Il te répondra : "il y a une inégalité mineure dans l'accès à l'instruction et donc l'État n'est pas condamné".De minimis non curat praetorTangleding a écrit:Il est question d'un accès égal.beaverforever a écrit:Le texte que tu cites garantit l'instruction, pas la scolarisation en présentiel dans un établissement. Je doute qu'un juge administratif considère que le maintien d'une instruction en distanciel dans le but de protéger les enfants et les parents d'une maladie mortelle soit un déni d'instruction. Et il faudrait que la plainte soit recevable.
De minimis non curat praetor
Donc décider que Kevin a le droit au présentiel et pas Arsène, ou inversement. Ou Kevin et pas Fatou, ou inversement. Ca me semble poser un problème majeur.
A moins qu'on ne prétende que le "distanciel" soit équivalent au "présentiel", mais ce serait dangereux et à mon avis assez inexact.
Il me semble même probable que la plainte ne soit pas accueillie.
C'est une des possibilités pour le juge, c'est vrai, mais il peut aussi donner raison au plaignant en disant que le chef de l'Etat, de rang supérieur au préteur, a dit que l'école devrait accueillir les volontaires. Tous les volontaires. Ou, avant, que Kévin étant jugé décrocheur par les profs de l'établissement, Kévin aurait dû être accueilli. Ou dire que l'établissement, et seulement celui-ci, ne pouvait pas accueillir Kévin qui par le passé a fait preuve d'une indiscipline puérile empêchant son accueil d'être compatible avec les règles sanitaires...
L'imagination des juges est sans limites dès qu'ils sont en face d'une situation sans jurisprudence et avec des instructions officielles variées voire contradictoires sur leur fondement.
- Clecle78Bon génie
Oui Tangleding c'est triste . Et nous ne sommes pas une minorité bruyante, seulement des gens qui souhaitent bien faire leur travail et être respectés de l'institution si ce n'est pas trop demander ...
- TangledingGrand Maître
Agrippina furiosa a écrit:
Tout pareil. Il faudrait peut-être regarder ce qui se passe autour de nous : on va toucher nos salaires entièrement, c'est déjà énorme (le fait de les toucher, hein, je ne parle pas du salaire ...). S'il faut faire garderie, et bien je le ferai, pas forcément heureuse de le faire, mais parce que j'estime que oui, en ce moment, si ça peut aider, et bien je dois le faire. Je ne suis pas certaine que ces derniers temps, dans les hôpitaux, chacun se soit contenté de faire strictement ce pour quoi il est payé, et heureusement.
Tu ne travailles pas à distance ? Tu penses que parce que tu le fais à distance avec les moyens du bord (ceux que l'EN met à ta disposition et ceux que TU mets à sa disposition), ce travail ne devrait pas être payé (assez mal d'après toi) ?
Ca m'arrive de surveiller les gamins tu sais en temps normal, j'interviens dans la cour sans être AED, je ramasse les papiers qui traînent dans les couloirs en passant. Mais il y a un relatif consensus sur le fait que je peux leur apporter davantage et même en ce moment c'est ce que je m'efforce de faire.
Si demain on me demande de surveiller les gamins pour que ça puisse tourner en mode dégradé comme actuellement ou un peu mieux, je le ferai. Par contre si on me le demande au détriment de l'enseignement dégradé que j'assure actuellement et sans plus-value pédagogique pour des élèves hors de portée de l'enseignement à distance, je ne comprends pas trop pourquoi je me rendrais complice d'une telle aberration.
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- FireflyNiveau 9
Pontorson50 a écrit:beaverforever a écrit:J'avais bien compris ton argument. Je doute très fortement qu'il parvienne à convaincre un juge administratif. Il te répondra : "il y a une inégalité mineure dans l'accès à l'instruction et donc l'État n'est pas condamné".De minimis non curat praetorTangleding a écrit:Il est question d'un accès égal.beaverforever a écrit:Le texte que tu cites garantit l'instruction, pas la scolarisation en présentiel dans un établissement. Je doute qu'un juge administratif considère que le maintien d'une instruction en distanciel dans le but de protéger les enfants et les parents d'une maladie mortelle soit un déni d'instruction. Et il faudrait que la plainte soit recevable.
De minimis non curat praetor
Donc décider que Kevin a le droit au présentiel et pas Arsène, ou inversement. Ou Kevin et pas Fatou, ou inversement. Ca me semble poser un problème majeur.
A moins qu'on ne prétende que le "distanciel" soit équivalent au "présentiel", mais ce serait dangereux et à mon avis assez inexact.
Il me semble même probable que la plainte ne soit pas accueillie.
C'est une des possibilités pour le juge, c'est vrai, mais il peut aussi donner raison au plaignant en disant que le chef de l'Etat, de rang supérieur au préteur, a dit que l'école devrait accueillir les volontaires. Tous les volontaires. Ou, avant, que Kévin étant jugé décrocheur par les profs de l'établissement, Kévin aurait dû être accueilli. Ou dire que l'établissement, et seulement celui-ci, ne pouvait pas accueillir Kévin qui par le passé a fait preuve d'une indiscipline puérile empêchant son accueil d'être compatible avec les règles sanitaires...
L'imagination des juges est sans limites dès qu'ils sont en face d'une situation sans jurisprudence et avec des instructions officielles variées voire contradictoires sur leur fondement.
mais alors quid des écoles qui restent fermées comme c'est déjà annoncé par certains maires? ce serait discriminant par rapport à d'autres élèves dont l'école serait ouverte, non?
- TangledingGrand Maître
Ok, j'ai mal compris dans ce cas s'agissant de ton bahut. Reste le cas théorique, oeuf course.Firefly a écrit:Tangleding a écrit:@beaverforever : Je ne suis pas convaincu. En tout cas pas dans le cas où on refuserait des élèves sur la base d'une absence de justificatif de travail à distance impossible dont la légalité est déjà sujet à caution - outre que quand les parents travaillent à distance, ils ne sont toujours pas professeurs et n'ont pas le temps de s'occuper de l'enseignement de leur enfant alors qu'ils télétravaillent.
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- Agrippina furiosaFidèle du forum
Tangleding, si, je travaille à distance, comme tout le monde, et ça me prend bien plus de temps et d'énergie qu'en présentiel.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons de la chance : je connais pas mal de soignants dans ma famille et dans mon cercle d'amis qui ne touchent déjà pas en temps ordinaire la totalité des heures qu'ils font (il faut dire qu'ils sont tous dans le public ...), alors en ce moment ... c'est tout.
Quant à la qualité de ce qu'on offre en temps normal et de ce qu'on risque d'offrir dans les semaines qui viennent, je suis tout à fait d'accord avec toi, mais je ne pense pas que ce soit la priorité en ce moment. Mais c'est un avis personnel.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons de la chance : je connais pas mal de soignants dans ma famille et dans mon cercle d'amis qui ne touchent déjà pas en temps ordinaire la totalité des heures qu'ils font (il faut dire qu'ils sont tous dans le public ...), alors en ce moment ... c'est tout.
Quant à la qualité de ce qu'on offre en temps normal et de ce qu'on risque d'offrir dans les semaines qui viennent, je suis tout à fait d'accord avec toi, mais je ne pense pas que ce soit la priorité en ce moment. Mais c'est un avis personnel.
- frimoussette77Guide spirituel
Et nous ne sommes là pour aimer nos élèves.chmarmottine a écrit:Il a un côté très ado en fait. Ceci explique peut-être cela.Les professeurs leurs élèves.
— Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) May 2, 2020
Les élèves leurs professeurs.
Les premiers le disent dans des vidéos pour les encourager à travailler à distance & à se sentir bien.
Les seconds leur répondent par des vidéos pleines d’affection et d’humour pour dire simplement #MerciAuxProfs : https://t.co/7VTG9vPLuH
- Pontorson50Fidèle du forum
Laotzi a écrit:Je ne crois pas que cela ait été posté (mais le fil a été très vite) : le dernier communiqué du SNPDEN, beaucoup plus conciliant sur la réouverture par rapport au précédent (mission impossible) : https://www.snpden.net/reprise-a-compter-du-11-mai-la-voix-du-snpden-unsa-pronant-securite-sanitaire-prudence-progressivite-et-adaptabilite-a-devidence-porte/
Au regard des hypothèses présentées par le Ministre de l’Education nationale devant les députés le 21 avril, les dispositions retenues mardi 28 avril par le 1er Ministre pour ce qui concerne la reprise d’activité des établissements secondaires publics à compter du 11 mai vont pour le SNPDEN-UNSA globalement dans le bon sens tant du point de vue de la direction que du raisonnable.
Merci, c'est un point capital, dans une situation aussi inédite, vu le rôle clef plus que jamais des chefs d'établissement, l'accord de principe de leur principal syndicat était un préalable indispensable à la réouverture des collèges dans un minimum d'ordre.
Ils considèrent que dès lors qu'ils disposent bien du pouvoir de fermeture et de remplissage partiel des établissements (ils ne semblent pas s'inquiéter du comment en revanche), ils parviendront à mettre en place des accueils pour quelques semaines "sur des bases très partielles et à effectifs réduits".
Ils ont des raisons de penser qu'ils auront carte blanche pour dire qui vient et qui ne vient pas, et qu'en cas de difficulté sur ce point, ce ne sont pas eux qui pourront être attaqués. Possible, ils ne sont pas les donneurs d'ordre, ils appliquent. Espérons pour eux.
Pour les parents, c'est à consulter : plus que jamais, ils ne pourront pas mettre leur enfant à l'école à coup sûr, quoi qu'en ait dit l'Élysée. Mais au moins, c'est plus clair.
- HermionyGuide spirituel
De la garderie, j'en fais tous les ans fin juin, ou dès qu'il faut dépanner, et ça ne me dérange pas, parce que je sais pourquoi je viens et je sais qu'en face, les élèves sont aussi au courant.
Donc qu'on dise clairement aux parents qu'à partir du 18 mai, leurs enfants ont fini leur année, qu'ils ne termineront pas ce qu'ils avaient commencé à distance, qu'ils n'auront pas leurs enseignants habituels, mais des collègues qu'ils ne connaissent pas, qu'ils feront de vagues révisions, qu'ils n'auront peut-être pas la possibilité de demander des explications sur ce qu'ils n'ont pas compris parce qu'ils viendront de 5 classes différentes et là, on sera honnête.
Parce que des parents que j'ai eu au téléphone, aucun n'envisage la garderie quand ils me parlent de la réouverture, et leurs enfants non plus...
Donc qu'on dise clairement aux parents qu'à partir du 18 mai, leurs enfants ont fini leur année, qu'ils ne termineront pas ce qu'ils avaient commencé à distance, qu'ils n'auront pas leurs enseignants habituels, mais des collègues qu'ils ne connaissent pas, qu'ils feront de vagues révisions, qu'ils n'auront peut-être pas la possibilité de demander des explications sur ce qu'ils n'ont pas compris parce qu'ils viendront de 5 classes différentes et là, on sera honnête.
Parce que des parents que j'ai eu au téléphone, aucun n'envisage la garderie quand ils me parlent de la réouverture, et leurs enfants non plus...
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"Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exerce si souvent contre l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les animaux. Il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés".
Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- Pontorson50Fidèle du forum
Firefly a écrit:Pontorson50 a écrit:beaverforever a écrit:J'avais bien compris ton argument. Je doute très fortement qu'il parvienne à convaincre un juge administratif. Il te répondra : "il y a une inégalité mineure dans l'accès à l'instruction et donc l'État n'est pas condamné".De minimis non curat praetorTangleding a écrit:
Il est question d'un accès égal.
Donc décider que Kevin a le droit au présentiel et pas Arsène, ou inversement. Ou Kevin et pas Fatou, ou inversement. Ca me semble poser un problème majeur.
A moins qu'on ne prétende que le "distanciel" soit équivalent au "présentiel", mais ce serait dangereux et à mon avis assez inexact.
Il me semble même probable que la plainte ne soit pas accueillie.
C'est une des possibilités pour le juge, c'est vrai, mais il peut aussi donner raison au plaignant en disant que le chef de l'Etat, de rang supérieur au préteur, a dit que l'école devrait accueillir les volontaires. Tous les volontaires. Ou, avant, que Kévin étant jugé décrocheur par les profs de l'établissement, Kévin aurait dû être accueilli. Ou dire que l'établissement, et seulement celui-ci, ne pouvait pas accueillir Kévin qui par le passé a fait preuve d'une indiscipline puérile empêchant son accueil d'être compatible avec les règles sanitaires...
L'imagination des juges est sans limites dès qu'ils sont en face d'une situation sans jurisprudence et avec des instructions officielles variées voire contradictoires sur leur fondement.
mais alors quid des écoles qui restent fermées comme c'est déjà annoncé par certains maires? ce serait discriminant par rapport à d'autres élèves dont l'école serait ouverte, non?
Un maire peut toujours dire qu'il n'ouvrira pas, mais si le préfet veut faire ouvrir, c'est lui qui a la main. Et des maires qui iront jusque là, je demande à ce qu'on compte à la fin de la partie...
Et si le SNPDEN agrée le ministère, c'est qu'il a la garantie que le sanitaire sera toujours opposable. Et il faut reconnaître que ça Blanquer l'a dit à plusieurs reprises. En fait, il suffira de prendre n'importe quel point des 60 pages du protocole pour ne pas ouvrir. Là c'est opposable, le sanitaire l'emportant sur le droit à l'instruction.
- TangledingGrand Maître
Agrippina furiosa a écrit:Tangleding, si, je travaille à distance, comme tout le monde, et ça me prend bien plus de temps et d'énergie qu'en présentiel.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons de la chance : je connais pas mal de soignants dans ma famille et dans mon cercle d'amis qui ne touchent déjà pas en temps ordinaire la totalité des heures qu'ils font (il faut dire qu'ils sont tous dans le public ...), alors en ce moment ... c'est tout.
Quant à la qualité de ce qu'on offre en temps normal et de ce qu'on risque d'offrir dans les semaines qui viennent, je suis tout à fait d'accord avec toi, mais je ne pense pas que ce soit la priorité en ce moment. Mais c'est un avis personnel.
Soit. Je me demande quand même si la défiance des parents à l'égard de la réouverture des écoles n'est pas en grande partie générée par le manque de clarté politique, le manque de sincérité quant aux motivations de cette réouverture et au manque de communication claire et assurée quant aux enjeux pédagogiques de cette reprise.
Les parents nous font visiblement confiance, à nous enseignants, il faudrait donner envie aux parents de remettre leur enfant à l'école tout en les rassurant sur le plan sanitaire. Mais si l'institution ne suscite pas un désir de confier "physiquement" l'instruction des enfants à l'école, aux enseignants, ils seront réticents, comme nous le sommes s'agissant de cette reprise dans ce flou.
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- beaverforeverNeoprof expérimenté
Je serai très étonné qu'un professionnel du droit envisage un tel scénario comme "plaidable", vraiment très étonné.Tangleding a écrit:@beaverforever : Je ne suis pas convaincu. En tout cas pas dans le cas où on refuserait des élèves sur la base d'une absence de justificatif de travail à distance impossible dont la légalité est déjà sujet à caution - outre que quand les parents travaillent à distance, ils ne sont toujours pas professeurs et n'ont pas le temps de s'occuper de l'enseignement de leur enfant alors qu'ils télétravaillent.
Le juge administratif n'est pas un justicier au service du citoyen, il est là pour servir de garde-fou à l'administration et éviter qu'elle verse dans l'excès de pouvoir, mais il protège aussi l'administration contre un recours abusif des citoyens.
En l’occurrence, faire un recours pour excès de pouvoir contre une décision d'un CDE qui applique un décret et qui ne cause qu'un tort très limité (faire du distanciel ou lieu du présentiel), sous le prétexte qu'un principe constitutionnel serait un peu moins appliqué dans une situation de crise majeure, me semble téméraire. Non seulement je pense que je perdrai, mais j'aurai peur d'être contraint à payer les frais du procès, voire à me prendre une amende pour recours abusif.
Mais peut-être connais-tu un professionnel du droit qui pense qu'une décision administrative de ce type est attaquable ?
- henrietteMédiateur
Franchement, si tous les parents décidaient de remettre leur enfant à l'école, ce serait un beau souk totalement ingérable. Qui déboucherait sur encore moins de temps d'école par gamin qu'il n'y aura. Qui rendra de fait impossible la reprise des parents : si ton enfant n'a école qu un ou deux jours par semaine, tu gères ça comment avec ton travail ?Tangleding a écrit:Agrippina furiosa a écrit:Tangleding, si, je travaille à distance, comme tout le monde, et ça me prend bien plus de temps et d'énergie qu'en présentiel.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons de la chance : je connais pas mal de soignants dans ma famille et dans mon cercle d'amis qui ne touchent déjà pas en temps ordinaire la totalité des heures qu'ils font (il faut dire qu'ils sont tous dans le public ...), alors en ce moment ... c'est tout.
Quant à la qualité de ce qu'on offre en temps normal et de ce qu'on risque d'offrir dans les semaines qui viennent, je suis tout à fait d'accord avec toi, mais je ne pense pas que ce soit la priorité en ce moment. Mais c'est un avis personnel.
Soit. Je me demande quand même si la défiance des parents à l'égard de la réouverture des écoles n'est pas en grande partie générée par le manque de clarté politique, le manque de sincérité quant aux motivations de cette réouverture et au manque de communication claire et assurée quant aux enjeux pédagogiques de cette reprise.
Les parents nous font visiblement confiance, à nous enseignants, il faudrait donner envie aux parents de remettre leur enfant à l'école tout en les rassurant sur le plan sanitaire. Mais si l'institution ne suscite pas un désir de confier "physiquement" l'instruction des enfants à l'école, aux enseignants, ils seront réticents, comme nous le sommes s'agissant de cette reprise dans ce flou.
Ne nous leurrons pas, c'est très pratique cette idée de volontariat, ça arrange bien que beaucoup de parents ne remettent pas leurs enfants. Sinon, le système explosera en vol.
Là, ils se débrouilleront pour garder leur môme sans plus bénéficier d'ASA si c'est leur décision à eux, tandis que si c'est un refus de l'école de prendre le gamin car pas de place, alors ça aura un autre coût, non ?
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- TangledingGrand Maître
@beaverforever : il y a un décret qui exige des parents un justificatif comme quoi ils ne peuvent pas télétravailler ? Tu es sûr de cela ? C'est surtout cette demande de justificatif par l'établissement scolaire qui me choque franchement, en fait.
Après difficile de préjuger de l'avis rendu par le TA ou le Conseil d'Etat, hein. Je ne connais pas de professionnel du droit. Je suis juste un amateur de l'usage politique du droit... Je ne sais pas, pour le coup. En fait je ne suis pas un adepte de la judiciarisation extrême de la société, loin s'en faut.
@Henriette : Il faudra bien que les enfants retrouvent le chemin de l'école, au moins en septembre. Cela va demander d'aménager le temps scolaire et les programmes, mais de mon point de vue c'est hautement nécessaire.
Après difficile de préjuger de l'avis rendu par le TA ou le Conseil d'Etat, hein. Je ne connais pas de professionnel du droit. Je suis juste un amateur de l'usage politique du droit... Je ne sais pas, pour le coup. En fait je ne suis pas un adepte de la judiciarisation extrême de la société, loin s'en faut.
@Henriette : Il faudra bien que les enfants retrouvent le chemin de l'école, au moins en septembre. Cela va demander d'aménager le temps scolaire et les programmes, mais de mon point de vue c'est hautement nécessaire.
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- henrietteMédiateur
Mais tout à fait d'accord avec toi. D'où mon message plus haut : au lieu de dilapider un temps précieux et une énergie considérable sur le 11 mai, on devrait être à fond sur l'organisation de septembre.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Pontorson50Fidèle du forum
beaverforever a écrit:Je serai très étonné qu'un professionnel du droit envisage un tel scénario comme "plaidable", vraiment très étonné.Tangleding a écrit:@beaverforever : Je ne suis pas convaincu. En tout cas pas dans le cas où on refuserait des élèves sur la base d'une absence de justificatif de travail à distance impossible dont la légalité est déjà sujet à caution - outre que quand les parents travaillent à distance, ils ne sont toujours pas professeurs et n'ont pas le temps de s'occuper de l'enseignement de leur enfant alors qu'ils télétravaillent.
Le juge administratif n'est pas un justicier au service du citoyen, il est là pour servir de garde-fou à l'administration et éviter qu'elle verse dans l'excès de pouvoir, mais il protège aussi l'administration contre un recours abusif des citoyens.
En l’occurrence, faire un recours pour excès de pouvoir contre une décision d'un CDE qui applique un décret et qui ne cause qu'un tort très limité (faire du distanciel ou lieu du présentiel), sous le prétexte qu'un principe constitutionnel serait un peu moins appliqué dans une situation de crise majeure, me semble téméraire. Non seulement je pense que je perdrai, mais j'aurai peur d'être contraint à payer les frais du procès, voire à me prendre une amende pour recours abusif.
Mais peut-être connais-tu un professionnel du droit qui pense qu'une décision administrative de ce type est attaquable ?
C'est précisément parce que le juge administratif a toute latitude pour défendre ou l'administration ou l'administré, qu'il a une liberté totale, faute de jurisprudence et ici c'est le cas, pour estimer ce qui est un "tort très limité" (car ça c'est tout sauf objectif) en matière de droit à l'instruction. Le jeu est assez ouvert.
- LadKlimaHabitué du forum
henriette a écrit:Mais tout à fait d'accord avec toi. D'où mon message plus haut : au lieu de dilapider un temps précieux et une énergie considérable sur le 11 mai, on devrait être à fond sur l'organisation de septembre.
Le souci de la reprise de Septembre c'est qu'elle dépend grandement de l'évolution de l'épidémie : imaginons quand Juillet on se rend compte qu'il n'y a plus rien, fini, plus aucun cas, plus aucun mort (je n'y crois pas bien sur), et pareil en Aout. Alors on reprend comme d'habitude en Septembre ? La situation est vraiment compliquée. La reprise de Mai doit servir au moins à cela : nous préparer à enseigner si les conditions sanitaires sont critiques.
- TangledingGrand Maître
Ah ça, comme toi je ne suis pas à convaincre qu'on perd un temps précieux pour peanut's au lieu de mobiliser notre énergie sur septembre qui est le véritable enjeu du moment s'agissant de l'école. Mais j'ai assez peu d'espoir que le totem du 11 mai soit abandonné, pour ne pas dire aucun espoir.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- Pontorson50Fidèle du forum
henriette a écrit:Franchement, si tous les parents décidaient de remettre leur enfant à l'école, ce serait un beau souk totalement ingérable. Qui déboucherait sur encore moins de temps d'école par gamin qu'il n'y aura. Qui rendra de fait impossible la reprise des parents : si ton enfant n'a école qu un ou deux jours par semaine, tu gères ça comment avec ton travail ?Tangleding a écrit:Agrippina furiosa a écrit:Tangleding, si, je travaille à distance, comme tout le monde, et ça me prend bien plus de temps et d'énergie qu'en présentiel.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons de la chance : je connais pas mal de soignants dans ma famille et dans mon cercle d'amis qui ne touchent déjà pas en temps ordinaire la totalité des heures qu'ils font (il faut dire qu'ils sont tous dans le public ...), alors en ce moment ... c'est tout.
Quant à la qualité de ce qu'on offre en temps normal et de ce qu'on risque d'offrir dans les semaines qui viennent, je suis tout à fait d'accord avec toi, mais je ne pense pas que ce soit la priorité en ce moment. Mais c'est un avis personnel.
Soit. Je me demande quand même si la défiance des parents à l'égard de la réouverture des écoles n'est pas en grande partie générée par le manque de clarté politique, le manque de sincérité quant aux motivations de cette réouverture et au manque de communication claire et assurée quant aux enjeux pédagogiques de cette reprise.
Les parents nous font visiblement confiance, à nous enseignants, il faudrait donner envie aux parents de remettre leur enfant à l'école tout en les rassurant sur le plan sanitaire. Mais si l'institution ne suscite pas un désir de confier "physiquement" l'instruction des enfants à l'école, aux enseignants, ils seront réticents, comme nous le sommes s'agissant de cette reprise dans ce flou.
Ne nous leurrons pas, c'est très pratique cette idée de volontariat, ça arrange bien que beaucoup de parents ne remettent pas leurs enfants. Sinon, le système explosera en vol.
Là, ils se débrouilleront pour garder leur môme sans plus bénéficier d'ASA si c'est leur décision à eux, tandis que si c'est un refus de l'école de prendre le gamin car pas de place, alors ça aura un autre coût, non ?
Attention le volontariat, sans précision, ça permet aux parents de ne pas mettre les enfant à l'école, mais ça leur donnait aussi liberté pour les y mettre...D'où la clarification (en cours semble-t-il aux yeux du SNPDEN), à savoir que vouloir mettre les enfants à l'école serait une condition nécessaire, mais non suffisante, à ce qu'ils y soient admis, le chef d'établissement gardant la main sur les critères. Mais si c'est bien cette interprétation là, il faudra massivement communiquer sur ce point en direction des familles. Certaines pourraient autrement s'estimer grugées.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Education Nationale
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