- InvitéInvité
Non mais Audrey, Trompette Marine et les autres personnes vulnérables, vous ne revenez pas en cours, c'est clair !!!! Vous restez en télétravail, que cela plaise ou non à Blanquer, Roux de Bézieux et compagnie !trompettemarine a écrit:Audrey a écrit:numéro6 a écrit:trompettemarine a écrit:
définir : vulnérabilité de santé, Monsieur le ministre, s'il vous plaît.
Ce sont officiellement les catégories listées ci-dessous.
https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14008
Ce qui est dingue, c'est que le conseil scientifique lui-même a dit que les personnes obèses (et pas seulement en obésité morbide) sont à risque, et que là, boum: seule l'obésité morbide est listée. J'en ai marre, mais marre...
Tu es professeur de Lettres, pire de Lettres classiques. Tu n'es qu'un TaKaCrever-Pour-Rien-ou-pour-faire-plaisir-à-ton-ministre (on ne sauve ni des vie, ni l'économie du pays avec des demi-groupes, mais on n'est là pour faire beau, au mieux, et propager le virus pour la seconde vaque).
Je suis exactement dans ton cas : une TaKaCrever-Pour-Rien.
- Pontorson50Fidèle du forum
Tangleding a écrit:Je vois assez mal comment la médecine de prévention, notoirement sous-dotée, va pouvoir examiner rapidement les dossiers des collègues à risque. Certes la procédure a été assez rapide pour ce qui me concerne, mais vu le nombre de collègues que cela va concerner, je vois mal cela dans l'espace avec 4 ou 5 médecins de prévention pour l'académie de Versailles, de mémoire.
Mais n'importe quel généraliste ou spécialiste référent est apte, non? Les médecins que tu cites je les croyais affectés au droit de retrait.
- AudreyOracle
Les médecins vont être débordés pour de simples attestations... peut-être que l'EN va accepter une déclaration sur l'honneur? D'autant que dans mon cas hein, les kilos en trop se voient sans loupe ni examen!
Bref... tellement d'inconnues, tant de questions... si peu de certitudes et de réponses à ce stade. J'attends. Mais je suis plutôt confiante sur la retour tardif voire impossible vu le bordel ambiant, et vu le nombre de gens qui profitent de la vie dans ma rue depuis le lundi de pâques...
Bref... tellement d'inconnues, tant de questions... si peu de certitudes et de réponses à ce stade. J'attends. Mais je suis plutôt confiante sur la retour tardif voire impossible vu le bordel ambiant, et vu le nombre de gens qui profitent de la vie dans ma rue depuis le lundi de pâques...
- JennyMédiateur
C’est même le surpoids qui est un facteur de risque :
sourcePlusieurs semaines plus tard, la tendance se confirme. Environ 80 % des malades en réanimation, qui font des formes sévères du Covid donc, sont en surpoids.
"Ce sont des données qui remontent de plusieurs sources scientifiques, explique Jérôme Salomon, directeur général de la Santé. Ce sont aussi des données d'observations. Il y a effectivement très souvent un facteur de risque retrouvé dans les infections virales graves." Pour cela, les médecins s'appuient sur des données déjà connues. "Ça a été démontré dans la grippe en particulier", note l'infectiologue, devenu la figure de l'épidémie, depuis qu'il fait quotidiennement le point sur l'épidémie. "On le sait : l'obésité d'une part, mais même le surpoids, peut devenir un facteur de risque d'une infection sévère."
- InvitéInvité
En effet, même avec les meilleures volontés du monde, je ne vois tout simplement pas comment la reprise pourrait se faire...
- TangledingGrand Maître
J'ai donné l'exemple que je connais, mais ce n'était pas exclusif, je me doute que la situation est "aussi pire" ailleurs...micaschiste a écrit:Dans certaines académies c'est encore moins, mais cela dépend peut-être de l'effectif des profs. :lol:Tangleding a écrit:Je vois assez mal comment la médecine de prévention, notoirement sous-dotée, va pouvoir examiner rapidement les dossiers des collègues à risque. Certes la procédure a été assez rapide pour ce qui me concerne, mais vu le nombre de collègues que cela va concerner, je vois mal cela dans l'espace avec 4 ou 5 médecins de prévention pour l'académie de Versailles, de mémoire.
Des déclarations sur l'honneur suffiront peut-être dans l'attente de l'examen des dossiers médicaux en 2042.
Je ne sais pas quelle est la procédure "orthodoxe". Je dois recontacter le SMIS pour ma part (pour des questions de paperasses suite à un accident de service) je vais essayer d'y voir plus clair et je ferai un retour si j'ai plus d'infos.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- micaschisteMonarque
Hors pandémie, ce sont bien eux qui accordent des reprises à temps partiel thérapeutique, les congés maladies de longue durée,l'adaptation du poste de travail...Les généralistes, spécialistes dressent le dossier médical mais ce sont les médecins de prévention qui statuent.Pontorson50 a écrit:Tangleding a écrit:Je vois assez mal comment la médecine de prévention, notoirement sous-dotée, va pouvoir examiner rapidement les dossiers des collègues à risque. Certes la procédure a été assez rapide pour ce qui me concerne, mais vu le nombre de collègues que cela va concerner, je vois mal cela dans l'espace avec 4 ou 5 médecins de prévention pour l'académie de Versailles, de mémoire.
Mais n'importe quel généraliste ou spécialiste référent est apte, non? Les médecins que tu cites je les croyais affectés au droit de retrait.
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- Clecle78Bon génie
Oui mais là on parle d'autre chose, non? Un surpoids n'empêche pas de travailler en principe . Moi je veux bien continuer en télétravail mais mon fils réanimateur m'a clairement dit que vu le profil de ses malades covid j'étais en danger si je retournais en classe physiquement
- eleonore69Érudit
Audrey a écrit:Les médecins vont être débordés pour de simples attestations... peut-être que l'EN va accepter une déclaration sur l'honneur? D'autant que dans mon cas hein, les kilos en trop se voient sans loupe ni examen!
Bref... tellement d'inconnues, tant de questions... si peu de certitudes et de réponses à ce stade. J'attends. [b]Mais je suis plutôt confiante sur la retour tardif voire impossible vu le bordel ambiant, et vu le nombre de gens qui profitent de la vie dans ma rue depuis le lundi de pâques...
Entièrement d'accord !
- CassandrineNiveau 10
Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
- eleonore69Érudit
Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Pareil pour les lycéens, ils vont se sauter au cou
- User9397Niveau 9
Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
- MesonMixingNiveau 10
Si les élèves se sautent au cou et se triturent le masque non stop, le droit de retrait serait-il validé par le TA ?
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EN : Physique/Chimie
2020-2021 : Contrôleur des Finances Publiques
2021 - ... : Inspecteur des Finances Publiques
- WinmarNiveau 5
historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
Peut-être mais ce n'est pas gagné d'avance.
la circulation dans les couloirs, lors des interclasses, les récréations, tous les temps hors classe sont à risque maximal pour le respect des gestes barrières et de la distanciation. Je peine à imaginer que les ados aient l'abnégation durant deux mois de les respecter, ça tiendra une semaine avant le retour du naturel.
- Thalia de GMédiateur
Je l'ai dit il y a de nombreuses pages déjà. Il me reste un fond d'optimisme. En revanche, j'espère que mes petits-enfants ne retourneront pas dans leur école maternelle.historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- CasparProphète
historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
Si, c'est possible pour la majorité d'élèves raisonnables (mais sur la durée je pense que le naturel revient) mais il y aura une minorité d'élèves idiots ou inconscients.
La communication du ministre est confuse et anxiogène, de ce côté-là rien de change.
Duhamel sur BFM pour commenter la "rentrée": je crains le pire.
- jammeNeoprof expérimenté
historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
Entre avoir conscience de ce qui se passe et refuser de faire des câlins à ses potes.... Ce sont des ados! Pour certains des miens, j'ai un gros doute sur leur capacité à être responsable. Pas plus tard que ce matin, ils ont trouvé très drôle de faire rentrer un pote dans les classes virtuelles de collègues et de pourrir les cours. L’intrus était cagoulé et appelait le proviseur qui est intervenu par son prénom!!! Donc niveau maturé et responsabilité...
- eeNiveau 9
Pour une fois, j'ai trouvé les annonces de Blanquer pas si mauvaises, à condition bien-sûr que soient respectées les contraintes et réalités locales (certains établissements ne peuvent tout simplement pas ré-ouvrir faute de locaux adaptables à la situation, beaucoup de collègues ne pourront pas reprendre pour des raisons de santé ou de garde d'enfant en bas âge, problème des transports publics dans les grandes agglos d'une part, en zone rurale où l'on dépend des transports scolaires départementaux d'autre part etc).
Echelonner sur 3 semaines les retours, prévoir un fonctionnement par demi-classes (tu fais ton cours en présentiel à une demi-classe, tu donnes des devoirs un peu lourds à te rendre 15 jours après, ce qui constitue un excellent distanciel)… mais se débrouiller pour que la majorité de nos élèves aient "renoué" avec l'école pendant un peu plus d'un mois avant la coupure des grandes vacances, ça me parait assez raisonnable.
Parce que repousser à Septembre, ça pose quand même deux grosses questions :
1) Récupérer des gamins sortant de 6 mois sans école (bof bof)
2) Faire face en septembre à la 2e vague de l'épidémie (puisque si on est tous restés confinés jusque là, on voit mal pourquoi-comment la majorité de la population se serait immunisée par miracle entre temps).
Echelonner sur 3 semaines les retours, prévoir un fonctionnement par demi-classes (tu fais ton cours en présentiel à une demi-classe, tu donnes des devoirs un peu lourds à te rendre 15 jours après, ce qui constitue un excellent distanciel)… mais se débrouiller pour que la majorité de nos élèves aient "renoué" avec l'école pendant un peu plus d'un mois avant la coupure des grandes vacances, ça me parait assez raisonnable.
Parce que repousser à Septembre, ça pose quand même deux grosses questions :
1) Récupérer des gamins sortant de 6 mois sans école (bof bof)
2) Faire face en septembre à la 2e vague de l'épidémie (puisque si on est tous restés confinés jusque là, on voit mal pourquoi-comment la majorité de la population se serait immunisée par miracle entre temps).
- EnaecoVénérable
historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
On est sur de l'hypothétique mais j'imagine également, dans l'ensemble, des grandes précautions de la part des élèves au début.
L'ambiance va être assez particulière. Ne serait-ce que par la dispersion des élèves dans la salle.
Je ne sais pas combien de temps ça durera et je pense cependant que les habitudes de l'ancien quotidien reviendront probablement rapidement.
- Fesseur ProGuide spirituel
Mon généraliste m'a dit qu'il suffisait qu'il fasse un arrêt de travail.Pontorson50 a écrit:Tangleding a écrit:Je vois assez mal comment la médecine de prévention, notoirement sous-dotée, va pouvoir examiner rapidement les dossiers des collègues à risque. Certes la procédure a été assez rapide pour ce qui me concerne, mais vu le nombre de collègues que cela va concerner, je vois mal cela dans l'espace avec 4 ou 5 médecins de prévention pour l'académie de Versailles, de mémoire.
Mais n'importe quel généraliste ou spécialiste référent est apte, non? Les médecins que tu cites je les croyais affectés au droit de retrait.
S'il faut attendre sur la médecine du travail de l'EN, on n'est pas sorti des ronces...
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Pourvu que ça dure...
- CassandrineNiveau 10
historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
@historien14
J'espère que les ados feront preuve de bon sens mais j'en doute... en tout cas, ceux de mon collège sont impatients de reprendre pour se retrouver et comme ils me l'ont dit "nous on ne sera pas malades gravement" ... La plupart des gamins de mon collège ne sont pas trop touchés par la maladie donc moins de prise de conscience peut-être?
Et c'est un collège de 900 élèves donc même à moitié d'effectifs avec des salles que l'on ne peut pas aérer...
- bigbillbroonzyNiveau 5
historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
Vu l'exemple donné par les adultes dans pas mal d'endroits, permets-moi d'en douter.
- micaschisteMonarque
Un arrêt de travail n'est pas le document qu'il faut pouvoir faire du télétravail. Il faut une autorisation de télétravailler faute de pouvoir aller travailler en présentiel pour raison de santé. L'arrêt de travail est nécessaire si on ne peut pas télétravailler, ni travailler pour raison de santé. Si on ne peut ni travailler, ni télétravailler pour garde d'enfants, il faut une ASA (s'il n'y a pas eu de changement à ce jour).Fesseur Pro a écrit:Mon généraliste m'a dit qu'il suffisait qu'il fasse un arrêt de travail.Pontorson50 a écrit:Tangleding a écrit:Je vois assez mal comment la médecine de prévention, notoirement sous-dotée, va pouvoir examiner rapidement les dossiers des collègues à risque. Certes la procédure a été assez rapide pour ce qui me concerne, mais vu le nombre de collègues que cela va concerner, je vois mal cela dans l'espace avec 4 ou 5 médecins de prévention pour l'académie de Versailles, de mémoire.
Mais n'importe quel généraliste ou spécialiste référent est apte, non? Les médecins que tu cites je les croyais affectés au droit de retrait.
S'il faut attendre sur la médecine du travail de l'EN, on n'est pas sorti des ronces...
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- CasparProphète
bigbillbroonzy a écrit:historien14 a écrit:Cassandrine a écrit:Je pense que dès les premières minutes devant le collège... les élèves vont s'embrasser, se prendre dans les bras.... comme le jour de la rentrée.... donc... la distanciation sociale... Je n'y crois pas...
Et penser que nos élèves ont pris conscience de la situation et qu'ils feront preuve de responsabilité, vous ne pensez pas que cela peut être une hypothèse ?
Pardon mais nos élèves ne sont pas idiots et ont conscience de ce qu'il se passe.
Vu l'exemple donné par les adultes dans pas mal d'endroits, permets-moi d'en douter.
Je me suis dit la même chose hier en allant faire mes courses au supermarché.
- Fesseur ProGuide spirituel
Dac merci.
Et qui la fait cette "autorisation de télétravailler faute de pouvoir aller travailler en présentiel pour raison de santé" ?
Et qui la fait cette "autorisation de télétravailler faute de pouvoir aller travailler en présentiel pour raison de santé" ?
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Pourvu que ça dure...
- Pontorson50Fidèle du forum
micaschiste a écrit:Hors pandémie, ce sont bien eux qui accordent des reprises à temps partiel thérapeutique, les congés maladies de longue durée,l'adaptation du poste de travail...Les généralistes, spécialistes dressent le dossier médical mais ce sont les médecins de prévention qui statuent.Pontorson50 a écrit:
Mais n'importe quel généraliste ou spécialiste référent est apte, non? Les médecins que tu cites je les croyais affectés au droit de retrait.
Je ne suis pas sûr du tout qu'il faille remuer ciel et terre auprès du rectorat, du moins pour obtenir l'arrêt - ou s'y contraindre pour ceux qui n'arrêtent que par souci de l'entourage. En effet le texte dressant la liste des personnes vulnérables indique ceci à propos de l'arrêt de travail ad hoc :
Comment le demander ?
Si vous êtes personne vulnérable et en affection longue durée, vous pouvez enregistrer directement, sans passer par votre employeur ni votre médecin traitant, sur le site declare.ameli.fr pour demander à être mis en arrêt de travail jusqu'à la fin du confinement (les arrêts arrivant à échéance sont automatiquement prolongés par l'Assurance maladie). Une fois effectuées les vérifications nécessaires, un arrêt de travail est établi et vous recevez (par courrier ou courriel) dans les 8 jours suivant votre déclaration le volet 3 à retourner à votre employeur. Sur la base de cet arrêt de travail, vous serez indemnisé dès le 1er jour d'arrêt et percevrez, le cas échéant, un complément de votre employeur.
Une téléprocédure identique est proposée par la Mutualité sociale agricole (MSA) aux assurés du régime agricole.
Si vous êtes personne vulnérable mais que vous n'êtes pas en affection longue durée, ou bien si vous partagez le domicile d'un proche considéré comme vulnérable, vous devez contacter votre médecin traitant ou un médecin de ville pour qu'un arrêt de travail vous soit délivré.
Alors ceci ne concerne en apparence que les salariés non fonctionnaires, sauf que juste avant :
Cette procédure de demande d'arrêt de travail :
concerne tous les assurés quel que soit leur régime d'affiliation : les salariés du régime général et du régime agricole, les travailleurs indépendants et les autoentrepreneurs, les travailleurs non-salariés agricoles, les professions libérales, les assurés des régimes spéciaux (dont les agents de la fonction publique).
ne concerne pas les personnels soignants des établissements de santé et médicaux sociaux (professionnels de santé et salariés qui sont au contact direct des personnes accueillies ou hébergées pour leur apporter des soins ou une aide à l'accomplissement des actes de la vie quotidienne) qui doivent se rapprocher de la médecine du travail de leur établissement ou d'un médecin de ville.
Paradoxalement, seuls les soignants peuvent d'emblée contacter un médecin particulier, en l'occurrence la médecine du travail, sans doute pour aller au plus vite mais même eux peuvent passer par un médecin de ville
J'ajoute qu'un congé maladie ordinaire va jusqu'à trois mois sur l'année en cours, et que c'est durant ce laps de temps que l'on instruit sa prolongation éventuelle auprès des instances rectorales, mais tout cela n'est pas suspensif.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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