- orphNiveau 5
Catalunya a écrit:Il est suisse, pas françaisorph a écrit:"Mais vous êtes sûr qu'il est français Rousseau, là? Il écrit trop chelou"
Shanel, élève de 3ème (et c'est pas un cadeau de luxe!)
Non mais n'allez pas me la perturber la pauvre, c'est déjà assez difficile comme ça
- DanskaProphète
:lol:Laverdure a écrit:(AP 1reES)
Moi : "Truc, vous étiez absent la dernière fois : pourquoi ?"
Truc : "Ah oui ! C'est parce que j'étais pas là"
Moi : ... puis :aaq:
- BabaretteDoyen
Laverdure a écrit:(AP 1reES)
Moi : "Truc, vous étiez absent la dernière fois : pourquoi ?"
Truc : "Ah oui ! C'est parce que j'étais pas là"
Moi : ... puis :aaq:
Bah quoi, c'est vrai !
- ToumimNiveau 7
Deux 6e qui errent dans les couloirs :
- "Que faites-vous là, c'est la récréation, descendez !"
- "Non mais on cherche l'indépendance"
- "Que faites-vous là, c'est la récréation, descendez !"
- "Non mais on cherche l'indépendance"
- Reb59Niveau 1
Ce matin, de 9h à 10h (2nde9), troisième texte que je distribue depuis la rentrée :
A - "Madame, on va en faire longtemps des textes ?"
B (se retournant et hurlant) - "Mais t'es con [sic] toi, on est en français, tu veux qu'on fasse quoi d'autre ?"
De 11h à 12h (2nd6)
C lisant son introduction à un texte de Diderot : " (...) et c'est pourquoi ce texte des Lumières est important à une époque où les cachots n'étaient pas éclairés à l'électricité". Certes... :blague:
Je précise que je suis stagiaire, et que je suis donc novice en perles. Mais l'année s'annonce visiblement mouvementée
A - "Madame, on va en faire longtemps des textes ?"
B (se retournant et hurlant) - "Mais t'es con [sic] toi, on est en français, tu veux qu'on fasse quoi d'autre ?"
De 11h à 12h (2nd6)
C lisant son introduction à un texte de Diderot : " (...) et c'est pourquoi ce texte des Lumières est important à une époque où les cachots n'étaient pas éclairés à l'électricité". Certes... :blague:
Je précise que je suis stagiaire, et que je suis donc novice en perles. Mais l'année s'annonce visiblement mouvementée
- RendashBon génie
Toumim a écrit:Deux 6e qui errent dans les couloirs :
- "Que faites-vous là, c'est la récréation, descendez !"
- "Non mais on cherche l'indépendance"
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- SergeMédiateur
Lecture du poème "Le pin des landes" de Théophile Gautier, parlant de ces arbres, de la résine ...
Et à la fin :" Monsieur, mais ça s'écrit pas comme ça. C'est pain. Même moi je le sais."
-Heu ... On parle de l'arbre, pas de la baguette de pain.
-Hein ? Il y a un arbre qui s'appelle le pin ? :shock:
Oui, oui ... perle d'un 4ème ... Et vivant pas loin de la forêt des landes.
Et en relisant le poème, je me suis imaginé de ce qu'il pouvait comprendre en s'imaginant qu'on parlait d'une baguette landaise debout dans la forêt et laissant couler de la résine.
Ce doit être une recette très locale, le fameux pain des landes
- Spoiler:
- Le pin des Landes
On ne voit en passant par les Landes désertes,
Vrai Sahara français, poudré de sable blanc,
Surgir de l'herbe sèche et des flaques d'eaux vertes
D'autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc,
Car, pour lui dérober ses larmes de résine,
L'homme, avare bourreau de la création,
Qui ne vit qu'aux dépens de ceux qu'il assassine,
Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon !
Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte,
Le pin verse son baume et sa sève qui bout,
Et se tient toujours droit sur le bord de la route,
Comme un soldat blessé qui veut mourir debout.
Le poète est ainsi dans les Landes du monde ;
Lorsqu'il est sans blessure, il garde son trésor.
Il faut qu'il ait au coeur une entaille profonde
Pour épancher ses vers, divines larmes d'or !
Et à la fin :" Monsieur, mais ça s'écrit pas comme ça. C'est pain. Même moi je le sais."
-Heu ... On parle de l'arbre, pas de la baguette de pain.
-Hein ? Il y a un arbre qui s'appelle le pin ? :shock:
Oui, oui ... perle d'un 4ème ... Et vivant pas loin de la forêt des landes.
Et en relisant le poème, je me suis imaginé de ce qu'il pouvait comprendre en s'imaginant qu'on parlait d'une baguette landaise debout dans la forêt et laissant couler de la résine.
Ce doit être une recette très locale, le fameux pain des landes
- PetraPortoNiveau 10
Cet après-midi, étude d'un extrait de Gargantua, c'est le passage de l'abbaye de Thélème. Un élève me dit : Madame, je connais, je l''ai visitée.
Je prends une crise de fou rire et l'élève me demande pourquoi.
Je lui réponds qu'elle n'exista pas. Toute la classe rit, ainsi que l'élève et ses camarades lui répondent "Tu as encore rêvé".
Je prends une crise de fou rire et l'élève me demande pourquoi.
Je lui réponds qu'elle n'exista pas. Toute la classe rit, ainsi que l'élève et ses camarades lui répondent "Tu as encore rêvé".
- virgereNeoprof expérimenté
De ma collègue, avec ses 5e :
Quand le narrateur et dans la tête d'un seul personnage, il est interne. Quand il ne connaît les pensées d'aucun personnage, il est externe. Et quand il sait tout, il voit tout, on dit qu'il est...
- demi-pensionnaire !
Quand le narrateur et dans la tête d'un seul personnage, il est interne. Quand il ne connaît les pensées d'aucun personnage, il est externe. Et quand il sait tout, il voit tout, on dit qu'il est...
- demi-pensionnaire !
- mytilusNiveau 5
Une élève de 6ème en recopiant le cours noté au tableaux :
"Monsieur, vous vous êtes trompé il n'y a pas de "s" à côtés.
- 2 côtés donc il y a bien un "s".
- Ah mais c'est pas à partir de 3 qu'on met un "s" ?!
- ...
"Monsieur, vous vous êtes trompé il n'y a pas de "s" à côtés.
- 2 côtés donc il y a bien un "s".
- Ah mais c'est pas à partir de 3 qu'on met un "s" ?!
- ...
- AscagneGrand sage
Un élève de première : "Lire ne me dérange pas et de plus j'arrive à comprendre certains textes grâce à la lecture (ce qui est logique normalement)."
- orphNiveau 5
Alors que je suis en train de dicter: "Albert Cohen, l'auteur du Livre de ma mère":
Mais m'sieur, du coup, c'est Albert Cohen ou votre mère qui l'a écrit le texte?!
Mais m'sieur, du coup, c'est Albert Cohen ou votre mère qui l'a écrit le texte?!
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"Soyez donc résolu à ne servir plus, et vous voilà libre" Etienne de la Boétie
"les journalistes écrivent des articles par lesquels ils présentent une réalité romancée. Et tout le monde les croit. Et les écrivains écrivent des romans où ils présentent la vérité. Et personne ne les croit." Bernard Werber
- BabaretteDoyen
Vous avez tous des perles vraiment magnifiques, un vrai collier de pierreries !
Un élève de quatrième, à propos de Victor Hugo, en voyant la liste de ses œuvres: "Zarma, il écrit trop le pélo".
Un élève de quatrième, à propos de Victor Hugo, en voyant la liste de ses œuvres: "Zarma, il écrit trop le pélo".
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- WahlouNiveau 9
Vous ne connaissez pas la dernière ?
Le nénuphar est le petit de la grenouille
Le nénuphar est le petit de la grenouille
- MattlecNiveau 6
Note à moi-même, ne jamais inclure en interro de verbes irréguliers, au lycée, le verbe "to blow", et surtout, ne pas demander la traduction...
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"La culture burgonde ? Je savais même pas qu’y en avait une… Non, moi je voulais faire grec moderne, mais y avait plus de place. Il restait que burgonde ou anglais. Aaaaanglais ! Mais c’est encore moins répandu."
- BabaretteDoyen
Wahlou a écrit:Vous ne connaissez pas la dernière ?
Le nénuphar est le petit de la grenouille
Si c'est un sixième, c'est mignon. Si c'est un terminale, je t'offre une vodka.
Mattlec a écrit:Note à moi-même, ne jamais inclure en interro de verbes irréguliers, au lycée, le verbe "to blow", et surtout, ne pas demander la traduction...
On veut des détails !
- MattlecNiveau 6
Disons que, gros naïf que je suis, je n'ai pas pensé au fait que "to blow", en argot, pouvait signifier "gratifier de ses muqueuses buccales un membre viril".
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"La culture burgonde ? Je savais même pas qu’y en avait une… Non, moi je voulais faire grec moderne, mais y avait plus de place. Il restait que burgonde ou anglais. Aaaaanglais ! Mais c’est encore moins répandu."
- BabaretteDoyen
Tiens, et ils connaissent de l'argot en langue de la Perfide Albion? Ce n'est pas si mal!
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- MattlecNiveau 6
La magie d'Internet...
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"La culture burgonde ? Je savais même pas qu’y en avait une… Non, moi je voulais faire grec moderne, mais y avait plus de place. Il restait que burgonde ou anglais. Aaaaanglais ! Mais c’est encore moins répandu."
- SphinxProphète
"Mais madame une colchique c'est pas une maladie ? Ah non pardon je confonds, c'est la colique..."
(On travaille sur Apollinaire, amis de la poésie bonsoir !)
(On travaille sur Apollinaire, amis de la poésie bonsoir !)
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- VinZTDoyen
Sphinx a écrit:"Mais madame une colchique c'est pas une maladie ? Ah non pardon je confonds, c'est la colique..."
(On travaille sur Apollinaire, amis de la poésie bonsoir !)
Note que l'ami Guillaume a aussi écrit les 11000 verges.
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- BabaretteDoyen
Apollinaire, tu veux dire, celui qui a écrit
Apollinaire a écrit:Plus criminel que Barrabas
Cornu comme les mauvais anges
Quel Belzébuth es-tu là-bas
Nourri d'immondice et de fange
Nous n'irons pas à tes sabbats
Poisson pourri de Salonique
Long collier des sommeils affreux
D'yeux arrachés à coup de pique
Ta mère fit un pet foireux
Et tu naquis de sa colique
Bourreau de Podolie Amant
Des plaies des ulcères des croûtes
Groin de cochon cul de jument
Tes richesses garde-les toutes
Pour payer tes médicaments.
Read more at http://www.poesie-francaise.fr/guillaume-apollinaire/poeme-reponse-des-cosaques-zaporogues.php#3Q21X7CT8V0wA0KD.99
- KeaFidèle du forum
Lorsque, élève en CP, j'ai appris "Colchique dans les prés", je ne comprenais pas pourquoi on travaillait une chanson sur le papier toilette (ici, une explication pour ceux qui n'ont pas connu les publicités des années 1990).Sphinx a écrit:"Mais madame une colchique c'est pas une maladie ? Ah non pardon je confonds, c'est la colique..."
(On travaille sur Apollinaire, amis de la poésie bonsoir !)
Aujourd'hui, je comprends le lien :lol:
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