- Hermione0908Modérateur
C'est d'autant plus lourd qu'auparavant on avait au moins la possibilité de prendre de l'avance en comparée, car le programme de l'année n+1 à l'interne était le nouveau programme proposé aux externes lors de l'année n. Maintenant, c'est le nouveau programme pour les internes.
Pour ma part, je tente cette année pour la 4e fois, avec le congé de formation. J'ai tenté en 2012, 2013 et 2019 un peu en touriste (je travaillais la didactique, et je suivais la formation du paf, mais je n'avais pas lu toutes les œuvres et peu travaillé ce que j'avais lu), je n'ai évidemment pas été admissible. J'ai beaucoup plus travaillé cette année, mais c'est loin d'être suffisant à mon goût, il semble que j'ai débloqué un truc en didactique, on verra au prochain concours blanc samedi.
J'avais dit que si je rate cette année, j'arrête. Mais je crois que si je rate, je recommencerai l'an prochain, pour capitaliser sur ce que j'aurai engrangé.
Pour ma part, je tente cette année pour la 4e fois, avec le congé de formation. J'ai tenté en 2012, 2013 et 2019 un peu en touriste (je travaillais la didactique, et je suivais la formation du paf, mais je n'avais pas lu toutes les œuvres et peu travaillé ce que j'avais lu), je n'ai évidemment pas été admissible. J'ai beaucoup plus travaillé cette année, mais c'est loin d'être suffisant à mon goût, il semble que j'ai débloqué un truc en didactique, on verra au prochain concours blanc samedi.
J'avais dit que si je rate cette année, j'arrête. Mais je crois que si je rate, je recommencerai l'an prochain, pour capitaliser sur ce que j'aurai engrangé.
- naujeNiveau 9
Un petit message de courage Fiat Lux c'est ma deuxième tentative cette année, je suis allée à l'oral l'an passé et crois-moi on s'enrichit en formation et en ne lâchant rien ! C'est hyper dur de rempiler : temps plein + colles en prépa+ 1 heure sup en lycée et tout le programme qui change!
L'an passé j'ai eu de bonnes notes en didactique en formation et malheureusement je suis passée à l'oral avec seulement 8.5 en didactique. C'est la dissertation que j'avais pourtant plantée au concours blanc qui m'a aidée : comme quoi ...
Travaille la grammaire oui ... et surtout l'histoire littéraire parce que cela sert pour la didactique comme pour toutes les questions en littérature et en comparée pour l'oral. Courage ! et puis si tu étais à Lyon samedi dis toi que La fortune sera pour toi en Janvier pas pour les poètes ....
L'an passé j'ai eu de bonnes notes en didactique en formation et malheureusement je suis passée à l'oral avec seulement 8.5 en didactique. C'est la dissertation que j'avais pourtant plantée au concours blanc qui m'a aidée : comme quoi ...
Travaille la grammaire oui ... et surtout l'histoire littéraire parce que cela sert pour la didactique comme pour toutes les questions en littérature et en comparée pour l'oral. Courage ! et puis si tu étais à Lyon samedi dis toi que La fortune sera pour toi en Janvier pas pour les poètes ....
- FiatLuxFidèle du forum
En fait j'avais déjà tenté l'année dernière mais en étant inscrite seulement au CNED, ce qui ne me convenait pas. J'avais jeté l'éponge vers décembre. Je rempilerai donc sûrement l'année prochaine en cas d'échec mais je n'aurai jamais la patience et le courage de le faire cinq ans, en revanche. Vous avez toute mon admiration.
Ah, toi aussi tu as eu droit à ce merveilleux sujet sur la Fortune, nauje. Quelle chance ... :lol:
Ah, toi aussi tu as eu droit à ce merveilleux sujet sur la Fortune, nauje. Quelle chance ... :lol:
- jeanneÉrudit
En effet... c'est parce que c'était une charge de travail énorme que je n'avais pas réussi à m'y mettre, trop prise par la préparation du programme. Ce n'est évidemment pas un modèle à suivre, mais je voulais juste te dire que c'était possible de réussir même sans travailler la grammaire. J'ai bidouillé un truc très bateau à la fin de la préparation de l'épreuve, et le jury n'est pas vraiment revenu dessus. J'ai eu 12.FiatLux a écrit:. Par contre, j'imagine qu'avoir travaillé la grammaire est un gain certain. Cette matière à elle seule demande une charge de travail considérable.
- ChlidéNiveau 9
Bonjour
J’étais bi-ad depuis 2006. Cela me restait en travers de la gorge. J’avais bossé comme une folle la 2eme année et l’ai manquée de peu à l’époque. J’ai du prendre un très long temps de recul. L’année passée, l’étant remise aux études pour la certif de FLS, je me suis dit que débordée par les deux filles, le quotidien de la maison... c’était mon année. Je pensais repartir pour deux-trois ans. Au début de la préparation, je ne me faisais pas d’illusion. J’avais un temps partiel à 70% et une classe Upe2a en Lycee. Donc beaucoup moins de boulot de correction. J’ai travaillé comme une dingue car petit a petit je sentais que les capacités intellectuelles revenaient. Je n’ai pris aucun organisme de formation, ne voulant pas dépenser des sous inutilement, ayant trop peur d’abandonner. J’ai bossé par moi-meme, suivant les cours de didactique du PAF le mercredi après-midi. J’ai fait deux entraînements de dida en 7h. J’ai fait des impasses. Notamment sur l’ auteur qui est tombé que j’avais travaillé bien moins que les autres. J’ai passé les écrits Dans des conditions effroyables (temps de route sur neige, baby-sitter qui me plante le jour même...) Un truc plus fort que moi m’a dépassée. La rage de réussir. Et surtout la légitimité intimement acquise au fil du temps que j’étais digne de réussir ce concours (pour l’externe je pense que j’avais fait une sortie de blocage « quoi moi fille d’ouvriers, avec un père analphabète, moi qui suis la 1ere à passer le bac dans la famille, la 1ere à faire des études hautes, moi je réussirais LE concours prestigieux?... je me suis sabotée toute seule à l’époque). L’année dernière j’étais en auto-motivation perpétuelle. J’ai eu 10 en dida et 13,5 en dissert de littérature. Je n’avais pas fait un seul entraînement depuis 2006. Mais la méthodologie de l’exercice est comme imprégnée en moi. Les oraux ont été une période horrible de préparation. J’étais épuisée et redoutais de revivre mes échecs passés. Ça a été vraiment compliqué. Mais voilà, j’ai eu des sujets qui me satisfaisaient assez, j’ai pu limiter les dégâts. J’ai été mise à l’aise par des jurys vraiment agréables. J’avais le soutien de mon inspecteur lui-même membre du jury qui m’avait corrigée à la écrit et qui nous avait fait passer des oraux. Un monsieur extraordinaire. J’ai pris confiance en moi. Bon, j’en menais pas large dans la cour du lycée le jour de la réunion, étant seule de mon académie. Enfin ce qui se joue est très personnel. Je sens vraiment que j’ai du puiser au fond de moi, me dépasser, dépasser mes peurs, et surtout entre moi et moi-même, avoir confiance. Déraisonnablement intérieurement. Mais c’est un concours. J’ai eu des notes pas terribles mais pas catastrophiques et un 12 en leçon a sauvé la mise. J’ai même pris plaisir durant la leçon sur Scarron. C’était un sentiment incroyable pour moi qui elle souvenais de la jeune femme terrorisée dans la cour de Henri IV en 2006, le jeune femme qui ne se sentait pas à sa place. C’est tout un cheminement. J’avais enfin ma place par ce plaisir transmis. Et c’est passé. A mon grand étonnement. Du 1er coup.
Donc oui il faut tenter et retenter. Mais aussi réfléchir à ses failles. J’ai rencontré une dame qui était admissible pour la 7eme..8eme fois? A l’externe et à l’interne. Apparemment quelque chose ne passait pas à l’oral. De fait quand nous avons discuté un peu, elle avait affirmé sans hésitation que Les Mémoires de Beauvoir était un roman. En refusant totalement d’envisager la dénomination générique autrement. Et en prenant les jurys de haut pour lui avoir posé la question... entre autres exemples. Je pense qu’un souci d’attitude empêchait cette dame d’être admise. L’aura-t-elle été cette fois, je ne sais pas...
Courage à tout le monde. C’est vraiment une drôle d’épreuve. Mais on en sort tellement grandi. Et fier...
J’étais bi-ad depuis 2006. Cela me restait en travers de la gorge. J’avais bossé comme une folle la 2eme année et l’ai manquée de peu à l’époque. J’ai du prendre un très long temps de recul. L’année passée, l’étant remise aux études pour la certif de FLS, je me suis dit que débordée par les deux filles, le quotidien de la maison... c’était mon année. Je pensais repartir pour deux-trois ans. Au début de la préparation, je ne me faisais pas d’illusion. J’avais un temps partiel à 70% et une classe Upe2a en Lycee. Donc beaucoup moins de boulot de correction. J’ai travaillé comme une dingue car petit a petit je sentais que les capacités intellectuelles revenaient. Je n’ai pris aucun organisme de formation, ne voulant pas dépenser des sous inutilement, ayant trop peur d’abandonner. J’ai bossé par moi-meme, suivant les cours de didactique du PAF le mercredi après-midi. J’ai fait deux entraînements de dida en 7h. J’ai fait des impasses. Notamment sur l’ auteur qui est tombé que j’avais travaillé bien moins que les autres. J’ai passé les écrits Dans des conditions effroyables (temps de route sur neige, baby-sitter qui me plante le jour même...) Un truc plus fort que moi m’a dépassée. La rage de réussir. Et surtout la légitimité intimement acquise au fil du temps que j’étais digne de réussir ce concours (pour l’externe je pense que j’avais fait une sortie de blocage « quoi moi fille d’ouvriers, avec un père analphabète, moi qui suis la 1ere à passer le bac dans la famille, la 1ere à faire des études hautes, moi je réussirais LE concours prestigieux?... je me suis sabotée toute seule à l’époque). L’année dernière j’étais en auto-motivation perpétuelle. J’ai eu 10 en dida et 13,5 en dissert de littérature. Je n’avais pas fait un seul entraînement depuis 2006. Mais la méthodologie de l’exercice est comme imprégnée en moi. Les oraux ont été une période horrible de préparation. J’étais épuisée et redoutais de revivre mes échecs passés. Ça a été vraiment compliqué. Mais voilà, j’ai eu des sujets qui me satisfaisaient assez, j’ai pu limiter les dégâts. J’ai été mise à l’aise par des jurys vraiment agréables. J’avais le soutien de mon inspecteur lui-même membre du jury qui m’avait corrigée à la écrit et qui nous avait fait passer des oraux. Un monsieur extraordinaire. J’ai pris confiance en moi. Bon, j’en menais pas large dans la cour du lycée le jour de la réunion, étant seule de mon académie. Enfin ce qui se joue est très personnel. Je sens vraiment que j’ai du puiser au fond de moi, me dépasser, dépasser mes peurs, et surtout entre moi et moi-même, avoir confiance. Déraisonnablement intérieurement. Mais c’est un concours. J’ai eu des notes pas terribles mais pas catastrophiques et un 12 en leçon a sauvé la mise. J’ai même pris plaisir durant la leçon sur Scarron. C’était un sentiment incroyable pour moi qui elle souvenais de la jeune femme terrorisée dans la cour de Henri IV en 2006, le jeune femme qui ne se sentait pas à sa place. C’est tout un cheminement. J’avais enfin ma place par ce plaisir transmis. Et c’est passé. A mon grand étonnement. Du 1er coup.
Donc oui il faut tenter et retenter. Mais aussi réfléchir à ses failles. J’ai rencontré une dame qui était admissible pour la 7eme..8eme fois? A l’externe et à l’interne. Apparemment quelque chose ne passait pas à l’oral. De fait quand nous avons discuté un peu, elle avait affirmé sans hésitation que Les Mémoires de Beauvoir était un roman. En refusant totalement d’envisager la dénomination générique autrement. Et en prenant les jurys de haut pour lui avoir posé la question... entre autres exemples. Je pense qu’un souci d’attitude empêchait cette dame d’être admise. L’aura-t-elle été cette fois, je ne sais pas...
Courage à tout le monde. C’est vraiment une drôle d’épreuve. Mais on en sort tellement grandi. Et fier...
- PoupoutchModérateur
Oui, la question de la légitimité est importante. il faut réussir à trouver l'attitude juste par rapport à ce concours : ne pas avoir l'impression d'être tout petit face à une infranchissable muraille : c'est accessible. Mais ne pas non plus se sentir trop légitime (comme dans l'exemple que donne Childé).
Conseil de mon psy : l'assurance, c'est savoir qu'on saura rebondir en cas d'échec, mais sans s'interdire de penser au succès. J'ai fait un gros travail là dessus avant les oraux. Il m'a forcée à envisager le retour au lycée après les résultats, comment je ferai s'ils sont négatifs, comment je me sentirai... Je me suis alors rendu compte que j'avais toujours abordé les oraux en n'envisageant pas l'échec (ou en le pensant comme un truc insurmontable) et que ça me tétanisait. Et là, j'ai eu plaisir à aller les passer (et ce, d'autant plus que cela constituait une parenthèse dans le ronron des cours et du quotidien du lycée). Et, fait très amusant, j'avais vraiment préparé psychologiquement mes parents à un éventuel échec, face auquel ils me trouvaient étonnamment sereine. Et le jour de la proclamation des résultats, j'étais déjà rentrée à Lille et c'est mon papa qui est allé voir la liste dans la cour du lycée. Il a pleuré au téléphone, et je ne pense pas l'avoir entendu pleurer plus de 3 fois dans mes 37 années de vie. C'est un moment qui me met toujours la larme à l'oeil, et rien que ça, ça a racheté tous les sacrifices des années de préparation.
Pour ce qui est de l'après, au-delà des sous, j'apprécie vraiment énormément d'avoir 3h de moins. c'est une classe de moins, en fait et plus de temps pour soi. Par contre, j'ai encore une petite nostalgie des concours : la dernière année, j'ai vraiment aimé tout ce décorum (l'hôtel la nuit d'avant, l'installation des snacks, stylos, crayons, l'angoisse du sujet, la réflexion, le sentiment de satisfaction à la sortie des 7h d'épreuve...). oui, je sais, je suis maso !
Conseil de mon psy : l'assurance, c'est savoir qu'on saura rebondir en cas d'échec, mais sans s'interdire de penser au succès. J'ai fait un gros travail là dessus avant les oraux. Il m'a forcée à envisager le retour au lycée après les résultats, comment je ferai s'ils sont négatifs, comment je me sentirai... Je me suis alors rendu compte que j'avais toujours abordé les oraux en n'envisageant pas l'échec (ou en le pensant comme un truc insurmontable) et que ça me tétanisait. Et là, j'ai eu plaisir à aller les passer (et ce, d'autant plus que cela constituait une parenthèse dans le ronron des cours et du quotidien du lycée). Et, fait très amusant, j'avais vraiment préparé psychologiquement mes parents à un éventuel échec, face auquel ils me trouvaient étonnamment sereine. Et le jour de la proclamation des résultats, j'étais déjà rentrée à Lille et c'est mon papa qui est allé voir la liste dans la cour du lycée. Il a pleuré au téléphone, et je ne pense pas l'avoir entendu pleurer plus de 3 fois dans mes 37 années de vie. C'est un moment qui me met toujours la larme à l'oeil, et rien que ça, ça a racheté tous les sacrifices des années de préparation.
Pour ce qui est de l'après, au-delà des sous, j'apprécie vraiment énormément d'avoir 3h de moins. c'est une classe de moins, en fait et plus de temps pour soi. Par contre, j'ai encore une petite nostalgie des concours : la dernière année, j'ai vraiment aimé tout ce décorum (l'hôtel la nuit d'avant, l'installation des snacks, stylos, crayons, l'angoisse du sujet, la réflexion, le sentiment de satisfaction à la sortie des 7h d'épreuve...). oui, je sais, je suis maso !
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- naujeNiveau 9
Plaisir de te lire Childé... je me souviens de toi dans la cour du lycée. Je suis contente de notre rencontre, de nos échanges. Je suis très seule cette année dans la formation et j'ai passé 2 mois (septembre-octobre) au bord du gouffre de la dépression. J'en sors peu à peu parce que je me dis que je fais ce que je peux et on verra bien ! j'ai un super poste, je ne peux espérer mieux si ce n'est avoir une classe de moi alors peu d'enjeux ....
- ChlidéNiveau 9
Dans la cour du lycée, les concurrents devenaient concrets et j’essayais de toutes les forces de me dire « non celui-ci ne semble pas plus préparé ou digne de réussir que toi parce qu’il a une belle cravate » où je ne sais quelle absurdité dans le même genre. Heureusement qu’on a eu ce bref échange!
Nauje, cette année est la pire peut-être quand on a un service normal au lycée avec tous les cours ou presque à refaire. Ne te mine pas trop. Laisse toi le temps car ce changement imposé par la réforme est immense.
Poupoutch, moi aussi l’idée m’est venue quand j’ai eu la confirmation que j’avais réussi. Je me suis dit mince, c’est fini... j’ai aussi aimé ce challenge de la dissert en 7h, ce remue-méninges intellectuel dans lequel tu vas chercher les ressources au plus profond, puis le séjour à Paris sans les enfants (je ne suis jamais sans les enfants pour ainsi dire donc quelques jours seule à Paris pour m’occuper de moi et que de moi, dans ma chambre de bonne perchée sous les toits, pendant les émeutes des gilets jaunes, ça a été un plaisir infini!!).
Nauje, cette année est la pire peut-être quand on a un service normal au lycée avec tous les cours ou presque à refaire. Ne te mine pas trop. Laisse toi le temps car ce changement imposé par la réforme est immense.
Poupoutch, moi aussi l’idée m’est venue quand j’ai eu la confirmation que j’avais réussi. Je me suis dit mince, c’est fini... j’ai aussi aimé ce challenge de la dissert en 7h, ce remue-méninges intellectuel dans lequel tu vas chercher les ressources au plus profond, puis le séjour à Paris sans les enfants (je ne suis jamais sans les enfants pour ainsi dire donc quelques jours seule à Paris pour m’occuper de moi et que de moi, dans ma chambre de bonne perchée sous les toits, pendant les émeutes des gilets jaunes, ça a été un plaisir infini!!).
- FiatLuxFidèle du forum
jeanne a écrit:En effet... c'est parce que c'était une charge de travail énorme que je n'avais pas réussi à m'y mettre, trop prise par la préparation du programme. Ce n'est évidemment pas un modèle à suivre, mais je voulais juste te dire que c'était possible de réussir même sans travailler la grammaire. J'ai bidouillé un truc très bateau à la fin de la préparation de l'épreuve, et le jury n'est pas vraiment revenu dessus. J'ai eu 12.
C'est en effet très rassurant, merci ! Je m'y mets sérieusement dès la semaine prochaine.
- AnnaElissaNiveau 5
Quand je lis tous vos témoignages, ce qui me touche, c'est le grand sentiment d'humilité qui en ressort. Je comprends également que tous les doutes qui m'assaillent sont le lot de beaucoup et c'est très instructif d'avoir les témoignages de personnes qui sont maintenant agrégées mais qui ont éprouvé tout cela et fait un cheminement loin d'être linéaire.
Pour ma part, l'année dernière, je suis allée aux écrits les mains dans les poches, pour voir, en prévision de mon futur congé de formation. Épreuve de didactique: j'avais lu Flaubert il y a vingt ans, je n'avais jamais fait de composition, je ne connaissais pas les programmes. Je suis restée, j'ai fini. J'y ai pris beaucoup de plaisir et je ne me suis pas censurée, car il n'y avait aucun enjeu. J'ai été admissible. Le temps de me décider à aller aux oraux, j'ai dû tout lire en trois semaines. J'ai raté de peu, mais je ne regrette pas, car j'ai vraiment eu du plaisir à passer les épreuves, même quand c'était éprouvant.
Cette année, je suis en congé de formation. Je trouve que la préparation est beaucoup plus difficile à gérer. Je n'ai que ça à faire et je tourne un peu en rond, avec le sentiment de ne pas en faire assez, de ne pas faire comme il faudrait. J'ai fait six sujets de didactique et je commence juste à trouver que ça décolle, et encore (je réussis à trouver l'épreuve plus obscure que l'an dernier où je n'avais rien préparé).
J'ai du mal à me sentir à la hauteur, voire à être légitime. Plus j'avance, moins ce que j'ai réussi à faire l'an dernier me rassure. Je ne le vois plus comme un point de départ, à partir duquel progresser, mais comme quelque chose que je n'arriverais plus à refaire. Alors je ne peux qu'adhérer à ce qui a été dit plusieurs fois: le combat, il est surtout contre soi-même. Ce n'est pas qu'une épreuve où il faut être au point sur le programme, mais où il faut tenir dans la longueur et réussir à se gérer psychologiquement, et ça, aucune formation ne nous l'apprendra. J'ai bien conscience que dans quelques mois, ce parcours intérieur portera d'une façon ou d'une autre ses fruits, mais en attendant, comme dans le conte, j'aimerais bien tirer la ficelle du temps pour arriver aux mois de mai-juin.
Pour ma part, l'année dernière, je suis allée aux écrits les mains dans les poches, pour voir, en prévision de mon futur congé de formation. Épreuve de didactique: j'avais lu Flaubert il y a vingt ans, je n'avais jamais fait de composition, je ne connaissais pas les programmes. Je suis restée, j'ai fini. J'y ai pris beaucoup de plaisir et je ne me suis pas censurée, car il n'y avait aucun enjeu. J'ai été admissible. Le temps de me décider à aller aux oraux, j'ai dû tout lire en trois semaines. J'ai raté de peu, mais je ne regrette pas, car j'ai vraiment eu du plaisir à passer les épreuves, même quand c'était éprouvant.
Cette année, je suis en congé de formation. Je trouve que la préparation est beaucoup plus difficile à gérer. Je n'ai que ça à faire et je tourne un peu en rond, avec le sentiment de ne pas en faire assez, de ne pas faire comme il faudrait. J'ai fait six sujets de didactique et je commence juste à trouver que ça décolle, et encore (je réussis à trouver l'épreuve plus obscure que l'an dernier où je n'avais rien préparé).
J'ai du mal à me sentir à la hauteur, voire à être légitime. Plus j'avance, moins ce que j'ai réussi à faire l'an dernier me rassure. Je ne le vois plus comme un point de départ, à partir duquel progresser, mais comme quelque chose que je n'arriverais plus à refaire. Alors je ne peux qu'adhérer à ce qui a été dit plusieurs fois: le combat, il est surtout contre soi-même. Ce n'est pas qu'une épreuve où il faut être au point sur le programme, mais où il faut tenir dans la longueur et réussir à se gérer psychologiquement, et ça, aucune formation ne nous l'apprendra. J'ai bien conscience que dans quelques mois, ce parcours intérieur portera d'une façon ou d'une autre ses fruits, mais en attendant, comme dans le conte, j'aimerais bien tirer la ficelle du temps pour arriver aux mois de mai-juin.
- ScarroneNiveau 1
Anna Elissa, je suis presque dans le même cas que toi! J'y suis allée l'an dernier sans aucune pression, pour mesurer mon envie de m'y remettre. J'avais lu deux fois les oeuvres, pas suivi de cours, pas rendu de devoirs. J'ai passé l'oral dans des conditions personnelles particulièrement difficiles, et je ne l'ai pas eue (mais j'ai eu des notes honorables). Je n'ai pas pris de congé de formation pour des raisons financières, je manque de temps de manière terrible et je n'ai rendu que deux devoirs de didactique où j'ai eu des notes lamentables...Je suis en retard, je trouve les oeuvres bien plus difficiles que l'an dernier, et je me sens toujours aussi nulle en didactique...Je trouve ça très difficile aussi, j'ai été admissible au ras des pâquerettes et j'ai peur de manquer l'admissibilité de peu cette année.
Je suis entièrement d'accord avec vous: c'est un combat contre soi-même, et un concours, donc je me rassure en me disant que quelle que soit la prépa, les notes, le temps, l'essentiel c'est de réussir le jour J.
Je suis entièrement d'accord avec vous: c'est un combat contre soi-même, et un concours, donc je me rassure en me disant que quelle que soit la prépa, les notes, le temps, l'essentiel c'est de réussir le jour J.
- dansesNiveau 9
@AnnaElissa: l'agrégation est à mon sens un concours qui s'aborde, se passe et se conclut avec humilité... Avant (c'est un Everest de préparation), pendant (on est parfois confronté à ses propres limites, on essaie de se dépasser cependant ), après (même admis, ne jamais oublier tous les sujets absolument délirants sur lesquels on aurait pu tomber et échouer !). Par ailleurs, vu la déliquescence de nos métiers l'agrégation participe aussi d'une forme de reconnaissance que l'on peine trop souvent à trouver au quotidien. Rien que de s'y frotter, c'est déjà formidable en soi en tous les cas. Beaucoup n'osent pas. Vous, si. Allez, hauts les cœurs !
- PoupoutchModérateur
Je suis sincèrement convaincue qu'avec un congé formation, je n'aurais pas réussi le concours. C'est évidemment personnel ces choses là, et je n'ai pas d'enfants, donc possibilité de travailler le soir et le week-end et de couper sur un certain nombre de tâches ménagères. Mais je crois que malgré le haut niveau attendu pour le concours, il s'agit avant tout d'être pragmatique et de faire au mieux dans le temps imparti aux révisions. Évidemment, je suis bien persuadée qu'il existe de nombreux contre-exemples !
En ce qui concerne l'humilité, je rejoins totalement Danses. Il ne faut pas oublier que le facteur chance est important : parfois, un mauvais ou un bon tirage fait la différence entre réussite et échec !
En ce qui concerne l'humilité, je rejoins totalement Danses. Il ne faut pas oublier que le facteur chance est important : parfois, un mauvais ou un bon tirage fait la différence entre réussite et échec !
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- ChlidéNiveau 9
Oh que oui!! Surtout pour l’oral ! Quand je suis sortie de ma leçon avec mon EL sur un passage de comique de répétition sur Scarron et que j’ai entendu certains sujets, type La politique dans l’ES, je me suis dit qu’en effet je m’en sortais très bien! Un sujet comme de nombreux que j’ai entendus et ça ne serait pas passé, c’est clair!
- IllianeExpert
Quatre passages de l'agrégation, trois admissibilités. Même si le programme change tous les ans en LM, ces différentes années m'ont permis de bien progresser en méthode et dans les matières techniques, et c'est grâce à cela que j'ai réussi le concours (bons résultats en dissertation sur oeuvre et dans les versions, honorables pour la morphosyntaxe). Je n'ai pas fait de miracle à l'oral la dernière année (sauf une bonne note sur le hors-programme), mais l'écrit avait été suffisamment solide pour me permettre de franchir le cap. Il ne faut donc pas se décourager et persévérer !
- LefterisEsprit sacré
C'est vrai : quand on l'a , on a parfois fait à peine mieux que quand on échoue de près. Hormis quelques aigles qui survolent et des touristes qui de toute manière ne vont que rarement à l'oral, tout le monde se tient quand on rapporte la note sur 10, ça fonctionne à trois chiffres après la virgule. Les coefficients énormes créent des écarts de points, mais quand on voit ce que ça représente à l'arrivée, où un gros peloton se tient... Une année, il me manquait 12 ou 13 points pour l'admission, c'est-à-dire un cheveu et malgré un sujet quasi "délirant". Ca fait rager. Une collègue a fait "mieux" : échec à 5 points, on ne doit pas pouvoir être plus près.danses a écrit:@AnnaElissa : l'agrégation est à mon sens un concours qui s'aborde, se passe et se conclut avec humilité... Avant (c'est un Everest de préparation), pendant (on est parfois confronté à ses propres limites, on essaie de se dépasser cependant ), après (même admis, ne jamais oublier tous les sujets absolument délirants sur lesquels on aurait pu tomber et échouer !). Par ailleurs, vu la déliquescence de nos métiers l'agrégation participe aussi d'une forme de reconnaissance que l'on peine trop souvent à trouver au quotidien. Rien que de s'y frotter, c'est déjà formidable en soi en tous les cas. Beaucoup n'osent pas. Vous, si. Allez, hauts les cœurs !
C'est en effet une forme de reconnaissance, comme je m'en suis aperçu au fur et à mesure, n'ayant pas au départ cette culture professionnelle qui sacralise diplômes et concours. Pour moi, pragmatique, c'était une amélioration nécessaire de mon quotidien et un rattrapage partiel de ce que j'avais perdu en quittant un métier de catégorie A. Mais je l'ai senti dans les discussions des collègues, puis dans le regard porté sur moi, l'agrég paraît porteuse d"autre chose que cette amélioration de la vie pour certains, c'est dur à définir.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- SaloumHabitué du forum
Je suis comme toi, FiatLux : au moment de la prise de conscience irrémédiable et lucide de mes "faiblesses", en l'occurrence, la lenteur avec laquelle je réfléchis et j'écris. C'est presque ontologique, chez moi car je suis lente depuis toujours. Ça a parfois été une qualité, parfois pas. Mais c'est la première fois que ça me met en réelle difficulté sur le plan "scolaire". Là, notamment, je réalise que c'est la raison pour laquelle je ne pourrai pas avoir ce concours. J'ai tout essayé pour apprivoiser l'épreuve de didactique, rien ne fonctionne : je n'arrive pas à finir en 7 heures, je n'arrive pas à faire une explication de texte en 20 minutes, ni une intro en 30. Quand je vois ce que certains arrivent à écrire en 17 pages quand j'en remplis péniblement 8, je suis désespérée.
Au point où j'en suis, je me dis deux choses :
- seul un coup de chance peut me permettre d'être admissible (j'ai eu 11 à cette épreuve de dida en me présentant une année, sans méthode, sans travail de préparation, et en finissant dans les temps !!)
- je continue de travailler pour le plaisir que ça m'apporte, l'enrichissement personnel et le challenge.
COURAGE !
Au point où j'en suis, je me dis deux choses :
- seul un coup de chance peut me permettre d'être admissible (j'ai eu 11 à cette épreuve de dida en me présentant une année, sans méthode, sans travail de préparation, et en finissant dans les temps !!)
- je continue de travailler pour le plaisir que ça m'apporte, l'enrichissement personnel et le challenge.
COURAGE !
- AsterNiveau 6
Bonsoir à tous,
Saloum tu es arrivée à finir en 7 heures, et le jour J qui plus est !
Quand j'ai commencé la préparation au concours, ma première dissert m'a demandé 30 heures, aujourd'hui j'en suis à 7h30 - 7h45, mais le jour J en 2018 j'ai rendu un devoir complet, l'adrénaline a produit son effet.
Autre preuve que nous pouvons progresser : j'ai rendu des copies blanches pendant trois ans - un perfectionnisme que je n'arrivais pas à faire taire -, et l'année où je vais jusqu'au bout, je suis admissible.
Et encore : j'ai pas mal ramé avec des 7 - 8 - 9 en dissert pendant la prep, et je sens que cette année j'ai progressé.
Et, oui, quelle lutte avec (mais pour) soi-même !!!
Saloum tu es arrivée à finir en 7 heures, et le jour J qui plus est !
Quand j'ai commencé la préparation au concours, ma première dissert m'a demandé 30 heures, aujourd'hui j'en suis à 7h30 - 7h45, mais le jour J en 2018 j'ai rendu un devoir complet, l'adrénaline a produit son effet.
Autre preuve que nous pouvons progresser : j'ai rendu des copies blanches pendant trois ans - un perfectionnisme que je n'arrivais pas à faire taire -, et l'année où je vais jusqu'au bout, je suis admissible.
Et encore : j'ai pas mal ramé avec des 7 - 8 - 9 en dissert pendant la prep, et je sens que cette année j'ai progressé.
Et, oui, quelle lutte avec (mais pour) soi-même !!!
- Hermione0908Modérateur
Je confirme pour la lutte contre soi-même, j'ai fait un concours blanc de didactique aujourd'hui, au bout de 4h j'avais envie de tout envoyer bouler. Et pourtant, mon dernier devoir était très encourageant, et c'est loin d'être ma première confrontation à l'exercice (si je compte bien, j'en ai déjà fait 7 blancs, 3 vrais et 1 partiel, juste l'intro et le projet didactique). Et c'est vraiment soi-même son pire ennemi. J'ai eu un petit moment de grâce pendant la rédaction, une demi-heure, 3/4h où je me suis éclatée à écrire, vraiment, c'est la première fois ça en revanche.
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- ernyaFidèle du forum
Je suis complètement d'accord avec vous. En ce moment, je traverse une période à vide où je perds complètement confiance en moi dès lors que je dois rédiger une dissertation sur auteur. Dès que je passe au moment de rédaction de l'intro, je ne parviens plus à rédiger correctement, j'écris n'importe quoi et perds totalement confiance en moi. Je me mets à douter de mon plan et de ma capacité à faire une dissertation. Résultat, je ne parviens plus à écrire une ligne.
Je n'avais jamais été confrontée à un tel blocage. Je pense que c'est la fatigue plus le fait que comme je suis chez moi, je "sais" que je peux me permettre d'hésiter, de recommencer plusieurs fois, etc (ce qui serait impossible en condition réelle sous peine de ne rien rendre ou du moins pas un devoir complet).
Ca doit être la mauvaise période : pas de luminosité, fatigue qui s'accumule depuis novembre, surcharge de devoirs à rendre à Sévigné.
Heureusement les vacances approchent et les jours vont rallonger !
Je n'avais jamais été confrontée à un tel blocage. Je pense que c'est la fatigue plus le fait que comme je suis chez moi, je "sais" que je peux me permettre d'hésiter, de recommencer plusieurs fois, etc (ce qui serait impossible en condition réelle sous peine de ne rien rendre ou du moins pas un devoir complet).
Ca doit être la mauvaise période : pas de luminosité, fatigue qui s'accumule depuis novembre, surcharge de devoirs à rendre à Sévigné.
Heureusement les vacances approchent et les jours vont rallonger !
- EmmaLeyNiveau 2
Ne l'ayant pas eue la première fois, je n'ai pas eu le courage de retenter en suivant, peut-être dans quelques temps...
Bon courage à vous courageux et courageuses !
Bon courage à vous courageux et courageuses !
- User7917Niveau 9
Hermione0908 a écrit:C'est d'autant plus lourd qu'auparavant on avait au moins la possibilité de prendre de l'avance en comparée, car le programme de l'année n+1 à l'interne était le nouveau programme proposé aux externes lors de l'année n. Maintenant, c'est le nouveau programme pour les internes.
Pour ma part, je tente cette année pour la 4e fois, avec le congé de formation. J'ai tenté en 2012, 2013 et 2019 un peu en touriste (je travaillais la didactique, et je suivais la formation du paf, mais je n'avais pas lu toutes les œuvres et peu travaillé ce que j'avais lu), je n'ai évidemment pas été admissible. J'ai beaucoup plus travaillé cette année, mais c'est loin d'être suffisant à mon goût, il semble que j'ai débloqué un truc en didactique, on verra au prochain concours blanc samedi.
J'avais dit que si je rate cette année, j'arrête. Mais je crois que si je rate, je recommencerai l'an prochain, pour capitaliser sur ce que j'aurai engrangé.
ça veut dire que pour 2021, on n'aura pas "le pouvoir en scène" ? Je pensais que pour les internes, c'était comme ça encore J'ai dû rater une étape...
- AsterNiveau 6
C'est ça Malo, "Le Pouvoir en scène" était à l'interne en 2019. Bonne journée
- Créon2017Niveau 5
Bonjour, je me lance dans la préparation pour 2021et je me demandais : quelqu'un aurait-il un livre ou un manuel à me conseiller pour combler mes lacunes en critique/théorie littéraire ? Quelque chose de complet... Merci
- Hermione0908Modérateur
150 textes théoriques et critiques de Vassevière et Toursel.
C'est une référence qui revient régulièrement. Je l'ai acheté cette année, ça fait un bon tour d'horizon.
https://www.amazon.fr/Litt%C3%A9rature-150-textes-th%C3%A9oriques-critiques/dp/2200601336
C'est une référence qui revient régulièrement. Je l'ai acheté cette année, ça fait un bon tour d'horizon.
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- Créon2017Niveau 5
Merci beaucoup. J'en ai déjà entendu parler en effet...
Y a-t-il des rumeurs sur le nouveau programme ou est-ce encore trop tôt ?
Y a-t-il des rumeurs sur le nouveau programme ou est-ce encore trop tôt ?
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