- AndréCNiveau 9
Un centimètre n'est pas un nombre.Mathador a écrit:
C'est transposable en 6ème ou 5ème avec les unités: 3 cm + 2 cm = 5 cm. En expliquant que 3 cm c'est 3 fois un centimètre.
- TritonJe viens de m'inscrire !
Je viens de m'inscrire à ce forum, horrifiée de ce que je lis ! Afin de faire comprendre à vos élèves les ordres de priorité , si vous leurs refusez d'ajouter des cm, des euros ou autres , parce que ce ne sont pas ds nombres , ... je comprends les difficultés de mes élèves en lycée !
- AndréCNiveau 9
Apprenez à lire.Triton a écrit:Je viens de m'inscrire à ce forum, horrifiée de ce que je lis ! Afin de faire comprendre à vos élèves les ordres de priorité , si vous leurs refusez d'ajouter des cm, des euros ou autres , parce que ce ne sont pas ds nombres , ... je comprends les difficultés de mes élèves en lycée !
- ProtonExpert
Quel troll ce AndréC. Il ne s’arrete jamais !
- AndréCNiveau 9
Proton, soyez positif, argumentez, cela changera du néant de vos écrits.
- VinZTDoyen
AndréC a écrit:Apprenez à lire.Triton a écrit:Je viens de m'inscrire à ce forum, horrifiée de ce que je lis ! Afin de faire comprendre à vos élèves les ordres de priorité , si vous leurs refusez d'ajouter des cm, des euros ou autres , parce que ce ne sont pas ds nombres , ... je comprends les difficultés de mes élèves en lycée !
Décidément, la courtoisie est une valeur en voie de disparition.
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« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
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- wilfried12Habitué du forum
AndréC a écrit:Proton, soyez positif, argumentez, cela changera du néant de vos écrits.
C'est la base sinon il s’appellerait électron.
- MathadorEmpereur
AndréC a écrit:Une pièce et un billet ne sont pas des nombres. Le bon sens commun n'a rien à voir là dedans.pailleauquebec a écrit:Les priorité sont à mon avis une convention qui découle du bon sens commun :
"Dans mon porte monnaie j'ai 3 euros et deux billets de 10€" = 3 + 2 * 10 = 3 + 20 = 23 €
Du point de vue mathématique, les conventions de priorité sont arbitraires: je pourrais tout à fait écrire une calculatrice logicielle qui appliquerait exactement les conventions contraires. Justifier le choix de ces conventions se fait donc justement avec le « bon sens ».
Au passage, les centimètres ne sont peut-être pas des nombres de chez Bourbaki mais en attendant lorsque je résous des problèmes concrets j'écris tous mes calculs au tableau avec les unités. Si on veut faire du mal aux mouches, il suffira de considérer que « cm » est un vecteur du R-espace vectoriel des longueurs, ce qui permet d'écrire 3 cm + 2 cm = 5 cm par bilinéarité du produit nombre-vecteur.
Et on peut alors même obtenir des aires avec l'algèbre symétrique engendrée: 2 cm × 4 cm = 8 (cm ⊗ cm), usuellement noté 8 cm².
Même si l'on n'exposera bien sûr pas ces formalisations vectorielles dans le secondaire, ce type de calcul me parait tout de même plus sain d'esprit que de faire réapparaître des unités comme par magie à la fin des calculs.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- AndréCNiveau 9
Et les pièces et les billets là dedans, c'est quoi ?Mathador a écrit:AndréC a écrit:Une pièce et un billet ne sont pas des nombres. Le bon sens commun n'a rien à voir là dedans.pailleauquebec a écrit:Les priorité sont à mon avis une convention qui découle du bon sens commun :
"Dans mon porte monnaie j'ai 3 euros et deux billets de 10€" = 3 + 2 * 10 = 3 + 20 = 23 €
Du point de vue mathématique, les conventions de priorité sont arbitraires: je pourrais tout à fait écrire une calculatrice logicielle qui appliquerait exactement les conventions contraires. Justifier le choix de ces conventions se fait donc justement avec le « bon sens ».
Au passage, les centimètres ne sont peut-être pas des nombres de chez Bourbaki mais en attendant lorsque je résous des problèmes concrets j'écris tous mes calculs au tableau avec les unités. Si on veut faire du mal aux mouches, il suffira de considérer que « cm » est un vecteur du R-espace vectoriel des longueurs, ce qui permet d'écrire 3 cm + 2 cm = 5 cm par bilinéarité du produit nombre-vecteur.
Et on peut alors même obtenir des aires avec l'algèbre symétrique engendrée: 2 cm × 4 cm = 8 (cm ⊗ cm), usuellement noté 8 cm².
Même si l'on n'exposera bien sûr pas ces formalisations vectorielles dans le secondaire, ce type de calcul me parait tout de même plus sain d'esprit que de faire réapparaître des unités comme par magie à la fin des calculs.
- AndréCNiveau 9
En effet, la courtoisie consiste à demander des explications avant de se dire horrifiée.VinZT a écrit:AndréC a écrit:Apprenez à lire.Triton a écrit:Je viens de m'inscrire à ce forum, horrifiée de ce que je lis ! Afin de faire comprendre à vos élèves les ordres de priorité , si vous leurs refusez d'ajouter des cm, des euros ou autres , parce que ce ne sont pas ds nombres , ... je comprends les difficultés de mes élèves en lycée !
Décidément, la courtoisie est une valeur en voie de disparition.
- Thalia de GMédiateur
On arrête de mettre des pièces dans la machine, sinon le topic sera verrouillé et tout le monde pourra aller dormir tranquille.
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- archebocEsprit éclairé
Mathador a écrit:AndréC a écrit:Une pièce et un billet ne sont pas des nombres. Le bon sens commun n'a rien à voir là dedans.pailleauquebec a écrit:Les priorité sont à mon avis une convention qui découle du bon sens commun :
"Dans mon porte monnaie j'ai 3 euros et deux billets de 10€" = 3 + 2 * 10 = 3 + 20 = 23 €
Du point de vue mathématique, les conventions de priorité sont arbitraires: je pourrais tout à fait écrire une calculatrice logicielle qui appliquerait exactement les conventions contraires. Justifier le choix de ces conventions se fait donc justement avec le « bon sens ».
Principe d'économie aussi, car si on inversait la priorité des opérations, on augmenterait le nombre de signes nécessaires pour écrire la distributivité. Jugez-en :
règle normal : ab+ac=a(b+c)
règle inverse : [ab]+[ac]=ab+c
Ce principe d'économie est la raison qui sous-tend le phénomène linguistique sur lequel est bâti à son tour le bon sens allégué ci-dessus.
- AndréCNiveau 9
Mathador a écrit:
Au passage, les centimètres ne sont peut-être pas des nombres de chez Bourbaki mais en attendant lorsque je résous des problèmes concrets j'écris tous mes calculs au tableau avec les unités. Si on veut faire du mal aux mouches, il suffira de considérer que « cm » est un vecteur du R-espace vectoriel des longueurs, ce qui permet d'écrire 3 cm + 2 cm = 5 cm par bilinéarité du produit nombre-vecteur.
Et on peut alors même obtenir des aires avec l'algèbre symétrique engendrée: 2 cm × 4 cm = 8 (cm ⊗ cm), usuellement noté 8 cm².
Même si l'on n'exposera bien sûr pas ces formalisations vectorielles dans le secondaire, ce type de calcul me parait tout de même plus sain d'esprit que de faire réapparaître des unités comme par magie à la fin des calculs.
Et lorsque vous écrivez 3 cm x 4 cm + 5 cm = 12 cm2 + 5 cm, vous considérez cela comment ?
Est-ce une aire ou une longueur ?
- BoubouleDoyen
AndréC a écrit:Mathador a écrit:
Au passage, les centimètres ne sont peut-être pas des nombres de chez Bourbaki mais en attendant lorsque je résous des problèmes concrets j'écris tous mes calculs au tableau avec les unités. Si on veut faire du mal aux mouches, il suffira de considérer que « cm » est un vecteur du R-espace vectoriel des longueurs, ce qui permet d'écrire 3 cm + 2 cm = 5 cm par bilinéarité du produit nombre-vecteur.
Et on peut alors même obtenir des aires avec l'algèbre symétrique engendrée: 2 cm × 4 cm = 8 (cm ⊗ cm), usuellement noté 8 cm².
Même si l'on n'exposera bien sûr pas ces formalisations vectorielles dans le secondaire, ce type de calcul me parait tout de même plus sain d'esprit que de faire réapparaître des unités comme par magie à la fin des calculs.
Et lorsque vous écrivez 3 cm x 4 cm + 5 cm = 12 cm2 + 5 cm, vous considérez cela comment ?
Est-ce une aire ou une longueur ?
On n'écrit jamais ça.
- MathadorEmpereur
Bouboule a écrit:AndréC a écrit:Mathador a écrit:
Au passage, les centimètres ne sont peut-être pas des nombres de chez Bourbaki mais en attendant lorsque je résous des problèmes concrets j'écris tous mes calculs au tableau avec les unités. Si on veut faire du mal aux mouches, il suffira de considérer que « cm » est un vecteur du R-espace vectoriel des longueurs, ce qui permet d'écrire 3 cm + 2 cm = 5 cm par bilinéarité du produit nombre-vecteur.
Et on peut alors même obtenir des aires avec l'algèbre symétrique engendrée: 2 cm × 4 cm = 8 (cm ⊗ cm), usuellement noté 8 cm².
Même si l'on n'exposera bien sûr pas ces formalisations vectorielles dans le secondaire, ce type de calcul me parait tout de même plus sain d'esprit que de faire réapparaître des unités comme par magie à la fin des calculs.
Et lorsque vous écrivez 3 cm x 4 cm + 5 cm = 12 cm2 + 5 cm, vous considérez cela comment ?
Est-ce une aire ou une longueur ?
On n'écrit jamais ça.
Pour détailler avec le formalisme que j'ai précédemment écrit: au lieu de travailler sur l'algèbre tensorielle complète, on se restreint à l'union ensembliste des droites vectorielles engendrées par les produits tensoriels élémentaires de nos unités de base. L'addition et la soustraction deviennent alors des fonctions partielles: la somme 12 cm² + 5 cm, par exemple, n'est plus définie. Avec cette restriction, si on a les inverses des unités de base (c'est alors un quotient de l'algèbre symétrique par les relations du type m × m¯¹ = 1), la division devient alors presque totale (sauf si on divise par 0).
(ou sinon, je viens de me rendre compte qu'on peut aussi utiliser les algèbres de polynômes; l'ajout des unités inverses correspond à une localisation, et le restriction se fait alors sur l'ensemble des monômes)
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- AndréCNiveau 9
Et lorsque l'élève de cinquième va vous demander pourquoi l'on peut écrire 3 x 8 x 4 x 8 + 5 x 8 = 808 alors que l'on n'écrit jamais 3 cm x 4 cm + 5 cm = 12 cm2 + 5 cm. A cela, vous lui répondrez quoi ?Bouboule a écrit:AndréC a écrit:Mathador a écrit:
Au passage, les centimètres ne sont peut-être pas des nombres de chez Bourbaki mais en attendant lorsque je résous des problèmes concrets j'écris tous mes calculs au tableau avec les unités. Si on veut faire du mal aux mouches, il suffira de considérer que « cm » est un vecteur du R-espace vectoriel des longueurs, ce qui permet d'écrire 3 cm + 2 cm = 5 cm par bilinéarité du produit nombre-vecteur.
Et on peut alors même obtenir des aires avec l'algèbre symétrique engendrée: 2 cm × 4 cm = 8 (cm ⊗ cm), usuellement noté 8 cm².
Même si l'on n'exposera bien sûr pas ces formalisations vectorielles dans le secondaire, ce type de calcul me parait tout de même plus sain d'esprit que de faire réapparaître des unités comme par magie à la fin des calculs.
Et lorsque vous écrivez 3 cm x 4 cm + 5 cm = 12 cm2 + 5 cm, vous considérez cela comment ?
Est-ce une aire ou une longueur ?
On n'écrit jamais ça.
- VerduretteModérateur
Qu'on ne peut pas non plus écrire 3 x 8 x 4 x 8 + 5 x 8.
Du moins sans parenthèses.
Du moins sans parenthèses.
- AndréCNiveau 9
En cycle 3, c'est vrai. En cycle 4, on peut.Verdurette a écrit:Qu'on ne peut pas non plus écrire 3 x 8 x 4 x 8 + 5 x 8.
Du moins sans parenthèses.
- AnaxagoreGuide spirituel
WHITNEY H., 1968, The mathematics of physical quantities, part II : Quantity structures and dimensional analysis, The Americain Mathematical Monthly
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- AndréCNiveau 9
Et comment allez-vous justifier cette restriction auprès d'un élève de quatrième alors que vous calculez x2 + x sans aucune restriction ?Mathador a écrit:Bouboule a écrit:AndréC a écrit:Mathador a écrit:
Au passage, les centimètres ne sont peut-être pas des nombres de chez Bourbaki mais en attendant lorsque je résous des problèmes concrets j'écris tous mes calculs au tableau avec les unités. Si on veut faire du mal aux mouches, il suffira de considérer que « cm » est un vecteur du R-espace vectoriel des longueurs, ce qui permet d'écrire 3 cm + 2 cm = 5 cm par bilinéarité du produit nombre-vecteur.
Et on peut alors même obtenir des aires avec l'algèbre symétrique engendrée: 2 cm × 4 cm = 8 (cm ⊗ cm), usuellement noté 8 cm².
Même si l'on n'exposera bien sûr pas ces formalisations vectorielles dans le secondaire, ce type de calcul me parait tout de même plus sain d'esprit que de faire réapparaître des unités comme par magie à la fin des calculs.
Et lorsque vous écrivez 3 cm x 4 cm + 5 cm = 12 cm2 + 5 cm, vous considérez cela comment ?
Est-ce une aire ou une longueur ?
On n'écrit jamais ça.
Pour détailler avec le formalisme que j'ai précédemment écrit: au lieu de travailler sur l'algèbre tensorielle complète, on se restreint à l'union ensembliste des droites vectorielles engendrées par les produits tensoriels élémentaires de nos unités de base. L'addition et la soustraction deviennent alors des fonctions partielles: la somme 12 cm² + 5 cm, par exemple, n'est plus définie. Avec cette restriction, si on a les inverses des unités de base (c'est alors un quotient de l'algèbre symétrique par les relations du type m × m¯¹ = 1), la division devient alors presque totale (sauf si on divise par 0).
(ou sinon, je viens de me rendre compte qu'on peut aussi utiliser les algèbres de polynômes; l'ajout des unités inverses correspond à une localisation, et le restriction se fait alors sur l'ensemble des monômes)
- AnaxagoreGuide spirituel
À un élève on répond que l'on n'ajoute pas des grandeurs de types différents.
À noter, l'ancienne terminologie: nombre concret/nombre abstrait, qui vaut ce qu'elle vaut, mais a été autrefois utilisée.
À noter, l'ancienne terminologie: nombre concret/nombre abstrait, qui vaut ce qu'elle vaut, mais a été autrefois utilisée.
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- MathadorEmpereur
AndréC a écrit:Et comment allez-vous justifier cette restriction auprès d'un élève de quatrième alors que vous calculez x2 + x sans aucune restriction ?Mathador a écrit:Pour détailler avec le formalisme que j'ai précédemment écrit: au lieu de travailler sur l'algèbre tensorielle complète, on se restreint à l'union ensembliste des droites vectorielles engendrées par les produits tensoriels élémentaires de nos unités de base. L'addition et la soustraction deviennent alors des fonctions partielles: la somme 12 cm² + 5 cm, par exemple, n'est plus définie. Avec cette restriction, si on a les inverses des unités de base (c'est alors un quotient de l'algèbre symétrique par les relations du type m × m¯¹ = 1), la division devient alors presque totale (sauf si on divise par 0).
(ou sinon, je viens de me rendre compte qu'on peut aussi utiliser les algèbres de polynômes; l'ajout des unités inverses correspond à une localisation, et le restriction se fait alors sur l'ensemble des monômes)
Lorsque j'ai 3 éléphants, ça veut dire que si je compte mes éléphants j'en ai 3. Si j'ai 2 pommes en plus, cela ne change pas mon nombre d'éléphants donc l'addition 3 éléphants + 2 pommes n'a pas de sens (parce que je n'ai ni 5 éléphants ni 5 pommes). Si un élève dit que j'ai alors 5 objets, je lui fais remarquer que j'ai aussi un stylo rouge (ou un marqueur, ou une craie, etc.), donc plus que 5 objets au total.
Si pour x²+x il n'y a pas de restriction c'est parce que x est un nombre abstrait comme dit @Anaxagore. Ce qu'ils connaissent depuis le cycle 2 puisque dans une multiplication le multiplicateur est un nombre abstrait que la multiplication concrétise (exemple: si j'ai 3 bouteilles de 25 cL, et que je veux concrétiser 3 en volume je dois le multiplier par 25 cL).
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
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- William FosterExpert
Anaxagore a écrit: WHITNEY H., 1968, The mathematics of physical quantities, part II : Quantity structures and dimensional analysis, The Americain Mathematical Monthly
Ah ! Whitney Houston ! I will always love you !
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- DeliaEsprit éclairé
« On n'additionne pas les choux et les carottes », ma maitresse de 9e sous la quatrième (République).
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- [Mission Torossian Villani] Une réflexion collaborative sur l'édition scolaire
- [maths] Laboratoire de mathématiques (une des mesures Villani-Torossian)
- Mathématiques : «Le niveau a dégringolé», assure Cédric Villani
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