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- koubNiveau 4
Tout est dans le titre. Y a-t-il une obligation de toujours travailler en séquence? Inutile de me dire que c'est une plus cohérent, plus logique blablaba...je sais tout ça.
Notre liberté pédagogique est-elle limitée par cette pratique de la séquence qui à mon sens n'est pas toujours opérationnelle face à des classes en grande difficulté. Difficile de procéder à des remédiations nécessaires. La séquence manque parfois de souplesse...de réactivité.
Le travail en séquence existe depuis quoi ?... 30 ans ? Ne peut-on rien faire d'autre sous peine d'excommunication inspectorale ?
Notre liberté pédagogique est-elle limitée par cette pratique de la séquence qui à mon sens n'est pas toujours opérationnelle face à des classes en grande difficulté. Difficile de procéder à des remédiations nécessaires. La séquence manque parfois de souplesse...de réactivité.
Le travail en séquence existe depuis quoi ?... 30 ans ? Ne peut-on rien faire d'autre sous peine d'excommunication inspectorale ?
- floMédiateur
Tu peux lire un grand nombre de sujets dans cette section, tu verras que nous sommes très nombreux à ne pas/plus travailler en séquence depuis belle lurette.
- abricotedapiExpert spécialisé
Non.koub a écrit:Y a-t-il une obligation de toujours travailler en séquence?
Comme dit au-dessus, nous sommes nombreuses ici à ne pas le faire.
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- Spoiler:
- 2024-2025 : en poste fixe !!
2023-2024 (TZR) AFA : 2 classes de 6e (PP 6e)
2022-2023 (TZR) AFA : 1 classe de 5e, 2 classes de 4e, 1 classe de 3e (PP 5e)
2021-2022 (TZR) 2 remplacements : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e / 3 classes de 6e
2020-2021 (TZR) AFA 2 collèges dont le RAD : 2 classes de 5e, 1 classe de 4e (PP 5e) + 1 classe de 6e
2019-2020 (TZR) AFA RAD : 2 classes de 6e, 2 classes de 5e (PP 6e)
2018-2019 (TZR) AFA : 4 classes de 6e
2014-2018 : quatre ans en poste fixe (8 classes de 6e, 4 classes de 4e, 3 classes de 5e, 2 classes de 3e et 4 x PP 6e)
2013-2014 (stagiaire) : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e
- FantômetteHabitué du forum
Non, ça fait 10 ans que ce n'est plus obligatoire, depuis les programmes de 2008 où c'est clairement dit et où il est spécifié qu'on peut faire une progression grammaticale séparée, que c'est même recommandé. ☺
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"La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance." G.Orwell
- ProvenceEnchanteur
koub a écrit:Tout est dans le titre. Y a-t-il une obligation de toujours travailler en séquence?
Non.
Aucun risque de ma part, je suis convaincue que la séquence n'est ni cohérente ni logique et qu'elle déstructure les apprentissages.Inutile de me dire que c'est une plus cohérent, plus logique blablaba...
Fin des années 1990, je dirais.Le travail en séquence existe depuis quoi ?... 30 ans ?
Je n'ai jamais enseigné en séquences. Je prépare mes cours pour les élèves, pas pour l'inspecteur.Ne peut-on rien faire d'autre sous peine d'excommunication inspectorale ?
- User7570Niveau 6
Moi (en lycée), je travaille en séquences
4 belles et amples séquences : théâtre, poésie, roman, argumentation
4 belles et amples séquences : théâtre, poésie, roman, argumentation
- OlympiasProphète
Quand je parcours le cahier de français de sixième de numéro 3, une chatte n'y retrouverait pas ses petits. Il y a de tout. Un vrai fatras.
- Prof75Niveau 5
Tu es prof en LP d'après ta fiche. Pourquoi poster ton sujet en français collège ??
Bref, je suis "mixte" sur ce sujet ! JE travaille en séquence, mais j'ajoute des heures complémentaires pour travailler les points faibles des élèves. Ce qui m'a valu les foudres de l'inspection !
Bref, je suis "mixte" sur ce sujet ! JE travaille en séquence, mais j'ajoute des heures complémentaires pour travailler les points faibles des élèves. Ce qui m'a valu les foudres de l'inspection !
- floMédiateur
Ca, c'est de ma faute : j'ai déplacé ce sujet qui était dans "l'enseignement secondaire au quotidien", j'ai mal regardé.Prof75 a écrit:Tu es prof en LP d'après ta fiche. Pourquoi poster ton sujet en français collège ??
- New ZealandNiveau 9
J'ai l'impression que les séquences sont plus ou moins cohérentes selon les matières. En langues, ça ne pose pas de problème, mais comment faire une séquence en maths ? Je veux dire, à part par chapitre. J'ai l'impression qu'on a collé sur toutes matières un modèle qui peut marcher dans certaines (mais quid de son efficacité ? Existe-il des études à ce sujet, sur l'impact positif des séquences sur l'apprentissage des élèves ?) mais pas dans d'autres.
- Monsieur_TeslaNiveau 10
C'est quoi une séquence ?
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Ce que j'entends je l'oublie.
Ce que le lis je le retiens.
Ce que je fais, je le comprends !
Tchuang Tseu
- SergeMédiateur
Fantômette a écrit:Non, ça fait 10 ans que ce n'est plus obligatoire, depuis les programmes de 2008 où c'est clairement dit et où il est spécifié qu'on peut faire une progression grammaticale séparée, que c'est même recommandé. ☺
Il me semble que les programmes, depuis le gouvernement Hollande jusqu'à maintenant, présentent à nouveau la séquence comme le "modèle" à suivre.
- *Ombre*Grand sage
Non, Serge, justement. Le Snalc a bien veillé à ce que ce ne soit pas le cas. Nous jouissons toujours de la liberté pédagogique inscrite dans la loi et réaffirmée par les programmes Darcos de 2008.
- SergeMédiateur
Oui, je sais qu'on bénéficie toujours de la liberté pédagogique, je veux juste dire que la séquence est à nouveau présenté comme la doxa à suivre dans les programmes (contrairement à ceux de 2008)
- *Ombre*Grand sage
Ça, oui, la séquence est toujours présentée comme le dogme indépassable par les idéologues qui nous servent communément d'IPR et de formateurs. Mais leur grand dam, ces idéologues ne font pas encore la loi. On peut donc les laisser braire.
En fait, il convient de se demander pour qui l'on fait cours : pour nos élèves, en tenant compte de ce qui sera bon pour eux ? ou pour notre vague hiérarchie intermédiaire, en fonction de ses lubies, variables d'une académie à l'autre ?
En fait, il convient de se demander pour qui l'on fait cours : pour nos élèves, en tenant compte de ce qui sera bon pour eux ? ou pour notre vague hiérarchie intermédiaire, en fonction de ses lubies, variables d'une académie à l'autre ?
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Et alors en lettres je ne sais pas comment on peut faire une séquence sans sacrifier à la fois la littérature et la grammaire (la grammaire étant souvent bien plus massacrée encore...).New Zealand a écrit:J'ai l'impression que les séquences sont plus ou moins cohérentes selon les matières. En langues, ça ne pose pas de problème, mais comment faire une séquence en maths ? Je veux dire, à part par chapitre. J'ai l'impression qu'on a collé sur toutes matières un modèle qui peut marcher dans certaines (mais quid de son efficacité ? Existe-il des études à ce sujet, sur l'impact positif des séquences sur l'apprentissage des élèves ?) mais pas dans d'autres.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- pseudo-intelloSage
Le travail en séquence existe depuis environ 20 ans, en effet. Entrée en 2nde en 1997, j'y ai échappé ; entrée en 2nde en 1998, une amie y a eu droit.
En tant que prof, après avoir essayé de tourner et retourner les séquences dans tous les sens, j'ai jeté l'éponge. M'enfoustantpis, je préfère apprendre des trucs à mes élèves que de faire une jolie progression séquencée (c’est vrai que c'est plus joli, mais j'ai l'impression que mes élèves sont sortis de mes classes aussi ignorants qu'ils y sont entrés, et ce n'est pas rien).
Au pire du pire, si ça redevenait obligatoire et que je voulais soigner ma carrière, grâce au supergénial PPCR qui ne rebooste nos carrière (ça a le mérite de rimer), je sais quelle année je vais être inspectée...
En tant que prof, après avoir essayé de tourner et retourner les séquences dans tous les sens, j'ai jeté l'éponge. M'enfoustantpis, je préfère apprendre des trucs à mes élèves que de faire une jolie progression séquencée (c’est vrai que c'est plus joli, mais j'ai l'impression que mes élèves sont sortis de mes classes aussi ignorants qu'ils y sont entrés, et ce n'est pas rien).
Au pire du pire, si ça redevenait obligatoire et que je voulais soigner ma carrière, grâce au supergénial PPCR qui ne rebooste nos carrière (ça a le mérite de rimer), je sais quelle année je vais être inspectée...
- ElbertaHabitué du forum
Bonjour,
Est-ce que vous pouvez m'expliquer ce que veut dire, concrètement, travailler en séquences en français. Et du coup, ce que veut dire ne pas travailler en séquences (donc par chapitre c'est ça?) ?
Est-ce que vous pouvez m'expliquer ce que veut dire, concrètement, travailler en séquences en français. Et du coup, ce que veut dire ne pas travailler en séquences (donc par chapitre c'est ça?) ?
- *Ombre*Grand sage
Travailler en séquences, c'est en particulier inféoder l'étude de la grammaire à celle des textes sous prétexte que cela "donnerait du sens aux apprentissages" (formule creuse que personne n'a encore été capable de m'expliquer concrètement). Par exemple, décider qu'on va travailler sur les adjectifs et les relatives parce qu'on étudie les récits de voyages pleins de descriptions - et tant pis si les élèves n'ont pas revu les classes dont dépendent les adjectifs, la notion de proposition : on fera ça plus tard, en dépit du bon sens. En d'autres termes, c'est nier que l'étude de la grammaire requiert de la méthode, une progression propre. C'est ruiner cette progression et empêcher ainsi les élèves d'accéder à une représentation suffisamment structurée de la langue pour qu'elle fasse système et s'automatise dans ses applications. C'est en général cloisonner les notions à l'intérieur de chaque séquence, c'est-à-dire ne plus jamais parler de tel point de langue une fois qu'on a bouclé la séquence dans laquelle on l'a abordé et donc ne jamais fixer les connaissances dans le temps - et s'étonner ensuite que les élèves oublient tout. C'est accessoirement faire très peu de langue puisque rares sont les professeurs capables de mener plus de six ou sept séquences dans l'année.
Enfin, c'est rendre l'étude des textes très chiante à force d'en faire des prétextes à l'étude de la langue plutôt que de s'attacher à la manière unique dont est tenu un propos qui continue de nous parler pour les siècles des siècles.
À part ça, il paraît que c'est ce qui se fait de mieux en matière de pédagogie du français, parce qu'il y a du lien entre textes et grammaire.
Ne pas travailler en séquences, c'est bâtir sa progression grammaticale de façon à aller du simple au complexe avec méthode, en éclairant progressivement la syntaxe. C'est suivre cette progression qui répond aux nécessités propres à l'objet étudié (la langue) quel que soit le chapitre littéraire travaillé en parallèle. C'est faire tous les liens nécessaires entre les textes et les leçons de langue à chaque fois que c'est justifié.
Enfin, c'est rendre l'étude des textes très chiante à force d'en faire des prétextes à l'étude de la langue plutôt que de s'attacher à la manière unique dont est tenu un propos qui continue de nous parler pour les siècles des siècles.
À part ça, il paraît que c'est ce qui se fait de mieux en matière de pédagogie du français, parce qu'il y a du lien entre textes et grammaire.
Ne pas travailler en séquences, c'est bâtir sa progression grammaticale de façon à aller du simple au complexe avec méthode, en éclairant progressivement la syntaxe. C'est suivre cette progression qui répond aux nécessités propres à l'objet étudié (la langue) quel que soit le chapitre littéraire travaillé en parallèle. C'est faire tous les liens nécessaires entre les textes et les leçons de langue à chaque fois que c'est justifié.
- abricotedapiExpert spécialisé
Pour une réponse plus courte et neutre, même si je suis d'accord avec Ombre, travailler en séquence consiste à traiter les points de langue en fonction de ce qu'on étudie en littérature (séquence sur le théâtre : le présent, les phrases exclamatives ; séquence sur le conte : passé simple et imparfait, par exemple). C'est le décloisonnement, on mêle langue et littérature.
Ne pas travailler en séquence, c'est cloisonner : travailler d'un côté la langue, avec une progression propre, et de l'autre côté la littérature.
Ne pas travailler en séquence, c'est cloisonner : travailler d'un côté la langue, avec une progression propre, et de l'autre côté la littérature.
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2019-2020 (TZR) AFA RAD : 2 classes de 6e, 2 classes de 5e (PP 6e)
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2014-2018 : quatre ans en poste fixe (8 classes de 6e, 4 classes de 4e, 3 classes de 5e, 2 classes de 3e et 4 x PP 6e)
2013-2014 (stagiaire) : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e
- ElbertaHabitué du forum
Merci beaucoup, vos explications sont très claires. Je ne travaillerai donc pas en séquences puisque j'ai l'intention de faire deux heures de langue par semaine et deux heures d'explications de textes/écriture à côté, mais sans les lier. Je serai stagiaire, je vais donc peut-être me faire taper sur les doigts mais je ne sais pas travailler autrement...
Quelle place donnez-vous à l'oral dans vos cours ? Je le trouve prépondérant dans les programmes et je suis sceptique quant à la pertinence d'en faire autant.
Quelle place donnez-vous à l'oral dans vos cours ? Je le trouve prépondérant dans les programmes et je suis sceptique quant à la pertinence d'en faire autant.
- ProvenceEnchanteur
*Ombre* a écrit:Travailler en séquences, c'est en particulier inféoder l'étude de la grammaire à celle des textes sous prétexte que cela "donnerait du sens aux apprentissages" (formule creuse que personne n'a encore été capable de m'expliquer concrètement). Par exemple, décider qu'on va travailler sur les adjectifs et les relatives parce qu'on étudie les récits de voyages pleins de descriptions - et tant pis si les élèves n'ont pas revu les classes dont dépendent les adjectifs, la notion de proposition : on fera ça plus tard, en dépit du bon sens. En d'autres termes, c'est nier que l'étude de la grammaire requiert de la méthode, une progression propre. C'est ruiner cette progression et empêcher ainsi les élèves d'accéder à une représentation suffisamment structurée de la langue pour qu'elle fasse système et s'automatise dans ses applications. C'est en général cloisonner les notions à l'intérieur de chaque séquence, c'est-à-dire ne plus jamais parler de tel point de langue une fois qu'on a bouclé la séquence dans laquelle on l'a abordé et donc ne jamais fixer les connaissances dans le temps - et s'étonner ensuite que les élèves oublient tout. C'est accessoirement faire très peu de langue puisque rares sont les professeurs capables de mener plus de six ou sept séquences dans l'année.
Enfin, c'est rendre l'étude des textes très chiante à force d'en faire des prétextes à l'étude de la langue plutôt que de s'attacher à la manière unique dont est tenu un propos qui continue de nous parler pour les siècles des siècles.
À part ça, il paraît que c'est ce qui se fait de mieux en matière de pédagogie du français, parce qu'il y a du lien entre textes et grammaire.
Ne pas travailler en séquences, c'est bâtir sa progression grammaticale de façon à aller du simple au complexe avec méthode, en éclairant progressivement la syntaxe. C'est suivre cette progression qui répond aux nécessités propres à l'objet étudié (la langue) quel que soit le chapitre littéraire travaillé en parallèle. C'est faire tous les liens nécessaires entre les textes et les leçons de langue à chaque fois que c'est justifié.
Tout à fait d'accord avec Ombre. A force de prétendre chercher ou donner du sens aux choses, on le perd. Et on oublie trop souvent que le collège est le lieu où, idéalement, l'élève devrait apprendre la maîtrise de la langue avant toute autre chose. Or l'objectif de la séquence est essentiellement littéraire.
Tu peux faire semblant de faire des séquences si on t'impose ce modèle.Elberta a écrit:Merci beaucoup, vos explications sont très claires. Je ne travaillerai donc pas en séquences puisque j'ai l'intention de faire deux heures de langue par semaine et deux heures d'explications de textes/écriture à côté, mais sans les lier. Je serai stagiaire, je vais donc peut-être me faire taper sur les doigts mais je ne sais pas travailler autrement...
Mes élèves lèvent la main et je leur donne la parole pour répondre aux questions que je leur pose. Voili voilou...Quelle place donnez-vous à l'oral dans vos cours ?
- ElbertaHabitué du forum
Mes élèves lèvent la main et je leur donne la parole pour répondre aux questions que je leur pose. Voili voilou...
Je vois
Merci Provence.
- *Ombre*Grand sage
Elberta a écrit:Merci beaucoup, vos explications sont très claires. Je ne travaillerai donc pas en séquences puisque j'ai l'intention de faire deux heures de langue par semaine et deux heures d'explications de textes/écriture à côté, mais sans les lier. Je serai stagiaire, je vais donc peut-être me faire taper sur les doigts mais je ne sais pas travailler autrement...
J'ai envie de te féliciter pour ce choix, Elberta, mais aussi de te mettre en garde. Je peux tenir le discours que je tiens parce que je ne joue pas ma titularisation. Tu seras obligée, sauf à t'exposer dangereusement, de faire montre de davantage de prudence. Comme le dit Provence, tu peux maquiller ton cours non séquencé en séquences. Mais si cela même t'est reproché (j'ai suivi ça de loin, mais si j'ai bien compris, le malheureux stagiaire qui était dans mon établissement cette année faisait tout ce qu'il pouvait pour nourrir ses "séquences" en grammaire, et se voyait sommé d'enlever des leçons de grammaire de ses préparations : trop de grammaire, pas de lien évident avec les textes...), tu devras, pour cette année au moins, faire comme lui et ronger ton frein discrètement. C'est frustrant, mais c'est ce que commande la sagesse. Une fois titulaire, tu pourras faire du bon travail, c'est le plus important.
- ElbertaHabitué du forum
Je comprends ta mise en garde. Etant affectée en REP, penses-tu possible de justifier ce choix de faire de la langue à part par le besoin encore plus important des élèves de maîtriser la langue ?
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