- henrietteMédiateur
Sait-on si le calendrier pour l'orientation des 3e a bougé et si on pourra faire les conseils de classe pour ce niveau un peu plus tardivement que d'habitude ?
- User17095Érudit
kensington a écrit:Kea a écrit:Plus haut, il me semble qu'il était question d'un distanciel qui complétait les cours en présentiel, pour les mêmes élèves.pogonophile a écrit:Et pas trop de surcharge, c'est relatif, "pas trop", mais on en parlait plus haut, beaucoup disaient que c'était faisable d'équilibrer présentiel et distanciel pourvu que le premier soit dans la suite du second, et non pas une deuxième progression à construire.
Dans l'article relayé par Clecle78, il s'agirait d'un distanciel destiné aux élèves qui ne viennent pas du tout en classe. La progression des deux groupes serait donc bien différente, à moins de faire en classe un accompagnement de ce qui a été donné à distance à l'ensemble des élèves.
C'est ce qui semble le plus pratique et le plus efficace, non?
C'est même la seule façon tenable plus de deux jours, je ne comprends pas pourquoi tant s'obstinent à partir du principe qu'on va leur demander deux progressions.
A force, ça revient à se noyer à dix lieues de la baille.
henriette a écrit:Sait-on si le calendrier pour l'orientation des 3e a bougé et si on pourra faire les conseils de classe pour ce niveau un peu plus tardivement que d'habitude ?
Il n'a pas bougé d'une heure, déprimant.
- Clecle78Bon génie
Ce serait pas mal de dire la vérité tout simplement, à savoir qu'on ne sait pas ! Tu as toi même donné la réponse d'ailleurs . Quant à la charge de travail je maintiens que ni toi ni lui n'êtes en mesure de la définir . Maintenant je te laisse à tes certitudes, je pense que nous avons fait le tour de la question et que nos positions sont irréconciliables ...
- nonorenoNiveau 9
Nostalgia a écrit:Bravo, Nonoreno, tu es douée. Pour ma part, je fais un cours normal, les élèves ne communiquent pas par chat mais demandent la parole pour poser leurs questions. Ils participent à la construction du cours, l'échange oral est constant. J'apprécie les classes virtuelles mais elles m'épuisent.
C'est un choix de communiquer par chat. On avance beaucoup plus vite. Avec les problèmes de bruit de fond des micros, le texte reste plus efficace. Les élèves me disent être très satisfaits d'une communication écrite, ça simplifie les choses... même si c'est plus vertical.
- User786Niveau 5
nonoreno a écrit:C'est un choix de communiquer par chat. On avance beaucoup plus vite. Avec les problèmes de bruit de fond des micros, le texte reste plus efficace. Les élèves me disent être très satisfaits d'une communication écrite, ça simplifie les choses... même si c'est plus vertical.
Mais tu fais ton cours oralement?
- BoubouleDoyen
pogonophile a écrit:kensington a écrit:Kea a écrit:Plus haut, il me semble qu'il était question d'un distanciel qui complétait les cours en présentiel, pour les mêmes élèves.pogonophile a écrit:Et pas trop de surcharge, c'est relatif, "pas trop", mais on en parlait plus haut, beaucoup disaient que c'était faisable d'équilibrer présentiel et distanciel pourvu que le premier soit dans la suite du second, et non pas une deuxième progression à construire.
Dans l'article relayé par Clecle78, il s'agirait d'un distanciel destiné aux élèves qui ne viennent pas du tout en classe. La progression des deux groupes serait donc bien différente, à moins de faire en classe un accompagnement de ce qui a été donné à distance à l'ensemble des élèves.
C'est ce qui semble le plus pratique et le plus efficace, non?
C'est même la seule façon tenable plus de dix jours, je ne comprends pas pourquoi tant s'obstinent à partir du principe qu'on va leur demander deux progressions.
A force, ça revient à se noyer à dix lieues de la baille.
En fait si, je pense que tu comprends très bien. Et certains vont avoir envie de parler de "ventilateurs à angoisse".
Pour l'instant, dans le coin, les instits dont on m'a parlé n'ont pas l'air affolé mais s'organisent (ce sont toujours les vacances là-bas). Ils ont envoyé aux parents un message demandant qui pensait remettre leur enfant, quels besoins de périsco et de cantine, et ont dit que pour ceux qui ne souhaitaient pas envoyer leur enfant à l'école, pas de panique, le cahier de texte permettrait de suivre les activités.
- nonorenoNiveau 9
Nostalgia a écrit:C'est un choix de communiquer par chat. On avance beaucoup plus vite. Avec les problèmes de bruit de fond des micros, le texte reste plus efficace. Les élèves me disent être très satisfaits d'une communication écrite, ça simplifie les choses... même si c'est plus vertical.
Mais tu fais ton cours oralement?
oui bien sur, je leur pose des questions et on me répond par chat. J'attends des réponses courtes pour avoir une interaction rapide. C'est le meilleur compromis selon moi.
- meevadeborahNiveau 8
Bouboule a écrit:pogonophile a écrit:kensington a écrit:Kea a écrit:
Plus haut, il me semble qu'il était question d'un distanciel qui complétait les cours en présentiel, pour les mêmes élèves.
Dans l'article relayé par Clecle78, il s'agirait d'un distanciel destiné aux élèves qui ne viennent pas du tout en classe. La progression des deux groupes serait donc bien différente, à moins de faire en classe un accompagnement de ce qui a été donné à distance à l'ensemble des élèves.
C'est ce qui semble le plus pratique et le plus efficace, non?
C'est même la seule façon tenable plus de dix jours, je ne comprends pas pourquoi tant s'obstinent à partir du principe qu'on va leur demander deux progressions.
A force, ça revient à se noyer à dix lieues de la baille.
En fait si, je pense que tu comprends très bien. Et certains vont avoir envie de parler de "ventilateurs à angoisse".
Pour l'instant, dans le coin, les instits dont on m'a parlé n'ont pas l'air affolé mais s'organisent (ce sont toujours les vacances là-bas). Ils ont envoyé aux parents un message demandant qui pensait remettre leur enfant, quels besoins de périsco et de cantine, et ont dit que pour ceux qui ne souhaitaient pas envoyer leur enfant à l'école, pas de panique, le cahier de texte permettrait de suivre les activités.
C'est ça que je ne comprends pas : le cahier de texte tel que rempli "habituellement" ne permet pas du tout de suivre les activités.
D'où la question que je souhaite poser à pogonophile : comment envisage-t-il le problème des élèves qui ne viennent pas du tout parce que leurs parents ne souhaitent pas les envoyer, conformément aux propositions de nos ministres ?
- User17095Érudit
meevadeborah a écrit:Bouboule a écrit:pogonophile a écrit:kensington a écrit:
C'est ce qui semble le plus pratique et le plus efficace, non?
C'est même la seule façon tenable plus de dix jours, je ne comprends pas pourquoi tant s'obstinent à partir du principe qu'on va leur demander deux progressions.
A force, ça revient à se noyer à dix lieues de la baille.
En fait si, je pense que tu comprends très bien. Et certains vont avoir envie de parler de "ventilateurs à angoisse".
Pour l'instant, dans le coin, les instits dont on m'a parlé n'ont pas l'air affolé mais s'organisent (ce sont toujours les vacances là-bas). Ils ont envoyé aux parents un message demandant qui pensait remettre leur enfant, quels besoins de périsco et de cantine, et ont dit que pour ceux qui ne souhaitaient pas envoyer leur enfant à l'école, pas de panique, le cahier de texte permettrait de suivre les activités.
C'est ça que je ne comprends pas : le cahier de texte tel que rempli "habituellement" ne permet pas du tout de suivre les activités.
D'où la question que je souhaite poser à pogonophile : comment envisage-t-il le problème des élèves qui ne viennent pas du tout parce que leurs parents ne souhaitent pas les envoyer, conformément aux propositions de nos ministres ?
Je ne sais pas trop, à partir du moment où on refuse de les envoyer (pour de bonnes ou mauvaises raisons), on le fait en sachant qu'ils auront moins de contenu ou d'accompagnement qu'en venant. Je veux dire, si c'était équivalent, on pourrait faire du distanciel toute l'année.
A partir de là, ce qu'il faut envisager, c'est surtout comment on va remonter la pente en septembre - ou après si le rythme précédent ne peut pas être repris à la rentrée.
@Bouboule
Non quand je dis que je ne comprends pas, ce n'est pas que je comprends très bien, c'est que je ne comprends pas : on peut envisager deux solutions, une faisable, une atroce, pourquoi ne spéculer que sur l'atroce, pourquoi partir délibérément du principe que c'est ce qui va être imposé ?
- TangledingGrand Maître
Je suis de l'avis de @Nostalgia , pour une très bonne raison : mes collégiens pourtant très actifs en classe réelle ne veulent pas trop s'exprimer au micro. Résultat le cours interactif ressemble à un long monologue alimenté par les réponses copiée/collée dans le tchat. Et c'est vrai, sans doute pour des raisons différentes de mes 5e comme de mes 4e.nonoreno a écrit:Nostalgia a écrit:Un cours en classe virtuelle demande une énergie folle.
Pas vrai de mon point de vue. Ma dernière session d'hier, je l'ai faite pendant 2 heures avec 41 élèves connectés, ça s'est passé sans stress. Un cours "réel" demande bien plus d'énergie. Tous les élèves coupent leur micro évidemment, je n'ai pas à leur dire. On discute uniquement par chat.
J'imagine les collègues qui n'ont pas comme nous en français la chance de n'avoir que 4 classes...
Dans tous les cas, je vais attendre de voir ce qui se dessine, au niveau national (le protocole sanitaire n'est toujours pas sorti ?) et localement en terme pédagogique.
Je retiens quand même que cette reprise se fait pour au mieux 16 jours élèves, si j'ai bien compris. Avec toujours cette idée de laboratoire qui me semble assez incongrue.
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"Never complain, just fight."
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- BoubouleDoyen
meevadeborah a écrit:Bouboule a écrit:pogonophile a écrit:kensington a écrit:
C'est ce qui semble le plus pratique et le plus efficace, non?
C'est même la seule façon tenable plus de dix jours, je ne comprends pas pourquoi tant s'obstinent à partir du principe qu'on va leur demander deux progressions.
A force, ça revient à se noyer à dix lieues de la baille.
En fait si, je pense que tu comprends très bien. Et certains vont avoir envie de parler de "ventilateurs à angoisse".
Pour l'instant, dans le coin, les instits dont on m'a parlé n'ont pas l'air affolé mais s'organisent (ce sont toujours les vacances là-bas). Ils ont envoyé aux parents un message demandant qui pensait remettre leur enfant, quels besoins de périsco et de cantine, et ont dit que pour ceux qui ne souhaitaient pas envoyer leur enfant à l'école, pas de panique, le cahier de texte permettrait de suivre les activités.
C'est ça que je ne comprends pas : le cahier de texte tel que rempli "habituellement" ne permet pas du tout de suivre les activités.
D'où la question que je souhaite poser à pogonophile : comment envisage-t-il le problème des élèves qui ne viennent pas du tout parce que leurs parents ne souhaitent pas les envoyer, conformément aux propositions de nos ministres ?
C'est quoi un cahier de texte alors ?
- TangledingGrand Maître
@Pogonophile : de toute façon, la liberté pédagogique n'ayant pas été retirée du code de l'éducation, je ne vois pas trop ce qu'on peut nous imposer, à part une organisation administrative contraire au bon sens. Ce qui peut toujours se produire, certes.
Là où je te rejoins (ou pas) c'est que sur ce plan, il n'y a pas lieu de s'inquiéter : disons que le jour où une circulaire demandera aux enseignants de faire cours en se tenant debout à cloche pied, ça resterait difficile à vérifier, et je pense qu'on serait nombreux à ne pas se rendre malades à la respecter.
Là où je te rejoins (ou pas) c'est que sur ce plan, il n'y a pas lieu de s'inquiéter : disons que le jour où une circulaire demandera aux enseignants de faire cours en se tenant debout à cloche pied, ça resterait difficile à vérifier, et je pense qu'on serait nombreux à ne pas se rendre malades à la respecter.
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- bernardoFidèle du forum
Tangleding a écrit:@Pogonophile : de toute façon, la liberté pédagogique n'ayant pas été retirée du code de l'éducation, je ne vois pas trop ce qu'on peut nous imposer, à part une organisation administrative contraire au bon sens. Ce qui peut toujours se produire, certes.
Là où je te rejoins (ou pas) c'est que sur ce plan, il n'y a pas lieu de s'inquiéter : disons que le jour où une circulaire demandera aux enseignants de faire cours en se tenant debout à cloche pied, ça resterait difficile à vérifier, et je pense qu'on serait nombreux à ne pas se rendre malades à la respecter.
C'est un peu ce qu'on va faire à partir du 11, non ?
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Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
- CleroliDoyen
Je prends connaissance de vos échanges : un cahier de textes en primaire indique que le travail à faire pour le lendemain, non ce qui a été fait au cours de la journée (en fait, le déroulé d'une journée de classe est assez opaque pour les parents, surtout lorsque le travail donné le soir est succinct et ne donne donc pas vraiment d'indices : on découvre ce qui a été appris grâce aux cahiers compilant les travaux, parfois en fin de période seulement). De plus, il n'est pas numérique (pas d'ENT en primaire).Bouboule a écrit:
C'est quoi un cahier de texte alors ?
- TangledingGrand Maître
bernardo a écrit:Tangleding a écrit:@Pogonophile : de toute façon, la liberté pédagogique n'ayant pas été retirée du code de l'éducation, je ne vois pas trop ce qu'on peut nous imposer, à part une organisation administrative contraire au bon sens. Ce qui peut toujours se produire, certes.
Là où je te rejoins (ou pas) c'est que sur ce plan, il n'y a pas lieu de s'inquiéter : disons que le jour où une circulaire demandera aux enseignants de faire cours en se tenant debout à cloche pied, ça resterait difficile à vérifier, et je pense qu'on serait nombreux à ne pas se rendre malades à la respecter.
C'est un peu ce qu'on va faire à partir du 11, non ?
Pas faux. Disons que pour ma part je ne considère pas que les circonstances doivent me contraindre à me démultiplier et multiplier par 5 mon temps de travail pour pallier l'insuffisante préparation de l'institution aux circonstances. C'est vrai pour "l'école à distance" et ce sera aussi vrai quand je reprendrai.
C'est juste un boulot. J'ai une haute idée de la valeur de ce que je transmets, une haute idée de la soif d'apprendre des élèves et de leur capacité à apprendre, mais je fais au mieux pour servir cette valeur dans le cadre contraint qui est le mien, en préservant ma santé et mon équilibre. Je récuse totalement le délire sacrificiel (y compris dans le domaine du militantisme, d'ailleurs).
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- EnaecoVénérable
Nostalgia a écrit:Un cours en classe virtuelle demande une énergie folle. C'est deux fois plus crevant qu'un cours normal, ça demande une grande concentration. Il faut en outre préparer des supports tapés partagés sur l'écran avec les élèves, des corrigés tapés aussi. En classe, nous pouvons exploiter nos notes, finir les corrections avec les élèves.
Donc non, faire les deux n'est pas possible. Je finis par apprécier les cours à distance mais j'y passe absolument tout mon temps. Je ne pourrai pas faire les deux.
Il y a d'autres façons de faire du distanciel que par des classes virtuelles.
Pour ceux qui reprendront le présentiel, il faut admettre que le travail en distanciel ne pourra pas être aussi dense et sera réduit d'autant d'heures d'investissement que d'heures passées pour le côté présentiel.
Ce n'est pas parce qu'un chef d'établissement vous a dit que vous devrez assurer les deux que vous allez devoir doubler votre temps de travail ! C'est effrayant cette dévotion.
- meevadeborahNiveau 8
Cleroli a écrit:Je prends connaissance de vos échanges : un cahier de textes en primaire indique que le travail à faire pour le lendemain, non ce qui a été fait au cours de la journée (en fait, le déroulé d'une journée de classe est assez opaque pour les parents, surtout lorsque le travail donné le soir est succinct et ne donne donc pas vraiment d'indices : on découvre ce qui a été appris grâce aux cahiers compilant les travaux, parfois en fin de période seulement). De plus, il n'est pas numérique (pas d'ENT en primaire).Bouboule a écrit:
C'est quoi un cahier de texte alors ?
Pour ma part, au collège en maths, le cahier de texte est numérique et c'est une sorte de carnet de bord : j'indique les exercices faits, mais il ne comprends aucune explication sur les-dits exercices.
- A reboursEsprit éclairé
Chez nous, le CDE est très clair, les cours seulement pour ceux qui viendront (1 semaine sur 2) en 6/5°. Aucun distanciel pour les absents, seulement le cahier de texte... Donc même si les absents sont très majoritaires, ils n'auront rien (car honnêtement un cahier de texte ne donne pas le cours...) . Et distanciel pour 4/3°. Le tout avec nos élèves habituels, sur notre emploi du temps habituel.
- frimoussette77Guide spirituel
C'est raide !A rebours a écrit:Chez nous, le CDE est très clair, les cours seulement pour ceux qui viendront (1 semaine sur 2) en 6/5°. Aucun distanciel pour les absents, seulement le cahier de texte... Donc même si les absents sont très majoritaires, ils n'auront rien (car honnêtement un cahier de texte ne donne pas le cours...) . Et distanciel pour 4/3°. Le tout avec nos élèves habituels, sur notre emploi du temps habituel.
- TangledingGrand Maître
Il y a un léger hiatus à parler de volontariat des parents sans leur en laisser le choix, non.
Si l'institution trouve intérêt à éloigner une partie des effectifs pour pouvoir gérer la reprise avec des effectifs réduits, renvoyer les exclus que l'on aura tout fait pour exclure au néant pédagogique du cahier de textes, ça ne serait pas très réglo non plus...
Wait and see.
Si l'institution trouve intérêt à éloigner une partie des effectifs pour pouvoir gérer la reprise avec des effectifs réduits, renvoyer les exclus que l'on aura tout fait pour exclure au néant pédagogique du cahier de textes, ça ne serait pas très réglo non plus...
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- CleroliDoyen
Le volume horaire hebdo de chaque matière reste inchangé ? Je pensais qu'il allait diminuer pour éviter que les élèves restent trop longtemps dans les établissements.A rebours a écrit:Chez nous, le CDE est très clair, les cours seulement pour ceux qui viendront (1 semaine sur 2) en 6/5°. Aucun distanciel pour les absents, seulement le cahier de texte... Donc même si les absents sont très majoritaires, ils n'auront rien (car honnêtement un cahier de texte ne donne pas le cours...) . Et distanciel pour 4/3°. Le tout avec nos élèves habituels, sur notre emploi du temps habituel.
- frimoussette77Guide spirituel
Oui le procédé n'est pas très honnête !Tangleding a écrit:Il y a un léger hiatus à parler de volontariat des parents sans leur en laisser le choix, non.
Si l'institution trouve intérêt à éloigner une partie des effectifs pour pouvoir gérer la reprise avec des effectifs réduits, renvoyer les exclus que l'on aura tout fait pour exclure au néant pédagogique du cahier de textes, ça ne serait pas très réglo non plus...
Wait and see.
- A reboursEsprit éclairé
Je trouve ça quand même très injuste pour ceux qui ne viendront pas, surtout que nous dépendons très majoritairement du ramassage scolaire et que pour de multiples raisons les parents peuvent avoir le droit de garder leurs enfants chez eux.
- meevadeborahNiveau 8
A rebours a écrit:Chez nous, le CDE est très clair, les cours seulement pour ceux qui viendront (1 semaine sur 2) en 6/5°. Aucun distanciel pour les absents, seulement le cahier de texte... Donc même si les absents sont très majoritaires, ils n'auront rien (car honnêtement un cahier de texte ne donne pas le cours...) . Et distanciel pour 4/3°. Le tout avec nos élèves habituels, sur notre emploi du temps habituel.
Ce qui peut paraître au moins commode pour le prof. Mais même pas forcément. Moi, j'ai des 4ème et des 5ème, 2 niveaux seulement, cette année. Etre présente sur mes heures habituelles de 5ème, si c'est pour me retrouver avec plein de trous, sans pouvoir disposer de ma salle si ce sont les profs qui bougent, sans pouvoir utiliser les ordi de la salle des profs, ne serait-ce que parce qu'il n'y en a que 2... enfin, pour dire que ça pose d'autres soucis d'organisation, quoi...
Je suis assez d'accord avec la remarque sur le soi-disant volontariat.
- A reboursEsprit éclairé
Cleroli a écrit:Le volume horaire hebdo de chaque matière reste inchangé ? Je pensais qu'il allait diminuer pour éviter que les élèves restent trop longtemps dans les établissements.A rebours a écrit:Chez nous, le CDE est très clair, les cours seulement pour ceux qui viendront (1 semaine sur 2) en 6/5°. Aucun distanciel pour les absents, seulement le cahier de texte... Donc même si les absents sont très majoritaires, ils n'auront rien (car honnêtement un cahier de texte ne donne pas le cours...) . Et distanciel pour 4/3°. Le tout avec nos élèves habituels, sur notre emploi du temps habituel.
Oui, volume horaire inchangé, sauf si les cars scolaires devaient passer plus tôt. Et comme chaque classe restera dans sa salle, les pauvres petits risquent de ne pas revenir après de telles journées sans bouger !
- anthinéaGuide spirituel
A rebours a écrit:Je trouve ça quand même très injuste pour ceux qui ne viendront pas, surtout que nous dépendons très majoritairement du ramassage scolaire et que pour de multiples raisons les parents peuvent avoir le droit de garder leurs enfants chez eux.
Pareil !
D’autant plus que ne pouvoir accueillir qu’une dizaine d’élèves, une semaine sur deux ne permet pas d’assurer une réelle continuité pédagogique.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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