- GrypheMédiateur
Rendash a écrit:
Le 28 juin, c'est très avant la pré-rentrée, hein
C'est surtout la veille du DNB. Le genre de jour où on a quand même un peu de boulot en établissement, normalement.
Je n'ose imaginer l'ambiance le lendemain pour les épreuves. ("Monsieur, c'est vrai que la police est venue vous chercher hier au collège ?" "Tais-toi et note ton numéro d'anonymat sur ta copie." :lol: )
- RendashBon génie
Et quand bien même, on s'en fout qu'ils soient modèles ou pas, là n'est pas la question
Modèle pour qui et selon quels critères, d'ailleurs
Modèle pour qui et selon quels critères, d'ailleurs
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RendashBon génie
Gryphe a écrit:Rendash a écrit:
Le 28 juin, c'est très avant la pré-rentrée, hein
C'est surtout la veille du DNB. Le genre de jour où on a quand même un peu de boulot en établissement, normalement.
Je n'ose imaginer l'ambiance le lendemain pour les épreuves. ("Monsieur, c'est vrai que la police est venue vous chercher hier au collège ?" "Tais-toi et note ton numéro d'anonymat sur ta copie." :lol: )
"Note ton numéro d'écrou sur la copie"
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- User17095Érudit
Rendash a écrit:
Le 28 juin, c'est très avant la pré-rentrée, hein
Au temps pour moi j'avais lu "28 août"
(mais quelle idée de faire des travaux pareils la veille du DNB ?!)
D'ailleurs, autre point qui respire le dogmatisme bas du front : pourquoi s'embêter à arrêter les profs. Je veux dire, ce n'est a priori pas bien compliqué pour une équipe de gendarmerie de se présenter devant des profs qui ne sont vraisemblablement pas des professionnels du free fight, et de simplement leur faire poser ce qu'ils ont entre les mains. Y a-t-il encore quelqu'un de sain d'esprit dans cette histoire ?
- gauvain31Empereur
pogonophile a écrit:gauvain31 a écrit:Le choix du type de tableau n'est ni périphérique, ni dogmatique: il relève de besoins pédagogiques qui relèvent eux-même de l'appréciation de l'enseignant. Les arguments sont développés tout au long du fil.
Il me semble que ce niveau là d'action se justifie quand on parle de choses vraiment importantes. Le type de tableau c'est comme le choix du manuel, un outil, quelque chose de bien pénible quand on n'a pas ce avec quoi on apprécie de travailler, mais certainement pas le fondement d'une pédagogie. Est-ce un outrage à la sacro-sainte liberté pédagogique de trouver que ça fait un peu diva capricieuse de s'exclamer "je ne peux pas travailler dans des conditions pareilles" pour... le type de tableau ?
"Non ce n'est pas diva capricieuse": les enseignants sont au service des élèves : ils ont donc le souhait d'avoir les meilleures conditions pour transmettre leurs connaissances
"je ne peux pas travailler" : non , on ne dit pas qu'on ne peux pas travailler, mais moins bien travailler , car les dessins que nous faisons en SVT peuvent perdre en compréhension si les couleurs sont mal utilisés. Un choix de 4 couleurs est insuffisants pour mettre en dessin la complexité de certains mécanismes en biologie ou en géologie. J'ai parfois besoin de 6 ou 7 couleurs: et actuellement seules les craies offrent cette large gamme de couleur, pas les feutres pour tableaux blanc.
- jeanraoulNiveau 1
pogonophile a écrit:
Au temps pour moi j'avais lu "28 août"
(mais quelle idée de faire des travaux pareils la veille du DNB ?!)
En fait, il s'agissait du jour prévu par la direction pour déménager avant travaux.
Il y a des infos sur le blog de leur comité de soutien.
Quand les gendarmes sont arrivés, ils ont pensé à un canular, ils ont vu la principale qui leur a confirmé les avoir appelé!pogonophile a écrit:
D'ailleurs, autre point qui respire le dogmatisme bas du front : pourquoi s'embêter à arrêter les profs. Je veux dire, ce n'est a priori pas bien compliqué pour une équipe de gendarmerie de se présenter devant des profs qui ne sont vraisemblablement pas des professionnels du free fight, et de simplement leur faire poser ce qu'ils ont entre les mains. Y a-t-il encore quelqu'un de sain d'esprit dans cette histoire ?
Les parents et profs ont remis les tableaux en place ensuite.
Les gendarmes ont fait leur travail (probablement à contre coeur), il n'y a qu'une personne dans l'histoire qui n'est pas "sain d'esprit"...
- gauvain31Empereur
jeanraoul a écrit:pogonophile a écrit:
Au temps pour moi j'avais lu "28 août"
(mais quelle idée de faire des travaux pareils la veille du DNB ?!)
En fait, il s'agissait du jour prévu par la direction pour déménager avant travaux.
Il y a des infos sur le blog de leur comité de soutien.Quand les gendarmes sont arrivés, ils ont pensé à un canular, ils ont vu la principale qui leur a confirmé les avoir appelé!pogonophile a écrit:
D'ailleurs, autre point qui respire le dogmatisme bas du front : pourquoi s'embêter à arrêter les profs. Je veux dire, ce n'est a priori pas bien compliqué pour une équipe de gendarmerie de se présenter devant des profs qui ne sont vraisemblablement pas des professionnels du free fight, et de simplement leur faire poser ce qu'ils ont entre les mains. Y a-t-il encore quelqu'un de sain d'esprit dans cette histoire ?
Les parents et profs ont remis les tableaux en place ensuite.
Les gendarmes ont fait leur travail (probablement à contre coeur), il n'y a qu'une personne dans l'histoire qui n'est pas "sain d'esprit"...
+100000
- User17095Érudit
jeanraoul a écrit:Quand les gendarmes sont arrivés, ils ont pensé à un canular, ils ont vu la principale qui leur a confirmé les avoir appelé!pogonophile a écrit:
D'ailleurs, autre point qui respire le dogmatisme bas du front : pourquoi s'embêter à arrêter les profs. Je veux dire, ce n'est a priori pas bien compliqué pour une équipe de gendarmerie de se présenter devant des profs qui ne sont vraisemblablement pas des professionnels du free fight, et de simplement leur faire poser ce qu'ils ont entre les mains. Y a-t-il encore quelqu'un de sain d'esprit dans cette histoire ?
Les parents et profs ont remis les tableaux en place ensuite.
Les gendarmes ont fait leur travail (probablement à contre coeur), il n'y a qu'une personne dans l'histoire qui n'est pas "sain d'esprit"...
Visite à domicile, perquisition, pour deux tabourets et trois cacahuètes, c'est de l'overkill. Si c'était aussi simple que "la principale est méchante et tous les autres sont sensés", ils auraient éventuellement rencontré les enseignants et tout arrêté là. Soit ils sont eux aussi partis très très loin, soit les enseignants ont dépassé les bornes sur le moment, soit enfin la principale est vraiment très bien connectée.
- ProvenceEnchanteur
Non, on n'est pas une "diva capricieuse" quand on défend ses conditions de travail...
- jeanraoulNiveau 1
pogonophile a écrit:jeanraoul a écrit:Quand les gendarmes sont arrivés, ils ont pensé à un canular, ils ont vu la principale qui leur a confirmé les avoir appelé!pogonophile a écrit:
D'ailleurs, autre point qui respire le dogmatisme bas du front : pourquoi s'embêter à arrêter les profs. Je veux dire, ce n'est a priori pas bien compliqué pour une équipe de gendarmerie de se présenter devant des profs qui ne sont vraisemblablement pas des professionnels du free fight, et de simplement leur faire poser ce qu'ils ont entre les mains. Y a-t-il encore quelqu'un de sain d'esprit dans cette histoire ?
Les parents et profs ont remis les tableaux en place ensuite.
Les gendarmes ont fait leur travail (probablement à contre coeur), il n'y a qu'une personne dans l'histoire qui n'est pas "sain d'esprit"...
Visite à domicile, perquisition, pour deux tabourets et trois cacahuètes, c'est de l'overkill. Si c'était aussi simple que "la principale est méchante et tous les autres sont sensés", ils auraient éventuellement rencontré les enseignants et tout arrêté là. Soit ils sont eux aussi partis très très loin, soit les enseignants ont dépassé les bornes sur le moment, soit enfin la principale est vraiment très bien connectée.
Ils ne peuvent pas arrêter la procédure d'un chef d'établissement qui porte plainte pour "vol aggravé en bande organisée".
Ils ont donc suivi la procédure (qui va probablement être classée sans suite, il n'y a rien de répréhensible), mais le mal est fait.
La dernière proposition est à mon avis la bonne, personnellement, j'ai eu du mal à le croire, mais j'ai pu rencontrer certains de ces enseignants que je connais, tout est vrai!
- VinZTDoyen
pogonophile a écrit:Il me semble que ce niveau là d'action se justifie quand on parle de choses vraiment importantes. Le type de tableau c'est comme le choix du manuel, un outil, quelque chose de bien pénible quand on n'a pas ce avec quoi on apprécie de travailler, mais certainement pas le fondement d'une pédagogie. Est-ce un outrage à la sacro-sainte liberté pédagogique de trouver que ça fait un peu diva capricieuse de s'exclamer "je ne peux pas travailler dans des conditions pareilles" pour... le type de tableau ?
Et si demain, le rectorat (ou la région) décidait de mettre toute votre informatique de gestion sur un OS que vous ne connaissez pas, avec des logiciels que vous et votre personnel ne maîtrisez pas, et qui sont finalement moins pratiques que ce que vous utilisez aujourd'hui, feriez-vous « votre diva » ?
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- User17095Érudit
Dans une situation comme ça, la gendarmerie ou la police choisit la manière d'enquêter et la posture ; ils n'y sont pas allés de main morte, c'est un choix.
Ensuite, j'aurais tendance à émettre des doutes quant à l'absolue fiabilité d'une source telle que "certains de ces enseignants", ce serait peut-être intéressant d'apprendre le point de vue de la CdE - mais bon n'aie crainte, sur ce forum, par défaut, ce sera de sa faute à elle.
Ensuite, j'aurais tendance à émettre des doutes quant à l'absolue fiabilité d'une source telle que "certains de ces enseignants", ce serait peut-être intéressant d'apprendre le point de vue de la CdE - mais bon n'aie crainte, sur ce forum, par défaut, ce sera de sa faute à elle.
- User17095Érudit
VinZT a écrit:
Et si demain, le rectorat (ou la région) décidait de mettre toute votre informatique de gestion sur un OS que vous ne connaissez pas, avec des logiciels que vous et votre personnel ne maîtrisez pas, et qui sont finalement moins pratiques que ce que vous utilisez aujourd'hui, feriez-vous « votre diva » ?
C'est ce qui se fait chaque année, avec des fantaisies comme téléservices, des ENT défaillants, etc. On proteste, mais on fait au mieux : on ne fait pas de choses comme refuser de faire la rentrée, confisquer les bases de données, ou autre geste théâtral.
- RendashBon génie
pogonophile a écrit:On proteste, mais on fait au mieux : on ne fait pas de choses comme refuser de faire la rentrée, confisquer les bases de données, ou autre geste théâtral.
Baway, pourquoi se battre ? ce ne sont que des élèves, après tout
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- VinZTDoyen
Quand le système devient absurde, les gestes théâtraux sont peut-être le dernier recours.
Ou un bureau des sabotages, comme chez Frank Herbert.
Ou un bureau des sabotages, comme chez Frank Herbert.
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« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- eleonore69Érudit
Danska a écrit:Ah ouais, carrément... Je préfère aussi les tableaux blancs, vu que je supporte mal la craie, mais de là à taxer de folie douce ceux qui préfèrent le tableau noir...
idem, cela me fait tousser et puis c'est très salissant (surtout l'hiver avec des vêtements noirs)
- User17095Érudit
Rendash a écrit:
Baway, pourquoi se battre ? ce ne sont que des élèves, après tout
En gardant à l'esprit que les logiciels et autres sont surtout du boulot pour nous mais ne changent pas grand chose au travail des élèves, je ne crois pas utile de refaire le débat sur "est-on prêt à foutre en l'air le travail des élèves sur un trimestre ou une année pour assurer de meilleures conditions à l'avenir", ça a déjà été abordé jusqu'à l'écoeurement.
Ce qui est sûr, c'est que quand on est CdE on n'a pas la même latitude que les enseignants pour "se battre", ni même pour s'exprimer. Regarde ce qui se passe actuellement à Fénelon, pas un mot de la collègue (que je serais bien le dernier à défendre d'ailleurs).
- RendashBon génie
pogonophile a écrit:Rendash a écrit:
Baway, pourquoi se battre ? ce ne sont que des élèves, après tout
En gardant à l'esprit que les logiciels et autres sont surtout du boulot pour nous mais ne changent pas grand chose au travail des élèves, je ne crois pas utile de refaire le débat sur "est-on prêt à foutre en l'air le travail des élèves sur un trimestre ou une année pour assurer de meilleures conditions à l'avenir", ça a déjà été abordé jusqu'à l'écoeurement.
Ce qui est sûr, c'est que quand on est CdE on n'a pas la même latitude que les enseignants pour "se battre", ni même pour s'exprimer. Regarde ce qui se passe actuellement à Fénelon, pas un mot de la collègue (que je serais bien le dernier à défendre d'ailleurs).
Ha, mais sur ce dernier point, je ne peux qu'être d'accord : les enseignants sont de loin le corps qui a le plus de latitude pour se battre, contrairement aux IPR et aux chefs d'établissement. Je ne reproche pas à ces derniers de ne pas se battre, mais de faire en sorte qu'il faille aussi se battre contre eux, la nuance est de taille. Si on prend l'exemple de la réforme, j'ai beaucoup plus de mépris pour les IPR qui avouent maintenant n'y être pas très favorables, mais qui avaient malgré tout fait du zèle pour sa mise en place, que pour ceux qui étaient convaincus de son bien-fondé.
Et c'est précisément parce que les professeurs du secondaire sont les derniers à avoir encore un peu de liberté et leur mot à dire que l'évolution du métier et des conditions de travail que je trouve très malvenues les remarques désobligeantes de ceux qui ont pour principale alternative de fermer leur mouille devant la hiérarchie, ou de se taire.
Pour le bazar à Fénelon, c'est un exemple parmi d'autres (y compris dans mon lycée de secteur, d'ailleurs, pour à peu près les mêmes motifs), mais on est sur un gros plantage. En revanche, dans le bahut de Gaillac, la CDE n'a rien à gagner à ce jeu, et il ne s'agit pas d'un problème d'incompétence de sa part : elle a délibérément choisi cette façon de faire, et faire le choix du bazooka pour tirer sur une mouche qui n'emmerde personne est symptomatique de pas mal de choses.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- jeanraoulNiveau 1
pogonophile a écrit:Dans une situation comme ça, la gendarmerie ou la police choisit la manière d'enquêter et la posture ; ils n'y sont pas allés de main morte, c'est un choix.
Ensuite, j'aurais tendance à émettre des doutes quant à l'absolue fiabilité d'une source telle que "certains de ces enseignants", ce serait peut-être intéressant d'apprendre le point de vue de la CdE - mais bon n'aie crainte, sur ce forum, par défaut, ce sera de sa faute à elle.
Il est évident que le travail des CdE n'est pas simple, et comme la majorité des profs, ils font leur travail avec professionnalisme.
Pour "certains de ces enseignants", je ne vais pas donner de détails, mais il s'agit d'un groupe particulièrement actif dans les projets d'élèves, plusieurs sont hors classe (bon ça veut rien dire!), mais dans ce collège depuis des années, toujours appréciés et bien noté de leur direction, et ça, le Rectorat ne peut l'ignorer.
La principale refuse à présent de communiquer sur ce sujet: "une instruction administrative est en cours...", mais elle utilise le mensonge pour donner une meilleure image d'elle.
Cela dit, ça ne va pas fonctionner longtemps.
De mon point de vue, on peut toujours se heurter à une personne, avoir des avis divergents, mais le mensonge est inacceptable.
- archebocEsprit éclairé
jeanraoul a écrit:De mon point de vue, on peut toujours se heurter à une personne, avoir des avis divergents, mais le mensonge est inacceptable.
Mentir à des journalistes n'a rien de répréhensible en soi. En revanche, mentir à sa hiérarchie est une faute professionnelle, et accuser faussement est un délit.
- RogerMartinBon génie
Provence a écrit:Non, on n'est pas une "diva capricieuse" quand on défend ses conditions de travail...
_________________
Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- pseudo-intelloSage
archeboc a écrit:jeanraoul a écrit:De mon point de vue, on peut toujours se heurter à une personne, avoir des avis divergents, mais le mensonge est inacceptable.
Mentir à des journalistes n'a rien de répréhensible en soi.
Rien d'illégal, c'est sûr (sinon, quasiment toute la classe politique serait en prison depuis belle lurette).
Après, ça dépend du sens que chacun donne à "(in)acceptable", adjectif qui différe d'"illégal". ...
- tangenteNiveau 5
Je n'ai pas tout lu le fil donc si ma question a déjà été posée et si un néo y a déjà répondu, j'en suis désolée.
Je ne comprends pas ce que vient faire le conseil général là-dedans ? Dans mon établissement quand il y a 2 ans on nous a équipé toutes les salles en tableau blanc + VPI, c'est notre gestionnaire qui a géré le truc. Elle nous a demandé ce qu'on souhaitait faire des tableaux à craies. On a choisi de les garder et de les réinstaller à côté du tableau blanc (donc un peu excentrés sur le mur) pour pouvoir s'en servir chacun à sa façon. Et le conseil général n'est absolument pas intervenu... Alors soit il y a un truc non dit dans toute cette affaire, soit ça dépend des régions (ou soit on était dans l'illégalité dans mon établissement ?!!!)
Je ne comprends pas ce que vient faire le conseil général là-dedans ? Dans mon établissement quand il y a 2 ans on nous a équipé toutes les salles en tableau blanc + VPI, c'est notre gestionnaire qui a géré le truc. Elle nous a demandé ce qu'on souhaitait faire des tableaux à craies. On a choisi de les garder et de les réinstaller à côté du tableau blanc (donc un peu excentrés sur le mur) pour pouvoir s'en servir chacun à sa façon. Et le conseil général n'est absolument pas intervenu... Alors soit il y a un truc non dit dans toute cette affaire, soit ça dépend des régions (ou soit on était dans l'illégalité dans mon établissement ?!!!)
- RendashBon génie
tangente a écrit:Je n'ai pas tout lu le fil donc si ma question a déjà été posée et si un néo y a déjà répondu, j'en suis désolée.
Je ne comprends pas ce que vient faire le conseil général là-dedans ? Dans mon établissement quand il y a 2 ans on nous a équipé toutes les salles en tableau blanc + VPI, c'est notre gestionnaire qui a géré le truc. Elle nous a demandé ce qu'on souhaitait faire des tableaux à craies. On a choisi de les garder et de les réinstaller à côté du tableau blanc (donc un peu excentrés sur le mur) pour pouvoir s'en servir chacun à sa façon. Et le conseil général n'est absolument pas intervenu... Alors soit il y a un truc non dit dans toute cette affaire, soit ça dépend des régions (ou soit on était dans l'illégalité dans mon établissement ?!!!)
Le conseil départemental gère les collèges, donc c'est lui qui finance les équipements.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- tangenteNiveau 5
Rendash a écrit:tangente a écrit:Je n'ai pas tout lu le fil donc si ma question a déjà été posée et si un néo y a déjà répondu, j'en suis désolée.
Je ne comprends pas ce que vient faire le conseil général là-dedans ? Dans mon établissement quand il y a 2 ans on nous a équipé toutes les salles en tableau blanc + VPI, c'est notre gestionnaire qui a géré le truc. Elle nous a demandé ce qu'on souhaitait faire des tableaux à craies. On a choisi de les garder et de les réinstaller à côté du tableau blanc (donc un peu excentrés sur le mur) pour pouvoir s'en servir chacun à sa façon. Et le conseil général n'est absolument pas intervenu... Alors soit il y a un truc non dit dans toute cette affaire, soit ça dépend des régions (ou soit on était dans l'illégalité dans mon établissement ?!!!)
Le conseil départemental gère les collèges, donc c'est lui qui finance les équipements.
Oui j'ai compris que c'est grâce à lui qu'on a eu nos VPI + tableaux blancs. Mais en quoi il devrait nous dire ce qu'on doit faire des anciens tableaux à craies ?
- William FosterExpert
Parce qu'il est propriétaire des tableaux à craies, même quand ils sont dans la benne prêts à partir au cimetière des tableaux.
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
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