- User17095Érudit
Au contraire, on parle de l'Academie de Paris, où le mot d'ordre est depuis toujours "écrivez le moins possible, parce que chaque virgule peut vous être reprochée"
La preuve...
La preuve...
- EdithWGrand sage
Réunion au collège de mes filles (futur collège de mon conjoint aussi) : très impressionnant. Déjà, le dispositif : salle polyvalente, tables séparées, masque, gel, gants à disposition et aussi café et croissants (avec pince). 4 profs, 3 parents, 2 AESH, maire, élue du département, cuisinier, infirmière, gestionnaire, pers de ménage...
La CDE a commencé par dire qu'on devait traiter les personnels avec le même souci que le reste de la population, (ce qui ne va pas de soi : en cas d'intempéries, tout le monde reste chez soi, mais l'école reste ouverte, comme si les profs et administratifs ou gens du service n'étaient pas touchés comme tout le monde).
Elle a synthétisé les remontées, peurs, attentes, etc. On s'est tous mis d'accord sur le fait que la santé mentale des enfants (et de leurs parents) était en jeu et que c'était ça principalement qui justifiait POUR LA COMMUNAUTE EDUCATIVE une réouverture (éventuelle).
Elle a parlé vraiment cash, en s'avançant jusqu'à dire que la com du gouvernement avait été nulle, que "garder les enfants" aurait été compréhensible et acceptable, mais que le "social" était un prétexte ridicule, preuve en est l'idée de ne pas rouvrir les internats, alors que ce sont souvent les internes les plus "éloignés" de l'école, aux deux sens du terme, et que les réformes récentes ont contribué, encore davantage que le coronavirus, à affaiblir l'Ecole... Elle a parlé d'incohérence, de culpabilisation, s'est dite mortifiée que l'école soit considérée comme une garderie. elle refuse d'envisager que les enseignants aient double travail, soit ils sont en classe, soit ils sont à la maison, mais on ne leur demandera pas d'assurer les deux. "L'école n'est pas là pour absorber les difficultés économiques du pays". Elle a dit refuser de refaire les EDT pour 3 semaines effectives de classe (si on part sur des demi-classes). Après beaucoup d'échanges très constructifs, on est arrivés à l'idée de reprendre TOUS les élèves (qui seront là), sans "choisir" ou désigner, en demi-classes (classe de 28 maxi dans ce collège), en alternant groupe 1/groupe 2. Les élèves resteront dans la même salle, les profs qui seront là (en enlevant les fragiles, ceux qui ont des enfants à garder...), se succèderont plus ou moins sur les EDT habituels, mais sur le mode "devoirs faits", en ayant envoyé les mêmes contenus à ceux qui restent à la maison cette semaine là. Si le prof de la matière n'est pas là, un autre peut superviser le travail des 15 élèves. Décision d'envoyer plus régulièrement les devoirs, le matin, toujours le même jour pour la semaine. Le collège envoie systématiquement en doc papier par la poste tout le travail à ceux qui sont mal ou pas connectés et aussi à ceux qui ne répondent pas, soit 38 élèves en tout (sur 380). Rappel sur le fait qu'on ne peut absolument pas présumer de la réaction d'un élève. Un handicapé, anxieux, va être rassuré chez lui, contrairement à ce qui était envisageable, alors qu'un élève sans souci met sa famille au bord de l'implosion. Elle a remarqué que depuis lundi les difficultés s'accumulent dans les familles, certaines lui ont dit être au bord de la crise, du divorce etc et elle a proposé de passer un contrat avec les enfants, travailler 2 ou 3h par jour et lâcher sur le reste, le bien être étant la priorité.
Il y a eu des infos sur les cars scolaires (pas encore de "doctrine", pas de visibilité, on s'oriente vers masque obligatoire), et une intervention du cuisinier qui a expliqué pour combien et comment il pouvait ouvrir, si tant est qu'il n'y ait pas trop de personnel absent (dont lui, avec deux enfants en primaire). Le département fait fabriquer en ce moment des masques pour tout le monde, par des couturières bénévoles, avec du tissu homologué "armée" tissé sur place et les mairies seront chargées d'en distribuer un à chaque habitant. Les profs de techno du département ont aussi préparé des visières en plexi pour tous les personnels des lycées, collèges et écoles.
La CDE a fini en disant que rien n'était encore fait, que les syndicats seraient possiblement à l'initiative d'un droit de retrait, qui pourrait être légitime, si la "doctrine" était insuffisante pour garantir la sécurité de tous, et qu'à son avis, les mesure sanitaires seraient identiques dans toute la France, donc à minima pour les écoles.
Voilà, une tartine un peu longue, mais ça donne des pistes concrètes!
La CDE a commencé par dire qu'on devait traiter les personnels avec le même souci que le reste de la population, (ce qui ne va pas de soi : en cas d'intempéries, tout le monde reste chez soi, mais l'école reste ouverte, comme si les profs et administratifs ou gens du service n'étaient pas touchés comme tout le monde).
Elle a synthétisé les remontées, peurs, attentes, etc. On s'est tous mis d'accord sur le fait que la santé mentale des enfants (et de leurs parents) était en jeu et que c'était ça principalement qui justifiait POUR LA COMMUNAUTE EDUCATIVE une réouverture (éventuelle).
Elle a parlé vraiment cash, en s'avançant jusqu'à dire que la com du gouvernement avait été nulle, que "garder les enfants" aurait été compréhensible et acceptable, mais que le "social" était un prétexte ridicule, preuve en est l'idée de ne pas rouvrir les internats, alors que ce sont souvent les internes les plus "éloignés" de l'école, aux deux sens du terme, et que les réformes récentes ont contribué, encore davantage que le coronavirus, à affaiblir l'Ecole... Elle a parlé d'incohérence, de culpabilisation, s'est dite mortifiée que l'école soit considérée comme une garderie. elle refuse d'envisager que les enseignants aient double travail, soit ils sont en classe, soit ils sont à la maison, mais on ne leur demandera pas d'assurer les deux. "L'école n'est pas là pour absorber les difficultés économiques du pays". Elle a dit refuser de refaire les EDT pour 3 semaines effectives de classe (si on part sur des demi-classes). Après beaucoup d'échanges très constructifs, on est arrivés à l'idée de reprendre TOUS les élèves (qui seront là), sans "choisir" ou désigner, en demi-classes (classe de 28 maxi dans ce collège), en alternant groupe 1/groupe 2. Les élèves resteront dans la même salle, les profs qui seront là (en enlevant les fragiles, ceux qui ont des enfants à garder...), se succèderont plus ou moins sur les EDT habituels, mais sur le mode "devoirs faits", en ayant envoyé les mêmes contenus à ceux qui restent à la maison cette semaine là. Si le prof de la matière n'est pas là, un autre peut superviser le travail des 15 élèves. Décision d'envoyer plus régulièrement les devoirs, le matin, toujours le même jour pour la semaine. Le collège envoie systématiquement en doc papier par la poste tout le travail à ceux qui sont mal ou pas connectés et aussi à ceux qui ne répondent pas, soit 38 élèves en tout (sur 380). Rappel sur le fait qu'on ne peut absolument pas présumer de la réaction d'un élève. Un handicapé, anxieux, va être rassuré chez lui, contrairement à ce qui était envisageable, alors qu'un élève sans souci met sa famille au bord de l'implosion. Elle a remarqué que depuis lundi les difficultés s'accumulent dans les familles, certaines lui ont dit être au bord de la crise, du divorce etc et elle a proposé de passer un contrat avec les enfants, travailler 2 ou 3h par jour et lâcher sur le reste, le bien être étant la priorité.
Il y a eu des infos sur les cars scolaires (pas encore de "doctrine", pas de visibilité, on s'oriente vers masque obligatoire), et une intervention du cuisinier qui a expliqué pour combien et comment il pouvait ouvrir, si tant est qu'il n'y ait pas trop de personnel absent (dont lui, avec deux enfants en primaire). Le département fait fabriquer en ce moment des masques pour tout le monde, par des couturières bénévoles, avec du tissu homologué "armée" tissé sur place et les mairies seront chargées d'en distribuer un à chaque habitant. Les profs de techno du département ont aussi préparé des visières en plexi pour tous les personnels des lycées, collèges et écoles.
La CDE a fini en disant que rien n'était encore fait, que les syndicats seraient possiblement à l'initiative d'un droit de retrait, qui pourrait être légitime, si la "doctrine" était insuffisante pour garantir la sécurité de tous, et qu'à son avis, les mesure sanitaires seraient identiques dans toute la France, donc à minima pour les écoles.
Voilà, une tartine un peu longue, mais ça donne des pistes concrètes!
- TangledingGrand Maître
Le communiqué du SNES-Fsu publié hier est plutôt bien, je trouve :
https://www.snes.edu/Pas-de-reprise-a-partir-du-11-mai-sans-garanties-sanitaires.html
Je souligne/mets en gras les passages que j'ai trouvés particulièrement pertinents :
https://www.snes.edu/Pas-de-reprise-a-partir-du-11-mai-sans-garanties-sanitaires.html
Je souligne/mets en gras les passages que j'ai trouvés particulièrement pertinents :
- Communiqué complet du SNES-Fsu (mardi 21 avril):
Pas de reprise à partir du 11 mai sans garanties sanitaires !
mardi 21 avril 2020
L’annonce impromptue du Président de la république d’une réouverture des écoles et établissements scolaires le 11 mai a suscité de nombreuses réactions d’inquiétude des familles, des personnels de l’Éducation nationale et un avis critique des autorités médicales alertant sur le risque d’une nouvelle propagation massive du virus. L’inquiétude des personnels est loin d’être levée par les annonces du ministre de l’Éducation nationale devant les députés. Quant à la concertation dont il se vante celle-ci était à peine amorcée. Même en temps de crise, rien ne change avec ce Ministère !
Sans attendre la réunion du CHSCT, il donne un calendrier précis de reprise ainsi qu’une organisation pédagogique en dehors de toute considération sanitaire. Pour le SNES-FSU, L’objectif prioritaire de « maîtrise de la circulation du virus » doit être la sécurité sanitaire de toute la population.
Pour le SNES-FSU, Quelle que soit la date de reprise, aucune rentrée n’est possible tant que l’assurance ne sera pas donnée que des consignes impératives aient été émises dans le cadre d’un protocole national et toutes les conditions réunies. À défaut, non seulement on mettrait en danger personnels et élèves, mais toute la société. Une véritable consultation des organisations syndicales est donc nécessaire.
La réouverture des établissements du second degré pose une multitude de problèmes d’organisation pour assurer la sécurité sanitaire : transports scolaires ou collectifs, cantines, couloirs, abords de l’établissement, cour de récréation… Les objectifs pédagogiques demandent aussi à être précisés. L’annonce du ministre d’un accueil des élèves par groupe de 15 suppose une réflexion sur les emplois du temps, l’articulation enseignement présentiel / à distance… Les enseignants ne peuvent assurer dans le même temps cours en présentiel et à distance.
Des équipes pluri professionnelles devront être associées aux différentes décisions, la réunion des CHS est indispensable.
Aucune ouverture ne se fera dans un établissement en cas d’évaluation des risques débouchant sur la possible mise en danger des personnels et élèves.
Ceux des personnels en situation fragile vis-à-vis du virus doivent pouvoir continuer leur exercice à distance.
Enfin la réouverture des écoles ne réglera pas le problème des inégalités qui ont été mises en lumière durant le confinement et il serait inconcevable que le gouvernement ne revienne pas sur les suppressions de postes prévues dans le second degré, un second degré qui plus est qui accueille davantage d’élèves à la rentrée 2020. Nous avons besoin de conditions d’apprentissage diversifiées pour chercher à compenser les inégalités persistantes et qui se sont creusées durant le confinement. Le SNES-FSU exige un collectif budgétaire en ce sens.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- chmarmottineGuide spirituel
EdithW a écrit:Réunion au collège de mes filles (futur collège de mon conjoint aussi) : très impressionnant. Déjà, le dispositif : salle polyvalente, tables séparées, masque, gel, gants à disposition et aussi café et croissants (avec pince). 4 profs, 3 parents, 2 AESH, maire, élue du département, cuisinier, infirmière, gestionnaire, pers de ménage...
La CDE a commencé par dire qu'on devait traiter les personnels avec le même souci que le reste de la population, (ce qui ne va pas de soi : en cas d'intempéries, tout le monde reste chez soi, mais l'école reste ouverte, comme si les profs et administratifs ou gens du service n'étaient pas touchés comme tout le monde).
Elle a synthétisé les remontées, peurs, attentes, etc. On s'est tous mis d'accord sur le fait que la santé mentale des enfants (et de leurs parents) était en jeu et que c'était ça principalement qui justifiait POUR LA COMMUNAUTE EDUCATIVE une réouverture (éventuelle).
Elle a parlé vraiment cash, en s'avançant jusqu'à dire que la com du gouvernement avait été nulle, que "garder les enfants" aurait été compréhensible et acceptable, mais que le "social" était un prétexte ridicule, preuve en est l'idée de ne pas rouvrir les internats, alors que ce sont souvent les internes les plus "éloignés" de l'école, aux deux sens du terme, et que les réformes récentes ont contribué, encore davantage que le coronavirus, à affaiblir l'Ecole... Elle a parlé d'incohérence, de culpabilisation, s'est dite mortifiée que l'école soit considérée comme une garderie. elle refuse d'envisager que les enseignants aient double travail, soit ils sont en classe, soit ils sont à la maison, mais on ne leur demandera pas d'assurer les deux. "L'école n'est pas là pour absorber les difficultés économiques du pays". Elle a dit refuser de refaire les EDT pour 3 semaines effectives de classe (si on part sur des demi-classes). Après beaucoup d'échanges très constructifs, on est arrivés à l'idée de reprendre TOUS les élèves (qui seront là), sans "choisir" ou désigner, en demi-classes (classe de 28 maxi dans ce collège), en alternant groupe 1/groupe 2. Les élèves resteront dans la même salle, les profs qui seront là (en enlevant les fragiles, ceux qui ont des enfants à garder...), se succèderont plus ou moins sur les EDT habituels, mais sur le mode "devoirs faits", en ayant envoyé les mêmes contenus à ceux qui restent à la maison cette semaine là. Si le prof de la matière n'est pas là, un autre peut superviser le travail des 15 élèves. Décision d'envoyer plus régulièrement les devoirs, le matin, toujours le même jour pour la semaine. Le collège envoie systématiquement en doc papier par la poste tout le travail à ceux qui sont mal ou pas connectés et aussi à ceux qui ne répondent pas, soit 38 élèves en tout (sur 380). Rappel sur le fait qu'on ne peut absolument pas présumer de la réaction d'un élève. Un handicapé, anxieux, va être rassuré chez lui, contrairement à ce qui était envisageable, alors qu'un élève sans souci met sa famille au bord de l'implosion. Elle a remarqué que depuis lundi les difficultés s'accumulent dans les familles, certaines lui ont dit être au bord de la crise, du divorce etc et elle a proposé de passer un contrat avec les enfants, travailler 2 ou 3h par jour et lâcher sur le reste, le bien être étant la priorité.
Il y a eu des infos sur les cars scolaires (pas encore de "doctrine", pas de visibilité, on s'oriente vers masque obligatoire), et une intervention du cuisinier qui a expliqué pour combien et comment il pouvait ouvrir, si tant est qu'il n'y ait pas trop de personnel absent (dont lui, avec deux enfants en primaire). Le département fait fabriquer en ce moment des masques pour tout le monde, par des couturières bénévoles, avec du tissu homologué "armée" tissé sur place et les mairies seront chargées d'en distribuer un à chaque habitant. Les profs de techno du département ont aussi préparé des visières en plexi pour tous les personnels des lycées, collèges et écoles.
La CDE a fini en disant que rien n'était encore fait, que les syndicats seraient possiblement à l'initiative d'un droit de retrait, qui pourrait être légitime, si la "doctrine" était insuffisante pour garantir la sécurité de tous, et qu'à son avis, les mesure sanitaires seraient identiques dans toute la France, donc à minima pour les écoles.
Voilà, une tartine un peu longue, mais ça donne des pistes concrètes!
Merci pour ce retour !
- EdithWGrand sage
De rien! ça a duré trois heures, faut bien que j'amortisse
La CDE est une ancienne prof des écoles (25 ans de carrière), et elle a à la fois de la fermeté (conseils de disciplines quand il faut) et une immense bienveillance. Je suis jalouse, quand je vois ma chef à moi [modéré]
La CDE est une ancienne prof des écoles (25 ans de carrière), et elle a à la fois de la fermeté (conseils de disciplines quand il faut) et une immense bienveillance. Je suis jalouse, quand je vois ma chef à moi [modéré]
- Dame TartineNeoprof expérimenté
Chapeau bas à cette dame.
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J'peux pas, j'ai piscine !
- User9397Niveau 9
Pour la question de "devoirs faits", désolé mais pour moi c'est hors de question : je ne suis pas calé pour aider les élèves dans certaines disciplines si les enseignants ne sont pas dans l'établissement pour garde d'enfants ou pour les collègues fragiles. Si j'enseigne une discipline, c'est pour ne faire que cette discipline.
Donc l'idée de ne pas refaire les emplois du temps se comprend totalement mais obliger à tous un dispositif "devoirs faits" c'est non.
Donc l'idée de ne pas refaire les emplois du temps se comprend totalement mais obliger à tous un dispositif "devoirs faits" c'est non.
- bigbillbroonzyNiveau 5
historien14 a écrit:Pour la question de "devoirs faits", désolé mais pour moi c'est hors de question : je ne suis pas calé pour aider les élèves dans certaines disciplines si les enseignants ne sont pas dans l'établissement pour garde d'enfants ou pour les collègues fragiles. Si j'enseigne une discipline, c'est pour ne faire que cette discipline.
Donc l'idée de ne pas refaire les emplois du temps se comprend totalement mais obliger à tous un dispositif "devoirs faits" c'est non.
Il y en vraiment sur ce fil qui disent non à tout. Elle au moins elle fait une proposition ....
- User9397Niveau 9
bigbillbroonzy a écrit:historien14 a écrit:Pour la question de "devoirs faits", désolé mais pour moi c'est hors de question : je ne suis pas calé pour aider les élèves dans certaines disciplines si les enseignants ne sont pas dans l'établissement pour garde d'enfants ou pour les collègues fragiles. Si j'enseigne une discipline, c'est pour ne faire que cette discipline.
Donc l'idée de ne pas refaire les emplois du temps se comprend totalement mais obliger à tous un dispositif "devoirs faits" c'est non.
Il y en vraiment sur ce fil qui disent non à tout. Elle au moins elle fait une proposition ....
C'est vrai que sur ce fil beaucoup disent non à tout et râlent pour rien... D'autres encore appellent déjà à la grève et valident tous les communiqués creux des syndicats.
A l'inverse, des propositions ont été faites sur ce fil
- henrietteMédiateur
J'ai du mal à saisir l'intérêt de cette remarque...bigbillbroonzy a écrit:historien14 a écrit:Pour la question de "devoirs faits", désolé mais pour moi c'est hors de question : je ne suis pas calé pour aider les élèves dans certaines disciplines si les enseignants ne sont pas dans l'établissement pour garde d'enfants ou pour les collègues fragiles. Si j'enseigne une discipline, c'est pour ne faire que cette discipline.
Donc l'idée de ne pas refaire les emplois du temps se comprend totalement mais obliger à tous un dispositif "devoirs faits" c'est non.
Il y en vraiment sur ce fil qui disent non à tout. Elle au moins elle fait une proposition ....
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- chmarmottineGuide spirituel
Sur LCI : Le professeur Bruno Lina confirme que la transmission est forte par les enfants à partir de 14/15 ans. Je mets l'extrait dès que possible.
édit : je précise que le virologue Bruno Lina est membre du conseil scientifique.
édit : je précise que le virologue Bruno Lina est membre du conseil scientifique.
- amourExpert
Marxou a écrit:Je ne comprends pas cette "stratégie" du gouvernement. Si c'est l'argument économique qui motive cette décision , il aurait fallu dire clairement qu'il fallait mettre en place une garderie, avec une mise en place faisable, avec profs volontaires, etc..plutôt que cette rentrée absolument ingérable. De toute façon, comme quelqu'un l'a dit plus haut, il y a probablement assez peu d'actifs concernés par la nécessité de garde des enfants. Et il aurait fallu permettre aux bars, resto de réouvrir peu à peu avec toutes les précautions d'usage...
Là, ce à quoi on peut s'attendre, c'est à un rebond massif de l'épidémie avant l'été, ce qui obligera à nous reconfiner pendant l'été: ingérable et explosif!
J'ai effectivement été surprise ici de l'argument économique de @beaverforever. Et du calendrier de réouverture des restaurants si c'est bien l'économie française que l'on nous demande de servir. Et la garderie partielle ne permettra rien, on est tombés d'accord là dessus.
Donc je me questionne
Economie = on aidera pas vraiment:
Violences faites aux enfants? (travail de l'ASE, de toutes façons les internats seront fermés).
Coût des repas= les cantines ne pourront pas ouvrir.
Examens= égalité des chances encore plus faussée que d'ordinaire selon les dates de vacances et les blancs effectués ou pas.
Contenu pédagogique= nombre de matière ne pourront être enseignées sans PC et donc sans risque sanitaire.
Différenciations régionales= ça dépend de l'architecte à l'époque, ou de la vétusté des locaux, des fenêtres, etc..
Immunité collective= aucune assurance qu'elle existera
Alors je pose la question très sérieusement, et je me trouve dans un tel désarroi après avoir suivi les pages de ce fil que je ne sais plus quoi en penser: exceptée l'idée de redonner aux citoyens un semblant de "vie normale" à coups d'emploi du temps et de cars scolaires, de les habituer par leurs enfants aux gestes barrières, de les éduquer par leurs enfants en quelque sorte, à quoi va servir de jouer leurs vies et les nôtres à la roulette russe au joli mois de Mai?
- KagomeHabitué du forum
Mais personne ne demandera ou s'attendra à ce que le prof d'HG fournisse une aide aussi complète en math par exp que celle du prof de maths. Franchement, un peu de bon sens.historien14 a écrit:Pour la question de "devoirs faits", désolé mais pour moi c'est hors de question : je ne suis pas calé pour aider les élèves dans certaines disciplines si les enseignants ne sont pas dans l'établissement pour garde d'enfants ou pour les collègues fragiles. Si j'enseigne une discipline, c'est pour ne faire que cette discipline.
Donc l'idée de ne pas refaire les emplois du temps se comprend totalement mais obliger à tous un dispositif "devoirs faits" c'est non.
D'une manière générale, je pense qu'il faut aborder la chose comme adulte - repère / citoyen plus que prof de telle ou telle matière.
Après qu'on appelle un chat un chat : qu'on le dise clairement que cela sera de la garderie. Ce n'est pas la honte hin, situation exceptionnelle.
Qu'on donne aussi les moyens aux services sociaux pour faire le VRAI travail social évoqué à tout va comme fausse excuse.
Je trouve les pistes évoquées par cette CE pleines de bon sens et le discours positif : si seulement tous les chefs pouvaient être comme cela. Et si seulement ces pistes venaient d'en haut en fait, ce qui serait bien le rôle du MEN / rectorat à la base.
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Makenaï Zettaï
- User17095Érudit
amour a écrit:J'ai effectivement été surprise ici de l'argument économique de @beaverforever. Et du calendrier de réouverture des restaurants si c'est bien l'économie française que l'on nous demande de servir. Et la garderie partielle ne permettra rien, on est tombés d'accord là dessus.
Donc je me questionne
Economie = on aidera pas vraiment:
Violences faites aux enfants? (travail de l'ASE, de toutes façons les internats seront fermés).
Coût des repas= les cantines ne pourront pas ouvrir.
Examens= égalité des chances encore plus faussée que d'ordinaire selon les dates de vacances et les blancs effectués ou pas.
Contenu pédagogique= nombre de matière ne pourront être enseignées sans PC et donc sans risque sanitaire.
Différenciations régionales= ça dépend de l'architecte à l'époque, ou de la vétusté des locaux, des fenêtres, etc..
Immunité collective= aucune assurance qu'elle existera
Alors je pose la question très sérieusement, et je me trouve dans un tel désarroi après avoir suivi les pages de ce fil que je ne sais plus quoi en penser: exceptée l'idée de redonner aux citoyens un semblant de "vie normale" à coups d'emploi du temps et de cars scolaires, de les habituer par leurs enfants aux gestes barrières, de les éduquer par leurs enfants en quelque sorte, à quoi va servir de jouer leurs vies et les nôtres à la roulette russe au joli mois de Mai?
Je sais que ça peut paraître difficile à envisager, parce que chat échaudé hein, et je m'inclus dedans mais... peut-être que le but... est celui qui a été annoncé ?
- EdithWGrand sage
Je ne sais pas si ça va faire avancer le schmilblick (et si je me souviens bien de tous les chiffres) mais un prof de maths à la réunion ce matin a rappelé que, d'une manière ou d'une autre, il fallait arriver à 240000 "malades" en France pour obtenir la fameuse immunité collective de 60 à 70%. Si on ne fait rien (= pas de confinement, 1 malade infecte +3 personnes), on y arrive très vite mais on sacrifie plein de monde vu la saturation des hôpitaux, si on reste confinés, on sacrifie l'économie (1 malade infecte 0,7 en ce moment), et si on déconfine/reconfine ponctuellement en continuant les gestes barrière et en faisant très attention, on aplatit la courbe (idéalement 1 malade infecte moins de 2 personnes), et ça laisse plus ou moins le temps d'attendre le vaccin, pas avant fin 2021. Mais le virus, on l'aura un jour ou l'autre... l'idée étant d'avoir aussi une place en réa.
- User9397Niveau 9
Kagome a écrit:Mais personne ne demandera ou s'attendra à ce que le prof d'HG fournisse une aide aussi complète en math par exp que celle du prof de maths. Franchement, un peu de bon sens.historien14 a écrit:Pour la question de "devoirs faits", désolé mais pour moi c'est hors de question : je ne suis pas calé pour aider les élèves dans certaines disciplines si les enseignants ne sont pas dans l'établissement pour garde d'enfants ou pour les collègues fragiles. Si j'enseigne une discipline, c'est pour ne faire que cette discipline.
Donc l'idée de ne pas refaire les emplois du temps se comprend totalement mais obliger à tous un dispositif "devoirs faits" c'est non.
D'une manière générale, je pense qu'il faut aborder la chose comme adulte - repère / citoyen plus que prof de telle ou telle matière.
Après qu'on appelle un chat un chat : qu'on le dise clairement que cela sera de la garderie. Ce n'est pas la honte hin, situation exceptionnelle.
Qu'on donne aussi les moyens aux services sociaux pour faire le VRAI travail social évoqué à tout va comme fausse excuse.
Je trouve les pistes évoquées par cette CE pleines de bon sens et le discours positif : si seulement tous les chefs pouvaient être comme cela. Et si seulement ces pistes venaient d'en haut en fait, ce qui serait bien le rôle du MEN / rectorat à la base.
Donc tout le monde a le droit de râler pendant 150 pages sauf certains qui ne feraient pas preuve de "bons sens". Ça va bien 5mn ! Donc j'ai le droit également d'exprimer mon désaccord face à une situation. Je l'ai suffisamment fermée pour me permettre de l'ouvrir quelques instants.
Le dispositif devoirs faits est un dispositif dans lequel l'élève a un accompagnement d'un enseignant en petits groupes. Donc ce dispositif permet d'avoir un accompagnement et donc une aide. Or, si je ne m'estime pas capable d'apporter cette aide, je ne participe pas aux dispositifs. Donc, on dénaturé complètement ce dispositif.
Oui, situation exceptionnelle mais cela ne veut pas dire que nous pouvons enseigner notre discipline. En petit groupe, nous pouvons travailler un point de méthode, aider les élèves sur nos propres disciplines. Un peu de bon sens voyons !
J'ose espérer que dans mon établissement on ne proposera pas cela.
- MarxouHabitué du forum
amour a écrit:Marxou a écrit:Je ne comprends pas cette "stratégie" du gouvernement. Si c'est l'argument économique qui motive cette décision , il aurait fallu dire clairement qu'il fallait mettre en place une garderie, avec une mise en place faisable, avec profs volontaires, etc..plutôt que cette rentrée absolument ingérable. De toute façon, comme quelqu'un l'a dit plus haut, il y a probablement assez peu d'actifs concernés par la nécessité de garde des enfants. Et il aurait fallu permettre aux bars, resto de réouvrir peu à peu avec toutes les précautions d'usage...
Là, ce à quoi on peut s'attendre, c'est à un rebond massif de l'épidémie avant l'été, ce qui obligera à nous reconfiner pendant l'été: ingérable et explosif!
J'ai effectivement été surprise ici de l'argument économique de @beaverforever. Et du calendrier de réouverture des restaurants si c'est bien l'économie française que l'on nous demande de servir. Et la garderie partielle ne permettra rien, on est tombés d'accord là dessus.
Donc je me questionne
Economie = on aidera pas vraiment:
Violences faites aux enfants? (travail de l'ASE, de toutes façons les internats seront fermés).
Coût des repas= les cantines ne pourront pas ouvrir.
Examens= égalité des chances encore plus faussée que d'ordinaire selon les dates de vacances et les blancs effectués ou pas.
Contenu pédagogique= nombre de matière ne pourront être enseignées sans PC et donc sans risque sanitaire.
Différenciations régionales= ça dépend de l'architecte à l'époque, ou de la vétusté des locaux, des fenêtres, etc..
Immunité collective= aucune assurance qu'elle existera
Alors je pose la question très sérieusement, et je me trouve dans un tel désarroi après avoir suivi les pages de ce fil que je ne sais plus quoi en penser: exceptée l'idée de redonner aux citoyens un semblant de "vie normale" à coups d'emploi du temps et de cars scolaires, de les habituer par leurs enfants aux gestes barrières, de les éduquer par leurs enfants en quelque sorte, à quoi va servir de jouer leurs vies et les nôtres à la roulette russe au joli mois de Mai?
Je crois que c'est tout simplement une décision prise par sa majesté, prise dans la "grandiloquente solitude du pouvoir", sans aucune concertation, dans le délire qu'il rabâche depuis le début, de la "verticalité du pouvoir", du mythe gaullien de l'homme salvateur, qui sait et qui doit "trancher", celui qui se doit d'avoir une hauteur de vue, etc, etc... toutes les joyeusetés permises par cette satanée 5ème République mortifère. On en est là!
Plus concrètement, mes élèves de terminale ont d'ores et déjà leur bac validé pour la plupart: mettre en branle une organisation impossible et éminemment risquée (pour moi, mes collègues et pour eux), pour simplement quelques heures de cours est tout simplement insensé, d'une stupidité sans nom.
En parlant des bars, restos et autres commerces...beaucoup sont déjà en quasi faillite; ce sont eux qu'il faudrait autoriser à ouvrir!
- PointàlaligneExpert
+1 : moi non plus je ne peux plus la voir ni l'écouter, ce n'est plus possible.Lokomazout a écrit:Honchamp a écrit:henriette a écrit:Tu nous diras ? Moi, je ne peux pas l'écouter - contre-indication absolue, j'ai développé une intolérance depuis la réforme du collège.micaschiste a écrit:Une ancienne ministre de l'éducation nationale sur les ondes demain. Va-t-elle donner son avis ?
- Spoiler:
Demain dans #Le79Inter de @LeaSalame et @ndemorand :
— France Inter (@franceinter) April 22, 2020
- à 7h50 : Philippe Whal,
PDG de @GroupeLaPoste
- à 8h20 : @najatvb, ancienne ministre de l’Education nationale, Directrice France de l’ONG @ONE_Fr pic.twitter.com/DfU3YLTjoP
Idem . Je ne supporte plus de l'entendre ou de la voir.
Qu'elle ne vienne pas la bouche en coeur donner des leçons à Blanquer...
N'oublions pas tout ce qu'elle a initié et cautionné! : sa pseudo-réforme du collège...
Sans oublier qu'elle était à ce poste également au moment de la mise en place du PPCR (décret n°2016-907 du 1er juillet 2016) ...
A lire les exemples postés sur ce fil, on ne peut que plaindre les CDE, tenus d'organiser ce qui à tous paraît infaisable, tout en engageant leur responsabilité. C'est intenable.
- MathadorEmpereur
Un ratio de 2 pour 1 resterait très élevé. ln(3)/ln(2) vaut environ 1,58, ce qui fait qu'on aurait en 1 mois et demi la même évolution que pendant 1 mois avant l'instauration du laisser-passer A38.EdithW a écrit:Je ne sais pas si ça va faire avancer le schmilblick (et si je me souviens bien de tous les chiffres) mais un prof de maths à la réunion ce matin a rappelé que, d'une manière ou d'une autre, il fallait arriver à 240000 "malades" en France pour obtenir la fameuse immunité collective de 60 à 70%. Si on ne fait rien (= pas de confinement, 1 malade infecte +3 personnes), on y arrive très vite mais on sacrifie plein de monde vu la saturation des hôpitaux, si on reste confinés, on sacrifie l'économie (1 malade infecte 0,7 en ce moment), et si on déconfine/reconfine ponctuellement en continuant les gestes barrière et en faisant très attention, on aplatit la courbe (idéalement 1 malade infecte moins de 2 personnes),
Pour moi, le vaccin arrivera trop tard pour être la vraie solution (mais pourra être une base utile en cas de mutation conséquente du SARS-CoV-2 ou d'une nouvelle zoonose à coronavirus). Ce que j'attends de pied ferme, ce sont surtout les tests ELISA en nombre.EdithW a écrit:et ça laisse plus ou moins le temps d'attendre le vaccin, pas avant fin 2021. Mais le virus, on l'aura un jour ou l'autre... l'idée étant d'avoir aussi une place en réa.
Et qui contrairement à nous n'ont pas accès à l'option « démerdez-vous avec vos plans absurdes, moi je fais grève ».Pointàlaligne a écrit:A lire les exemples postés sur ce fil, on ne peut que plaindre les CDE, tenus d'organiser ce qui à tous paraît infaisable, tout en engageant leur responsabilité. C'est intenable.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- ycombeMonarque
Si le but était vraiment social, on reprendrait en demi-groupe avec les élèves en difficulté (scolaire ou sociale) et eux seuls.pogonophile a écrit:
Je sais que ça peut paraître difficile à envisager, parce que chat échaudé hein, et je m'inclus dedans mais... peut-être que le but... est celui qui a été annoncé ?
Mais non. Ce serait les stigmatiser. D'ailleurs, avec un tel raisonnement, on devrait supprimer les aides sociales: verser une aide sociale, c'est stigmatiser les gens.
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- micaschisteMonarque
Ce soir,mercredi 22 avril, Jérôme Salomon et Sibeth Ndiaye ont déclaré sur BFM TV que
Il faudrait la mise en place de 2 ou 3 bus pour les distances soient respectées.
Je vais retenir cette phrase pour éventuellement justifier le non-retour de ma fille dans son établissement en raison du transport en bus scolaire où je doute de la distanciation sociale.Les masques sont des coimpléments aux gestes barrières
Il faudrait la mise en place de 2 ou 3 bus pour les distances soient respectées.
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- micaschisteMonarque
J'ajouterai qu'il y aurait également mise en place de mesures pour les vacances scolaires d'été. Les difficultés sociales ne s'évaporent pas avec la hausse des températures.ycombe a écrit:Si le but était vraiment social, on reprendrait en demi-groupe avec les élèves en difficulté (scolaire ou sociale) et eux seuls.pogonophile a écrit:
Je sais que ça peut paraître difficile à envisager, parce que chat échaudé hein, et je m'inclus dedans mais... peut-être que le but... est celui qui a été annoncé ?
Mais non. Ce serait les stigmatiser. D'ailleurs, avec un tel raisonnement, on devrait supprimer les aides sociales: verser une aide sociale, c'est stigmatiser les gens.
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- micaschisteMonarque
Je n'ai pas l'intention d'écouter cette ex-ministre ! Pas possible !Pointàlaligne a écrit:+1 : moi non plus je ne peux plus la voir ni l'écouter, ce n'est plus possible.Lokomazout a écrit:Honchamp a écrit:henriette a écrit:
Tu nous diras ? Moi, je ne peux pas l'écouter - contre-indication absolue, j'ai développé une intolérance depuis la réforme du collège.
Idem . Je ne supporte plus de l'entendre ou de la voir.
Qu'elle ne vienne pas la bouche en coeur donner des leçons à Blanquer...
N'oublions pas tout ce qu'elle a initié et cautionné! : sa pseudo-réforme du collège...
Sans oublier qu'elle était à ce poste également au moment de la mise en place du PPCR (décret n°2016-907 du 1er juillet 2016) ...
A lire les exemples postés sur ce fil, on ne peut que plaindre les CDE, tenus d'organiser ce qui à tous paraît infaisable, tout en engageant leur responsabilité. C'est intenable.
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Marxou a écrit:
En parlant des bars, restos et autres commerces...beaucoup sont déjà en quasi faillite; ce sont eux qu'il faudrait autoriser à ouvrir!
Les autoriser revient à les forcer (pour ne pas perdre la clientèle).
- chmarmottineGuide spirituel
chmarmottine a écrit:Sur LCI : Le professeur Bruno Lina confirme que la transmission est forte par les enfants à partir de 14/15 ans. Je mets l'extrait dès que possible.
édit : je précise que le virologue Bruno Lina est membre du conseil scientifique.
Passage intéressant ici : (si la vidéo redémarre au début, aller à 29'25)
https://www.lci.fr/replay/video-le-debat-de-21h-du-mercredi-22-avril-2020-2151766.html#spark_seek=1765s
- TivinouDoyen
Impossible de voir la vidéo . Cela affiche " ce contenu est indisponible".chmarmottine a écrit:chmarmottine a écrit:Sur LCI : Le professeur Bruno Lina confirme que la transmission est forte par les enfants à partir de 14/15 ans. Je mets l'extrait dès que possible.
édit : je précise que le virologue Bruno Lina est membre du conseil scientifique.
Passage intéressant ici : (si la vidéo redémarre au début, aller à 29'25)
https://www.lci.fr/replay/video-le-debat-de-21h-du-mercredi-22-avril-2020-2151766.html#spark_seek=1765s
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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