Budget : suppressions de postes en vue à l'Education nationale

Cath a écrit:Un sac pour vomir ?

Dans le monde Macronien, n'attends aucune solidarité: tu dois prendre la responsabilité d'aller chercher toi-même ton sac à vomir. Et de le vider dans les toilettes.

Zagara a écrit:Bon ça ira y'a Bayr... ha non. Mais ça ira, y'a Hul... oups. Il reste qui comme figure bienveillante pour les gens qui veulent fuir la réalité ?

Chhht, vilaine révolutionnaire Maduro Venezuela Corée du Nord. C'est ça ou Fillon, avec qui la différence est pourtant si criante.

Tu peux acheter ton sac à vomi sur le site de l'Elysée pour 5 euros et y'a la tête de Macron dessus.

J'espère qu'ils ont pensé au PQ assorti.

Astuce de pro : pense à retourner le sac (dedans-dehors) avant de vomir, afin de pouvoir vomir sur l'image.

Rendash a écrit:J'espère qu'ils ont pensé au PQ assorti.

Non. Mais les Italiens oui !  
https://www.facebook.com/top.italia.3/photos/a.389227724601796/883898631801367/?type=3&theater

Cela ne signifie-t-il pas non plus l'abattage massif des stagiaires cuvée 2018- 2019? Je nous plains tous pour notre avenir à court terme, enseignants titulaires, mais les stagiaires par dessus tout.

Encore ?
C'est bizarre, à chaque fois qu'un ministre dit se préoccuper de mon pouvoir d'achat, j'en fais des cauchemars.

Pour les courageux...

Will.T a écrit:

Bientôt il va citer Thanos...

On nous avait pas déjà fait le coup sous Sarko ?

« Seuls le second degré et les services administratifs seront concernés. Le volume d’enseignement sera évidemment maintenu à travers le recours aux heures supplémentaires », explique le ministre. « En cas de nécessité locale, une seconde heure pourra être imposée par le chef d’établissement comme c’était le cas avant les années 2000 », ajoute-t-il.

Donc une modification des statuts à venir ?

Un simple trait de plume suffira, pour le statut ...ce n'est pas comme s'il y avait une opposition.

Will.T a écrit:

Ah ben voyons, je vous l'avais dit Prévisible. Teeeellement prévisible. Pathétique. Teeellement pathétique

Will.T a écrit:Pour les courageux...

Salamé aura-t-elle bossé son sujet pour la première fois de sa carrière?

Daphné a écrit:

Babarette a écrit:Remarque... Êtes-vous sûrs de les vouloir pour collègues?

Ça dépend :lol:

Les carriéristes oui.

Sinon on n'est pas obligé de sympathiser avec tous les collègues, certains nous agacent.

Et puis ils ne s'attarderaient pas très longtemps en SDP, ils fileraient vite vers leurs autres missions plus prestigieuses.

Ouais mais après, ils te dénoncent au CDE si tu montres un extrait de 7 minutes d'un film au lieu de 6.

Zagara a écrit:Tu peux acheter ton sac à vomi sur le site de l'Elysée pour 5 euros et y'a la tête de Macron dessus.

J'en veux bien un, mais pas en donnant ce qu'on m'a retiré d'APL à celui qui me les a piqué.

Will.T a écrit:Pour les courageux...

Je plains les pauvres gens qui vont se réveiller avec ça.

gauvain31 a écrit:

Cath a écrit:Un sac pour vomir ?

Dans le monde Macronien, n'attends aucune solidarité: tu dois prendre la responsabilité d'aller chercher toi-même ton sac à vomir. Et de le vider dans les toilettes.

Non avec Macron tu te le fais livrer par deliveroo ou uber.

Supprimer des postes pour donner la priorité à notre pouvoir d'achat !!!!!! Non mais :enrage:

JPhMM a écrit:Je ne peux pas lire la suite de l'article. Cela signifie qu'il voudrait faire monter le nombre d'heures supplémentaires "obligatoires" à 2 ?

Le ministre de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer annonce dimanche 16 septembre dans un entretien au Figaro la suppression de 1 800 postes l’an prochain, soit « 0,2 % des emplois du ministère », dans le cadre de la réduction du nombre de fonctionnaires voulue par le gouvernement.
« Seuls le second degré et les services administratifs seront concernés. Le volume d’enseignement sera évidemment maintenu à travers le recours aux heures supplémentaires », explique le ministre. « En cas de nécessité locale, une seconde heure pourra être imposée par le chef d’établissement comme c’était le cas avant les années 2000 », ajoute-t-il.
Le premier ministre Edouard Philippe avait annoncé fin août la suppression d’environ 4 500 postes dans la fonction publique en 2019 et de plus de 10 000 en 2020. L’Education nationale, qui représente près de la moitié des effectifs publics, contribuera donc largement à cet effort.

«  Rééquilibrage en faveur de l’école primaire »
Le budget du ministère devrait augmenter l’an prochain de 850 millions d’euros, « l’une des plus importantes augmentations au sein de l’Etat », souligne M. Blanquer.
Parmi les priorités de l’année à venir figure « le rééquilibrage en faveur de l’école primaire », qui se traduira notamment par un « investissement dans la mesure de dédoublement des classes de CP et CE1 ». 300 000 élèves seront concernés à la rentrée 2019, précise le ministre.
Concernant l’absentéisme des professeurs, le ministre estime que l’un des enjeux est « le remplacement des personnels absents par les professeurs du même établissement ». Afin d’améliorer le pouvoir d’achat des enseignants, Jean-Michel Blanquer affirme vouloir « faire un effort sur l’entrée en seconde carrière », afin de valoriser les professeurs qui entament leur carrière après un premier métier.

:chev: :chev: Je ne veux pas d'heures supplémentaires! Je ne veux pas remplacer des collègues au pied levé pour faire de la garderie. Je veux pouvoir faire mon travail correctement.

On se fout de ce que tu veux !

Vu comme ça

Merci Mamieprof.

Oh punaise. Je sens que je vais aller me chercher des cafés pendant que les élèves regardent Mr Bean, moi, bientôt...

Oui, mais fais gaffe : si on te dénonce au CDE, il risque te coller des heures supplémentaires