- DiplomateNiveau 5
Si tu tiens le coup (et le coût...) tu es "cédéisé"titularisé au bout de 5 ans.
- zouzFidèle du forum
Diplomate a écrit:Si tu tiens le coup (et le coût...) tu es "cédéisé"titularisé au bout de 5 ans.
Non, tu es cédéisé (jamais titularisé) au bout de 6 ans. 6 ans, c'est sans compter les interruptions de contrat pendant les vacances, on arrive à près de 7 ans de CDD et donc de précarité. On mérite la titularisation sans condition, c'est clair.
- catala250Niveau 4
Seifer a écrit:D'ailleurs, je rebondis sur les contractuels, quand est-ce qu'on titularisera enfin ceux qui le souhaitent et qui ont des rapports globalement satisfaisants (à savoir une majorité pour la seconde partie, et aucune idée pour la première) ?
C'était le cas avant pour les maîtres auxiliaires mais pour le moment ce n'est plus possible. Ça reviendra peut-être.
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2017/2018: Professeur contractuel 1ere catégorie (6 4e, 1 5e) sur deux établissements
2016/2017: Professeur contractuel 1ere catégorie (1 5e, 1 4e, 2 3e)
- DiplomateNiveau 5
zouz a écrit:Diplomate a écrit:Si tu tiens le coup (et le coût...) tu es "cédéisé"titularisé au bout de 5 ans.
Non, tu es cédéisé (jamais titularisé) au bout de 6 ans. 6 ans, c'est sans compter les interruptions de contrat pendant les vacances, on arrive à près de 7 ans de CDD et donc de précarité. On mérite la titularisation sans condition, c'est clair.
Ah parce que les interruptions de CDD et les congés ne sont pas pris en compte? 7 ans d'Interim? ça en devient comique cette gestion à la petite semaine par L'EN.
ça n’intéresse pas les rectorats de titulariser des contractuels qu'ils pourraient envoyer enseigner où bon leur semble?
Ou alors ils ne pourraient justement pas les envoyer hors de l'Académie où les contractuels enseignaient et préfèrent les TZR?
- cocktailFidèle du forum
Lefteris a écrit:Le droit, je pense, l'envie, pas trop, pour ne pas déchaîner le topic. En gros, il y a des syndicats souvent confédérés, considérant les intérêts des salariés,historiquement de "lutte", et des syndicats centrés uniquement sur le métier, et co-gérant avec le ministère les réformes structurelles, voire les impulsant. Pur les premiers, les intérêts matériels et moraux sont la préoccupation centrale, pour les seconds ce sont les discussions sur ce qu'a prévu le ministère, donc l'accompagnement des mesures, le travail sur sa propre influence auprès dudit ministère, etc. quitte à accepter ou encourager des mesures fâcheuses (j'ai cité les rythmes, la réforme du collège, l'évaluation des enseignants, les compétences...). Schématique, mais deux visions souvent radicalement opposées.cocktail a écrit:Lefteris, as-tu le droit (et l’envie) d’expliciter ton message stp en donnant les noms des principaux syndicats « de la fiche de paie » et les « accompagnateurs » ? Je n’avais jamais vu une telle classification (mais je ne me suis que peu renseignée, je l’admets).
Je comprends ta position. Merci en tout cas pour les renseignements supplémentaires.
Merci à toi aussi, Zagara.
- ShanksNiveau 2
J'arrive surement à la fin de ce sujet, mais en lisant ce topic depuis le debut j'ai eu l'idée de regarder les salaires en france. Je constate que d'apres l'INSEE le seuil de pauvreté d'un couple avec un enfant est de 1950euros. Dans mon cas, couple avec un enfant et n'ayant pour rentré d'argent qu'un salaire, 2200 en tant que prof, je viens de constater que nous sommes considéré comme presque pauvre. Cela me detruit interieurement de se dire passer un concour à bac +5 puis d'etre dans les derniers (pecunieremernt)...
- LefterisEsprit sacré
Zagara a été plus brut de décoffrage comme d'hab...cocktail a écrit:Lefteris a écrit:Le droit, je pense, l'envie, pas trop, pour ne pas déchaîner le topic. En gros, il y a des syndicats souvent confédérés, considérant les intérêts des salariés,historiquement de "lutte", et des syndicats centrés uniquement sur le métier, et co-gérant avec le ministère les réformes structurelles, voire les impulsant. Pur les premiers, les intérêts matériels et moraux sont la préoccupation centrale, pour les seconds ce sont les discussions sur ce qu'a prévu le ministère, donc l'accompagnement des mesures, le travail sur sa propre influence auprès dudit ministère, etc. quitte à accepter ou encourager des mesures fâcheuses (j'ai cité les rythmes, la réforme du collège, l'évaluation des enseignants, les compétences...). Schématique, mais deux visions souvent radicalement opposées.cocktail a écrit:Lefteris, as-tu le droit (et l’envie) d’expliciter ton message stp en donnant les noms des principaux syndicats « de la fiche de paie » et les « accompagnateurs » ? Je n’avais jamais vu une telle classification (mais je ne me suis que peu renseignée, je l’admets).
Je comprends ta position. Merci en tout cas pour les renseignements supplémentaires.
Merci à toi aussi, Zagara.
Il n'en reste pas moins que le choix de la profession de se couper du reste du monde lui a coûté tres très cher tant en fe qui concerne le statut ( le décrochage commence vraiment dans les années 90) que l'image. Cet isolement volontaire est assez mal perçu de l'extérieur et le renforce.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Evaluations CM2 : en français tout va bien, en maths ça va moins bien : Pierre au secooooours
- je gagne moins en tant que néo tit qu' en tant que stagiaire.
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