- EdithWGrand sage
Clecle78 a écrit:https://www.sudouest.fr/2020/05/01/landes-comment-se-passera-la-reprise-de-l-ecole-si-le-departement-reste-en-vert-7453342-3452.php
- User17095Érudit
Je comprends pas ce qu'il dit de si effrayant.
Dans les grandes lignes, les enseignants sont 2-3 jours en présentiel et le reste du temps en distanciel... donc logiquement le contenu du distanciel est réduit d'autant.
Dans les grandes lignes, les enseignants sont 2-3 jours en présentiel et le reste du temps en distanciel... donc logiquement le contenu du distanciel est réduit d'autant.
- Clecle78Bon génie
Pas trop de surcharge, il en sait quoi ?
Le droit de retrait , il en sait quoi ?
Ce qui m'effraie c'est l'assurance avec laquelle il assène ses certitudes .
Le droit de retrait , il en sait quoi ?
Ce qui m'effraie c'est l'assurance avec laquelle il assène ses certitudes .
- KeaFidèle du forum
Clecle78 a écrit:Dans les Landes l'inspecteur d'académie estime que les profs n'auront pas trop de surcharge de travail en faisant double travail à distance et en présence ! Il déclare en outre dix jours avant qu'aucun professeur n'a fait valoir son droit de retrait . J'aurais dû poster dans j'hallucine ,non ?
Demandons à être inspectés afin que les IA se rendent vraiment compte de ce qu'est le travail à distance ! Comme s'il s'agissait juste "d'envoyer du travail"...
Quant au passage sur le droit de retrait, c'est pas faux ! Il ne pourra sans doute plus dire cela dans une dizaine de jours, donc autant en profiter pour le dire maintenant^^
- User786Niveau 5
Un cours en classe virtuelle demande une énergie folle. C'est deux fois plus crevant qu'un cours normal, ça demande une grande concentration. Il faut en outre préparer des supports tapés partagés sur l'écran avec les élèves, des corrigés tapés aussi. En classe, nous pouvons exploiter nos notes, finir les corrections avec les élèves.
Donc non, faire les deux n'est pas possible. Je finis par apprécier les cours à distance mais j'y passe absolument tout mon temps. Je ne pourrai pas faire les deux.
Donc non, faire les deux n'est pas possible. Je finis par apprécier les cours à distance mais j'y passe absolument tout mon temps. Je ne pourrai pas faire les deux.
- User17095Érudit
Ben le droit de retrait c'est un fait apparemment : "aucun n'a indiqué vouloir l'exercer"
Aucun n'en a fait part ; ça ne présume pas de l'avenir.
Et pas trop de surcharge, c'est relatif, "pas trop", mais on en parlait plus haut, beaucoup disaient que c'était faisable d'équilibrer présentiel et distanciel pourvu que le premier soit dans la suite du second, et non pas une deuxième progression à construire.
Franchement je ne vois pas en quoi son propos est plein d'assurance ou de certitudes.
Aucun n'en a fait part ; ça ne présume pas de l'avenir.
Et pas trop de surcharge, c'est relatif, "pas trop", mais on en parlait plus haut, beaucoup disaient que c'était faisable d'équilibrer présentiel et distanciel pourvu que le premier soit dans la suite du second, et non pas une deuxième progression à construire.
Franchement je ne vois pas en quoi son propos est plein d'assurance ou de certitudes.
- henrietteMédiateur
En fait je ne comprends pas comment c'est supposé fonctionner.pogonophile a écrit:Je comprends pas ce qu'il dit de si effrayant.
Dans les grandes lignes, les enseignants sont 2-3 jours en présentiel et le reste du temps en distanciel... donc logiquement le contenu du distanciel est réduit d'autant.
Ce que tu sembles dire sous-entend qu'on table d'office sur la moitié des élèves qui ne reprendront pas du tout l'école, alors. L'enseignant vient 2 jours avec ce groupe de 15 élèves, puis reste chez lui les deux autres pour faire du distanciel avec les autres.
A moins que ce ne soit un jour un groupe, le lendemain l'autre, et tout le monde à la maison en distanciel les deux derniers jours de la semaine - mais alors cette réouverture des écoles pour un jour par élève, à quoi cela rimerait-il ?
_________________
"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- KeaFidèle du forum
Plus haut, il me semble qu'il était question d'un distanciel qui complétait les cours en présentiel, pour les mêmes élèves.pogonophile a écrit:Et pas trop de surcharge, c'est relatif, "pas trop", mais on en parlait plus haut, beaucoup disaient que c'était faisable d'équilibrer présentiel et distanciel pourvu que le premier soit dans la suite du second, et non pas une deuxième progression à construire.
Dans l'article relayé par Clecle78, il s'agirait d'un distanciel destiné aux élèves qui ne viennent pas du tout en classe. La progression des deux groupes serait donc bien différente, à moins de faire en classe un accompagnement de ce qui a été donné à distance à l'ensemble des élèves.
- User17095Érudit
henriette a écrit:En fait je ne comprends pas comment c'est supposé fonctionner.pogonophile a écrit:Je comprends pas ce qu'il dit de si effrayant.
Dans les grandes lignes, les enseignants sont 2-3 jours en présentiel et le reste du temps en distanciel... donc logiquement le contenu du distanciel est réduit d'autant.
Ce que tu sembles dire sous-entend qu'on table d'office sur la moitié des élèves qui ne reprendront pas du tout l'école, alors. L'enseignant vient 2 jours avec ce groupe de 15 élèves, puis reste chez lui les deux autres pour faire du distanciel avec les autres.
A moins que ce ne soit un jour un groupe, le lendemain l'autre, et tout le monde à la maison en distanciel les deux derniers jours de la semaine - mais alors cette réouverture des écoles pour un jour par élève, à quoi cela rimerait-il ?
Tout dépend effectivement de ce qu'on se représente.
Si tu as un groupe A le lundi que tu fais travailler en classe, tout en donnant du travail à distance au groupe B, que tu verras le lendemain avec un troisième travail, et un quatrième pour le A, effectivement c'est intenable.
En revanche, si tu donnes des éléments de cours à distance à toute la classe, et que tu fais faire des exercices en classe à un groupe, puis l'autre, là c'est une toute autre histoire.
Il me semblait que cette deuxième version allait un peu de soi. Quoi qu'il en soit, c'est une organisation qui va se mettre en place au niveau des établissements, donc à chaque conseil pédagogique de voir ce qui est pertinent et faisable.
- RouletabilleNiveau 9
Interview de JM Blanquer dans Le Figaro :
Pas grand chose à retenir de cette communication :
... et un pic pour la communauté enseignante et des pistes d'inquiétude :
Jean-Michel Blanquer: «La majorité des écoles rouvrira partout sur le territoire»
GRAND ENTRETIEN - Le ministre de l’Éducation nationale explique au Figaro son plan de déconfinement scolaire, à partir du 11 mai.
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/politique/jean-michel-blanquer-nous-sommes-en-train-d-inventer-un-systeme-20200501
Pas grand chose à retenir de cette communication :
Nous savons que les CP et CE1 en REP et REP+, soit 300.000 enfants, vont pouvoir rouvrir très vite, car les classes sont de douze élèves. Nous avons aussi de petites classes de moins de 15 élèves en milieu rural qui comptent 60.000 enfants. On a prévu beaucoup de souplesse locale pour que chaque école puisse régler son flux d’élèves en fonction des réalités locales. Je pense que la majorité des écoles rouvrira partout sur le territoire ainsi que la majorité des collèges en zone verte.
... et un pic pour la communauté enseignante et des pistes d'inquiétude :
La rentrée de septembre sera forcément différente de celles que nous avons connues par le passé. On a deux scénarios. Soit le virus n’est plus là et l’on tirera les conséquences de ce qui s’est passé, avec parfois des acquis, sur le progrès des usages numériques, les parcours plus personnalisés et la nécessité de renforcer les élèves qui ont pris du retard. Soit le virus est encore là et nous devrons continuer à travailler de manière particulière. Je suis certain, d’ailleurs, que dans la période mai-juin, on va avoir dans certains endroits de très bonnes pratiques.
- Clecle78Bon génie
Il joue sur les mots , c'est ça qui me choque . Il essaie de rassurer à bon compte les parents sans dire la vérité. A quel moment les profs auraient ils pu faire acte de ce droit ? Quant au travail de quel droit se permet on d'en préjuger quand on n'enseigne pas soi même ?
- meevadeborahNiveau 8
pogonophile a écrit:Ben le droit de retrait c'est un fait apparemment : "aucun n'a indiqué vouloir l'exercer"
Aucun n'en a fait part ; ça ne présume pas de l'avenir.
Et pas trop de surcharge, c'est relatif, "pas trop", mais on en parlait plus haut, beaucoup disaient que c'était faisable d'équilibrer présentiel et distanciel pourvu que le premier soit dans la suite du second, et non pas une deuxième progression à construire.
Franchement je ne vois pas en quoi son propos est plein d'assurance ou de certitudes.
Je ne suis pas sûre de comprendre, quand il est dit que les enfants seront accueillis 2 ou 3 jours par semaine, à tour de rôle. Moi je comprends par exemple une "moitié" de classe deux jours, l'autre moitié deux jours. Dans ce cas, je ne vois quel temps il reste pour faire des cours à distance pour un prof des écoles.
En collège, c'est plus facilement "jouable". Parce que, mettons que l'on me demande de faire mes 20h devant élèves. Bon, ça me demande quelques préparations, mais moins qu'en temps normal parce que je soupçonne qu'on avancera moins vite qu'en temps normal. Je pars du principe que je n'ai aucune copie. Je pars du principe que je n'ai pas à faire de la gestion de classe. Je peux donc consacrer un temps de préparation à "envoyer" des documents pour du travail à distance (mais peu quand même). Bon, moi je n'ai pas fait de toute façon de classe virtuelle ou ce genre de chose. J'ai très peu demandé de retours de la part des élèves parce qu'en maths, tout me semble compliqué à demander.
Cela dit, à mon avis, il faudrait quand même réduire le temps de présence en établissement (faisable pour moi car j'avais 2h de co-intervention, alors dans ces conditions, ça n'a pas beaucoup d'intérêt), parce que niveau stress, c'est prenant aussi, je ne crois pas que je serai capable de faire autant que d'habitude en temps (avec plus de choses à gérer niveau personnel).
- GlaskassaNiveau 6
Pour ma part, j'ai deux classes de 6ème, une de 4ème et une de 3ème, j'enseigne le français. Je vais reprendre le 18/05, et assurer distanciel/présentiel ne me pose pas de souci en terme de temps de travail.
En revanche, mes amis qui enseignent en lycée ne pourront faire les deux (s'ils reprennent). Le distanciel est chronophage.
Je plains avant tout les instituteurs, qui vont devoir, je ne sais comment, gérer des enfants.
En revanche, mes amis qui enseignent en lycée ne pourront faire les deux (s'ils reprennent). Le distanciel est chronophage.
Je plains avant tout les instituteurs, qui vont devoir, je ne sais comment, gérer des enfants.
- RouletabilleNiveau 9
C'est effectivement ce qui a l'air de se dessiner un peu partout au niveau Rectorat et proposition des établissements aux équipes.pogonophile a écrit: En revanche, si tu donnes des éléments de cours à distance à toute la classe, et que tu fais faire des exercices en classe à un groupe, puis l'autre, là c'est une toute autre histoire.
Il me semblait que cette deuxième version allait un peu de soi. Quoi qu'il en soit, c'est une organisation qui va se mettre en place au niveau des établissements, donc à chaque conseil pédagogique de voir ce qui est pertinent et faisable.
La seule interrogation semble de savoir si les élèves qui viennent au collège (6e, 5e) viennent tout le temps... On sent que beaucoup de CDE espèrent que ça sera le cas (sans doute pour ne rien changer aux emplois du temps) vu la faible remontée positive des parents pour envoyer leurs enfants en classe (ça tourne autour de 25% chez moi pour des effectifs classe de 30 en 6e et de 25/27 en 5e)...
- User17095Érudit
Clecle78 a écrit:Il joue sur les mots , c'est ça qui me choque . Il essaie de rassurer a bon compte les parents sans dire la vérité. A quel moment les profs auraient ils pu faire acte de ce droit ? Quant au travail de quel droit se permet on d'en préjuger quand on n'enseigne pas soi même ?
Enfin Luc Pham (qui a laissé un excellent souvenir à tout Paris, en passant) représente l'Education sur le département, donc il est censé avoir la légitimité pour parler de nos métiers au grand public. "De quel droit", ben de sa position en fait.
Un journaliste lui demande comment ça va se passer, il répond de façon rassurante, c'est son rôle.
Pas de quoi crier au loup, à ce stade.
Rouletabille a écrit:C'est effectivement ce qui a l'air de se dessiner un peu partout au niveau Rectorat et proposition des établissements aux équipes.pogonophile a écrit: En revanche, si tu donnes des éléments de cours à distance à toute la classe, et que tu fais faire des exercices en classe à un groupe, puis l'autre, là c'est une toute autre histoire.
Il me semblait que cette deuxième version allait un peu de soi. Quoi qu'il en soit, c'est une organisation qui va se mettre en place au niveau des établissements, donc à chaque conseil pédagogique de voir ce qui est pertinent et faisable.
La seule interrogation semble de savoir si les élèves qui viennent au collège (6e, 5e) viennent tout le temps... On sent que beaucoup de CDE espèrent que ça sera le cas (sans doute pour ne rien changer aux emplois du temps) vu la faible remontée positive des parents pour envoyer leurs enfants en classe (ça tourne autour de 25% chez moi pour des effectifs classe de 30 en 6e et de 25/27 en 5e)...
Mais de toute façon on ne peut faire qu'un accueil partiel : impossible d'avoir le taux d'encadrement et les distances attendues en fonctionnant en effectif complet - et d'autant plus qu'il y a des enseignants à risque qui ne peuvent pas venir.
- ainahFidèle du forum
Je suis étonnée de voir vos messages concernant le travail à distance et en présence. Dans sa vidéo "réponse aux questions de parents" du jour, M. Blanquer a affirmé qu'un enseignant serait soit à l'école à la semaine, soit à la maison en télétravail pour assurer des cours à distance. En aucun cas les deux à la fois.
- DanskaProphète
meevadeborah a écrit:Cela dit, à mon avis, il faudrait quand même réduire le temps de présence en établissement (faisable pour moi car j'avais 2h de co-intervention, alors dans ces conditions, ça n'a pas beaucoup d'intérêt), parce que niveau stress, c'est prenant aussi, je ne crois pas que je serai capable de faire autant que d'habitude en temps (avec plus de choses à gérer niveau personnel).
Ne pas oublier non plus qu'une proportion non négligeable d'enseignants travaille loin de son domicile : si on doit rajouter une heure et demie ou deux heures de déplacement pour chaque jour de cours, ça réduit d'autant le temps passer à préparer ou corriger des cours à distance.
- nonorenoNiveau 9
Nostalgia a écrit:Un cours en classe virtuelle demande une énergie folle.
Pas vrai de mon point de vue. Ma dernière session d'hier, je l'ai faite pendant 2 heures avec 41 élèves connectés, ça s'est passé sans stress. Un cours "réel" demande bien plus d'énergie. Tous les élèves coupent leur micro évidemment, je n'ai pas à leur dire. On discute uniquement par chat.
- User786Niveau 5
Si nous reprenons en juin, si nous avons une 1ère et si cet oral de français est maintenu, nous devons assurer les cours au lycée mais nous ne pouvons pas priver les élèves de cours à dstance. Ni demander à un collègue de les assurer à notre place.
- User786Niveau 5
Mes élèves sont adorables et très disciplinés mais je trouve ces classes virtuelles épuisantes. Surtout au lycée, c'est très dense. C'est nettement plus léger au collège. J'ai des élèves de collège et de lycée, la différence d'énergie est flagrante, pour moi.
- Clecle78Bon génie
Visiblement tu connais et apprécies ce monsieur . Pour ma part tes arguments d'autorité ne me convainquent absolument pas . Il prétend qu'aucun professeur n'a fait jouer son droit de retrait mais nous n'y sommes pas encore donc c'est jouer sur les mots et pour la charge de travail il n'en sait factuellement rien . Être porte parole ne signifie pas plier la réalité a notre vision du monde . Quand les collègues concernés me diront que ces paroles représentent la réalité nous serons d'accord, pour l'instant j'en doute si cela m'est permis .
- nonorenoNiveau 9
Nostalgia a écrit:Mes élèves sont adorables et très disciplinés mais je trouve ces classes virtuelles épuisantes. Surtout au lycée, c'est très dense. C'est nettement plus léger au collège.
Je parle de deux classes de TS. Pour ma part, quasiment de pas préparation préalable, je suis en mode semi-automatique.
- User17095Érudit
Clecle78 a écrit:Visiblement tu connais et apprécies ce monsieur . Pour ma part tes arguments d'autorité ne me convainquent absolument pas . Il prétend qu'aucun professeur n'a fait jouer son droit de retrait mais nous n'y sommes pas encore donc c'est jouer sur les mots et pour la charge de travail il n'en sait factuellement rien . Être porte parole ne signifie pas plier la réalité a notre vision du monde . Quand les collègues concernés me diront que ces paroles représentent la réalité nous serons d'accord, pour l'instant j'en doute si cela m'est permis .
Je regrette il ne joue pas sur les mots, il énonce un fait : personne ne s'est déclaré. C'est un fait, qu'il énonce.
Que veux-tu qu'il dise ? "Ah mais comme des syndicats évoquent un droit de retrait qui n'est pas applicable en l'état, j'imagine sans peine que 40 à 60% des enseignants seront absents" ?
Et il peut qualifier la charge de travail parce qu'il connaît les métiers. Il faut se départir un instant de ce réflexe, "moi seul sais ce que nous vivons". Cela fait un mois et demi que les témoignages de tous affluent, on a une idée très claire de ce que font les enseignants et de ce que représente cette façon de travailler.
- User786Niveau 5
Bravo, Nonoreno, tu es douée. Pour ma part, je fais un cours normal, les élèves ne communiquent pas par chat mais demandent la parole pour poser leurs questions. Ils participent à la construction du cours, l'échange oral est constant. J'apprécie les classes virtuelles mais elles m'épuisent.
- kensingtonEsprit éclairé
Kea a écrit:Plus haut, il me semble qu'il était question d'un distanciel qui complétait les cours en présentiel, pour les mêmes élèves.pogonophile a écrit:Et pas trop de surcharge, c'est relatif, "pas trop", mais on en parlait plus haut, beaucoup disaient que c'était faisable d'équilibrer présentiel et distanciel pourvu que le premier soit dans la suite du second, et non pas une deuxième progression à construire.
Dans l'article relayé par Clecle78, il s'agirait d'un distanciel destiné aux élèves qui ne viennent pas du tout en classe. La progression des deux groupes serait donc bien différente, à moins de faire en classe un accompagnement de ce qui a été donné à distance à l'ensemble des élèves.
C'est ce qui semble le plus pratique et le plus efficace, non?
- henrietteMédiateur
Sait-on si le calendrier pour l'orientation des 3e a bougé et si on pourra faire les conseils de classe pour ce niveau un peu plus tardivement que d'habitude ?
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