- Créon2017Niveau 5
Merci beaucoup. J'en ai déjà entendu parler en effet...
Y a-t-il des rumeurs sur le nouveau programme ou est-ce encore trop tôt ?
Y a-t-il des rumeurs sur le nouveau programme ou est-ce encore trop tôt ?
- Hermione0908Modérateur
C'est trop tôt. On sait que Scarron et le programme de comparée sortent mais c'est tout.
L'an dernier le programme était sorti vers le 13 avril l'an dernier, de mémoire.
L'an dernier le programme était sorti vers le 13 avril l'an dernier, de mémoire.
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- Créon2017Niveau 5
Oui le 15 avril, j'ai vérifié. Est-ce que Corbière doit sortir aussi parce qu'il est tombé ?
- Emilie12Niveau 2
Bonjour,
Une petite question : est-ce que le programme de l'agrégation interne de Lettres Modernes est renouvelé chaque année ? Ou est-ce qu'une partie reste le même ?
Merci !
Une petite question : est-ce que le programme de l'agrégation interne de Lettres Modernes est renouvelé chaque année ? Ou est-ce qu'une partie reste le même ?
Merci !
- PunkyNiveau 10
Une seule oeuvre demeure deux ans. Cette fois ci, c'est Genet.
- Lalectrice59Niveau 1
Bonjour à tous,
Je n’ai jamais tenté l’agrégation mais en lisant vos expériences je me rends compte qu’il s’agit d’un concours qu’on doit envisager sur plusieurs années et honnêtement ça me fait stresser (je ne pense pas être la seule d’ailleurs lol) car je n’ai pas confiance en moi de base et je déteste l’échec (puisqu’il augmente ce manque de confiance justement).
Comment « se relever » et avoir la motivation de repartir à zéro l’année suivante ? Comment se sentir légitime face au concours ? (Je vous avoue que j’ai malheureusement dans la tête l’idée que l’agrégation reste accessible uniquement pour une élite...).
Je n’ai jamais tenté l’agrégation mais en lisant vos expériences je me rends compte qu’il s’agit d’un concours qu’on doit envisager sur plusieurs années et honnêtement ça me fait stresser (je ne pense pas être la seule d’ailleurs lol) car je n’ai pas confiance en moi de base et je déteste l’échec (puisqu’il augmente ce manque de confiance justement).
Comment « se relever » et avoir la motivation de repartir à zéro l’année suivante ? Comment se sentir légitime face au concours ? (Je vous avoue que j’ai malheureusement dans la tête l’idée que l’agrégation reste accessible uniquement pour une élite...).
- AhenobarbusNiveau 5
Lalectrice59 a écrit:Bonjour à tous,
Je n’ai jamais tenté l’agrégation mais en lisant vos expériences je me rends compte qu’il s’agit d’un concours qu’on doit envisager sur plusieurs années et honnêtement ça me fait stresser (je ne pense pas être la seule d’ailleurs lol) car je n’ai pas confiance en moi de base et je déteste l’échec (puisqu’il augmente ce manque de confiance justement).
Comment « se relever » et avoir la motivation de repartir à zéro l’année suivante ? Comment se sentir légitime face au concours ? (Je vous avoue que j’ai malheureusement dans la tête l’idée que l’agrégation reste accessible uniquement pour une élite...).
Déjà, il faut commencer par voir le concours comme une manière de continuer sa veille scientifique. C'est un moment qu'il faut considérer comme un enrichissement. Si tu as le concours, tant mieux, sinon ça sera une prochaine fois, mais cela va te permettre de te nourrir la cervelle.
- issoireNiveau 9
Elite plus vraiment, mais qui a travaillé beaucoup pour être mieux payée et avoir un service moins lourd oui. Après socialement vous restez prof, et dans la rue on ne fait pas la différence entre un prof agrégé(e) et un autre prof.
- BaldredSage
issoire a écrit:Elite plus vraiment, mais qui a travaillé beaucoup pour être mieux payée et avoir un service moins lourd oui. Après socialement vous restez prof, et dans la rue on ne fait pas la différence entre un prof agrégé(e) et un autre prof.
Le terme d'élite demanderait à être mieux défini pour ne pas nourrir un complexe d'infériorité inutile.
Et si, bien sûr, dans un pays aussi classifiant que le France, on fait la différence entre un agrégé et un autre prof, alors sans doute pas "dans la rue" mais pour ceux dont nous partageons le niveau social ; ce qui, je te l'accorde ne sert à rien.
- issoireNiveau 9
Même pour ceux dont nous partageons le niveau social je ne sais plus vraiment si être agrégé est encore significatif, maintenant j’ai l’impression qu’être docteur est plus d’actualité ( on peut être les deux d’ailleurs) et que l’agrégation a perdu de son prestige.
Mais peut-être est-ce une impression.
Mais peut-être est-ce une impression.
- InvitéInvité
Etre agrégé permet quand même d'être plus à l'aise financièrement.
- issoireNiveau 9
En fin de carrière cela fait du bien ( moins d’heures on souffle) et enfin un bon salaire et une retraite décente.
- Lalectrice59Niveau 1
Je fais référence, en parlant d’élite, aux personnes qui ont toujours eu des résultats excellents et qui viennent de grandes écoles.
J’ai aussi une certaine pression de me dire que je tente le concours à 26ans avec des collègues ayant plus d’expérience lol
J’ai aussi une certaine pression de me dire que je tente le concours à 26ans avec des collègues ayant plus d’expérience lol
- issoireNiveau 9
Des profils pareils il y en pas beaucoup dans la salles des profs ( a part quelques grands lycées Parisiens) ils trouvent souvent mieux ailleurs et je les comprends.
- LaverdureEmpereur
Lalectrice59 a écrit:Bonjour à tous,
Je n’ai jamais tenté l’agrégation mais en lisant vos expériences je me rends compte qu’il s’agit d’un concours qu’on doit envisager sur plusieurs années et honnêtement ça me fait stresser (je ne pense pas être la seule d’ailleurs lol) car je n’ai pas confiance en moi de base et je déteste l’échec (puisqu’il augmente ce manque de confiance justement).
Comment « se relever » et avoir la motivation de repartir à zéro l’année suivante ? Comment se sentir légitime face au concours ? (Je vous avoue que j’ai malheureusement dans la tête l’idée que l’agrégation reste accessible uniquement pour une élite...).
Je dirais que c'est assez personnel. Pour ma part, il m'a fallu trois tentatives pour lesquelles je n'ai pas fourni la même quantité de travail mais j'ai pu constater des progrès à chaque nouvelle tentative. La première fois, juste pour voir : je n'ai pas fait grand-chose mais mes notes m'ont laissé ce qu'il fallait de raison d'espérer faire mieux avec plus de travail. La deuxième fois, je pars plein de bonnes résolutions mais l'année scolaire (je bosse à temps plus que plein) se révèle trop chargée, je ne peux pas travailler correctement le concours : j'échoue mais avec des progrès notables (j'ai du mal à m'en convaincre : le jour des résultats de l'admissibilité, je n'ai vraiment pas le moral). La troisième fois : avec un peu d'aide extérieure, je me suis convaincu que je pouvais faire mieux, je fais du mieux que je peux pour travailler et -pour tout un tas de raisons, dont la chance- ça passe (même si mon classement n'est pas forcément brillant).
Un autre point déterminant, je pense, a été d'arrêter de faire trop attention aux discours du type : l'agrégation, c'est trop dur ; c'est un concours pour normaliens d'ailleurs il y a moins de postes que de normaliens (c'était le cas dans ma discipline à mon époque pour l'externe) ; l'externe c'est pas pour toi, pour la réussir, il faut être un érudit, etc. Discours que l'on intériorise très facilement, qui paralysent et qui anéantissent toute ambition. Je pense qu'il faut prendre acte d'un certain nombre de faits qu'on ne peut pas changer : oui, il y a peu de postes et c'est très difficile, surtout en bossant à côté (j'y ai laissé ma santé et l'ai payé l'année suivante) et/ou en ne pouvant pas avoir d'autres préparation ou ressources que le CNED (ma leçon à l'oral a dû être très révélatrice sur ce point) ; oui, il y a des épreuves ou des domaines qu'on ne maîtrise pas (là encore, dans ma discipline : les études d'économie ne préparent pas vraiment aux épreuves de l'agrégation de SES).
Mais je pense qu'il ne faut pas s'arrêter à ces discours, regarder le nombre de postes et ne tenter que si on considère qu'il y en a assez ou rester bloqué par les attendus des épreuves. A partir du moment où on accepte l'idée qu'il faudra sans doute s'y prendre à plus d'une fois, on peut être plus serein et accepter l'idée que chaque tentative nous permettra de progresser.
Je précise que je ne veux surtout faire l'insulte aux candidats malheureux de laisser entendre que le "yakafaukon" suffit (je suis parfaitement conscient qu'un concours, c'est d'abord un concours de circonstances) simplement expliquer comment j'ai abordé les choses. La Providence a fait que mon travail a été couronné de succès mais je crois que mon problème aurait été de savoir quand m'arrêter en cas d'échecs plus nombreux. Je dois avoir un rapport à l'échec un peu compliqué.
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- gauvain31Empereur
Lalectrice59 a écrit:Bonjour à tous,
Je n’ai jamais tenté l’agrégation mais en lisant vos expériences je me rends compte qu’il s’agit d’un concours qu’on doit envisager sur plusieurs années et honnêtement ça me fait stresser (je ne pense pas être la seule d’ailleurs lol) car je n’ai pas confiance en moi de base et je déteste l’échec (puisqu’il augmente ce manque de confiance justement).
Comment « se relever » et avoir la motivation de repartir à zéro l’année suivante ? Comment se sentir légitime face au concours ? (Je vous avoue que j’ai malheureusement dans la tête l’idée que l’agrégation reste accessible uniquement pour une élite...).
Tout d'abord , tout le monde est légitime pour passer l'agrégation. Il n'y a pas de collègue plus ou pins méritant par rapport à toi. L'échec, pour être accepté doit être générateur de réflexion. Je te dirais d'abord d'aller à Paris si c'est Possible pour voir des oraux, de t'inscrire à une formation
Par contre je ne sais pas ce que signifie "accessible pour une élite " ; c'est accessible pour tout ceux qui s'en donne réellement les moyens. La question qu'il faut se poser c'est "est-ce que j'ai envie au fond de moi d'avoir ce concours". Si c'est le cas il ne faut plus se dire "je ne suis pas fait pour se concours , mais se dire "C'est à a portée et y croire sincèrement. Se passe alors une bascule dans le tête qui fait que tu seras en position d'être éligible pour le concours.
J'ai toujours l'image dans ma tête de ce jeune judoka grec au JO d'Athènes en 2000 qui avait un regard qui disait tout, il gagnait combat sur combat et surtout son regard faisait bien passer un message à son adversaire "la médaille d'or sera pour moi". Aucune autre alternative n'existait pour lui. Et il a eu la médaille d'or.
C'est pareil pour l'agrégation , tu dois te mettre en position de te dire "ce concours est pour moi alors je me mettrai tous les moyens en œuvre pour que ce soit le cas". Et là tu auras fait un grand pas vers l'admission. Bref faut se mettre en "mode requin "
J'ai déjà assisté à un oral d'agrégation externe dans laquelle la candidate qui a fait un oral brillant avait cette gnac et un regard qui disait au jury '" donnez-moi cette p **** d'agrégation car je la mérite !!" Et elle a été admise.
Alors oui cela peut pendre plusieurs années, il faut savoir parfois être patient. Mais surtout , la clé est de partir vainqueur en se disant que cela prendra du temps mais que tu y arriveras.
Allez, courage à toi (et fonce !)
- LefterisEsprit sacré
Pas faux : souvent on se met des barrières soi-même. Il faut se dire qu'on vaut les autres, et que la chance départage : je ne dis pas le hasard, c'est pas le loto, mais comme le moindre point crée des écarts monstrueux, il faut quand même bien tomber. En lettres, c'est peut-être pire qu'ailleurs, notamment les dissertations, sujets de leçons. On le voit quand on l'a passée plusieurs fois, les notes font le grand écart, contrairement aux matières de savoirs, ou techniques, où ça se tient. Ensuite, il y a de moins en moins de normaliens, vu l'attrait du métier. Les normaliens d'ailleurs ne sont pas des extra-terrestres, mais ils sont dans "l'esprit" du concours, plus que les autres, ils ont le langage, certaines méthodes. Donc il faut se lancer. Moi, je n'osais pas l'externe, malgré des conseils que j''estimais peu pertinents car venant de la famille ou d'amis, j'avais peur de m'épuiser pour rien. Il a fallu que ce soit une universitaire qui me "débloque", en me disant que le format était mieux adapté pour pour moi (pas de cinoche, ratio langues anciennes plus fort, dissertation "classique"...).gauvain31 a écrit:Lalectrice59 a écrit:Bonjour à tous,
Je n’ai jamais tenté l’agrégation mais en lisant vos expériences je me rends compte qu’il s’agit d’un concours qu’on doit envisager sur plusieurs années et honnêtement ça me fait stresser (je ne pense pas être la seule d’ailleurs lol) car je n’ai pas confiance en moi de base et je déteste l’échec (puisqu’il augmente ce manque de confiance justement).
Comment « se relever » et avoir la motivation de repartir à zéro l’année suivante ? Comment se sentir légitime face au concours ? (Je vous avoue que j’ai malheureusement dans la tête l’idée que l’agrégation reste accessible uniquement pour une élite...).
Tout d'abord , tout le monde est légitime pour passer l'agrégation. Il n'y a pas de collègue plus ou pins méritant par rapport à toi. L'échec, pour être accepté doit être générateur de réflexion. Je te dirais d'abord d'aller à Paris si c'est Possible pour voir des oraux, de t'inscrire à une formation
Par contre je ne sais pas ce que signifie "accessible pour une élite " ; c'est accessible pour tout ceux qui s'en donne réellement les moyens. La question qu'il faut se poser c'est "est-ce que j'ai envie au fond de moi d'avoir ce concours". Si c'est le cas il ne faut plus se dire "je ne suis pas fait pour se concours , mais se dire "C'est à a portée et y croire sincèrement. Se passe alors une bascule dans le tête qui fait que tu seras en position d'être éligible pour le concours.
J'ai toujours l'image dans ma tête de ce jeune judoka grec au JO d'Athènes en 2000 qui avait un regard qui disait tout, il gagnait combat sur combat et surtout son regard faisait bien passer un message à son adversaire "la médaille d'or sera pour moi". Aucune autre alternative n'existait pour lui. Et il a eu la médaille d'or.
C'est pareil pour l'agrégation , tu dois te mettre en position de te dire "ce concours est pour moi alors je me mettrai tous les moyens en œuvre pour que ce soit le cas". Et là tu auras fait un grand pas vers l'admission. Bref faut se mettre en "mode requin "
J'ai déjà assisté à un oral d'agrégation externe dans laquelle la candidate qui a fait un oral brillant avait cette gnac et un regard qui disait au jury '" donnez-moi cette p **** d'agrégation car je la mérite !!" Et elle a été admise.
Alors oui cela peut pendre plusieurs années, il faut savoir parfois être patient. Mais surtout , la clé est de partir vainqueur en se disant que cela prendra du temps mais que tu y arriveras.
Allez, courage à toi (et fonce !)
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- IlonaHabitué du forum
Pour ma part, je pense qu'il ne faut pas mettre ses oeufs dans le même panier.
Notre employeur finira par ne pas tenir les promesses qui nous ont été faites lors de notre embauche, il convient donc de diversifier ses sources de revenus.
L'énergie mobilisée pour obtenir l'agrégation serait mieux utilisée à développer des sources de revenus alternatives à notre traitement (ou au moins complémentaires).
Notre employeur finira par ne pas tenir les promesses qui nous ont été faites lors de notre embauche, il convient donc de diversifier ses sources de revenus.
L'énergie mobilisée pour obtenir l'agrégation serait mieux utilisée à développer des sources de revenus alternatives à notre traitement (ou au moins complémentaires).
- LefterisEsprit sacré
Il faut faire les deux. J'ai bien réfléchi comme toi, et l'agrégation est quand même un filet de secours si on ne peut pas partir (charges lourdes, famille, déjà un reconversion comme moi avec retour en arrière impossible, j'ai essayé) ou qu'on a une qualification de seconde zone , littéraire il faut hélas l'avouer. L'agrégation reste la moins mauvaise des solutions, même si je reconnais que c'est aussi un cul-de-sac. Les plus jeunes peuvent consacrer cette énergie à se reconvertir, ou carrément à éviter l'EN malgré leur formation. Comme le montre la désaffection des concours, il y en a de plus en plus qui bifurquent après des années d'études littéraires et préparent des concours administratifs, suivent une autre formation. D'ailleurs avoir une autre source de revenus implique.. d'avoir déjà de meilleurs revenus ! Le fonctionnaire qui perçoit 3000 € au lieu de 2000€ peut mieux voir venir. Le différentiel énorme entre les enseignants et leurs équivalents représente des dizaines de milliers d'euros sur une carrière, voire des centaines. Quand je suis devenu enseignant, venant de la catégorie A "effective" j'ai perdu 14 000 euros annuels. Fais le calcul sur le long terme.Ilona a écrit:Pour ma part, je pense qu'il ne faut pas mettre ses oeufs dans le même panier.
Notre employeur finira par ne pas tenir les promesses qui nous ont été faites lors de notre embauche, il convient donc de diversifier ses sources de revenus.
L'énergie mobilisée pour obtenir l'agrégation serait mieux utilisée à développer des sources de revenus alternatives à notre traitement (ou au moins complémentaire).
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Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- TamatavienNiveau 1
Admissible puis refusé, 5 en leçon 7,5 expli 9 comp, je ne suis pas motivé pour reprendre le boulot car l'impression de réussite des oraux s'est transformée en mauvaises notes, sans que je vois le hic ! Comment progresser à l'oral si on se prend un gros 5 ?!
- TangledingGrand Maître
Sur quel oral as tu eu cette note ? ET ? Leçon ? Com?
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
Point et grille.
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- TamatavienNiveau 1
Leçon Villon 5 La ville de Paris dans les oe ; expli Mauprat Patience et le Tasse ; com Paso
- Clecle78Bon génie
J'ai eu des notes horribles à mon premier oral d'agrégation ( 2 ,5 , 7 de mémoire car c'est très très vieux maintenant). C'etait nettement mieux la fois suivante et j'ai réussi. Réfléchis à la reprise qui t'a été faite. C'est ce qui m'a guidée pour ne pas renouveler mes erreurs. Plus la lecture des rapports.
- naujeNiveau 9
Tamatavien a écrit: Comment progresser à l'oral si on se prend un gros 5 ?!
En cherchant pourquoi on a eu cette note! C'est pas compliqué. Et aussi en te disant que ces notes sont honorables car je crois que la moyenne des notes est à 7/20 en leçon en principe.
J'ai eu 6/20 en leçon sur Scarron...j'ai justement fait une leçon plus qu'une étude littéraire , j'ai compris ce qui a dysfonctionné ( au delà des 67 pages en fractionné qui m'ont été données )
Et ensuite j'étais en mode "panique" face aux questions pourtant simples du jury et auxquelles je savais répondre mais le stress a pris le dessus quand j'ai compris que tout partait en vrille et que je leur servais une leçon là où elles attendaient une étude !
Je vais rempiler cette année, plus sereine et philosophe en essayant de ne pas tomber dans le piège à nouveau.
Courage ! rempile !! Ce sont de bonnes notes !!
- adumbrateNiveau 10
nauje a écrit:Tamatavien a écrit: Comment progresser à l'oral si on se prend un gros 5 ?!
En cherchant pourquoi on a eu cette note! C'est pas compliqué. Et aussi en te disant que ces notes sont honorables car je crois que la moyenne des notes est à 7/20 en leçon en principe.
A l'interne, il me semble que c'est aux alentours de 10/20 (et 11/20 pour le film).
Après, avoir des mauvaises notes à l'oral n'empêche pas forcément d'avoir l'agrégation, si on a de l'avance à l'écrit. Et il y a une part aléatoire non négligeable : on peut tomber sur un sujet ou un auteur qui ne nous réussit vraiment pas.
- SeiGrand Maître
Je crois aussi qu'il faut avoir envie de préparer l'agrégation pour la tenter. Ça paraît bête de dire ça, mais bon, c'est plus facile de se sentir légitime si on est tout simplement enthousiaste à l'idée d'apprendre de nouvelles choses et de se plonger dans les œuvres au programme. Cette notion de plaisir permet aussi de relativiser l'échec et d'éviter de se considérer comme un requin si ce n'est pas notre tempérament.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
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