Page 3 sur 4 • 1, 2, 3, 4
- AndromaqueNiveau 1
Bonjour, avez-vous tous et toutes bien travaillé à la séquence proposée par Ambiguïté de Poincy ? Pour ma part, je ne suis pas très à l'aise avec la mise en activités des 2e . Cependant,je remercie beaucoup Ambiguïté pour ce corpus de textes sur les migrants confinés eux-aussi dans des mouroirs et que le corina virus nous a fait oublier quelpue peu.
- Ambiguïté de PoincyNiveau 2
Bonjour à toutes et à tous,
En ce qui me concerne, je vais essayer de vous faire part de mes remarques ce dimanche voire lundi car en ce moment, je suis trop "débordée".
Le corpus proposé est fort intéressant mais élaborer le dispositif didactique ne va pas de soi.
Courage et bonne préparation.
En ce qui me concerne, je vais essayer de vous faire part de mes remarques ce dimanche voire lundi car en ce moment, je suis trop "débordée".
Le corpus proposé est fort intéressant mais élaborer le dispositif didactique ne va pas de soi.
Courage et bonne préparation.
- MandarineNiveau 1
Je vois de voir vos derniers messages, désolée !
J'essaie de faire ce second sujet ce week-end. J'enseigne en lycée cette année, donc je maîtrise plus les programmes du lycée que du collège :-)
A très vite pour nos remarques, bon week-end à tous !
J'essaie de faire ce second sujet ce week-end. J'enseigne en lycée cette année, donc je maîtrise plus les programmes du lycée que du collège :-)
A très vite pour nos remarques, bon week-end à tous !
- AndromaqueNiveau 1
Et bien avez-vous encore le temps de travailler l'oral du CAPES ? Qui a envie de partager avec moi ses recherches sur le corpus proposé par Ambiguïté ?
- MandarineNiveau 1
Bonsoir Andromaque (et les autres),
Oui oui, moi j'ai un peu regardé. J'avoue que l'image m'a laissée très dubitative, et que je ne sais pas comment l'intégrer correctement dans ma séquence. Je n'ai pas réussi à faire un réel lien avec le corpus...!!
Oui oui, moi j'ai un peu regardé. J'avoue que l'image m'a laissée très dubitative, et que je ne sais pas comment l'intégrer correctement dans ma séquence. Je n'ai pas réussi à faire un réel lien avec le corpus...!!
- AndromaqueNiveau 1
Bonsoir Mandarine,moi aussi j'étais perplexe devant l'image. Le seul lien que j'ai pu faire est que les gens dans la barque veulent tous partir mais leur barque est fragile,à la dérive. Tels les migrants qui veulent tous quitter leurs attaches pour une autre vie cependant que leur bateau fait souvent naufrage. Chacun veut atteindre son mât de Cocagne en vain. Métaphore d'une quête vaine de bonheur ailleurs en laissant derrière soi ses croyances, son passé pour un avenir illusoire,dérisoire et même tragique. Tragédie d'une qtête d'une nouvelle vie. En ce sens,cela rejoindrait certaines idées des textes du corpus. Ru'en pensez-vous ?
- MandarineNiveau 1
Oui c'est le lien que j'ai fait aussi, mais en le trouvant un peu tiré par les cheveux...
Voici mes idées sur ce sujet :
1/ Présentation du corpus et mise en place du projet d’étude
Ce corpus est composé de 4 textes (deux articles de presse et deux extraits de romans contemporains) et d’un document iconographique.
Texte 1 : Jean-Jacques Régibier, « Les migrations sont un fait contemporain », 2017 (article de presse)
Texte 2 : Simon Abkarian, « A Lesbos, les migrants au cœur du labyrinthe de chair et de saing », 2017 (article de presse)
Texte 3 : J.M. Le Clézio, Désert, 1980
Texte 4 : Fatou Diome, Le Ventre de l’Atlantique, 2003
Jérôme Bosch, La Nef des fous
Cohérence générique : On est dans la littérature d’idées (utiliser l’écriture pour donner et/ou défendre son opinion), au sein de laquelle les textes peuvent avoir plusieurs origines. Ici, nous avons deux articles de presse et deux extraits de roman.
Cohérence thématique : Les textes abordent tous la question des migrants (du point de vue externe ou interne).
Cohérence chronologique : A l’exception du document iconographique, tous les documents sont relativement récents (de 1980 à 2017).
Ce corpus permettra donc d’aborder une question d’actualité avec les élèves de seconde. Ce thème paraît important à traiter en vue de leur place de futur citoyen du monde, et pourra être également abordé en lien avec le professeur d’histoire-géographie.
La problématique proposée pourra être :
Comment la confrontation des sources et des points de vue peut-elle permettre de mieux la problématique actuelle des migrations de personnes ?
2/ Exposé semi-détaillé du dispositif didactique : déroulement de la séquence
A) Séances
Nous commencerons par l’étude du 1er texte, qui permettra de présenter le thème abordé et ses enjeux. Ainsi, il sera étudié progressivement (paragraphe par paragraphe, pour voir comment est construit un article de presse). Le lexique employé sera particulièrement précis car il permettra de poser les bases pour la séquence (distinction migrants, déplacés, demandeurs d’asiles, réfugiés…).
Cet article permettra aussi d’aborder la méthodologie de la contraction, en travaillant la reformulation paragraphe par paragraphe.
Lors de la deuxième séance, nous pouvons aborder le texte 2. Il permettra de mettre en avant la notion de point vue, par rapport au premier texte qui était uniquement un énoncé de faits. On insistera donc avec les élèves sur la différence principale entre les deux : la notion de subjectivité (on a ici affaire à un narrateur, qui nous raconte un fait de manière subjective).
On pourra donc ensuite aborder la notion de focalisation. En effet, ce qui me semble particulièrement intéressant dans ce texte 2, c’est le mélange entre marques de la première personne et remarques plus générales : comment l’auteur utilise ces deux enfants pour généraliser la situation dramatique des enfants de migrants.
Lors de la séance suivante, on pourra interroger les élèves sur ce qui peut pousser les migrants à quitter leurs pays, et leurs aspirations. Pour ce faire, on pourra leur proposer, à l’issue d’un débat en classe, l’illustration de Jérôme Bosch. Après l’avoir décrite, les élèves pourront imaginer, lors d’un travail d’écriture, ce que ces personnes dans leur bateau imaginent pour leurs jours meilleurs.
Nous poursuivrons la séance par l’étude des deux derniers textes. Les élèves devront remarquer qu’il s’agit d’extraits de roman, et de « témoignages » romancés de migrants. On est donc ici appelés à se mettre à leur place, que ce soit pour regretter ce qu’ils ont quitté (texte 3), ou pour comprendre leurs difficultés quotidiennes (texte 4).
B/ Prolongements
La séquence pourra se conclure par un exercice d’écriture qui permettrait de reprendre les notions travaillées, tant au niveau syntaxique que lexical (ou encore littéraire). Les élèves pourront par exemple « transformer » un article de presse sur le sujet en « témoignage » d’un migrant (utilisant donc une autre focalisation, et une subjectivité propre).
On pourra également travailler en lien avec le CDI pour rechercher des articles de presse récents sur le sujet à présenter oralement aux autres (ce qui pourrait également aider pour la reformulation et la synthèse de la contraction), ou en lien avec le professeur d’histoire-géographie.
Voici mes idées sur ce sujet :
1/ Présentation du corpus et mise en place du projet d’étude
Ce corpus est composé de 4 textes (deux articles de presse et deux extraits de romans contemporains) et d’un document iconographique.
Texte 1 : Jean-Jacques Régibier, « Les migrations sont un fait contemporain », 2017 (article de presse)
Texte 2 : Simon Abkarian, « A Lesbos, les migrants au cœur du labyrinthe de chair et de saing », 2017 (article de presse)
Texte 3 : J.M. Le Clézio, Désert, 1980
Texte 4 : Fatou Diome, Le Ventre de l’Atlantique, 2003
Jérôme Bosch, La Nef des fous
Cohérence générique : On est dans la littérature d’idées (utiliser l’écriture pour donner et/ou défendre son opinion), au sein de laquelle les textes peuvent avoir plusieurs origines. Ici, nous avons deux articles de presse et deux extraits de roman.
Cohérence thématique : Les textes abordent tous la question des migrants (du point de vue externe ou interne).
Cohérence chronologique : A l’exception du document iconographique, tous les documents sont relativement récents (de 1980 à 2017).
Ce corpus permettra donc d’aborder une question d’actualité avec les élèves de seconde. Ce thème paraît important à traiter en vue de leur place de futur citoyen du monde, et pourra être également abordé en lien avec le professeur d’histoire-géographie.
La problématique proposée pourra être :
Comment la confrontation des sources et des points de vue peut-elle permettre de mieux la problématique actuelle des migrations de personnes ?
2/ Exposé semi-détaillé du dispositif didactique : déroulement de la séquence
A) Séances
Nous commencerons par l’étude du 1er texte, qui permettra de présenter le thème abordé et ses enjeux. Ainsi, il sera étudié progressivement (paragraphe par paragraphe, pour voir comment est construit un article de presse). Le lexique employé sera particulièrement précis car il permettra de poser les bases pour la séquence (distinction migrants, déplacés, demandeurs d’asiles, réfugiés…).
Cet article permettra aussi d’aborder la méthodologie de la contraction, en travaillant la reformulation paragraphe par paragraphe.
Lors de la deuxième séance, nous pouvons aborder le texte 2. Il permettra de mettre en avant la notion de point vue, par rapport au premier texte qui était uniquement un énoncé de faits. On insistera donc avec les élèves sur la différence principale entre les deux : la notion de subjectivité (on a ici affaire à un narrateur, qui nous raconte un fait de manière subjective).
On pourra donc ensuite aborder la notion de focalisation. En effet, ce qui me semble particulièrement intéressant dans ce texte 2, c’est le mélange entre marques de la première personne et remarques plus générales : comment l’auteur utilise ces deux enfants pour généraliser la situation dramatique des enfants de migrants.
Lors de la séance suivante, on pourra interroger les élèves sur ce qui peut pousser les migrants à quitter leurs pays, et leurs aspirations. Pour ce faire, on pourra leur proposer, à l’issue d’un débat en classe, l’illustration de Jérôme Bosch. Après l’avoir décrite, les élèves pourront imaginer, lors d’un travail d’écriture, ce que ces personnes dans leur bateau imaginent pour leurs jours meilleurs.
Nous poursuivrons la séance par l’étude des deux derniers textes. Les élèves devront remarquer qu’il s’agit d’extraits de roman, et de « témoignages » romancés de migrants. On est donc ici appelés à se mettre à leur place, que ce soit pour regretter ce qu’ils ont quitté (texte 3), ou pour comprendre leurs difficultés quotidiennes (texte 4).
B/ Prolongements
La séquence pourra se conclure par un exercice d’écriture qui permettrait de reprendre les notions travaillées, tant au niveau syntaxique que lexical (ou encore littéraire). Les élèves pourront par exemple « transformer » un article de presse sur le sujet en « témoignage » d’un migrant (utilisant donc une autre focalisation, et une subjectivité propre).
On pourra également travailler en lien avec le CDI pour rechercher des articles de presse récents sur le sujet à présenter oralement aux autres (ce qui pourrait également aider pour la reformulation et la synthèse de la contraction), ou en lien avec le professeur d’histoire-géographie.
- AndromaqueNiveau 1
Je trouve cette proposition de séquence pertinente,plutôt complète et travaillée. J'avais choisi la même approche avec le même exercice d'écriture à partir de l'image. Et en étude de la langue ? Pour ma part,j'avais repris la suggestion présente dans le texte du manuel, le conditionnel et ses valeurs.
- AndromaqueNiveau 1
Ma problématique est la suivante : quels regards la presse et la littérature contemporaine portent-elles sur les migrants ?
- MandarineNiveau 1
Pour l'étude de la langue, je pensais travailler sur la focalisation et les traces de présence de l'énonciateur dans le texte (et du coup les différences entre article de presse et récit)
- AndromaqueNiveau 1
Je trouve que c'est tout à fait cohérent avec le déroulé de la séquence. Comment mettre à profit ce confinement pour optimiser notre entrainement à l'oral ? Réviser l'histoire littéraire, préparer des séquences, travailler la grammaire ? Comment organiser sa journée de travail en tenant compte des contraintes familiales et professionnelles ?
- MandarineNiveau 1
Personnellement, c'est le plus compliqué !! J'ai beaucoup moins de temps pour travailler le CAPES depuis qu'on est confinés ! Je donne mes cours par visio, donc j'ai mon travail comme d'habitude, mais en devant gérer l'école pour mes trois enfants (trop jeunes pour être autonomes), avec mon mari en télétravail également toute la journée... Dur dur de se dégager du temps !! Et quand je lis dans un autre topic que nous ne passerons l'oral que dans 5 mois je suis dépitée !!
- AndromaqueNiveau 1
Ah oui dans 5 mois ? Mais d'où vient cette info ?
- MandarineNiveau 1
De ce forum, dans "Généralités sur les concours". D'après des syndicats, c'est ce qui se profilerait pour nous...
- Ambiguïté de PoincyNiveau 2
Bonjour à toutes et à tous.
Bonjour Andromaque et bonjour Mandarine.
En premier lieu, je vous remercie d'avoir partagé votre travail,
vos réflexions pertinentes et enrichissantes,
concernant ce textes des plus résistants mais passionnants sur la thématique de l'exil.
Moi je suis trop débordée comme vous toutes et tous, je suppose.
Voici mes maigres réflexions à l'état d'esquisse :
- Titre de la séquence :
Partir pour mieux revenir : regards croisés sur l'exil.
Ensuite, voici ma
- Problématique :
Entre mythe et réalité, du mythe envers la réalité, comment les écrivains représentent-ils l'exil ?
- Autres problématiques :
Comment la littérature d'idées a-t-elle questionné le traitement de l'exil ?
La littérature est-elle assez puissante pour mettre des mots sur la situation tragique des exilés ?
Nos séances s'organiseront autour de trois axes principaux :
I/ L'exil au coeur de la presse et de la littérature
II/ Défendre un point de vue sur l'exil
III/ Donner la parole aux exilés
- Pratique raisonnée de la langue :
La phrase complexe : les relations au sein de la phrase (justaposition, coordination, subordination, corrélation)
ou
L'expression de la négation
- Lectures cursives :
1/ Americanah (2013) de Chimamanda Ngozi Adichie
2/ à ce stade de la nuit (2015) de Maylis de Kerangal.
Enfin, qu'en pensez-vous ?
Bonjour Andromaque et bonjour Mandarine.
En premier lieu, je vous remercie d'avoir partagé votre travail,
vos réflexions pertinentes et enrichissantes,
concernant ce textes des plus résistants mais passionnants sur la thématique de l'exil.
Moi je suis trop débordée comme vous toutes et tous, je suppose.
Voici mes maigres réflexions à l'état d'esquisse :
- Titre de la séquence :
Partir pour mieux revenir : regards croisés sur l'exil.
Ensuite, voici ma
- Problématique :
Entre mythe et réalité, du mythe envers la réalité, comment les écrivains représentent-ils l'exil ?
- Autres problématiques :
Comment la littérature d'idées a-t-elle questionné le traitement de l'exil ?
La littérature est-elle assez puissante pour mettre des mots sur la situation tragique des exilés ?
Nos séances s'organiseront autour de trois axes principaux :
I/ L'exil au coeur de la presse et de la littérature
II/ Défendre un point de vue sur l'exil
III/ Donner la parole aux exilés
- Pratique raisonnée de la langue :
La phrase complexe : les relations au sein de la phrase (justaposition, coordination, subordination, corrélation)
ou
L'expression de la négation
- Lectures cursives :
1/ Americanah (2013) de Chimamanda Ngozi Adichie
2/ à ce stade de la nuit (2015) de Maylis de Kerangal.
Enfin, qu'en pensez-vous ?
- AndromaqueNiveau 1
Oh la la ! C'est topissime ! Moi,je n'avais pas pensé au terme " exil " qui me semble particulièrement pertinent ainsi que le mythe. Comment aborder cette notion ? Merci Ambiguïté pour cet éclairage enrichissant !
- MandarineNiveau 1
Merci Ambiguïté pour ce partage ! Effectivement, la notion d'exil est bien trouvée ! Et alors, cette image, comment l'avez-vous intégrée à votre séquence ?
- Ambiguïté de PoincyNiveau 2
Bonsoir Mandarine.
En ce qui me concerne, j'ai décidé de prendre comme point de départ le document iconographique.
Ma première séance traite donc de l'étude de l'image, à travers deux objectifs :
- aborder le thème de la séquence, en explorant de manière concrète l'allégorie et l'imaginaire liés au voyage et à l'exil afin de favoriser, pour la séance numéro 2, l'approche du texte numéro 4 de Fatou Diome, Le Ventre de l'Atlantique.
- faire redécouvrir et réactiver certains outils de lecture de l'image : le cadrage et les lignes de force.
Dès la fin de notre première séance, je présente les textes du corpus à étudier, et je donne des indications de lecture cursive (2 oeuvres citées plus haut) :
Recherche avec l'aide du professeur et du documentaliste de textes sur le thème du voyage et de l'exil.
Il serait possible de rapprocher ce tableau d'un autre, celui de Max Ernst, Le monde des naïfs.
En ce qui me concerne, j'ai décidé de prendre comme point de départ le document iconographique.
Ma première séance traite donc de l'étude de l'image, à travers deux objectifs :
- aborder le thème de la séquence, en explorant de manière concrète l'allégorie et l'imaginaire liés au voyage et à l'exil afin de favoriser, pour la séance numéro 2, l'approche du texte numéro 4 de Fatou Diome, Le Ventre de l'Atlantique.
- faire redécouvrir et réactiver certains outils de lecture de l'image : le cadrage et les lignes de force.
Dès la fin de notre première séance, je présente les textes du corpus à étudier, et je donne des indications de lecture cursive (2 oeuvres citées plus haut) :
Recherche avec l'aide du professeur et du documentaliste de textes sur le thème du voyage et de l'exil.
Il serait possible de rapprocher ce tableau d'un autre, celui de Max Ernst, Le monde des naïfs.
- Ambiguïté de PoincyNiveau 2
Voici un questionnaire possible pour le tableau :
- Décrivez ce que vous voyez sur le tableau, puis cherchez à expliquer pourquoi vous avez commencé votre description par tel ou tel côté du tableau ?
- Quels liens est-il possible d’établir entre cette représentation et l’ensemble de notre séquence ?
- Décrivez ce que vous voyez sur le tableau, puis cherchez à expliquer pourquoi vous avez commencé votre description par tel ou tel côté du tableau ?
- Quels liens est-il possible d’établir entre cette représentation et l’ensemble de notre séquence ?
- BoulghourNiveau 2
Bonjour à tous,
L'oral aura lieu en visioconférence en juin. L'information vient d'être donnée par JM Blanquer. Nous recevrons un e-mail personnalisé pour la description des épreuves.
Bonne chance à tous !
L'oral aura lieu en visioconférence en juin. L'information vient d'être donnée par JM Blanquer. Nous recevrons un e-mail personnalisé pour la description des épreuves.
Bonne chance à tous !
- User26421Niveau 5
Boulghour a écrit:Bonjour à tous,
L'oral aura lieu en visioconférence en juin. L'information vient d'être donnée par JM Blanquer. Nous recevrons un e-mail personnalisé pour la description des épreuves.
Bonne chance à tous !
En juin ? Je pensais que c'était en septembre.
- AndromaqueNiveau 1
Bonjour, d'où vient l'info ? J'ai aussi entendu septembre et jamais entendu parler de visio-conférence !
- BoulghourNiveau 2
Il semble que pour l'interne, le sort ne soit effectivement pas le même ! Oral en septembre apparemment. Comment fait-on quand on appartient à un autre corps de l'enseignement comme moi ?! Je suis en plus obligée de demander l'intra, je suis en affectation à titre provisoire ! Je vais me retrouver avec deux mutations à gérer en même temps !
- MandarineNiveau 1
Je suis exactement dans votre situation : autre corps de l'enseignement, et pas d'affectation à titre définitive car je viens juste d'obtenir ma mutation interacadémique (pour la rentrée 2020)... J'aimerais bien en savoir un peu plus sur ce qu'ils prévoient pour les cas comme nous...
- User26421Niveau 5
Je vous conseille de demander à un syndicat...
- AndromaqueNiveau 1
Bonjour Ambiguïté de Poincy, j'ai relu tous les échanges partagés sur ce forum et dans l'un d'entre eux,tu proposais ton adresse mail en pièce jointe. Cependant,je ne l'ai pas trouvée. Pourrais-tu la renvoyer si cela te convient encore ?
Page 3 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum