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- JPhMMDemi-dieu
Oui. Et quelque chose me dit que cela va être de pire en pire très vite.JayKew a écrit:C’est encore plus pervers: aller en S est vu comme une réussite, dans les autres séries générales, plus ou moins comme un échec, en technique comme un réel échec, et en professionnel comme une catastrophe.
- JEMSGrand Maître
Il n'y a qu'à voir la hausse du nombre de "passerelles" post-secondes générales pour s'en apercevoir.
Mais bon, ayant eu la chance d'officier dans les trois voies, certains élèves de seconde passant en première ont tout à fait un profil pour le LP et je ne parle pas des STMG...
Cette année nous innovons, nous sommes le réceptacle dès la seconde professionnelle de tous les "recalés et perdus" du système. Nous accueillons des chaudronniers en échec, des électriciens perdus, des esthéticiennes dans l'âme, des boulangers contrariés... Bref, l'orientation subie dans toute sa splendeur.
Tous les syndicats sont timides sur ce point car l'enjeu de la perte de postes est énorme (déjà que nous avons subi une saignée plus grande que celle des profs de STI à l'époque et ce dans le plus grand secret).
Mais bon, ayant eu la chance d'officier dans les trois voies, certains élèves de seconde passant en première ont tout à fait un profil pour le LP et je ne parle pas des STMG...
Cette année nous innovons, nous sommes le réceptacle dès la seconde professionnelle de tous les "recalés et perdus" du système. Nous accueillons des chaudronniers en échec, des électriciens perdus, des esthéticiennes dans l'âme, des boulangers contrariés... Bref, l'orientation subie dans toute sa splendeur.
Tous les syndicats sont timides sur ce point car l'enjeu de la perte de postes est énorme (déjà que nous avons subi une saignée plus grande que celle des profs de STI à l'époque et ce dans le plus grand secret).
- celitianSage
Honnêtement vous mettriez vos enfants en LP aujourd'hui ? Le niveau, le comportement, dans les LP ici c'est très très difficile.
J'étais en LP il y a 20 ans et cela n'avait rien à voir, je me souviens de mes supers bac pro compta, quelques-uns ont même réussi l'expertise comptable, je doute que cela soit possible avec des bac pro GA.
Nous avons les gentils en BTS et ils n'y arrivent plus alors qu'avant le bac pro en 3 ans, ils étaient très souvent dans les meilleurs.
J'étais en LP il y a 20 ans et cela n'avait rien à voir, je me souviens de mes supers bac pro compta, quelques-uns ont même réussi l'expertise comptable, je doute que cela soit possible avec des bac pro GA.
Nous avons les gentils en BTS et ils n'y arrivent plus alors qu'avant le bac pro en 3 ans, ils étaient très souvent dans les meilleurs.
- JEMSGrand Maître
Franchement, cette année c'est effectivement le délire. J'ai l'impression que nous retombons dans l'ère BEP.
Tu morflais sévère quand tu avais les BEP Compta mais après en bac pro, c'était largement mieux.
Tu morflais sévère quand tu avais les BEP Compta mais après en bac pro, c'était largement mieux.
- InvitéInvité
JPhMM a écrit:Oui. Et quelque chose me dit que cela va être de pire en pire très vite.JayKew a écrit:C’est encore plus pervers: aller en S est vu comme une réussite, dans les autres séries générales, plus ou moins comme un échec, en technique comme un réel échec, et en professionnel comme une catastrophe.
Après 40 ans de collège unique, avec le succès qu'on lui connaît, voici venu le temps du lycée unique !
On n'est pas sorti des ronces.
- BalthazaardVénérable
celitian a écrit:Honnêtement vous mettriez vos enfants en LP aujourd'hui ? Le niveau, le comportement, dans les LP ici c'est très très difficile.
J'étais en LP il y a 20 ans et cela n'avait rien à voir, je me souviens de mes supers bac pro compta, quelques-uns ont même réussi l'expertise comptable, je doute que cela soit possible avec des bac pro GA.
Nous avons les gentils en BTS et ils n'y arrivent plus alors qu'avant le bac pro en 3 ans, ils étaient très souvent dans les meilleurs.
Le niveau de certains bac pros est effrayant, chez moi ils ne maitrisent pas le sens des quatre opérations et ils sont dans le supérieur.
- InvitéInvité
Balthazaard a écrit:celitian a écrit:Honnêtement vous mettriez vos enfants en LP aujourd'hui ? Le niveau, le comportement, dans les LP ici c'est très très difficile.
J'étais en LP il y a 20 ans et cela n'avait rien à voir, je me souviens de mes supers bac pro compta, quelques-uns ont même réussi l'expertise comptable, je doute que cela soit possible avec des bac pro GA.
Nous avons les gentils en BTS et ils n'y arrivent plus alors qu'avant le bac pro en 3 ans, ils étaient très souvent dans les meilleurs.
Le niveau de certains bac pros est effrayant, chez moi ils ne maitrisent pas le sens des quatre opérations et ils sont dans le supérieur.
Des élèves qui ne maîtrisent pas le sens des opérations, on commence à en rencontrer dans les filières générales et technologiques aussi.
- William FosterExpert
Ces syndicats sont jeunes. On devrait leur laisser leur chance.
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- JayKewNiveau 9
Ça se vérifie à tous les échelons du système, y compris en prépa.
J’ai régulièrement en CPGE des gamins qui ont entre 13 et 15-16 à l’epreuve d’anglais du bac, séries générales, et qui n’ont pas la moindre base. Je suis obligé de reprendre avec eux le B.A.BA (les pronoms personnels sujets, compléments, adjectifs possessifs, etc).
J’ai régulièrement en CPGE des gamins qui ont entre 13 et 15-16 à l’epreuve d’anglais du bac, séries générales, et qui n’ont pas la moindre base. Je suis obligé de reprendre avec eux le B.A.BA (les pronoms personnels sujets, compléments, adjectifs possessifs, etc).
- henrietteMédiateur
:aaq:Luigi_B a écrit:Je trouve que cette déclaration commune mérite d'être affichée dans toutes les salles de classe. Je vous propose de la télécharger mise en forme en A4 : il n'y a plus qu'à l'imprimer.
PS Je n'ai ajouté qu'un petit mot minuscule (et latin). Saurez-vous le retrouver ? :diable:
C'est sûr que vu le contenu au regard du titre, il valait mieux le préciser !
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Guermantes729Neoprof expérimenté
Il y a aussi un réel problème de place. Je connais, à titre professionnel ET personnel, plusieurs élèves (et familles) qui auraient voulu aller en lycée technique ou professionnel et qui n'ont pas été pris, faute de place.
Ils arrivent donc en LG
pour leur plus grand chagrin et leur échec bien sûr :/
Ca coute beaucoup moins cher d'entasser 36 à 38 élèves en 2nde d'un LG que d'ouvrir des sections hôtelières par exemple (qui nécessitent, matériel et petit effectif)
Voilà pourquoi le "système" n'est pas si pressé de faire évoluer les mentalités...à mon avis :/
Ils arrivent donc en LG
pour leur plus grand chagrin et leur échec bien sûr :/
Ca coute beaucoup moins cher d'entasser 36 à 38 élèves en 2nde d'un LG que d'ouvrir des sections hôtelières par exemple (qui nécessitent, matériel et petit effectif)
Voilà pourquoi le "système" n'est pas si pressé de faire évoluer les mentalités...à mon avis :/
- DaphnéDemi-dieu
Et aussi dans le premier degré.Lefteris a écrit:Oui, je ne m'exprime pas clairement : ils ne sont pas si nombreux chez les enseignants (quoique toujours trop, pour tirer dans les pattes des autres) mais ils sont représentés dans de nombreux corps, notamment dans l'encadrement administratif.Daphné a écrit:
Oui enfin ils sont quand même bien représentés au CTM hein, et s'ils le sont c'est qu'il en a qui ont voté pour eux. OK c'est leur droit...
Mais une fois au CTM ils votent les textes
- Dame JouanneÉrudit
C'est exactement ça : il est souvent plus difficile d'obtenir certaines filières pro que d'aller au LG du coin. Et je pense que c'est voulu car cela permet de faire des économies. Et en plus ça fait beau dans les statistiques : plus d'élèves à aller au LG, c'est que le niveau monte!Guermantes729 a écrit:Il y a aussi un réel problème de place. Je connais, à titre professionnel ET personnel, plusieurs élèves (et familles) qui auraient voulu aller en lycée technique ou professionnel et qui n'ont pas été pris, faute de place.
Ils arrivent donc en LG
pour leur plus grand chagrin et leur échec bien sûr :/
Ca coute beaucoup moins cher d'entasser 36 à 38 élèves en 2nde d'un LG que d'ouvrir des sections hôtelières par exemple (qui nécessitent, matériel et petit effectif)
Voilà pourquoi le "système" n'est pas si pressé de faire évoluer les mentalités...à mon avis :/
- Dame JouanneÉrudit
Avez-vous constaté dans votre lycée une baisse des effectifs en S au profit des autres filières, ES surtout?JPhMM a écrit:Oui. Et quelque chose me dit que cela va être de pire en pire très vite.JayKew a écrit:C’est encore plus pervers: aller en S est vu comme une réussite, dans les autres séries générales, plus ou moins comme un échec, en technique comme un réel échec, et en professionnel comme une catastrophe.
C'est une tendance nouvelle aussi constatée par une collègue qui est dans un autre lycée du même bassin. D'après elle, c'est parce que les élèves vont à la facilité et qu'ils trouvent S trop dur. Et comme de toute façon ils veulent tous aller dans le commerce ou la finance (ou les jeux vidéos!) et délaissent ingénieur...
Avez-vous constaté la même chose? Et si oui, savez-vous pourquoi?
- InstantKarmaNiveau 6
Rappelons que le bac pro a été réduit à 3 ans pour faire des économies.
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Le participe passer c’est tellement compliquer.
Supprimons le subjonctif pour que le français est plus simple à apprendre.
- Guermantes729Neoprof expérimenté
Maintenant que tu le dis, c'est vrai que ça fait 2 ans qu'on n'a plus que 4 classes de S contre 5 depuis 20 ans. Mais pas plus de ES ou de L pour autant :/ ils vont plutôt en STMG je dirais ou dans le lycée technique voisin, qui fait AUSSI des TS, mais beaucoup moins chargées :/
- Dame JouanneÉrudit
Nous aussi nous avons une hausse des STMG. La plupart des élèves pour lesquels l'orientation au lycée est une orientation par défaut et qui sont largués en seconde s'orientent en STMG. Mais je ne crois pas que cela explique totalement la diminution en S. Nous aussi nous avons perdu une classe de S cette année et pourtant le nombre d'élèves et de secondes ne diminue pas. Et cela ne semble pas être non plus une hémorragie vers d'autres lycées. Alors?
- JEMSGrand Maître
Mouai, je suis assez réticent à l'ouverture de places dans des sections déjà surbookées.
Il faut ensuite pouvoir absorber toute cette main d’œuvre sur le marché du travail.
Des coiffeurs, des AS, des esthéticiennes, des opticiens,... sur certains territoires c'est impossible à caser. Il ne faut pas oublier qu'il y a les "doubles carrières", ce sont ces adultes qui raccrochent notamment via le GRETA une formation diplômante. Ils se rajoutent sur le marché ensuite. L'engorgement se fait.
Il faut ensuite pouvoir absorber toute cette main d’œuvre sur le marché du travail.
Des coiffeurs, des AS, des esthéticiennes, des opticiens,... sur certains territoires c'est impossible à caser. Il ne faut pas oublier qu'il y a les "doubles carrières", ce sont ces adultes qui raccrochent notamment via le GRETA une formation diplômante. Ils se rajoutent sur le marché ensuite. L'engorgement se fait.
- Dame JouanneÉrudit
Certes, mais les envoyer vers des études longues où, après des années d'étude, de redoublement et de réorientation, ils se retrouvent sans véritables diplômes (à part, et encore pour certains un bac ) ou formation, est-ce vraiment mieux?
- Guermantes729Neoprof expérimenté
oui peut-être pour les filières que tu proposes (bien qu'ici, je ne connaisse aucun.e jeune coiffeur.euse sur le carreau) , ensuite, les maçons, les plombiers, les boulangers, les electriciens auto.. il y a du travail
Pour les opticiens, j'ai plein d'élèves de S qui s'y sont dirigés :/
ça sera pas plus facile je pense, d''évacuer" tous les gens allés en 2nde générale, qui sortent avec un bac S dont ils ne font rien car pris nulle part et incapables de suivre à l'université :/ Mais bon c'est mon avis, je me trompe peut-être...
Pour les opticiens, j'ai plein d'élèves de S qui s'y sont dirigés :/
ça sera pas plus facile je pense, d''évacuer" tous les gens allés en 2nde générale, qui sortent avec un bac S dont ils ne font rien car pris nulle part et incapables de suivre à l'université :/ Mais bon c'est mon avis, je me trompe peut-être...
- Dame JouanneÉrudit
Vu le mal à trouver un plombier compétent et disponible je n'ai pas l'impression que cette filière est engorgée... à moins qu'on n'y oriente pas les élèves les plus compétents et motivés pour.
Je suis d'accord avec Guermantes : actuellement on engorge les filières de seconde avec beaucoup d'élèves qui sont déjà "fatigués" des études et qui auront péniblement un bac dont ils ne pourront pas tirer profit. Ils vont se faire refuser dans toutes les filières un peu sélectives et échoueront à l'université. Finalement, c'est repousser le problème de leur orientation mais quel bénéfice pour eux?
Je suis d'accord avec Guermantes : actuellement on engorge les filières de seconde avec beaucoup d'élèves qui sont déjà "fatigués" des études et qui auront péniblement un bac dont ils ne pourront pas tirer profit. Ils vont se faire refuser dans toutes les filières un peu sélectives et échoueront à l'université. Finalement, c'est repousser le problème de leur orientation mais quel bénéfice pour eux?
- JEMSGrand Maître
Non, ce n'est pas mieux, d'où la priorité de valoriser réellement et durablement ces filières.
Comment expliquer que des sections menuiserie tournent à 8 ? Il faut mettre le paquet dès le collège pour que ces filières soient mises en avant (et faire attention de ne pas se faire griller par les congrégations et autres ordres qui commencent à créer leurs diplômes "maison").
Comment expliquer que des sections menuiserie tournent à 8 ? Il faut mettre le paquet dès le collège pour que ces filières soient mises en avant (et faire attention de ne pas se faire griller par les congrégations et autres ordres qui commencent à créer leurs diplômes "maison").
- JEMSGrand Maître
Autre point... les gamins se comportent en entreprise comme ils se comportent dans la rue ou bien avec leurs potes... les contrats d'apprentissage sautent très rapidement... là aussi, il faut se rendre compte de cet aspect de plus en plus compliqué à gérer. La rigueur autrefois appliquée en LP a explosé.
- Guermantes729Neoprof expérimenté
JEMS a écrit:Autre point... les gamins se comportent en entreprise comme ils se comportent dans la rue ou bien avec leurs potes... les contrats d'apprentissage sautent très rapidement... là aussi, il faut se rendre compte de cet aspect de plus en plus compliqué à gérer. La rigueur autrefois appliquée en LP a explosé.
Je n'osais pas le dire mais c'est tout à fait vrai
- LaverdureEmpereur
Dame Jouanne a écrit:Avez-vous constaté dans votre lycée une baisse des effectifs en S au profit des autres filières, ES surtout?JPhMM a écrit:Oui. Et quelque chose me dit que cela va être de pire en pire très vite.JayKew a écrit:C’est encore plus pervers: aller en S est vu comme une réussite, dans les autres séries générales, plus ou moins comme un échec, en technique comme un réel échec, et en professionnel comme une catastrophe.
C'est une tendance nouvelle aussi constatée par une collègue qui est dans un autre lycée du même bassin. D'après elle, c'est parce que les élèves vont à la facilité et qu'ils trouvent S trop dur. Et comme de toute façon ils veulent tous aller dans le commerce ou la finance (ou les jeux vidéos!) et délaissent ingénieur...
Avez-vous constaté la même chose? Et si oui, savez-vous pourquoi?
Guermantes729 a écrit:Maintenant que tu le dis, c'est vrai que ça fait 2 ans qu'on n'a plus que 4 classes de S contre 5 depuis 20 ans. Mais pas plus de ES ou de L pour autant :/ ils vont plutôt en STMG je dirais ou dans le lycée technique voisin, qui fait AUSSI des TS, mais beaucoup moins chargées :/
Les deux phénomènes se recoupent chez nous. Cela a commencé avec la fin de la spé PC en TS puis à peine une quarantaine d'élèves pour 2 TS (heureusement qu'il y a des redoublants, je crois bien, parce que sinon, on passait de 2 à 1 seule TS chargée (cela étant, 36 ou 37 en TS, chez nous, c'est nettement moins pénible à gérer que l'équivalent en ES). Parallèlement, il y a 3 TES et 3 1ES depuis au moins 2 ans, la STMG très limitée parce qu'il n'y a qu'une seule classe à 35 ou 36 depuis la réforme. Avec les élèves qui arrivent en ES, on a chaque année au moins 5 échecs au bac par TES (sur 30 à 33 élèves). Et par ailleurs, le lycée technique d'à côté fait S-SI et SVT, STI2D et a meilleure réputation. Beaucoup de parents CSP+, n'envisagent même pas notre lycée : directement le lycée d'à côté...
Pour ma part, sans être favorable à la suppression des filières, je pense qu'il ne serait pas inutile de limiter l'étanchéité des filières : un nombre non négligeable de 2de futurs S me demandent, chaque année, s'ils vont pouvoir faire des SES l'année suivante. De même, nous-mêmes, nous regrettons le manque de vrais profils scientifiques en S et beaucoup de S apprécient les matières littéraires et aimeraient sans doute pouvoir faire un peu plus de HG ou de lettres et des maths, de la PC et des SVT. En ES, la spé langue renforcée est très regrettée par les élèves qui avaient un profil généraliste sans pour autant être plus attirés par les maths, tout comme l'allègement du programme de spé maths (1,5h par semaine comme toutes les spé en ES, alors que les spé en S et en L, c'est au moins 2h/semaine).
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- Dame JouanneÉrudit
Chez nous, il n'y a pas vraiment d’hémorragie : mon lycée est considéré comme un "bon lycée" et les parents ont tendance à se battre pour que leur rejeton y aille. Et pourtant... force est de constater que la filière S semble attirer en moins en moins.
Mais je pense que tu as donné l'explication Laverdure : les sciences attirent de moins en moins. Et les élèves souhaitent de moins en moins s'orienter dans les filières purement scientifiques en post-bac.
Mais je pense que tu as donné l'explication Laverdure : les sciences attirent de moins en moins. Et les élèves souhaitent de moins en moins s'orienter dans les filières purement scientifiques en post-bac.
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- Tribune FCPE-CFDT-UNSA-CRAP pour soutenir la réforme du collège.
- 11 mai : conférence de presse FCPE, CRAP, SE-Unsa, Sgen-CFDT et Education & Devenir pour défendre la réforme du collège.
- Lettre à NVB pour la réforme signée par CFDT-FCPE-UNSA
- Lettre ouverte de terra nova, fcpe, sgen, se-unsa...
- ABCD de l'Egalité : Communiqué commun FCPE, Se-UNSA, Snuipp-FSU et Sgen-CFDT
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