- RendashBon génie
Rabelais a écrit:Effectivement, nous ne parlons pas de la même chose, du tout.
Je ne lis pas cette histoire dans le cadre d’un établissement, mais dans celui de la société dans son ensemble, dont les agressions en classe sont un symptôme, dont l’absence de respect envers les professeurs en règle générale est un symptôme.
À relier avec toutes les incivilités, agressions envers ce qui représente l’autorité ou la contrainte , à relier avec l’absence des barrières mentales du passage à l’acte .
Et ça me fait effectivement bien ch...que des collègues ramènent ça à un : » Oui, mais dans ma classe, tout va bien. ».
Prends le temps de relire tous les posts, les analogies sur l’hopital, particulièrement.
Ou pas.
Pourquoi les relire ? Je les ai lues et comprises, ces analogies, je dis simplement qu'elles ne correspondent pas à la situation telle que je la comprends : tu prends ça comme un ensemble, tandis que les collègues parlent de leur travail au quotidien, voilà tout. Différence de perspective, sans doute, et on tombera d'accord sur ce point ; de même que sur l'essentiel, qui est, je crois :
- que l'agression subie par la collègue est scandaleuse, et qu'elle doit être soutenue sans réserve
- que la hiérarchie de l'Education nationale a un lourd passé de foutage de poussière sous le tapis, et qu'il est grand temps que ça lui pète à la figure
- que notre boulot est méprisé et ignoré du grand public et, plus grave, des décideurs, et qu'il est grand temps que cela cesse, qu'il s'agisse des difficultés auxquelles nous sommes confrontés comme de nos réussites quotidiennes.
Je ne réagis pas à l'analogie sur l'hôpital : je suis un des rares ici (avec Flaure, si je ne m'abuse), à y avoir travaillé plusieurs années, donc je connais assez bien la situation, et pas par ouï-dire.
- InvitéInvité
mgb35 a écrit:Je pense qu'il est temps de fermer ce topic. Nous avons comme dans l'autre juste un one man show de rendash.
Merci de laisser à l'appréciation de la modération ce type de décision. Pour l'instant rien ne la justifie et rien ne vous empêche de répondre à Rendash.
- JennyMédiateur
mgb35 a écrit:Je pense qu'il est temps de fermer ce topic. Nous avons comme dans l'autre juste un one man show de rendash.
C'est à la modération d'en décider.
- OonnayHabitué du forum
A priori jamaisCath a écrit:On a besoin de solidarité, pour tous les collègues agressés et lâchés par leur hiérarchie. Pas de lire qu'il y a un super projet lycéen au cinéma dans ce lycée.
Si on n'est pas solidaire maintenant, quand le sera-t-on ?
_________________
- Si tout va bien... :
- Je vous quitte dans :
- RendashBon génie
mgb35 a écrit:Je pense qu'il est temps de fermer ce topic. Nous avons comme dans l'autre juste un one man show de rendash.
Pauvre chéri, c'est si difficile d'avoir une personne d'un avis contraire au tien, quand quinze autres sont plus ou moins du même avis ? :lol:
Tu t'en remettras, vas.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- InvitéInvité
Merci à tous de considérer l'accrochage comme clos.
- DanskaProphète
Ce genre de commentaires, on peut s'en passer : Rendash est tout aussi légitime qu'un autre à exprimer son avis ici, y compris si cet avis est contraire aux autres. Tout comme les autres sont légitimes à le contredire si bon leur semble, tant que ça reste dans les limites de la politesse.mgb35 a écrit:Je pense qu'il est temps de fermer ce topic. Nous avons comme dans l'autre juste un one man show de rendash.
- RendashBon génie
celitian a écrit:Ah c'est ça, c'est pour défendre la collègue...et ben j'espère qu'elle compte plus sur son avocat parce que là elle sait déjà qu'il y aura au moment du procès la lecture de cette tribune pour défendre "un jeune de 15 années qui n’a sûrement jamais pris la mesure de son geste !".Rendash a écrit:celitian a écrit:
C'est vraiment urgent de parler de leur réussite au moment où la collègue vit ça, c'est vraiment ça l'urgence de la situation !
C'est pour dire quoi, ben moi j'y arrive mais la collègue, non. Après on va s'étonner que des collègues n'osent rien dire, ne racontent pas.
Franchement ils n'ont pas honte et pas besoin des politiques pour nous enfoncer un peu plus, les collègues sont déjà là.
Et il ne t'est pas venu à l'esprit que la collègue n'avait peut-être pas envie qu'on résume l'ensemble de sa carrière à cette agression, non ? Qu'elle vit très mal ce qui s'est passé, et la médiatisation qui en a résulté, et aimerait aussi qu'on rappelle à l'occasion qu'elle n'est pas que la prof qui a été braquée, mais qu'elle aussi a connu des réussites ?
Et la personne qui récuse des témoignages, c'est toi, pas eux. Ils parlent de leur quotidien, pas de leurs réussites.
Je ne récuse pas leur témoignage, je ne suis pas assez stupide pour penser que c'est le quotidien du lycée, je dis simplement que c'est une honte de dire ça à ce moment.
Ha, on va finir par tomber d'accord, en fin de compte. OK, toi, tu es capable de nuancer et de relativiser, et tu as conscience que les enseignants se défoncent au quotidien. Mais cette tribune ne s'adresse pas à toi, mais au grand public, celui qui nous crache dessus en permanence, et explique doctement qu'on ne sert à rien et qu'on est des branleurs inefficaces et surpayés. N'est-il pas légitime qu'on puisse avoir envie de défendre son travail quotidien et d'en avoir marre de se faire pisser dessus en permanence ?
Et j'admets très volontiers que le moment n'était peut-être pas idéalement choisi. Mais là encore, ce sont eux qui vivent ces choses-là, non ? C'est leur collègue, leur établissement, donc on ne peut pas leur reprocher de vivre et de réagir de telle ou telle façon, à mon avis.
En revanche, tu es priée de ne pas déformer mes propos, c'est malhonnête. "Ah c'est ça, c'est pour défendre la collègue..." n'est absolument pas ce que j'ai dit ; je dis simplement qu'on ne sait foutrement rien de ce qu'ils font, ou ne font pas, pour lui venir en aide, et qu'il est fort possible que cette collègue ne souhaite pas voir toute sa carrière résumée à la vidéo de son agression. Et je me fonde sur ses propres propos.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- celitianSage
C'est ce que l'on disait hier, on a tellement intériorisé que c'était la honte d'avoir des difficultés dans la gestion d'une classe, que c'est parce que nos cours étaient nuls que là ces collègues se sentent obligés de faire cette tribune pour se désolidariser du mouvement.Oonnay a écrit:A priori jamaisCath a écrit:On a besoin de solidarité, pour tous les collègues agressés et lâchés par leur hiérarchie. Pas de lire qu'il y a un super projet lycéen au cinéma dans ce lycée.
Si on n'est pas solidaire maintenant, quand le sera-t-on ?
- RendashBon génie
celitian a écrit:C'est ce que l'on disait hier, on a tellement intériorisé que c'était la honte d'avoir des difficultés dans la gestion d'une classe, que c'est parce que nos cours étaient nuls que là ces collègues se sentent obligés de faire cette tribune pour se désolidariser du mouvement.Oonnay a écrit:A priori jamaisCath a écrit:On a besoin de solidarité, pour tous les collègues agressés et lâchés par leur hiérarchie. Pas de lire qu'il y a un super projet lycéen au cinéma dans ce lycée.
Si on n'est pas solidaire maintenant, quand le sera-t-on ?
Mais ils ne s'en désolidarisent pas, enfin ! Ils souhaitent simplement que l'on cesse de résumer notre travail quotidien aux difficultés et aux agressions collées sous le tapis par la hiérarchie, et qu'on l'on prenne en compte l'ensemble de notre boulot. Il est parfaitement honteux que des collègues agressés ou en difficulté soient contraints au silence et accusés d'être responsables, c'est une évidence, et il est grand temps que ce soit rappelé à cette hiérarchie. Et il est temps également que l'on commence à prendre en compte le travail quotidien que nous faisons, tous autant que nous sommes. Ces deux démarches ne sont en aucun cas contradictoires !
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- BabaretteDoyen
Je comprends ce que tu veux dire, Rendash, effectivement. Mais je ne suis pas d'accord. Bien entendu que la parole de chacun doit se libérer. Mais face à un tel acte, avoir un élève qu'on a fait progresser me paraît malheureusement bien faible. "Cette femme a été violée, mais elle parle six langues". Piètre consolation non?
Heureusement, être braqué n'est pas le quotidien des enseignants, subir des incivilités n'est pas la seule chose qui se passe, encore heureux. Mais je ne sais pas si les enseignants seront mieux perçus parce qu'on dit ce qu'ils font de bien, de positif. Peut être.
Je suppose que ce qui pousse les enseignants de ce lycée a écrire une telle tribune, c'est aussi pour se donner du courage. Après un tel événement, on est bien obligé d'en trouver.
Heureusement, être braqué n'est pas le quotidien des enseignants, subir des incivilités n'est pas la seule chose qui se passe, encore heureux. Mais je ne sais pas si les enseignants seront mieux perçus parce qu'on dit ce qu'ils font de bien, de positif. Peut être.
Je suppose que ce qui pousse les enseignants de ce lycée a écrire une telle tribune, c'est aussi pour se donner du courage. Après un tel événement, on est bien obligé d'en trouver.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- Ajonc35Sage
Il n'y a pas que la hiérarchie immédiate qui est fautive. Je pense, sincèrement, que collectivement dans des cas moins dramatique nous le sommes aussi.
J'ai beau avoir de multiples années derrière moi, il m'arrive d'être en difficulté dans une classe ou dans une autre, pour de multiples raisons (heure dans l'emploi du temps, heure après EPS, contenu du cours, élève-ou sa maman - qui m'a dans le pif, fatigue personnelle, activité mise en place, refus de travailler d'un élève qui contamine les voisins,etc... la liste est longue). Personnellement j' en parle ( j'en parle aussi quand ça va bien) mais combien de collègues préfèrent se taire et j' en ai été témoin pas plus tard que la semaine passée lors d'une réunion. Quand j'ai débuté, on évoquait assez facilement ses petits soucis et collectivement, avec la hiérarchie ou sans, on les réglait.
Mais je sais le monde a changé et la hiérarchie est moins bienveillante. ET plus on monte dans cette hiérarchie et moins elle l'est.
Ai-je tort ou raison? Suis-je nostalgique?
J'ai beau avoir de multiples années derrière moi, il m'arrive d'être en difficulté dans une classe ou dans une autre, pour de multiples raisons (heure dans l'emploi du temps, heure après EPS, contenu du cours, élève-ou sa maman - qui m'a dans le pif, fatigue personnelle, activité mise en place, refus de travailler d'un élève qui contamine les voisins,etc... la liste est longue). Personnellement j' en parle ( j'en parle aussi quand ça va bien) mais combien de collègues préfèrent se taire et j' en ai été témoin pas plus tard que la semaine passée lors d'une réunion. Quand j'ai débuté, on évoquait assez facilement ses petits soucis et collectivement, avec la hiérarchie ou sans, on les réglait.
Mais je sais le monde a changé et la hiérarchie est moins bienveillante. ET plus on monte dans cette hiérarchie et moins elle l'est.
Ai-je tort ou raison? Suis-je nostalgique?
- celitianSage
Et tu crois que cette tribune va être perçue comment ? que cette collègue devait être vraiment mauvaise car il suffit de lire cette tribune, ses collègues y arrivaient eux donc c'est exactement le même message que "vous avez fait quoi pour que cet élève se comporte comme ça !"Rendash a écrit:celitian a écrit:Ah c'est ça, c'est pour défendre la collègue...et ben j'espère qu'elle compte plus sur son avocat parce que là elle sait déjà qu'il y aura au moment du procès la lecture de cette tribune pour défendre "un jeune de 15 années qui n’a sûrement jamais pris la mesure de son geste !".Rendash a écrit:celitian a écrit:
C'est vraiment urgent de parler de leur réussite au moment où la collègue vit ça, c'est vraiment ça l'urgence de la situation !
C'est pour dire quoi, ben moi j'y arrive mais la collègue, non. Après on va s'étonner que des collègues n'osent rien dire, ne racontent pas.
Franchement ils n'ont pas honte et pas besoin des politiques pour nous enfoncer un peu plus, les collègues sont déjà là.
Et il ne t'est pas venu à l'esprit que la collègue n'avait peut-être pas envie qu'on résume l'ensemble de sa carrière à cette agression, non ? Qu'elle vit très mal ce qui s'est passé, et la médiatisation qui en a résulté, et aimerait aussi qu'on rappelle à l'occasion qu'elle n'est pas que la prof qui a été braquée, mais qu'elle aussi a connu des réussites ?
Et la personne qui récuse des témoignages, c'est toi, pas eux. Ils parlent de leur quotidien, pas de leurs réussites.
Je ne récuse pas leur témoignage, je ne suis pas assez stupide pour penser que c'est le quotidien du lycée, je dis simplement que c'est une honte de dire ça à ce moment.
Ha, on va finir par tomber d'accord, en fin de compte. OK, toi, tu es capable de nuancer et de relativiser, et tu as conscience que les enseignants se défoncent au quotidien. Mais cette tribune ne s'adresse pas à toi, mais au grand public, celui qui nous crache dessus en permanence, et explique doctement qu'on ne sert à rien et qu'on est des branleurs inefficaces et surpayés. N'est-il pas légitime qu'on puisse avoir envie de défendre son travail quotidien et d'en avoir marre de se faire pisser dessus en permanence ?
Et j'admets très volontiers que le moment n'était peut-être pas idéalement choisi. Mais là encore, ce sont eux qui vivent ces choses-là, non ? C'est leur collègue, leur établissement, donc on ne peut pas leur reprocher de vivre et de réagir de telle ou telle façon, à mon avis.
En revanche, tu es priée de ne pas déformer mes propos, c'est malhonnête. "Ah c'est ça, c'est pour défendre la collègue..." n'est absolument pas ce que j'ai dit ; je dis simplement qu'on ne sait foutrement rien de ce qu'ils font, ou ne font pas, pour lui venir en aide, et qu'il est fort possible que cette collègue ne souhaite pas voir toute sa carrière résumée à la vidéo de son agression. Et je me fonde sur ses propres propos.
Il fallait attendre que l'affaire soit jugée pour tenir ces propos, je ne peux pas croire qu'ils ne se soient pas rendus compte que ça allait desservir la défende de la collègue.
- ErgoDevin
Rappelons également que la collègue a expliqué que ce n'était pas pendant un cours mais à la fin/après.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- Escargot GéantNiveau 8
Rendash a écrit:mgb35 a écrit:Je pense qu'il est temps de fermer ce topic. Nous avons comme dans l'autre juste un one man show de rendash.
Pauvre chéri, c'est si difficile d'avoir une personne d'un avis contraire au tien, quand quinze autres sont plus ou moins du même avis ? :lol:
Tu t'en remettras, vas.
"Pauvre chéri" is the old "fragile"
- JennyMédiateur
Merci de ne pas commenter à nouveau. L'incident est clos.
- User20827Niveau 8
Tu as mal lu leur tribune je pense. Ils ne dénoncent rien, sinon le fait qu'à cause de cet événement on ne voit pas les projets, qu'on ne valorise pas "les petits progrès" et "les bonnes attitudes" ; juste pour parler du verre à moitié plein.Rendash a écrit:celitian a écrit:C'est ce que l'on disait hier, on a tellement intériorisé que c'était la honte d'avoir des difficultés dans la gestion d'une classe, que c'est parce que nos cours étaient nuls que là ces collègues se sentent obligés de faire cette tribune pour se désolidariser du mouvement.Oonnay a écrit:A priori jamaisCath a écrit:On a besoin de solidarité, pour tous les collègues agressés et lâchés par leur hiérarchie. Pas de lire qu'il y a un super projet lycéen au cinéma dans ce lycée.
Si on n'est pas solidaire maintenant, quand le sera-t-on ?
Mais ils ne s'en désolidarisent pas, enfin ! Ils souhaitent simplement que l'on cesse de résumer notre travail quotidien aux difficultés et aux agressions collées sous le tapis par la hiérarchie, et qu'on l'on prenne en compte l'ensemble de notre boulot. Il est parfaitement honteux que des collègues agressés ou en difficulté soient contraints au silence et accusés d'être responsables, c'est une évidence, et il est grand temps que ce soit rappelé à cette hiérarchie. Et il est temps également que l'on commence à prendre en compte le travail quotidien que nous faisons, tous autant que nous sommes. Ces deux démarches ne sont en aucun cas contradictoires !
Ils revendiquent uniquement un autre traitement par les médias donc. C'est bien le sujet principal.
Et ils seront lundi de la rentrée au turbin pour accompagner leurs élèves vers la réussite. Hop.
Autant je peux être d'accord avec ton discours là, autant avec le leur, no way.
- RendashBon génie
Ajonc35 a écrit:Il n'y a pas que la hiérarchie immédiate qui est fautive. Je pense, sincèrement, que collectivement dans des cas moins dramatique nous le sommes aussi.
J'ai beau avoir de multiples années derrière moi, il m'arrive d'être en difficulté dans une classe ou dans une autre, pour de multiples raisons (heure dans l'emploi du temps, heure après EPS, contenu du cours, élève-ou sa maman - qui m'a dans le pif, fatigue personnelle, activité mise en place, refus de travailler d'un élève qui contamine les voisins,etc... la liste est longue). Personnellement j' en parle ( j'en parle aussi quand ça va bien) mais combien de collègues préfèrent se taire et j' en ai été témoin pas plus tard que la semaine passée lors d'une réunion. Quand j'ai débuté, on évoquait assez facilement ses petits soucis et collectivement, avec la hiérarchie ou sans, on les réglait.
C'est assez vrai, mais d'un autre côté, on parlerait plus facilement si les témoignages n'étaient pas a priori récusés et suspects de je ne sais quoi. Celitian le disait, à juste titre : les collègues qui témoignent de leurs difficultés sont trop souvent accusés d'en être responsables, et c'est parfaitement honteux.
celitian a écrit:Et tu crois que cette tribune va être perçue comment ? que cette collègue devait être vraiment mauvaise car il suffit de lire cette tribune, ses collègues y arrivaient eux donc c'est exactement le même message que "vous avez fait quoi pour que cet élève se comporte comme ça !"
Il fallait attendre que l'affaire soit jugée pour tenir ces propos, je ne peux pas croire qu'ils ne se soient pas rendus compte que ça allait desservir la défende de la collègue.
Mais quelle défense de la collègue ? C'est elle, la victime. C'est bien le coeur du problème, d'ailleurs, le fait qu'elle doive se défendre d'avoir été victime d'une agression. Sur ce point, nous sommes bien évidemment d'accord, toi et moi, et les collègues également, j'ose l'espérer. Mais pour autant, peut-on penser que la collègue souhaite voir résumer toute sa carrière à cette agression ? Il ne me semble pas, d'après ses propos.
Et, encore une fois, pour ce qui est du choix du moment, on peut éventuellement être d'accord.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- JPhMMDemi-dieu
D'une manière générale, je me demande ce que seront les conséquences de cet événement, à moyen terme.
J'ai bien peur que cela ne change absolument rien à la situation de tous les collègues et tous les élèves qui subissent quotidiennement de la violence en EPLE.
Beaucoup de caractères écrits, beaucoup de choses dites, beaucoup de réunions, de gesticulations, et finalement rien ? c'est malheureusement le plus probable.
J'ai bien peur que cela ne change absolument rien à la situation de tous les collègues et tous les élèves qui subissent quotidiennement de la violence en EPLE.
Beaucoup de caractères écrits, beaucoup de choses dites, beaucoup de réunions, de gesticulations, et finalement rien ? c'est malheureusement le plus probable.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- So VoxNiveau 7
celitian a écrit:Sauf que ce n'est pas le moment ! et je dois être dans une région bizarre mais des articles positifs sur des établissements il y en a très souvent dans le journal du coin.Rendash a écrit:Et on a témoigné de l'agression, et de la façon dont la hiérarchie refuse de s'en occuper et rejette la faute sur les collègue.
Et une fois qu'on a fait ça ? Vous n'arrivez pas à comprendre qu'il s'agit encore une fois d'un moyen de rejeter la faute sur nous, enseignants ? Vous n'arrivez pas à comprendre qu'on peut ne pas accepter qu'on pisse sur notre boulot en cédant à l'émotion, ou plutôt au scoop - parce qu'il ne s'agit que de ça, en fin de compte - tout en compissant allègrement notre travail au quotidien ?
Mais, bon sang, cessons de cacher les choses : parlons des difficultés, parlons des agressions, mais parlons aussi de ce qu'on réussit à faire malgré nos conditions de travail, et malgré le mépris dont nous accablent les politicards, les journalistes et le grand public ! La collègue mérite mieux que ça, et les collègues en général méritent mieux que ça.
Bonjour,
la communication sur les choses qui fonctionnent font, il me semble, partie du problème.
Effectivement, les articles traitant d'actions positives dans les journaux sont toujours bienvenus pour valoriser, dans l'ordre, l'ETABLISSEMENT (et donc le Cde) --> les enseignants porteurs du projet (qui sont en général nommés)--> les élèves (nommés ou pas). Et je ne parle même pas du Recteur, du DASEN etc...
L'arbre "action positive" qui vient cacher la forêt (sauf auprès des parents qui "discutent" devant les écoles primaires du futur collège de leur enfant et qui ne sont pas dupes quant au contenu de ces articles, car ayant déjà d'autres informations bien moins reluisantes) des incidents plus ou moins graves qui se déroulent le reste du temps.
Alors quelle "information" doit-on retenir au final ?
D'autant qu'avec l'ère du numérique, plus besoin de faire venir des journalistes, twitter (avec en général accès bloqué par les cde) fait très bien l'affaire, certains cde faisant directement l'apologie de leur établissement par ce biais. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes hein...
Alors quoi ?
Oui, nous méritons mieux que d'être exposés au grand jour quand ça va bien et cachés sous le tapis quand ça va mal.
Du coup, que faire ? faire remonter nos actions positives (?... là je m'interroge sur "la positivité pour qui" en fait... des actions pour faire des actions en brassant du vent, ou pour aider les gosses à aller dans le bon sens ?) MAIS AUSSI faire remonter les incidents quotidiens aux journalistes ?
- RendashBon génie
Flaure a écrit:Tu as mal lu leur tribune je pense. Ils ne dénoncent rien, sinon le fait qu'à cause de cet événement on ne voit pas les projets, qu'on ne valorise pas "les petits progrès" et "les bonnes attitudes" ; juste pour parler du verre à moitié plein.Rendash a écrit:
Mais ils ne s'en désolidarisent pas, enfin ! Ils souhaitent simplement que l'on cesse de résumer notre travail quotidien aux difficultés et aux agressions collées sous le tapis par la hiérarchie, et qu'on l'on prenne en compte l'ensemble de notre boulot. Il est parfaitement honteux que des collègues agressés ou en difficulté soient contraints au silence et accusés d'être responsables, c'est une évidence, et il est grand temps que ce soit rappelé à cette hiérarchie. Et il est temps également que l'on commence à prendre en compte le travail quotidien que nous faisons, tous autant que nous sommes. Ces deux démarches ne sont en aucun cas contradictoires !
Ils revendiquent uniquement un autre traitement par les médias donc. C'est bien le sujet principal.
Et ils seront lundi de la rentrée au turbin pour accompagner leurs élèves vers la réussite. Hop.
Autant je peux être d'accord avec ton discours là, autant avec le leur, no way.
Nous serons tous là le lundi de la rentrée. Précisément
Et comme beaucoup, j'ai réagi en lisant l'allusion à ces foutus "projets". Et comme beaucoup, j'ai réagi à d'autres choses. Et après ? Hé bien après, je me suis demandé ce qui se passerait si, demain, mon bahut devait faire la une pour le pétage de plomb d'un élève en classe. Et si je devais lire des milliers de commentaires au sujet des REP+ en général, des Arabes et des Turcs qui sont nombreux dans mon collège, et des profs laxistes qui l'ont bien cherché, même que c'est la guerre civile et le Grand Remplacement, etc.
Et j'imagine que j'aurais envie aussi que l'on rappelle que mon collège et mon travail ne peuvent, ne doivent pas être résumés à ça. De la même façon, je monte au créneau quand un collègue en galère se voit rejeter la responsabilité de cette galère sur lui.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- celitianSage
Si en le relativisant, en le nuançant, le titre c'est quand même "Oui, nous sommes fiers de nos lycéens".Rendash a écrit:celitian a écrit:C'est ce que l'on disait hier, on a tellement intériorisé que c'était la honte d'avoir des difficultés dans la gestion d'une classe, que c'est parce que nos cours étaient nuls que là ces collègues se sentent obligés de faire cette tribune pour se désolidariser du mouvement.Oonnay a écrit:A priori jamaisCath a écrit:On a besoin de solidarité, pour tous les collègues agressés et lâchés par leur hiérarchie. Pas de lire qu'il y a un super projet lycéen au cinéma dans ce lycée.
Si on n'est pas solidaire maintenant, quand le sera-t-on ?
Mais ils ne s'en désolidarisent pas, enfin ! Ils souhaitent simplement que l'on cesse de résumer notre travail quotidien aux difficultés et aux agressions collées sous le tapis par la hiérarchie, et qu'on l'on prenne en compte l'ensemble de notre boulot. Il est parfaitement honteux que des collègues agressés ou en difficulté soient contraints au silence et accusés d'être responsables, c'est une évidence, et il est grand temps que ce soit rappelé à cette hiérarchie. Et il est temps également que l'on commence à prendre en compte le travail quotidien que nous faisons, tous autant que nous sommes. Ces deux démarches ne sont en aucun cas contradictoires !
On va encore passer pour des branques , incapables de se soutenir et de faire face ensemble, c'est dommage car je trouve que ce mouvement avait bien commencé et était positif mais là c'est certain qu'aujourd'hui on va juste entendre que finalement cela vient peut-être de la collègue car d'autres n'ont aucun problème dans le même établissement, ne pas l'admettre m'étonne beaucoup.
- RendashBon génie
So Vox a écrit:celitian a écrit:Sauf que ce n'est pas le moment ! et je dois être dans une région bizarre mais des articles positifs sur des établissements il y en a très souvent dans le journal du coin.Rendash a écrit:Et on a témoigné de l'agression, et de la façon dont la hiérarchie refuse de s'en occuper et rejette la faute sur les collègue.
Et une fois qu'on a fait ça ? Vous n'arrivez pas à comprendre qu'il s'agit encore une fois d'un moyen de rejeter la faute sur nous, enseignants ? Vous n'arrivez pas à comprendre qu'on peut ne pas accepter qu'on pisse sur notre boulot en cédant à l'émotion, ou plutôt au scoop - parce qu'il ne s'agit que de ça, en fin de compte - tout en compissant allègrement notre travail au quotidien ?
Mais, bon sang, cessons de cacher les choses : parlons des difficultés, parlons des agressions, mais parlons aussi de ce qu'on réussit à faire malgré nos conditions de travail, et malgré le mépris dont nous accablent les politicards, les journalistes et le grand public ! La collègue mérite mieux que ça, et les collègues en général méritent mieux que ça.
Bonjour,
la communication sur les choses qui fonctionnent font, il me semble, partie du problème.
Effectivement, les articles traitant d'actions positives dans les journaux sont toujours bienvenus pour valoriser, dans l'ordre, l'ETABLISSEMENT (et donc le Cde) --> les enseignants porteurs du projet (qui sont en général nommés)--> les élèves (nommés ou pas). Et je ne parle même pas du Recteur, du DASEN etc...
L'arbre "action positive" qui vient cacher la forêt (sauf auprès des parents qui "discutent" devant les écoles primaires du futur collège de leur enfant et qui ne sont pas dupes quant au contenu de ces articles, car ayant déjà d'autres informations bien moins reluisantes) des incidents plus ou moins graves qui se déroulent le reste du temps.
Alors quelle "information" doit-on retenir au final ?
D'autant qu'avec l'ère du numérique, plus besoin de faire venir des journalistes, twitter (avec en général accès bloqué par les cde) fait très bien l'affaire, certains cde faisant directement l'apologie de leur établissement par ce biais. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes hein...
Alors quoi ?
Oui, nous méritons mieux que d'être exposés au grand jour quand ça va bien et cachés sous le tapis quand ça va mal.
Du coup, que faire ? faire remonter nos actions positives (?... là je m'interroge sur "la positivité pour qui" en fait... des actions pour faire des actions en brassant du vent, ou pour aider les gosses à aller dans le bon sens ?) MAIS AUSSI faire remonter les incidents quotidiens aux journalistes ?
Globalement d'accord, à ceci près que la publicité que tu évoques est là pour faire mousser un bahut (et, parfois, un chef d'établissement). Je parle de quotidien, moi. Je souhaite que l'on évoque notre quotidien, qu'il s'agisse des succès ou des difficultés que l'on rencontre tous tous les jours, ou des incidents ponctuels terribles que sont des agressions dans le genre. #PasDeVague permettra de faire sortir pas mal de poussière de sous pas mal de tapis, et empêchera peut-être qu'on en colle d'autres ; fort bien. Mais il est également grand temps que l'on cause de notre travail. Pas des projets plus ou moins à la con, mais de notre travail.
Et c'est en lien direct, ce me semble, avec cette foutue manie de considérer qu'un professeur qui se contente de faire cours ne fait pas correctement son boulot. C'est précisément pour ça qu'il faut qu'on parle aussi de notre quotidien ; et je pense que là est peut-être la raison pour laquelle les collègues signataires de cette tribune mettent en avant ces projets. Peut-être, peut-être que non ; ce n'est qu'une hypothèse, qui ne repose sur rien.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- OonnayHabitué du forum
Et les descendants d'Edouard Branly, qui pour les défendre !? On a sali leur nom en le citant dans l'affaire. C'est tout aussi ridicule.
Ce n'est pas le moment de détourner l'actualité d'un fait net et précis : un élève a agressé un professeur. Et ce n'est pas un cas isolé.
Ce n'est pas le moment de détourner l'actualité d'un fait net et précis : un élève a agressé un professeur. Et ce n'est pas un cas isolé.
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- Si tout va bien... :
- Je vous quitte dans :
- RendashBon génie
celitian a écrit:Si en le relativisant, en le nuançant, le titre c'est quand même "Oui, nous sommes fiers de nos lycéens".Rendash a écrit:
Mais ils ne s'en désolidarisent pas, enfin ! Ils souhaitent simplement que l'on cesse de résumer notre travail quotidien aux difficultés et aux agressions collées sous le tapis par la hiérarchie, et qu'on l'on prenne en compte l'ensemble de notre boulot. Il est parfaitement honteux que des collègues agressés ou en difficulté soient contraints au silence et accusés d'être responsables, c'est une évidence, et il est grand temps que ce soit rappelé à cette hiérarchie. Et il est temps également que l'on commence à prendre en compte le travail quotidien que nous faisons, tous autant que nous sommes. Ces deux démarches ne sont en aucun cas contradictoires !
On va encore passer pour des branques , incapables de se soutenir et de faire face ensemble, c'est dommage car je trouve que ce mouvement avait bien commencé et était positif mais là c'est certain qu'aujourd'hui on va juste entendre que finalement cela vient peut-être de la collègue car d'autres n'ont aucun problème dans le même établissement, ne pas l'admettre m'étonne beaucoup.
Je ne vois pas en quoi essayer d'expliquer que notre travail ne se résume pas à ces agressions revient à dire que l'on n'a aucun problème, ou, pis encore, à nier l'agression.
Et c'est précisément parce qu'on peut faire quelque chose pour la plupart de nos élèves lorsque les difficultés sont prises en compte et traitées plutôt que collées sous le tapis, qu'il me semble important de rappeler qu'on ne peut pas résumer notre travail à ces faits, ni une carrière à une agression, ni un bahut à une poignée d'emmerdeurs pas gérés.
Oonnay a écrit:Ce n'est pas le moment de détourner l'actualité d'un fait net et précis : un élève a agressé un professeur.
Certes, oui ; sauf qu'on n'est plus sur ce fait, en l'occurrence, mais sur quelque chose de plus large, avec le #PasDeVague. Et je trouve ça très bien : il faut que la hiérarchie soit forcée, enfin, à prendre ses responsabilités.
Parce que, quant au fait lui-même, il n'y a pas à gloser : un élève a agressé une enseignante, avec la complicité d'autres ; l'enseignante a réagi avec calme et professionnalisme, et on ne peut qu'admirer cette réaction ; elle doit être soutenue par sa hiérarchie et ses pairs ; et les agresseurs doivent être durement sanctionnés, notamment pénalement. Qui est en désaccord avec ça, ici ? Personne, d'après ce que j'ai lu. Les beaufs du Monde et du Figaro, c'est autre chose.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- CathEnchanteur
Oui, voilà, ça a été dit, maintenant, passons à autre chose, n'est-ce pas ?
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