- *Ombre*Grand sage
mf95 a écrit:*Ombre* a écrit:mf95 a écrit:"Virginie pensait que Paul serait rentré le lendemain."
"Virginie pensait que Paul reviendrait le lendemain."
Dans les deux cas l'enonce exprime que Paul n'est pas rentre le lendemain et dans les deux cas l'action est terminee?
La nuance est subtile.
"Virginie pensait que Paul reviendrait le lendemain." Remis dans le système du présent : Virginie pense que Paul reviendra demain (à quel moment, on ne sait pas très bien, peut-être est-ce encore à venir au moment envisagé, peu importe).
"Virginie pensait que Paul serait revenu le lendemain." Virginie pensait que, le lendemain, ce serait fait et on constate que ce n'est pas le cas.
Le conditionnel passé, comme tout temps composé, pose l'action comme achevée au moment évoqué.
Mais vu que la phrase est au passe de base, l'action n'est elle pas aussi terminee au moment evoque?
Je suis desolee je deteste avoir des doutes et ne pas comprendre quelque chose a 100/100
Je vais essayer d'être plus claire.
Virginie pensait que Paul rentrerait le lendemain = au passé, elle pense qu'il rentrera demain, que cette action se produira demain à un moment ou un autre.
Virginie pensait que Paul serait rentré le lendemain = elle pensait que, le lendemain, ce serait fait ; or, elle réalise que ce ne sera pas le cas, que le lendemain, même à minuit, Paul ne sera pas rentré (ou alors on est le surlendemain - raconté au passé - et elle se désole parce qu'elle constate qu'il n'est pas rentré alors qu'elle pensait qu'il serait rentré).
- PhoceaNiveau 6
*Ombre* a écrit:mf95 a écrit:*Ombre* a écrit:mf95 a écrit:"Virginie pensait que Paul serait rentré le lendemain."
"Virginie pensait que Paul reviendrait le lendemain."
Dans les deux cas l'enonce exprime que Paul n'est pas rentre le lendemain et dans les deux cas l'action est terminee?
La nuance est subtile.
"Virginie pensait que Paul reviendrait le lendemain." Remis dans le système du présent : Virginie pense que Paul reviendra demain (à quel moment, on ne sait pas très bien, peut-être est-ce encore à venir au moment envisagé, peu importe).
"Virginie pensait que Paul serait revenu le lendemain." Virginie pensait que, le lendemain, ce serait fait et on constate que ce n'est pas le cas.
Le conditionnel passé, comme tout temps composé, pose l'action comme achevée au moment évoqué.
Mais vu que la phrase est au passe de base, l'action n'est elle pas aussi terminee au moment evoque?
Je suis desolee je deteste avoir des doutes et ne pas comprendre quelque chose a 100/100
Je vais essayer d'être plus claire.
Virginie pensait que Paul rentrerait le lendemain = au passé, elle pense qu'il rentrera demain, que cette action se produira demain à un moment ou un autre.
Virginie pensait que Paul serait rentré le lendemain = elle pensait que, le lendemain, ce serait fait ; or, elle réalise que ce ne sera pas le cas, que le lendemain, même à minuit, Paul ne sera pas rentré (ou alors on est le surlendemain - raconté au passé - et elle se désole parce qu'elle constate qu'il n'est pas rentré alors qu'elle pensait qu'il serait rentré).
Le problème qui se pose c'est que le conditionnel passé ne peut normalement pas être utilisé dans une telle phase, problème de concordance de temps
- MathadorEmpereur
Phocea a écrit:*Ombre* a écrit:mf95 a écrit:*Ombre* a écrit:
La nuance est subtile.
"Virginie pensait que Paul reviendrait le lendemain." Remis dans le système du présent : Virginie pense que Paul reviendra demain (à quel moment, on ne sait pas très bien, peut-être est-ce encore à venir au moment envisagé, peu importe).
"Virginie pensait que Paul serait revenu le lendemain." Virginie pensait que, le lendemain, ce serait fait et on constate que ce n'est pas le cas.
Le conditionnel passé, comme tout temps composé, pose l'action comme achevée au moment évoqué.
Mais vu que la phrase est au passe de base, l'action n'est elle pas aussi terminee au moment evoque?
Je suis desolee je deteste avoir des doutes et ne pas comprendre quelque chose a 100/100
Je vais essayer d'être plus claire.
Virginie pensait que Paul rentrerait le lendemain = au passé, elle pense qu'il rentrera demain, que cette action se produira demain à un moment ou un autre.
Virginie pensait que Paul serait rentré le lendemain = elle pensait que, le lendemain, ce serait fait ; or, elle réalise que ce ne sera pas le cas, que le lendemain, même à minuit, Paul ne sera pas rentré (ou alors on est le surlendemain - raconté au passé - et elle se désole parce qu'elle constate qu'il n'est pas rentré alors qu'elle pensait qu'il serait rentré).
Le problème qui se pose c'est que le conditionnel passé ne peut normalement pas être utilisé dans une telle phase, problème de concordance de temps
Il me semble pourtant logique que ce soit l'équivalent du futur antérieur dans un récit au passé…
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- mf95Niveau 5
*Ombre* a écrit:mf95 a écrit:*Ombre* a écrit:mf95 a écrit:"Virginie pensait que Paul serait rentré le lendemain."
"Virginie pensait que Paul reviendrait le lendemain."
Dans les deux cas l'enonce exprime que Paul n'est pas rentre le lendemain et dans les deux cas l'action est terminee?
La nuance est subtile.
"Virginie pensait que Paul reviendrait le lendemain." Remis dans le système du présent : Virginie pense que Paul reviendra demain (à quel moment, on ne sait pas très bien, peut-être est-ce encore à venir au moment envisagé, peu importe).
"Virginie pensait que Paul serait revenu le lendemain." Virginie pensait que, le lendemain, ce serait fait et on constate que ce n'est pas le cas.
Le conditionnel passé, comme tout temps composé, pose l'action comme achevée au moment évoqué.
Mais vu que la phrase est au passe de base, l'action n'est elle pas aussi terminee au moment evoque?
Je suis desolee je deteste avoir des doutes et ne pas comprendre quelque chose a 100/100
Je vais essayer d'être plus claire.
Virginie pensait que Paul rentrerait le lendemain = au passé, elle pense qu'il rentrera demain, que cette action se produira demain à un moment ou un autre.
Virginie pensait que Paul serait rentré le lendemain = elle pensait que, le lendemain, ce serait fait ; or, elle réalise que ce ne sera pas le cas, que le lendemain, même à minuit, Paul ne sera pas rentré (ou alors on est le surlendemain - raconté au passé - et elle se désole parce qu'elle constate qu'il n'est pas rentré alors qu'elle pensait qu'il serait rentré).
Oh je crois que j'ai enfin compris Alors en fait, pour la phrase au conditionnel present, on envisage penser/rentrer sur le meme T, on ne sait pas si il est vraiment rentrer et ce n'est pas ce qui importe alors que pour la phrase au conditionnel passe, on sait que Paul n'est pas rentre parce qu'il y a anteriorite c'est cela??
- AphrodissiaMonarque
Oui, c'est cela.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- mf95Niveau 5
Aphrodissia a écrit:Oui, c'est cela.
Hallelujah Merci a tous pour votre patience et votre temps vous etes supers.
- mf95Niveau 5
Bonjour!
Quelqu'un aurait-il un test pour reconnaitre un infinitif verbal d'un infinitif nominal? Impossible de faire la difference entre les deux pour moi....
Merci d'avance!
Quelqu'un aurait-il un test pour reconnaitre un infinitif verbal d'un infinitif nominal? Impossible de faire la difference entre les deux pour moi....
Merci d'avance!
- *Ombre*Grand sage
L'infinitif verbal est en emploi prédicatif. Tu peux le remplacer par un autre mode. En emploi pleinement verbal, il est noyau de la proposition, dans laquelle il n'a pas d'autre fonction.
ex : Prendre six oeufs, les casser. > Prenez six oeufs, cassez-les.
Et grenouilles de sauter. > Les grenouilles sautèrent.
L'infinitif nominal occupe, comme son nom l'indique, une fonction nominale, c'est-à-dire qu'il a une fonction que l'on peut analyser. Il peut généralement être remplacé par un nom, et donc par un pronom. Le verbe conjugué est ailleurs dans la phrase.
Ex : Marcher est bon pour la santé = La marche est bonne pour la santé. Marcher est sujet du verbe être.
J'aime danser = J'aime la danse = J'aime ça. Danser est COD du verbe aimer.
Nous pensons à déménager = Nous y pensons. "à déménager" est COI du verbe penser.
ex : Prendre six oeufs, les casser. > Prenez six oeufs, cassez-les.
Et grenouilles de sauter. > Les grenouilles sautèrent.
L'infinitif nominal occupe, comme son nom l'indique, une fonction nominale, c'est-à-dire qu'il a une fonction que l'on peut analyser. Il peut généralement être remplacé par un nom, et donc par un pronom. Le verbe conjugué est ailleurs dans la phrase.
Ex : Marcher est bon pour la santé = La marche est bonne pour la santé. Marcher est sujet du verbe être.
J'aime danser = J'aime la danse = J'aime ça. Danser est COD du verbe aimer.
Nous pensons à déménager = Nous y pensons. "à déménager" est COI du verbe penser.
- mf95Niveau 5
Merci pour votre réponse!
Donc pour "la veuve de Thésée ose aimer Hippolyte" = Elle ose CELA?
"Alors tu feindras de t'eveiller" = " tu feindras ÇA" ?
Et pour les infinitifs verbaux:
"Je vois de loin venir une fille" = " de loin je vois une fille qui vient? "?
" Commencer la vie par Berenice!" = "La vie a commencé par Berenice" ?
" Je prends tous ceux qui passent pour des gens de ma connaissance " = " tous ceux qui passent sont pris pour des gens de ma connaissance" ?
Donc pour "la veuve de Thésée ose aimer Hippolyte" = Elle ose CELA?
"Alors tu feindras de t'eveiller" = " tu feindras ÇA" ?
Et pour les infinitifs verbaux:
"Je vois de loin venir une fille" = " de loin je vois une fille qui vient? "?
" Commencer la vie par Berenice!" = "La vie a commencé par Berenice" ?
" Je prends tous ceux qui passent pour des gens de ma connaissance " = " tous ceux qui passent sont pris pour des gens de ma connaissance" ?
- OudemiaBon génie
Oui, c'est ça, mais je ne comprends pas l'utilité du dernier exemple.
- IphigénieProphète
En fait, personnellement je ne comprends pas l'intérêt de cette classification.
Je connais, certes, l'infinitif substantivé, le boire et le manger, ou l'infinitif employé absolument qui peut avoir les fonctions du nom (souffler n'est pas jouer) mais pour moi, lorsqu'il a un COD c'est qu'il fonctionne en tant que verbe (par exemple dans "elle ose aimer Hippolyte.)
Je connais, certes, l'infinitif substantivé, le boire et le manger, ou l'infinitif employé absolument qui peut avoir les fonctions du nom (souffler n'est pas jouer) mais pour moi, lorsqu'il a un COD c'est qu'il fonctionne en tant que verbe (par exemple dans "elle ose aimer Hippolyte.)
- mf95Niveau 5
Merci beaucoup.
J'avais une autre question: dans mon livre de grammaire, il est ecrit que la phrase "j'ai apporte une orangeade aux enfants" comportait un cod et un coi tandis que la phrase "j'ai apporte de la biere fraiche aux joueurs" comporte deux complements de verbes indirects. Pour moi la deuxieme phrase comporte deux coi : de la biere fraiche a ete apportee aux joueurs? Qu'est ce qui fait que la deuxieme phrase comporte des complements de verbe et non des coi?
Merci d'avance.
J'avais une autre question: dans mon livre de grammaire, il est ecrit que la phrase "j'ai apporte une orangeade aux enfants" comportait un cod et un coi tandis que la phrase "j'ai apporte de la biere fraiche aux joueurs" comporte deux complements de verbes indirects. Pour moi la deuxieme phrase comporte deux coi : de la biere fraiche a ete apportee aux joueurs? Qu'est ce qui fait que la deuxieme phrase comporte des complements de verbe et non des coi?
Merci d'avance.
- IphigénieProphète
J’ai apporté quoi? De la bière , cod
Le verbe apporter est transitif direct
De la est un article partitif
Et je ne comprends pas ta distinction entre coi et complément de verbe: perplexe je suis....
Le verbe apporter est transitif direct
De la est un article partitif
Et je ne comprends pas ta distinction entre coi et complément de verbe: perplexe je suis....
- mf95Niveau 5
Iphigénie a écrit:J’ai apporté quoi? De la bière , cod
Le verbe apporter est transitif direct
De la est un article partitif
Et je ne comprends pas ta distinction entre coi et complément de verbe: perplexe je suis....
Dans mon livre ils disent que "de la biere fraiche" et "aux joueurs" sont des complements de verbes, dans mon livre ils disent qu'ils sont comme des circonstenciels mais qu'on ne peut pas les supprimer de la phrase et qu'il complete l'idee exprimee par le noyau.
- henrietteMédiateur
Si tu veux mon avis, jette ce livre !!! Quelle bouillie infâme !
De la bière fraîche est un COD comme te le prouve la transformation passive que tu as pu faire.
De la bière fraîche est un COD comme te le prouve la transformation passive que tu as pu faire.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Thalia de GMédiateur
Quelle est cette grammaire ? Je ne voudrais pas paraître brutale, mais si elle multiplie les énormités de ce genre, il vaut mieux la brûler.
Edit : grillée par henriette.
Edit : grillée par henriette.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- mf95Niveau 5
Thalia de G a écrit:Quelle est cette grammaire ? Je ne voudrais pas paraître brutale, mais si elle multiplie les énormités de ce genre, il vaut mieux la brûler.
Edit : grillée par henriette.
"grammaire descriptive de la langue francaise" Roland Eluard
Bon ca me rassure, je suis pas la seule a ne pas comprendre!
Cependant, leur definition de complement de verbe est elle correcte?
- *Ombre*Grand sage
Comme les autres, je te conseillerais d'abandonner cette grammaire qui a l'air de te poser plus de problèmes qu'elle n'en résout.
Si tu cherches une bonne grammaire à destination des professeurs, je te conseille celle de Cécile Revéret.
Si tu cherches une bonne grammaire à destination des professeurs, je te conseille celle de Cécile Revéret.
- mf95Niveau 5
*Ombre* a écrit:Comme les autres, je te conseillerais d'abandonner cette grammaire qui a l'air de te poser plus de problèmes qu'elle n'en résout.
Si tu cherches une bonne grammaire à destination des professeurs, je te conseille celle de Cécile Revéret.
J'aimerais mais c'est la seule que j'ai etant actuellement aux US jusqu'a fin mai .....
- henrietteMédiateur
Tu dois pouvoir la commander sur un site marchand en ligne, non ?
En tout cas laisse tomber celle que tu as, qui t'embrouille plus qu'elle ne t'éclaire.
En tout cas laisse tomber celle que tu as, qui t'embrouille plus qu'elle ne t'éclaire.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- RogerMartinBon génie
Je suggère comme les collègues de jeter cette "grammaire" à la poubelle. Et d'acheter la Reveret, elle n'est ni coûteuse ni lourde à rapporter.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- NLM76Grand Maître
Voilà.
Prenez la grammaire de Cécile Revéret, que vous pourrez commander ici :
Maintenant, pour comprendre un peu comment se malaxe la bouillie qu'on trouve dans la plupart des grammaires récentes, il faut savoir qu'ils distinguent "compléments du verbe" et "compléments de phrase". Les premiers sont plus fortement reliés au verbe que les seconds; ils seraient "non-déplaçables", tandis que les seconds seraient "déplaçables".
Prenez la grammaire de Cécile Revéret, que vous pourrez commander ici :
- https://www.grip-editions.fr/livre/22
Maintenant, pour comprendre un peu comment se malaxe la bouillie qu'on trouve dans la plupart des grammaires récentes, il faut savoir qu'ils distinguent "compléments du verbe" et "compléments de phrase". Les premiers sont plus fortement reliés au verbe que les seconds; ils seraient "non-déplaçables", tandis que les seconds seraient "déplaçables".
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- mf95Niveau 5
Merci pour vos réponses! Je commanderai cet ouvrage dès que je rentre, j'ai déjà explosé la limite de poid des bagages 😂
Une derniere question ( ou pas ) :
Je révise actuellement la grammaire française pour préparer le capes d'anglais.
Dans mon livre, il est dit que la différence d'usage entre le passé simple et l'imparfait est qu'avec l'imparfait, le locuteur veut montrer quelque chose, parler des conséquences du verbe. L'imparfait impliquerait l'énonciateur alors que le passé simple resterait factuel, coupé de la situation d'énonciation.
Cependant, il est aussi dit que le passé composé, utilisé dans le récit, est le temps de l'énonciation discours, que ce temps est utilisé pour raccrocher le discours au temps de l'énonciation, qu'il implique un commentaire de l'énonciateur. Quelle est donc la différence avec l'imparfait?
Et quand on parle de vision interne en grammaire, j'ai lu sur internet qu'on parlait des consequences du procès et que le locuteur voulait montrer quelque chose, que la vision interne était analytique?
Une derniere question ( ou pas ) :
Je révise actuellement la grammaire française pour préparer le capes d'anglais.
Dans mon livre, il est dit que la différence d'usage entre le passé simple et l'imparfait est qu'avec l'imparfait, le locuteur veut montrer quelque chose, parler des conséquences du verbe. L'imparfait impliquerait l'énonciateur alors que le passé simple resterait factuel, coupé de la situation d'énonciation.
Cependant, il est aussi dit que le passé composé, utilisé dans le récit, est le temps de l'énonciation discours, que ce temps est utilisé pour raccrocher le discours au temps de l'énonciation, qu'il implique un commentaire de l'énonciateur. Quelle est donc la différence avec l'imparfait?
Et quand on parle de vision interne en grammaire, j'ai lu sur internet qu'on parlait des consequences du procès et que le locuteur voulait montrer quelque chose, que la vision interne était analytique?
- *Ombre*Grand sage
Pardon, mais ta grammaire est vraiment un charabia infâme. Ce que tu en livres est un ramassis d'inexactitudes, voire d'erreurs proférées en termes prétentieux.
Même un brave manuel de collège te dira des choses plus intelligibles et plus justes.
Même un brave manuel de collège te dira des choses plus intelligibles et plus justes.
- RogerMartinBon génie
Quel est le titre de cette grammaire ?
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
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