- AndréCNiveau 9
ddalcatel a écrit:
Vous savez, comme toujours notre augmentation ne dépendra que du rapport de force que nous établirons (ou pas) avec notre employeur. Je reprends l'exemple des médecins qui ont su se faire augmenter de 8,7% alors que la sécurité sociale est en déficit. On a les déficits que l'on veut bien avoir. J'ai souvenir d'un CICE coutant 20 milliards par an à l'état . Ca fait combien d'augmentation pour chaque fonctionnaire ?
Le CICE représente une baisse des charges pour les entreprises, ce qui est une exigence des GOPE.
Quant au rapport de force, vous rêvez, j'ai le souvenir de la grève contre la réforme du collège qui s'est arrêtée net le soir même de la grande manif car Valls a fait paraitre son décret d'application dans la nuit.
Regardez la gauche dite radicale, les copains de Mélenchon en Grèce : ils vendent leur pays en morceau...
- ddalcatelNiveau 9
Une baisse des charges pour les entreprises, une exigence ? J'aimerais bien le voir écrit quelque part...
Je ne rêve pas d'un rapport de force, je dis simplement que nous ne pourrons obtenir quelque chose qu'avec un rapport de force.
Vous ne m'expliquez toujours pas pourquoi les médecins se font augmenter. Eux. Peut-être parce qu'ils sont très nombreux à l'assemblée nationale ?
Je ne rêve pas d'un rapport de force, je dis simplement que nous ne pourrons obtenir quelque chose qu'avec un rapport de force.
Vous ne m'expliquez toujours pas pourquoi les médecins se font augmenter. Eux. Peut-être parce qu'ils sont très nombreux à l'assemblée nationale ?
- BabaretteDoyen
JPhMM a écrit:Si tout A est B, on ne peut pas en déduire que tout non A est non B.stephanel a écrit:D'accord avec toi. Certaines personnes s'ennuient dans leur vie privée(j4en connais) donc pour eux, le bonheur c'est le boulot.Yazilikaya a écrit:JPhMM a écrit:Tout à fait d'accord.
Le vrai bonheur, c'est le face-à-face avec les élèves.
Ah non, ce n'est pas un bonheur pour moi, surtout certains jours.
C'est voir un bon film au ciné, faire une rando ou du vélo avec mon mari, fabriquer avec mes enfants des doigts sanguinolents à manger pour Halloween, caresser mon chat...
Par contre, si ce qui vous éclate dans le métier, ce sont les réunions plénières, les formations à pearltree ou les groupes de travail autour de "évaluer les élèves dans une démarche bienveillante grâce au numérique", c'est votre problème.
Clairement, les gosses sont parfois chiants, mais je ne donnerais pour rien au monde 6 heures de cours contre 1 heure de pitrerie.
Je ne crois pas que ce soit ça l'idée. Ce serait plutôt que le bonheur est ailleurs qu'au boulot, donc pas dans les réunions, pas devant les marmots, mais dans son fauteuil avec un bon livre et un chat, en famille, entre amis...
- LefterisEsprit sacré
En fait, il faut retourner cette contrainte en arme. Au bout d'un moment, tu maîtrises tellement que tu peux élargir tes centres d'intérêt, lire autre chose (apprendre le grec ). Comme tu le sais me connaissant, je m'ennuie comme un rat mort dans ce métier, mais je bosse moins qu'au début, ça me "vole" moins ma vie, d'autant que je rejette les activités périphériques,que j'abhorre. OU même approfondir un truc qui ne te "sers" pas directement. Récemment, j'ai lu plein de pièces de Molières, d'articles, au fil de mon inspiration, des renvois de notes, de préfaces. Jamais je n'aurais pu faire ça si je corrigeais à la chaîne des copies ch..ntes comme la pluie, comme certains de mes collègues ayant pris un lycée pas terrible, où il y a d'ailleurs de plus en plus de problèmes de comportement.virgere a écrit:[
Pardon, mais lire pour la 5e fois le Cid pour mes 4e ou la Ferme des animaux pour mes 3e (etc etc), ce n'est pas "intégrer mes lectures" à mon travail... Et comme le serveur que tu cites, j'ai un mal fou à trouver le temps de lire les livres que je veux lire pour moi et non pour mon travail. Et en collège, il ne m'est pas possible de concilier les deux.
Et sinon, Rogger Flanagan, la nuance est de taille entre "peu" et "pas", sauf à y mettre de la mauvaise foi, et pas qu'un peu...
Le vrai bonheur au boulot, c'est qu'il ne fasse pas son malheur, et qu'on puisse en effet vivre à côté .Yazilikaya a écrit:JPhMM a écrit:Tout à fait d'accord.
Le vrai bonheur, c'est le face-à-face avec les élèves.
Ah non, ce n'est pas un bonheur pour moi, surtout certains jours.
C'est voir un bon film au ciné, faire une rando ou du vélo avec mon mari, fabriquer avec mes enfants des doigts sanguinolents à manger pour Halloween, caresser mon chat...
Je peux t'en prêter quelques uns pour relativiser ton bonheur Ils ne sont pas "parfois" chiants... J'en ai un élevage complet.JPhMM a écrit:
Par contre, si ce qui vous éclate dans le métier, ce sont les réunions plénières, les formations à pearltree ou les groupes de travail autour de "évaluer les élèves dans une démarche bienveillante grâce au numérique", c'est votre problème.
Clairement, les gosses sont parfois chiants, mais je ne donnerais pour rien au monde 6 heures de cours contre 1 heure de pitrerie.
Sinon, + 10 000 concernant les réunions et autres activités inutiles et chronophages, jacassières et grotesques (comme ce que tu cites). La réforme du collège a d'ailleurs réussi à cultiver ça à un degré élevé (d'ennui, d'inutilité, de dégoût ; pas de qualité, hein...)
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- BabaretteDoyen
Honnêtement, je préférais les réunions que mes élèves. Au moins, en réunion, je pouvais rêvasser.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- LefterisEsprit sacré
Ca se défend dans l'absolu :lol: . Mais souvent c'est fromage ET dessert . Tu as les élèves, et les réunions en plus.Babarette a écrit:Honnêtement, je préférais les réunions que mes élèves. Au moins, en réunion, je pouvais rêvasser.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- RabelaisVénérable
Babarette a écrit:Honnêtement, je préférais les réunions que mes élèves. Au moins, en réunion, je pouvais rêvasser.
Mais j'avoue assez facilement que je rêvasse "aussi" pendant certains cours ( le travail en autonomie provoque un tel ennui mais bon, c'est pour le bien des enfants ... Et que dire des évaluations des heures d'introspection silencieuse :minidodo:
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- BabaretteDoyen
Je peux te donner certains de mes anciens élèves si tu veux: ils passaient leur temps à demander de l'aide en évaluation, quand je partais, ils me rappelaient. J'aurais bien aimé m'ennuyer un peu.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- RabelaisVénérable
Merci, mais non, je fais déjà concert à guichet fermé avec ma classe de boulets.Babarette a écrit:Je peux te donner certains de mes anciens élèves si tu veux: ils passaient leur temps à demander de l'aide en évaluation, quand je partais, ils me rappelaient. J'aurais bien aimé m'ennuyer un peu.
Pour venir faire un tour dans la discussions et apporter ma,Pierre à l'édifice, je dirais que, comme Lefteris, j'évite ce qui est hors cours et fuis projets, réunions, concertations non utiles et m'en porte beaucoup mieux.
J'essaie d'avoir une vie en dehors des cours, je travaille là-dessus.
C'est un virage, j'étais un peu venue pour le contraire, j'ai vite déchanté.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- angelxxxÉrudit
Rabelais a écrit:Babarette a écrit:Honnêtement, je préférais les réunions que mes élèves. Au moins, en réunion, je pouvais rêvasser.
Mais j'avoue assez facilement que je rêvasse "aussi" pendant certains cours ( le travail en autonomie provoque un tel ennui mais bon, c'est pour le bien des enfants ... Et que dire des évaluations des heures d'introspection silencieuse :minidodo:
Tu ne corriges pas de copies pendant ce temps ?
Mon but en général quand je prévois une évaluation c'est que je puisse la corriger en 1h, 1h30 au max. Comme ça, pendant que la deuxième classe fait l'évaluation, j'ai le temps de corriger la première et au pire, je termine dans le train. Mais si je ne corrige pas, je pense que je m'endors
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- ZagaraGuide spirituel
ddalcatel a écrit:Une baisse des charges pour les entreprises, une exigence ? J'aimerais bien le voir écrit quelque part...
Je ne rêve pas d'un rapport de force, je dis simplement que nous ne pourrons obtenir quelque chose qu'avec un rapport de force.
Vous ne m'expliquez toujours pas pourquoi les médecins se font augmenter. Eux. Peut-être parce qu'ils sont très nombreux à l'assemblée nationale ?
Modéré.
Peu importe que les orientations budgétaires soient décidées collégialement entre tous les États de l'union monétaire au sein du conseil européen, ou que les "sanctions" ne soient décidables que par une majorité aux 2/3. Peu importe que ce soient des structures intergouvernementales et non supranationales qui contrôlent les politiques budgétaires. Peu importe que le problème fondamental n'est pas institutionnel mais est l'hégémonie au Conseil des gouvernements néolibéraux qui, unis et représentant plus des 2/3, arrivent à orienter les gouvernements non-néolibéraux vers leurs solutions politiques (course aux dévaluations internes). Peu importe que les réformes internes à chaque État soient décidées par cet État dans le cadre d'un PNR et non imposées de l'extérieur (seuls de grands objectifs très larges sont co-discutés et co-acceptés ; la mise en œuvre concrète de ces objectifs revient à chaque État). Bref, peu importe que les causes soient de vraies questions idéologiques, politiques et de rapports de forces entre États-nations, dans un cadre purement intergouvernemental. Mais c'est vrai que c'est plus facile de dire "agrougrou union européenne agrougrou" que de regarder comment ça fonctionne réellement. Autant sur d'autres sujets il existe de vraies structures supranationales (commerce extérieur par exemple), autant sur la consolidation budgétaire, c'est de l'intergouvernemental fait de bric et de broc où les États choisissent eux-mêmes quelles seront les voies pour atteindre cette consolidation. Évidemment, si vous avez une majorité de gouvernements néolibéraux, vous aurez des politiques néolibérales : mais ça c'est la joie de la démocratie, le plus nombreux l'emporte.
- RabelaisVénérable
Je ne réussis pas à bosser au boulot, je peux corriger quelques dictées mais de véritables évaluations, non, c'est tout le paquet ou rien, il me faut une vision globale et surtout, beaucoup, beaucoup de place.( et de café ).
Parfois, je lis en évaluation mais ils trichent ou essaient de le faire, les bougres.
Parfois, je lis en évaluation mais ils trichent ou essaient de le faire, les bougres.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- AndréCNiveau 9
La baisse des charges, oui, c'est les GOPE. Ces dernières demandent de réduire le coût du travail. Les charges sont un coût.ddalcatel a écrit:Une baisse des charges pour les entreprises, une exigence ? J'aimerais bien le voir écrit quelque part...
Je ne rêve pas d'un rapport de force, je dis simplement que nous ne pourrons obtenir quelque chose qu'avec un rapport de force.
Vous ne m'expliquez toujours pas pourquoi les médecins se font augmenter. Eux. Peut-être parce qu'ils sont très nombreux à l'assemblée nationale ?
https://www.initiative-communiste.fr/articles/europe-capital/gope-2017-presidentielle-lue-publie-programme-prochain-president-y-echapper-necessite-frexit-populaire/
- AndréCNiveau 9
Zagara a écrit:Modéré.ddalcatel a écrit:Une baisse des charges pour les entreprises, une exigence ? J'aimerais bien le voir écrit quelque part...
Je ne rêve pas d'un rapport de force, je dis simplement que nous ne pourrons obtenir quelque chose qu'avec un rapport de force.
Vous ne m'expliquez toujours pas pourquoi les médecins se font augmenter. Eux. Peut-être parce qu'ils sont très nombreux à l'assemblée nationale ?
Peu importe que les orientations budgétaires soient décidées collégialement entre tous les États de l'union monétaire au sein du conseil européen, ou que les "sanctions" ne soient décidables que par une majorité aux 2/3. Peu importe que ce soient des structures intergouvernementales et non supranationales qui contrôlent les politiques budgétaires. Peu importe que le problème fondamental n'est pas institutionnel mais est l'hégémonie au Conseil des gouvernements néolibéraux qui, unis et représentant plus des 2/3, arrivent à orienter les gouvernements non-néolibéraux vers leurs solutions politiques (course aux dévaluations internes). Peu importe que les réformes internes à chaque État soient décidées par cet État dans le cadre d'un PNR et non imposées de l'extérieur (seuls de grands objectifs très larges sont co-discutés et co-acceptés ; la mise en œuvre concrète de ces objectifs revient à chaque État). Bref, peu importe que les causes soient de vraies questions idéologiques, politiques et de rapports de forces entre États-nations, dans un cadre purement intergouvernemental. Mais c'est vrai que c'est plus facile de dire "agrougrou union européenne agrougrou" que de regarder comment ça fonctionne réellement. Autant sur d'autres sujets il existe de vraies structures supranationales (commerce extérieur par exemple), autant sur la consolidation budgétaire, c'est de l'intergouvernemental fait de bric et de broc où les États choisissent eux-mêmes quelles seront les voies pour atteindre cette consolidation. Évidemment, si vous avez une majorité de gouvernements néolibéraux, vous aurez des politiques néolibérales : mais ça c'est la joie de la démocratie, le plus nombreux l'emporte.
Modéré.
Vous noyez le lecteur dans un discours hautement technique faisant croire en la supériorité de ses analyses techniques afin de ne pas avoir à parler du fond. Une technicité qui fait croire que les problèmes ne viennent pas de l'UE, mais d'ailleurs.
- Une technicité qui passe sous silence que la constitution européenne a été rejetée par 55 % des français mais adoptée malgré tout par vos amis.
- Une UE dans laquelle les traités seuls s'imposent et dans laquelle la démocratie n'existe que dans le verbe mais pas en réalité.
- Une UE qui adopte le TAFTA et le CETA contre la majorité des peuples
- Une UE qui fixe la politique monétaire dans les traités, cette dernière ne peut plus être discutée
- Une UE qui exige que les Etats empruntent à des banques privées, lesquelles empruntent pour rien du tout à la BCE
- Etc
Modéré.
- virgereNeoprof expérimenté
Lefteris a écrit:
En fait, il faut retourner cette contrainte en arme. Au bout d'un moment, tu maîtrises tellement que tu peux élargir tes centres d'intérêt, lire autre chose (apprendre le grec ). Comme tu le sais me connaissant, je m'ennuie comme un rat mort dans ce métier, mais je bosse moins qu'au début, ça me "vole" moins ma vie, d'autant que je rejette les activités périphériques,que j'abhorre. OU même approfondir un truc qui ne te "sers" pas directement. Récemment, j'ai lu plein de pièces de Molières, d'articles, au fil de mon inspiration, des renvois de notes, de préfaces. Jamais je n'aurais pu faire ça si je corrigeais à la chaîne des copies ch..ntes comme la pluie, comme certains de mes collègues ayant pris un lycée pas terrible, où il y a d'ailleurs de plus en plus de problèmes de comportement.
HS : je poursuis le grec. J'ai arrêté la fac mais je suis inscrite à connaissance hellénique cette année et je goûte au bonheur d' ἕρμαιον Et tu avais raison, c'est 'achement mieux que le Lebeau - Métayer (je finis l'étape 8, et ça commence à se corser un brin ^^)
Et j'ai beau travailler moins, je travaille encore trop. Et les journées sont trop courtes pour que je puisse, même en vacances, en 24h bosser / faire du grec / faire des jeux de société avec mes gnomes (on adore ça) / lire / m'occuper de ma maison / buller (primordial !). Ou c'est que je suis trop lente et/ou pas assez douée, ce qui est possible.
Pour "le bonheur" de bosser : je suppose que JPhMM signifiait par là, comme moi, que au boulot notre bonheur est dans le cours. Ce qui ne veut pas dire que notre bonheur dans la vie est au boulot. Ni qu'on accepte pour autant d'être mal payé et considéré ou exploité ou... bref. J'suis sûre qu'en vrai vous aviez très bien compris.
- Thalia de GMédiateur
Topic réouvert après un peu de nettoyage.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- User21929Expert
En tout cas ne pas être fonctionnaire sera effectivement plus avantageux, ma femme vient de recevoir un courrier de sa boite lui annonçant un gain de 19€ par mois en 2018 avec l'application de la loi "travail". On ne doit pas être considéré comme travailleur en tant que fonctionnaire... Dont acte !
- LefterisEsprit sacré
Tu vois ! Avec Hermaion tu iras à coup sûr au bout avec méthode, à ton rythme et en ayant tout acquis car le parcours est tres cohérent.virgere a écrit:
HS : je poursuis le grec. J'ai arrêté la fac mais je suis inscrite à connaissance hellénique cette année et je goûte au bonheur d' ἕρμαιον Et tu avais raison, c'est 'achement mieux que le Lebeau - Métayer (je finis l'étape 8, et ça commence à se corser un brin ^^)
Et j'ai beau travailler moins, je travaille encore trop. Et les journées sont trop courtes pour que je puisse, même en vacances, en 24h bosser / faire du grec / faire des jeux de société avec mes gnomes (on adore ça) / lire / m'occuper de ma maison / buller (primordial !). Ou c'est que je suis trop lente et/ou pas assez douée, ce qui est possible.
Pour "le bonheur" de bosser : je suppose que JPhMM signifiait par là, comme moi, que au boulot notre bonheur est dans le cours. Ce qui ne veut pas dire que notre bonheur dans la vie est au boulot. Ni qu'on accepte pour autant d'être mal payé et considéré ou exploité ou... bref. J'suis sûre qu'en vrai vous aviez très bien compris.
Quant au temps gagné ca viendra quand tu auras eu plusieurs fois les mêmes niveaux que ca te paraîtra évident et que tu abandonneras plein de choses superflues. En cherchant on en trouve toujours, et on s aperçoit après les avoir supprimées qu'elles ne manquent pas et qu'on aurait dû le faire bien avant.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Eric973Niveau 5
Bonjour, je ne comprends pas trop le but de ce sujet.
Est ce de dire que nous devrions gagner davantage que les serveurs car nous avons plus de diplômes ?
Est que le but est de rabaisser les serveurs qui font un métier difficile, avec des horaires beaucoup plus compliqués que les notre ?
Est ce de dire que nous devrions gagner davantage que les serveurs car nous avons plus de diplômes ?
Est que le but est de rabaisser les serveurs qui font un métier difficile, avec des horaires beaucoup plus compliqués que les notre ?
- CathEnchanteur
Le but n'est pas de montrer nos qualités orthographiques, en tout cas.
- Eric973Niveau 5
Cath a écrit:Le but n'est pas de montrer nos qualités orthographiques, en tout cas.
Ni notre amabilité.
- archebocEsprit éclairé
Eric973 a écrit:Bonjour, je ne comprends pas trop le but de ce sujet.
Est ce de dire que nous devrions gagner davantage que les serveurs car nous avons plus de diplômes ?
Est que le but est de rabaisser les serveurs qui font un métiers difficiles, avec des horaires beaucoup plus compliqués que les notre ?
Sauf explosion du salaire dans l'hôtellerie au cours des dernières années, la comparaison avec le salaire des serveurs de bar permet d'illustrer, de rendre sensible, la dégringolade de la rémunération des enseignants par rapport au reste de la population.
- 79 airlinesNiveau 9
La plupart des serveurs gagnent plus que ce qui est affiché sur leur fiche de paye : pourboires, extras... Ce n'est pas du tout négligeable et souvent non déclaré.
Quand j'étais barman à Paris (1983), les meilleures places se revendaient très cher (par exemple, 50 000 francs en dessous-de-table pour un poste de serveur dans une brasserie réputée des Champs-Elysées. Oui oui celle où Nicolas Sarkozy a arrosé sa victoire^^).
Quand j'étais barman à Paris (1983), les meilleures places se revendaient très cher (par exemple, 50 000 francs en dessous-de-table pour un poste de serveur dans une brasserie réputée des Champs-Elysées. Oui oui celle où Nicolas Sarkozy a arrosé sa victoire^^).
- sandGuide spirituel
Il y a Paris et le reste du pays. Ici les serveurs gagnent le smic et les pourboires sont rares.
- BabaretteDoyen
Ah, parce qu'il y a des gens pour donner des pourboires aux serveurs parisiens?sand a écrit:Il y a Paris et le reste du pays. Ici les serveurs gagnent le smic et les pourboires sont rares.
Est-ce que ton "ici" désigne une ville où la vie revient cher?
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