- RuthvenGuide spirituel
pop a écrit:C'est le but recherché, envoyé le max de bac pro en BTS. Les quotas de places réservés sont assez important (60% mais ça dépend des BTS et académie je crois).
En tout cas, pour les bacs géné, sur ce que j'ai vu sur Parcoursup, il n'y a qu'une à trois places par BTS (exceptionnellement cinq places sur une ou deux formations).
- liskayaNeoprof expérimenté
Jenny a écrit:Proton a écrit:Ensuite, ceux qui ont des refus partout n'ont pas fait de vœux dans une filière non sélective ... sinon ils seraient en attente ou accepté.
Sauf que certains ont des "non" pour des vœux dans des filières non sélectives.
Ou "en attente" mais à la 1500e place, dans une filière non sélective, présentée aux journées portes ouvertes comme n'ayant jamais eu à refuser un candidat... Ça vaut le coup de se renseigner...
- JennyMédiateur
liskaya a écrit:Jenny a écrit:Proton a écrit:Ensuite, ceux qui ont des refus partout n'ont pas fait de vœux dans une filière non sélective ... sinon ils seraient en attente ou accepté.
Sauf que certains ont des "non" pour des vœux dans des filières non sélectives.
Ou "en attente" mais à la 1500e place, dans une filière non sélective, présentée aux journées portes ouvertes comme n'ayant jamais eu à refuser un candidat... Ça vaut le coup de se renseigner...
J'ai plusieurs élèves classés 8000 ou 9000 et des brouettes...
- popNiveau 6
Ruthven a écrit:pop a écrit:C'est le but recherché, envoyé le max de bac pro en BTS. Les quotas de places réservés sont assez important (60% mais ça dépend des BTS et académie je crois).
En tout cas, pour les bacs géné, sur ce que j'ai vu sur Parcoursup, il n'y a qu'une à trois places par BTS (exceptionnellement cinq places sur une ou deux formations).
Il y a 3 liste:
- bac pro 60 %
- bac techno 30%
- autres (bac généraux, reprise détude, réorientation) 10%
Après, ça doit changer suivant des endroits.
- ZarathustraNiveau 7
J'avoue ne pas comprendre la commotion concernant "parcoursup" en ce moment. On ne peut strictement rien dire avant au moins le 28/5. J'ai lu quelque part qu'en moyenne, un élève a fait 7 vœux. Cela veut donc dire que, s'il y avait N élèves en cette génération, et il y avait exactement N places pour eux, 7N vœux ont été faits. Sur ces 7N vœux, seulement N peuvent avoir un oui en ce moment (car il n'y a que N places), ce qui veut dire que 6N vœux ont eu un non ou un "en attente". Bien sûr, les "bons" dossiers vont avoir raflé l'essentiel de ces "oui". Disons que 1/3 des candidats ont raflé tous les "oui" ; ils ont donc en moyenne 3 "oui" ; les 2/3 autres n'ont rien, c'est normal.
Mais avant le 28/5, cet 1/3 doit indiquer un seul "oui" qu'il garde. Ils vont donc libérer 2/3 des places à ce moment, car ils ne peuvent en garder que 1/3.
Cela veut dire aussi qu'en moyenne, seulement 1/7 des "places prises" maintenant, seront réellement prises. Si un établissement propose 100 places, il y aura, en moyenne, donc 700 demandes dont 600 ne seront pas prises par les élèves. Donc si vous vous trouvez au numéro 500, il y a des chances pour que cela finira bien. On ne se rend pas compte en quelle mesure le fait de faire beaucoup de vœux "surcharge" la barque au début.
Tant qu'ils n'ont pas libéré leurs places, forcément, les 2/3N autres n'auront pas grand-chose, et ils ont jusqu'au 28/5 pour le faire.
Il est vrai qu'une liste hiérarchisée des vœux aurait permis de libérer ces places directement. Je suppose que la décision de ne pas hiérarchiser ces vœux est inspirée par les critiques aux "algorithmes" de APB: parcoursup n'en a pas, c'est juste un moyen de communication centralisé entre les établissements supérieurs et les élèves-candidats. Les élèves utilisent parcoursup pour transmettre leur dossier et leur demande aux établissements supérieurs, et ces établissements décident à qui ils disent "oui" ; les élèves informent les établissements de leur acceptation ou refus de ce "oui", et en fonction de cela, les établissements peuvent donc utiliser cette information pour faire des propositions à d'autres candidats.
En d'autres termes, "parcoursup" n'est plus "la machine infernale qui vous donne ou refuse une place", c'est simplement un moyen de communication avec les établissements supérieurs, qui sont maintenant ouvertement responsables pour leurs propositions, leurs refus etc.... et ne peuvent plus se cacher derrière un "algorithme obscur d'APB". Si certains départements ont pris certains candidats, et non d'autres, c'est *leur* décision, pas celle de "parcoursup". Ils l'assument. Les critères qui déterminent l'ordre dans lequel ils prennent les candidats, sont les leurs et ils assument. S'ils ont fait des drôles de choix, ils assument.
Techniquement, bien sûr, c'est une régression, car ce qui pouvait être fait automatiquement est maintenant fait manuellement. Mais question transparence et responsabilité, c'est plus clair: les responsables des réponses sont les établissements supérieurs, c'est tout.
De toute façon, avant la date du 28/5, on ne peut pas dire beaucoup, car il y a forcément un surplus de "oui" dans les mains d'une fraction seulement des candidats en ce moment.
Mais avant le 28/5, cet 1/3 doit indiquer un seul "oui" qu'il garde. Ils vont donc libérer 2/3 des places à ce moment, car ils ne peuvent en garder que 1/3.
Cela veut dire aussi qu'en moyenne, seulement 1/7 des "places prises" maintenant, seront réellement prises. Si un établissement propose 100 places, il y aura, en moyenne, donc 700 demandes dont 600 ne seront pas prises par les élèves. Donc si vous vous trouvez au numéro 500, il y a des chances pour que cela finira bien. On ne se rend pas compte en quelle mesure le fait de faire beaucoup de vœux "surcharge" la barque au début.
Tant qu'ils n'ont pas libéré leurs places, forcément, les 2/3N autres n'auront pas grand-chose, et ils ont jusqu'au 28/5 pour le faire.
Il est vrai qu'une liste hiérarchisée des vœux aurait permis de libérer ces places directement. Je suppose que la décision de ne pas hiérarchiser ces vœux est inspirée par les critiques aux "algorithmes" de APB: parcoursup n'en a pas, c'est juste un moyen de communication centralisé entre les établissements supérieurs et les élèves-candidats. Les élèves utilisent parcoursup pour transmettre leur dossier et leur demande aux établissements supérieurs, et ces établissements décident à qui ils disent "oui" ; les élèves informent les établissements de leur acceptation ou refus de ce "oui", et en fonction de cela, les établissements peuvent donc utiliser cette information pour faire des propositions à d'autres candidats.
En d'autres termes, "parcoursup" n'est plus "la machine infernale qui vous donne ou refuse une place", c'est simplement un moyen de communication avec les établissements supérieurs, qui sont maintenant ouvertement responsables pour leurs propositions, leurs refus etc.... et ne peuvent plus se cacher derrière un "algorithme obscur d'APB". Si certains départements ont pris certains candidats, et non d'autres, c'est *leur* décision, pas celle de "parcoursup". Ils l'assument. Les critères qui déterminent l'ordre dans lequel ils prennent les candidats, sont les leurs et ils assument. S'ils ont fait des drôles de choix, ils assument.
Techniquement, bien sûr, c'est une régression, car ce qui pouvait être fait automatiquement est maintenant fait manuellement. Mais question transparence et responsabilité, c'est plus clair: les responsables des réponses sont les établissements supérieurs, c'est tout.
De toute façon, avant la date du 28/5, on ne peut pas dire beaucoup, car il y a forcément un surplus de "oui" dans les mains d'une fraction seulement des candidats en ce moment.
- JennyMédiateur
pop a écrit:Ruthven a écrit:pop a écrit:C'est le but recherché, envoyé le max de bac pro en BTS. Les quotas de places réservés sont assez important (60% mais ça dépend des BTS et académie je crois).
En tout cas, pour les bacs géné, sur ce que j'ai vu sur Parcoursup, il n'y a qu'une à trois places par BTS (exceptionnellement cinq places sur une ou deux formations).
Il y a 3 liste:
- bac pro 60 %
- bac techno 30%
- autres (bac généraux, reprise détude, réorientation) 10%
Après, ça doit changer suivant des endroits.
Et pour les DUT ?
- BoubouleDoyen
Plutarque a écrit:Bouboule a écrit:Plutarque a écrit:Tout cela va peut-être permettre le retour à APB.
Personnellement, j'ai du mal à comprendre ce qui a motivé ce changement. Si le problème était le tirage au sort, je ne vois pas en quoi parcoursup révolutionne la question, il suffisait de garder APB et de mettre tout le monde en attente sur les filières non sélectives avec une commission pour ceux qui n'ont rien... ce que fait parcoursup ! Si le problème était de permettre des OUI SI, on pouvait conserver APB avec possibilité de dédoubler chaque vœu (un vœu étant une acceptation que si c'est OUI, un autre si c'est OUI ou OUI SI).
Pour moi, trois choses ont poussé à la création de ce merdier :
- on estime les élèves incapables d'ordonner des vœux à l'avance, et on veut faire croire que c'est plus juste ainsi (alors que la seule chose que ça crée c'est de l'attente et du stress)
- on a voulu changer de nom pour faire croire qu'on résolvait le "problème" APB, un grand classique
- on a voulu commencer à habituer les gens à une sélection, qui sera réellement effective dans quelques années avec la suppression des études supérieures de droit avec un bac
Je te rappelle que la justice a jugé APB illégal. Il fallait donc changer.
Ensuite, il se trouve qu'on avait un nouveau gouvernement aux manettes. L'occasion était belle de pousser un peu dans un certain sens.
Si j'ai bien suivi le truc, c'est le tirage au sort dans APB qui a été jugé illégal. On pouvait très bien conserver le système APB (avec un premier tour qui donne une réponse quasi-définitive) en réglant ce problème précis en faisant ce que fait parcoursup. Le choix d'en profiter pour pousser dans un certain sens est bien sûr politique, l'aubaine était trop belle.
Le tirage était le gros point noir d'APB (il n'existait pas au tout début d'APB puisque ce n'était prévu que pour les formations sélectives).
Mais la CNIL s'en est aussi mêlée (suite aux recours) en demandant que tout processus de décision pour un candidat fasse intervenir l'humain et ne soit pas entièrement automatisé, et également que le processus soit transparent (d'où notamment le souhait de la ministre de demander aux candidats de choisir une fois les résultats devant eux).
- AscagneGrand sage
Cela me semble plutôt sensé, en effet, d'attendre la fin du processus pour pouvoir faire un véritable bilan et des comparaisons tout à fait honnêtes.
Il y a sans doute des critiques légitimes possibles dès maintenant, mais quand j'ai vu passer certains messages sur Twitter (je suis des collègues du secondaire et du supérieur), je me suis dit qu'ils allaient trop vite en besogne sur certains points. Mais je connais peu le processus (pas de cours en terminale).
Il y a sans doute des critiques légitimes possibles dès maintenant, mais quand j'ai vu passer certains messages sur Twitter (je suis des collègues du secondaire et du supérieur), je me suis dit qu'ils allaient trop vite en besogne sur certains points. Mais je connais peu le processus (pas de cours en terminale).
- BoubouleDoyen
Verdurette a écrit:La fille d'une de mes collègues, que son lycée a carrément courtisée pour intégrer son hypokhâgne, qui l'a donc demandée avec avis très favorable, n'a que des "oui en attente", alors qu'une de ses camarades qui a une moyenne faible et qui a obtenu un avis "assez favorable" de justesse pour cette prépa a obtenu un oui ferme. Comment est-ce possible ? Un lycée n'intervient pas dans son recrutement de Prépa comme une fac pour ses étudiants ? (c'est une question)
Cela me semble trop léger comme indications pour répondre.
Boursier du secondaire ou pas ?
Demande avec internat ou pas ?
Ce sont deux éléments qui reviennent souvent dans les explications qu'on donne aux élèves depuis hier pour leur expliquer que bien que classé devant leur camarade, ils sont en attente dans l'appel.
Il y en a probablement d'autres mais on a rencontré ces deux-là pour le moment.
- LaotziSage
Zarathustra a écrit:J'avoue ne pas comprendre la commotion concernant "parcoursup" en ce moment. On ne peut strictement rien dire avant au moins le 28/5. J'ai lu quelque part qu'en moyenne, un élève a fait 7 vœux. Cela veut donc dire que, s'il y avait N élèves en cette génération, et il y avait exactement N places pour eux, 7N vœux ont été faits. Sur ces 7N vœux, seulement N peuvent avoir un oui en ce moment (car il n'y a que N places), ce qui veut dire que 6N vœux ont eu un non ou un "en attente". Bien sûr, les "bons" dossiers vont avoir raflé l'essentiel de ces "oui". Disons que 1/3 des candidats ont raflé tous les "oui" ; ils ont donc en moyenne 3 "oui" ; les 2/3 autres n'ont rien, c'est normal.
Mais avant le 28/5, cet 1/3 doit indiquer un seul "oui" qu'il garde. Ils vont donc libérer 2/3 des places à ce moment, car ils ne peuvent en garder que 1/3.
Tant qu'ils n'ont pas libéré leurs places, forcément, les 2/3N autres n'auront pas grand-chose, et ils ont jusqu'au 28/5 pour le faire.
Il est vrai qu'une liste hiérarchisée des vœux aurait permis de libérer ces places directement. Je suppose que la décision de ne pas hiérarchiser ces vœux est inspirée par les critiques aux "algorithmes" de APB: parcoursup n'en a pas, c'est juste un moyen de communication centralisé entre les établissements supérieurs et les élèves-candidats. Les élèves utilisent parcoursup pour transmettre leur dossier et leur demande aux établissements supérieurs, et ces établissements décident à qui ils disent "oui" ; les élèves informent les établissements de leur acceptation ou refus de ce "oui", et en fonction de cela, les établissements peuvent donc utiliser cette information pour faire des propositions à d'autres candidats.
En d'autres termes, "parcoursup" n'est plus "la machine infernale qui vous donne ou refuse une place", c'est simplement un moyen de communication avec les établissements supérieurs, qui sont maintenant ouvertement responsables pour leurs propositions, leurs refus etc.... et ne peuvent plus se cacher derrière un "algorithme obscur d'APB". Si certains départements ont pris certains candidats, et non d'autres, c'est *leur* décision, pas celle de "parcoursup". Ils l'assument. Les critères qui déterminent l'ordre dans lequel ils prennent les candidats, sont les leurs et ils assument. S'ils ont fait des drôles de choix, ils assument.
Techniquement, bien sûr, c'est une régression, car ce qui pouvait être fait automatiquement est maintenant fait manuellement. Mais question transparence et responsabilité, c'est plus clair: les responsables des réponses sont les établissements supérieurs, c'est tout.
De toute façon, avant la date du 28/5, on ne peut pas dire beaucoup, car il y a forcément un surplus de "oui" dans les mains d'une fraction seulement des candidats en ce moment.
Non, il y a non seulement des algorithmes locaux mais il y a aussi derrière un algorithme général qui repasse sur la sélection effectuée : https://www.lci.fr/france/parcoursup-resultats-un-ingenieur-a-decrypte-pour-nous-les-dessous-de-cet-algorithme-et-c-est-loin-d-etre-la-panacee-2088103.html
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- PlutarqueNiveau 10
Zarathustra a écrit:Il est vrai qu'une liste hiérarchisée des vœux aurait permis de libérer ces places directement. Je suppose que la décision de ne pas hiérarchiser ces vœux est inspirée par les critiques aux "algorithmes" de APB: parcoursup n'en a pas, c'est juste un moyen de communication centralisé entre les établissements supérieurs et les élèves-candidats. Les élèves utilisent parcoursup pour transmettre leur dossier et leur demande aux établissements supérieurs, et ces établissements décident à qui ils disent "oui" ; les élèves informent les établissements de leur acceptation ou refus de ce "oui", et en fonction de cela, les établissements peuvent donc utiliser cette information pour faire des propositions à d'autres candidats.
En d'autres termes, "parcoursup" n'est plus "la machine infernale qui vous donne ou refuse une place", c'est simplement un moyen de communication avec les établissements supérieurs, qui sont maintenant ouvertement responsables pour leurs propositions, leurs refus etc.... et ne peuvent plus se cacher derrière un "algorithme obscur d'APB". Si certains départements ont pris certains candidats, et non d'autres, c'est *leur* décision, pas celle de "parcoursup". Ils l'assument. Les critères qui déterminent l'ordre dans lequel ils prennent les candidats, sont les leurs et ils assument. S'ils ont fait des drôles de choix, ils assument.
D'accord pour la décision de dire "OUI", "OUI SI" ou "NON" qui est celle des formations et non de parcoursup, mais par contre pour le classement des élèves en attente, parcoursup retrie les listes de candidats fournies par les formations.
http://ingenuingenieur.blog.lemonde.fr/2018/05/22/que-revele-une-premiere-analyse-du-code-source-de-parcoursup/ a écrit:Première découverte : l’algorithme de Parcoursup retrie les candidats. En clair, si un candidat est classé 15ème sur la liste fournie par un BTS informatique, il se peut que Parcoursup décide de le classer 30ème. Ce reclassement est opéré sur la base de deux critères : un taux minimum d’élèves boursiers et un taux maximum de non-résidents.
En clair, Parcoursup peut décider de remonter certains candidats boursiers sur la liste et de redescendre des candidats qui seraient non-résidents ; qui ne viendraient pas de la « zone géographique » de la formation. Dès lors, les boursiers résidents sont prioritaires dans les listes. Ainsi, Parcoursup distingue le « classement pédagogique » opéré par les formations de « l’ordre d’appel » recalculé par les algorithmes pour tenir compte de ces critères.
Pour bien comprendre cette idée, prenons un exemple tout simple. Si une formation reçoit 500 candidatures, classe les élèves de 1 à 500 et que le premier élève boursier se trouve à la 69ème place, l’algorithme le remontera automatiquement à la première place.
EDIT : grillé de quelques minutes par Laotzi
- LaotziSage
Cela doit correspondre en général à l'Académie. Cela était déjà le cas dans APB (qui bonifiait même un voeu 1 dans l'Académie je crois), mais c'est d'autant plus frappant ici avec les rangs sur liste d'attente. Mes élèves, de banlieue parisienne, sont souvent très loin sur les listes d'attente de licences généralistes d'universités parisiennes, même les bons élèves. Les seules propositions d'admission concernent d'ailleurs des licences de l'université de l'académie (géographiquement plus éloignée que la plupart des facs parisiennes pour mes élèves pourtant).
C'est compréhensible en soi, mais c'est asse dur pour mes élèves qui souhaiteraient justement sortir de leur "univers" et se mêler à la population étudiante parisienne : ils vivent souvent cela comme une assignation à rester dans leur banlieue. C'est aussi dur pour les quelques cas qui peuvent changer complètement de résidence l'année suivante pour raisons familiales par exemple, ils ne sont alors pas du tout prioritaires dans l'académie et l'algorithme de parcoursup a pu les reléguer en fond de classement (sans que l'on sache trop en fait, malgré les promesses de transparence).
C'est compréhensible en soi, mais c'est asse dur pour mes élèves qui souhaiteraient justement sortir de leur "univers" et se mêler à la population étudiante parisienne : ils vivent souvent cela comme une assignation à rester dans leur banlieue. C'est aussi dur pour les quelques cas qui peuvent changer complètement de résidence l'année suivante pour raisons familiales par exemple, ils ne sont alors pas du tout prioritaires dans l'académie et l'algorithme de parcoursup a pu les reléguer en fond de classement (sans que l'on sache trop en fait, malgré les promesses de transparence).
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- BoubouleDoyen
En ce qui concerne les boursiers, c'est l'application de la loi. Un taux minimal de boursiers doit être fixé par les recteurs.
C'était déjà le cas sous APB dans les filières sélectives avec internat par exemple où les boursiers étaient prioritaires.
C'était déjà le cas sous APB dans les filières sélectives avec internat par exemple où les boursiers étaient prioritaires.
- mamieprofExpert spécialisé
En général c'est l'Académie mais si on demande une licence qui n'existe pas dans son académie alors on est considéré comme étant du secteur de cette licence portant hors académie.
Je crois que la PACES en ile de France n'est pas sectorisée contrairement aux autres L1.
Et les élèves vivant à l'étranger sont considérés comme étant du secteur sur tous leurs vœux de licence dans toutes les académies.
Et ceux dont les parents sont séparés et vivent dans des académies différentes sont considérés du secteur des 2 académies
Je crois que la PACES en ile de France n'est pas sectorisée contrairement aux autres L1.
Et les élèves vivant à l'étranger sont considérés comme étant du secteur sur tous leurs vœux de licence dans toutes les académies.
Et ceux dont les parents sont séparés et vivent dans des académies différentes sont considérés du secteur des 2 académies
- PaleoprofFidèle du forum
Merci Bouboule, je j'ignorais. presqu'une moitié de mes élèves bénéficie d'une bourse nationale, mais pas l'élève en question.
_________________
Je construis ma suite......
- mamieprofExpert spécialisé
J'ai 7 boursières, elles ont toutes eu de 1 à 7 vœux avec des dossiers de très moyen à excellent.
- CathEnchanteur
Pour ceux qui trouvent normal qu'à un moment un élève se retrouve devant un non parce qu'il faut bien qu'il comprenne qu'on n'a pas tout tout cuit dans la vie, je rappelle l'exemple que j'ai donné quelques pages plus haut, d'un de mes élèves de terminale bac pro commerce qui est accepté en STAPS, et un autre élève de Section bac pro sanitaire et social qui est 7e sur liste d'attente en PACES. J'espère qu'il n'y a pas des bac S qui se retrouvent tout déconfits parce qu'ils ont été refusés dans cette section. Ou alors il faut leur expliquer que c'est normal parce qu'à un moment dans la vie on a pas toujours ce qu'on veut.
À l'intervenante qui demandait précédemment si les bac pro étaient vraiment forcés de faire des veux, je rappelle également ce que j'ai écrit un autre moment : Les bac pro sont très fortement incites à faire des vœux. Le professeur principal est relancé plusieurs fois par le proviseur adjoint pour que lui-même relance les élèves de terminale qui n'ont pas fait de vœux. Et ainsi de suite jusqu'à lassitude d'une des deux parties... Alors qu'un certain nombre de bac pro sont à peu près opérationnels pour travailler, pas forcément dans le genre de boulot qu'ils auraient fait il y a 10 ou 15 ans quand le bac pro valait encore quelque chose, mais en tout cas dans un emploi d'ouvrier. J'avais cité il y a quelques jours un extrait du Monde qui indiquait que les bac pro avaient un contrat quelques mois après la sortie du bac pour environ 60 % d'entre il me semble.
À l'intervenante qui demandait précédemment si les bac pro étaient vraiment forcés de faire des veux, je rappelle également ce que j'ai écrit un autre moment : Les bac pro sont très fortement incites à faire des vœux. Le professeur principal est relancé plusieurs fois par le proviseur adjoint pour que lui-même relance les élèves de terminale qui n'ont pas fait de vœux. Et ainsi de suite jusqu'à lassitude d'une des deux parties... Alors qu'un certain nombre de bac pro sont à peu près opérationnels pour travailler, pas forcément dans le genre de boulot qu'ils auraient fait il y a 10 ou 15 ans quand le bac pro valait encore quelque chose, mais en tout cas dans un emploi d'ouvrier. J'avais cité il y a quelques jours un extrait du Monde qui indiquait que les bac pro avaient un contrat quelques mois après la sortie du bac pour environ 60 % d'entre il me semble.
- chmarmottineGuide spirituel
mamieprof a écrit:chmarmottine a écrit:Dans mon lycée, un élève de TES est admis en STAPS et un élève de TS a obtenu un "oui si remise à niveau" (mais je ne sais pas en quoi). Comment est-ce possible ?
En TES j ai un médiocre mieux placé qu'un très bon S en liste d'attente et visiblement pour un vœux avec des attendus très scientifiques il n y a qu'une seule liste d'attente (sans distinguer la série et la spé comme on a en IUT) je me pose la même question que toi !!!
Oui, c'est étrange.
Le TES en question a effectivement un dossier moyen et le TS a, à mon avis, un meilleur niveau.
- chmarmottineGuide spirituel
wilfried12 a écrit:Le TES est il boursier?
Je ne crois pas.
- RogerMartinBon génie
Seulement pendant 7 jours : ils ne doivent garder qu'un vœu, et même l'accepter de manière définitive si toutes leurs demandes ont été acceptées.mgb35 a écrit:Le mode d'attribution a changé mais pas le nombre de places dans le supérieur ni leur distribution. Le bilan sera à faire à la fin.
Il y a un vrai problème lié a l'attente et à la crainte de ne pas être affecté. C'est le problème de la transparence.
En PACES les élèves ont pu faire jusqu'à 10 voeux il me semble plus 10 autres voeux pour assurer. Les très bons élèves peuvent donc être retenu dans 20 formations et donc bloquer des places.
C'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses.
Auparavant, l'algorithme faisait tout seul ces manips de remontées de listes etc., et oui j'imagine le stress des candidats qui se voient mal classés, etc.
Il y a eu des bugs lors de l'appel : on nous avait assuré qu'on appellerait pour nos bi-licences (sélectives de tout temps) 20% en plus des effectifs, et le premier appel sur l'une d'elles était de 58 pour 60 places. À ce rythme-là, on y sera encore en août... Je n'arrive pas à comprendre ce que le rectorat a fichu.
Mais les places se libèrent assez vite de ce que nous pouvons voir : les candidats n'attendent pas les 7 jours, et on descend doucement dans les listes.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- MatheodHabitué du forum
Ca a peut être déjà été dit, mais j'ai appris ce midi pendant l'HIS qu'il fallait que les élèves confirment les voeux en attente car sinon ils les perdaient.
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