- trompettemarineMonarque
Chez nous, c'est un carnage en lettres : près de quarante heures supprimées en français et langues anciennes.
Les élèves feront moins de français qu'avant et tous seront parqués dans des classes à 35, voire 36 élèves.
La réforme de Blanquer qui ne soutient qu'en façade les langues anciennes, puisqu'elle n'impose rien aux chefs d'établissement de collèges et lycées, achève ce que la réforme de NVB a commencé : je verrai mourir les langues anciennes au lycée d'ici peu.
Comme je regrette d'avoir choisi ce métier...
Les élèves feront moins de français qu'avant et tous seront parqués dans des classes à 35, voire 36 élèves.
La réforme de Blanquer qui ne soutient qu'en façade les langues anciennes, puisqu'elle n'impose rien aux chefs d'établissement de collèges et lycées, achève ce que la réforme de NVB a commencé : je verrai mourir les langues anciennes au lycée d'ici peu.
Comme je regrette d'avoir choisi ce métier...
- laMissSage
trompettemarine a écrit:
Comme je regrette d'avoir choisi ce métier...
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- Une passanteEsprit éclairé
Mika a écrit:Bonjour à tous,
J'ai une question très simple.
On a reçu notre DHG avec une diminution des heures postes, mais une augmentation des HSA. Bref, notre chef fait le forcing pour qu'un max de hsa soit pris quitte à ne pas avoir de bmp en temps plein et à ne pas créer des compléments de services pour les derniers arrivants. Or, la plupart des collègues ne souhaitent faire un minimum de HSA.
Est-ce-que que CA a son mot à dire sur les HSA (et donc sur le nombre de bmp que l'on demande suite à la dhg) ou est-ce à la discrétion exclusive de chef d'établissement.
Merci d'avance pour vos réponses et bonne soirée.
Je pense qu'il doit manquer quelques mots, je ne comprends pas bien ta question.
En ce qui concerne le nombre d'HSA, elles sont attribuées par le rectorat, mais, si vous refusez collectivement de ne pas en prendre davantage que ce qui vous est imposé, le rectorat sera bien obligé d'en diminuer le nombre.
Il faut faire une pétition, montrer ensuite que tant de collègues de telle discipline refusent plus d'HSA qu'imposées (actuellement 1, je crois que le texte en imposant 2 n'est pas encore paru) et expliquer au rectorat (en demandant une audience) que c'est matériellement impossible. A noter que les collègues à temps partiel de droit ne peuvent pas en faire du tout.
Il y a quand même un risque à agir ainsi, s'il y a des temps partiels soumis à autorisation, ils peuvent être refusés, et si le CDE est retors, il peut supprimer des dédoublements pour que tout rentre avec les HP sans besoin d'HSA...
- mamieprofEsprit éclairé
C'est exactement pareil chez nous, toutes les équipes sauf les SVT et les SES doivent faire un grand nombre de HSA, dans certains matières le CDE impose 4 ou 5 HSA par prof ! Ceux qui refusent se retrouveront sans aucun dédoublement ou groupe à effectif réduit...En SES et SVT on a quand même 1 à 1.5 h de HSA.
Question du coordo d HG au dernier CP "Si on ne peut pas absorber les HSA, que se passe -t-il ?" Réponse : Il faut que ce TRMD soit validé en CA avant retour au rectorat. C'est ce que je proposerai à la commission permanente.
Question du coordo d HG au dernier CP "Si on ne peut pas absorber les HSA, que se passe -t-il ?" Réponse : Il faut que ce TRMD soit validé en CA avant retour au rectorat. C'est ce que je proposerai à la commission permanente.
- BoubouleDoyen
mamieprof a écrit:C'est exactement pareil chez nous, toutes les équipes sauf les SVT et les SES doivent faire un grand nombre de HSA, dans certains matières le CDE impose 4 ou 5 HSA par prof ! Ceux qui refusent se retrouveront sans aucun dédoublement ou groupe à effectif réduit...En SES et SVT on a quand même 1 à 1.5 h de HSA.
Question du coordo d HG au dernier CP "Si on ne peut pas absorber les HSA, que se passe -t-il ?" Réponse : Il faut que ce TRMD soit validé en CA avant retour au rectorat. C'est ce que je proposerai à la commission permanente.
Ton CDE est par exemple prêt à imposer des TP à 35 élèves à ceux qui refuseraient les dédoublements ? Et il expliquerait aux familles pourquoi il a préféré refourgué une classe de plus au prof plutôt que d'accorder le même dédoublement que dans la classe à côté ?
- Isis39Enchanteur
Dans mon département 19 élèves en moins, 14 classes supprimées. :choc:
- User17095Érudit
Une passante a écrit:
Il y a quand même un risque à agir ainsi, s'il y a des temps partiels soumis à autorisation, ils peuvent être refusés, et si le CDE est retors, il peut supprimer des dédoublements pour que tout rentre avec les HP sans besoin d'HSA...
C'est une simple conclusion logique, et pas une question d'être "retors" (pourquoi pas "malveillant" tant qu'on y est ?).
Si les enseignants ne veulent pas faire d'HSA, il n'y a pas de conversion en heure poste, elles risquent d'être simplement retirées, et il restera à faire avec les horaires planchers. C'est dégueulasse mais ce n'est certainement pas un calcul des directions d'établissement.
A Paris on multiplie les situations où il est impossible de faire faire des HSA, parce que temps partiels, décharges en tout genre, enseignants proches de la retraite qui sont fatigués et qu'on ne veut pas envoyer faire de complément de service. C'est une jonglerie et une négociation acharnée avec les services pour essayer de faire diminuer un petit peu le nombre d'HSA, pour que ce soit viable.
Dans ces situations, quand on se montre retors, ce n'est pas pour embêter les enseignants.
- Une passanteEsprit éclairé
pogonophile a écrit:Une passante a écrit:
Il y a quand même un risque à agir ainsi, s'il y a des temps partiels soumis à autorisation, ils peuvent être refusés, et si le CDE est retors, il peut supprimer des dédoublements pour que tout rentre avec les HP sans besoin d'HSA...
C'est une simple conclusion logique, et pas une question d'être "retors" (pourquoi pas "malveillant" tant qu'on y est ?).
Si les enseignants ne veulent pas faire d'HSA, il n'y a pas de conversion en heure poste, elles risquent d'être simplement retirées, et il restera à faire avec les horaires planchers. C'est dégueulasse mais ce n'est certainement pas un calcul des directions d'établissement.
A Paris on multiplie les situations où il est impossible de faire faire des HSA, parce que temps partiels, décharges en tout genre, enseignants proches de la retraite qui sont fatigués et qu'on ne veut pas envoyer faire de complément de service. C'est une jonglerie et une négociation acharnée avec les services pour essayer de faire diminuer un petit peu le nombre d'HSA, pour que ce soit viable.
Dans ces situations, quand on se montre retors, ce n'est pas pour embêter les enseignants.
On peut aussi imaginer un CDE qui se batte à côté des enseignants pour que la DGH soit augmentée, et des HSA transformées en HP.
Mais je vous le concède, ce genre de CDE se fait vraisemblablement de plus en plus rare, et le CDE utilise tous les moyens à sa disposition pour imposer son application du TRMD.
Quand je parle de CDE "retors", c'est vraiment pour désigner des CDE malveillants, de ceux qui ne pensent qu'à leur carrière et imposent des décisions lourdement préjudiciables aux équipes enseignantes...
- User17095Érudit
Toute proposition de répartition est le produit d'une tentative d'équilibrage entre intérêt pédagogique, situations humaines (postes), et attentes de l'institution qui nous emploie (balance HP/HSA). Forcément, les décisions qui vont être prises dans un tel jeu de contraintes n'ont aucune chance de faire consensus. "Décider c'est renoncer".
- trompettemarineMonarque
pogonophile a écrit:Toute proposition de répartition est le produit d'une tentative d'équilibrage entre intérêt pédagogique, situations humaines (postes), et attentes de l'institution qui nous emploie (balance HP/HSA). Forcément, les décisions qui vont être prises dans un tel jeu de contraintes n'ont aucune chance de faire consensus. "Décider c'est renoncer".
C'est peut-être le cas dans l'établissement que tu diriges, mais ce principe de bon sens ne s'applique pas partout.
Quand on pourrait dans un lycée donner autant d'heures à une matière qu'à une autre sans qu'aucun poste ne soit supprimé, et que la balance HP/HSA est (malheureusement cette année) respectée, on a du mal à accepter qu'une discipline perde 36 heures et qu'une autre en gagne.
Il y a plusieurs choix qui s'offrent, c'est le plus juste et le plus équitable qui devrait être choisi. Ce n'est pas le chef d'établissement qui subit les choix du renoncement, mais ce sont les professeurs et les élèves. Dans notre lycée, c'est toujours la même matière (Les Lettres) qui prend depuis plusieurs années : une ligne a été franchie cette année. Nous espérons que le TRMD sera plus équitable lors du vote au CA, mais toute notre équipe est à bout et est prête à riposter (non pas contre les collègues, mais contre la répartition injuste et inéquitable).
Enfin, certains CDE (ce n'est pas le cas chez nous heureusement) n'ont aucun mal avec les cartes scolaires.
- MatheodHabitué du forum
J'ai prévu de faire grève pendant les surveillances du bac si la répartition n'est pas améliorée perso.
- Une passanteEsprit éclairé
pogonophile a écrit:Toute proposition de répartition est le produit d'une tentative d'équilibrage entre intérêt pédagogique, situations humaines (postes), et attentes de l'institution qui nous emploie (balance HP/HSA). Forcément, les décisions qui vont être prises dans un tel jeu de contraintes n'ont aucune chance de faire consensus. "Décider c'est renoncer".
Enfin, quand un CDE maintient un BMP sur lequel est un TZR "chouchou" et qu'il met d'autres collègues titulaires en complément de service ailleurs, il y a de quoi s'interroger...
Quand un CDE fait pression sur des collègues pour, au choix, qu'ils se reconvertissent, se mettent à temps partiel, pour favoriser ou défavoriser d'autres collègues, il y a de quoi s'interroger également...
- TivinouDoyen
Nous venons de recevoir une proposition de répartition en lettres, avec 0.05 heures sup pour l'ensemble de la matière...
Je suis très heureuse de ne pas avoir à faire d'heures sup, mais
1. Je ne vois pas comment on va pouvoir composer des services qui tombent juste à 15h ou 18h avec les pondérations.
2. Nous n'avons ni dédoublement ni AP en seconde... en Français.
Affaire à suivre:
Conseil pédagogique jeudi et commission permanente la semaine suivante.
Je suis très heureuse de ne pas avoir à faire d'heures sup, mais
1. Je ne vois pas comment on va pouvoir composer des services qui tombent juste à 15h ou 18h avec les pondérations.
2. Nous n'avons ni dédoublement ni AP en seconde... en Français.
Affaire à suivre:
Conseil pédagogique jeudi et commission permanente la semaine suivante.
- ylmExpert spécialisé
Ce n'est pas le CDE qui fait ça, c'est le conseil d'administration il me semble.Une passante a écrit:Enfin, quand un CDE maintient un BMP sur lequel est un TZR "chouchou" et qu'il met d'autres collègues titulaires en complément de service ailleurs, il y a de quoi s'interroger...
_________________
The life of man, solitary, poor, nasty, brutish and short.
Thomas Hobbes
- TivinouDoyen
ylm a écrit:Ce n'est pas le CDE qui fait ça, c'est le conseil d'administration il me semble.Une passante a écrit:Enfin, quand un CDE maintient un BMP sur lequel est un TZR "chouchou" et qu'il met d'autres collègues titulaires en complément de service ailleurs, il y a de quoi s'interroger...
Oui et non: si le CA vote contre la répartition proposée, une nouvelle commission permanente et un nouveau CA ont lieu, et en cas de nouveau vote contre, c'est le CDE qui fait la répartition.
- ylmExpert spécialisé
Le CA peut aussi voter une répartition qui n'est pas proposée par le CDE.
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The life of man, solitary, poor, nasty, brutish and short.
Thomas Hobbes
- CathEnchanteur
Une passante a écrit:pogonophile a écrit:Toute proposition de répartition est le produit d'une tentative d'équilibrage entre intérêt pédagogique, situations humaines (postes), et attentes de l'institution qui nous emploie (balance HP/HSA). Forcément, les décisions qui vont être prises dans un tel jeu de contraintes n'ont aucune chance de faire consensus. "Décider c'est renoncer".
Enfin, quand un CDE maintient un BMP sur lequel est un TZR "chouchou" et qu'il met d'autres collègues titulaires en complément de service ailleurs, il y a de quoi s'interroger...
Quand un CDE fait pression sur des collègues pour, au choix, qu'ils se reconvertissent, se mettent à temps partiel, pour favoriser ou défavoriser d'autres collègues, il y a de quoi s'interroger également...
C'est possible, ça ? Un tzr n'est pas titulaire de son poste, par définition, il est nommé par le rectorat, pas choisi par le cde !
- mamieprofEsprit éclairé
Bouboule a écrit:mamieprof a écrit:C'est exactement pareil chez nous, toutes les équipes sauf les SVT et les SES doivent faire un grand nombre de HSA, dans certains matières le CDE impose 4 ou 5 HSA par prof ! Ceux qui refusent se retrouveront sans aucun dédoublement ou groupe à effectif réduit...En SES et SVT on a quand même 1 à 1.5 h de HSA.
Question du coordo d HG au dernier CP "Si on ne peut pas absorber les HSA, que se passe -t-il ?" Réponse : Il faut que ce TRMD soit validé en CA avant retour au rectorat. C'est ce que je proposerai à la commission permanente.
Ton CDE est par exemple prêt à imposer des TP à 35 élèves à ceux qui refuseraient les dédoublements ? Et il expliquerait aux familles pourquoi il a préféré refourgué une classe de plus au prof plutôt que d'accorder le même dédoublement que dans la classe à côté ?
Certaines collègues de langues ou de philo ont de l AP pour compléter leur service dans les classes de S ou ES uniquement... Les élèves qui ne les ont pas n'en ont pas et ça ne pose de problème à personne sauf aux élèves qui sont coincés sur la pause méridienne en AP alors plus rien ne m'étonne...
- mamieprofEsprit éclairé
Cath a écrit:Une passante a écrit:pogonophile a écrit:Toute proposition de répartition est le produit d'une tentative d'équilibrage entre intérêt pédagogique, situations humaines (postes), et attentes de l'institution qui nous emploie (balance HP/HSA). Forcément, les décisions qui vont être prises dans un tel jeu de contraintes n'ont aucune chance de faire consensus. "Décider c'est renoncer".
Enfin, quand un CDE maintient un BMP sur lequel est un TZR "chouchou" et qu'il met d'autres collègues titulaires en complément de service ailleurs, il y a de quoi s'interroger...
Quand un CDE fait pression sur des collègues pour, au choix, qu'ils se reconvertissent, se mettent à temps partiel, pour favoriser ou défavoriser d'autres collègues, il y a de quoi s'interroger également...
C'est possible, ça ? Un tzr n'est pas titulaire de son poste, par définition, il est nommé par le rectorat, pas choisi par le cde !
Bien sur que c'est possible ! Il est nommé par le rectorat en fonction du barème etc etc mais nous avons toujours les mêmes en LM, Philo et SES et comme ils sont agrégés le CDE met les BMP à 15 h donc ça limite les demandes et ces collègues que nous apprécions beaucoup restent d'année en année . Hélas le BMP de SES sera trop réduit l'an prochain et nous devons absorber entre 1,5 et 2h chacun en HSA. La DHG a été faite pour garder la collègue TZR de lettres et celui de philo. Plusieurs coordonnateurs ont "redonné" une heure dans le pot commun pour pouvoir garder ces collègues très investis et très sympas.
MAIS pour 2020/2021 la priorité sera donnée aux titulaires ce qui est logique.
- MandalaNiveau 5
Bonsoir,
Peut-être que ma question a trouvé réponse dans les pages précédentes de ce sujet...Désolé si je vous fais répéter!
J'aimerais savoir si avec la DGH pour préparer la rentrée prochaine, en lycée, vous avez des classes dédoublées? Si pas du tout? Si vous avez eu beaucoup de pertes en termes de dédoublements? On attend la ventilation de la proviseure mais dans les lycées du secteur, les dédoublements ont disparu pour la prochaine rentrée. Seuls les cours de SVT et physique seront assurés en groupes au nom de la sacro-sainte sécurité (produits dangereux, etc.)! Et l'idée de faire cours à 30 STMG (au lieu de 20 actuellement) m'effraie quelque peu...
Peut-être que ma question a trouvé réponse dans les pages précédentes de ce sujet...Désolé si je vous fais répéter!
J'aimerais savoir si avec la DGH pour préparer la rentrée prochaine, en lycée, vous avez des classes dédoublées? Si pas du tout? Si vous avez eu beaucoup de pertes en termes de dédoublements? On attend la ventilation de la proviseure mais dans les lycées du secteur, les dédoublements ont disparu pour la prochaine rentrée. Seuls les cours de SVT et physique seront assurés en groupes au nom de la sacro-sainte sécurité (produits dangereux, etc.)! Et l'idée de faire cours à 30 STMG (au lieu de 20 actuellement) m'effraie quelque peu...
- Une passanteEsprit éclairé
Mandala a écrit:Bonsoir,
Peut-être que ma question a trouvé réponse dans les pages précédentes de ce sujet...Désolé si je vous fais répéter!
J'aimerais savoir si avec la DGH pour préparer la rentrée prochaine, en lycée, vous avez des classes dédoublées? Si pas du tout? Si vous avez eu beaucoup de pertes en termes de dédoublements? On attend la ventilation de la proviseure mais dans les lycées du secteur, les dédoublements ont disparu pour la prochaine rentrée. Seuls les cours de SVT et physique seront assurés en groupes au nom de la sacro-sainte sécurité (produits dangereux, etc.)! Et l'idée de faire cours à 30 STMG (au lieu de 20 actuellement) m'effraie quelque peu...
En seconde, il y a 12 heures (8 en première) pour faire les options, l'AP et les dédoublements. Ces derniers ne sont donc pas obligatoires si les heures sont consommées ailleurs.
- cannelle21Grand Maître
On perdrait un poste de philo, un en HG, un en lettres et un en éco-gestion.
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Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- User17095Érudit
Cath a écrit:
C'est possible, ça ? Un tzr n'est pas titulaire de son poste, par définition, il est nommé par le rectorat, pas choisi par le cde !
Certes, et normalement un titulaire est prioritaire. Mais si le poste est gelé, ou bloqué par un détachement ou un CLM, il reste un support de BMP, et là on peut faire rester une personne si on a les bons contacts dans les services.
- Une passanteEsprit éclairé
pogonophile a écrit:Cath a écrit:
C'est possible, ça ? Un tzr n'est pas titulaire de son poste, par définition, il est nommé par le rectorat, pas choisi par le cde !
Certes, et normalement un titulaire est prioritaire. Mais si le poste est gelé, ou bloqué par un détachement ou un CLM, il reste un support de BMP, et là on peut faire rester une personne si on a les bons contacts dans les services.
Dans les zones rurales, où les TZR sont très peu nombreux, on peut déjà savoir qui récupérera le BMP...
- LoreleiiNeoprof expérimenté
Puisqu'on a un CDE sur ce post, j'en profite pour poser une question que j'ai posée sur un autre post.
Un CDE peut-il obliger un professeur de LC de faire du latin alors que le professeur ne le veut pas ?
Je m'explique : il n'y aura plus que 2 heures de latin l'année prochaine parce que le CDE a décidé de regrouper les 4e et les 3e. Le collègue ne veut pas faire de latin dans ces conditions. Et comme par ailleurs, on n'arrive pas à couvrir les horaires de français ... le collègue préfère faire tout son service en français. Mais le CDE ne veut pas. Je crois qu'il veut maintenir ce semblant de latin pour qu'il ne soit pas dit que dans son établissement il n'y a plus de latin.
Tout va bien ! Même si on perd 5 postes ?
Un CDE peut-il obliger un professeur de LC de faire du latin alors que le professeur ne le veut pas ?
Je m'explique : il n'y aura plus que 2 heures de latin l'année prochaine parce que le CDE a décidé de regrouper les 4e et les 3e. Le collègue ne veut pas faire de latin dans ces conditions. Et comme par ailleurs, on n'arrive pas à couvrir les horaires de français ... le collègue préfère faire tout son service en français. Mais le CDE ne veut pas. Je crois qu'il veut maintenir ce semblant de latin pour qu'il ne soit pas dit que dans son établissement il n'y a plus de latin.
Tout va bien ! Même si on perd 5 postes ?
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