- trompettemarineMonarque
Stef87 a écrit:RogerMartin a écrit:Je trouve le conseil de Delia excellent. Rapprochez-vous de médecins addictologues ou de psychologues spécialisés dans le traitement de l'addictologie. Car il ne faut pas vous faire d'illusion, il ne réussira pas en terminale ni en médecine s'il continue la fumette. Et vous aurez ainsi que sa mère besoin d'un soutien personnel.
Merci pour ces conseils mais mon fils n'est pas un addict, il fume seulement en soirée avec ses amis et je crois qu'il est important de le souligner. Il n'est pas défoncé en classe ni à la maison
C'est ce dont sont persuadés certains parents (et je ferai certainement comme eux.), mais j'ai vu les dégâts d'une dealeur dans la classe que j'ai eue une année. Les enfants ont dit aux parents que c'était occasionnel, mais dès le lundi matin je voyais les yeux des enfants...
Ce n'est peut-être pas le cas pour ton enfant, mais avec une chute si brutale des résultats, sois très vigilant et consulte un professionnel. Quelque chose, dont la drogue n'est qu'un symptôme, le fait peut-être souffrir.
Tu dois sévir, rappeler les règles mais aussi l'obliger à consulter des professionnels.
J'espère que la situation s'arrangera bien l'année prochaine, car il a point fort pour lui : des parents qui l'aiment et l'aideront.
- KalypsoExpert spécialisé
Stef je compatis... lu as tu demandé ce qu'était la vraie vie pour lui ? je crois que c'est important que ce jeune ouvre les yeux... et effectivement, un boulot d'été bien hard, ce ne serait peut être pas inutile
- DeliaEsprit éclairé
Mon fils n'est pas un addict : première phase, le déni.trompettemarine a écrit:Stef87 a écrit:RogerMartin a écrit:Je trouve le conseil de Delia excellent. Rapprochez-vous de médecins addictologues ou de psychologues spécialisés dans le traitement de l'addictologie. Car il ne faut pas vous faire d'illusion, il ne réussira pas en terminale ni en médecine s'il continue la fumette. Et vous aurez ainsi que sa mère besoin d'un soutien personnel.
Merci pour ces conseils mais mon fils n'est pas un addict, il fume seulement en soirée avec ses amis et je crois qu'il est important de le souligner. Il n'est pas défoncé en classe ni à la maison
Les addicts sont manipulateurs, menteurs et comédiens : bien entendu qu'il ne va pas fumer sous vos yeux ! Ce qui fait foi, ce sont les analyses du sang et des urines.
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- IphigénieProphète
Bon, après avoir prôné de le renvoyer du foyer familial et de lui couper les vivres, voilà qu'on conseille avec tout autant de certitude, de le médicaliser, car, "c'est sûr, c'est un addict"...: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes. On peut toujours aller au pire, peut-être que tout simplement il a fait sa grosse crise d'ado un peu tardivement, avec un peu de fumette, ou peut-être que c'est plus grave. Déjà il y a eu une discussion, c'est un grand pas. Il en faudra sûrement d'autres, beaucoup de vigilance aussi. Et voir avec lui quel projet il a pour son avenir: car le plus important serait qu'il ait un projet, pas simplement de vagues bonnes intentions. Peut-être qu'il se sent dépassé dans sa série S et qu'il faudrait revoir son parcours? Je me demande si un conseiller d'orientation ne serait pas plus urgent qu'un psychiatre: mais aux parents de voir et d'apprécier la nature des problèmes, et le cas échéant, prendre conseil comme le dit Trompettemarine, avec mesure.
- Fesseur ProGuide spirituel
lolDelia a écrit:Mon fils n'est pas un addict : première phase, le déni.trompettemarine a écrit:Stef87 a écrit:RogerMartin a écrit:Je trouve le conseil de Delia excellent. Rapprochez-vous de médecins addictologues ou de psychologues spécialisés dans le traitement de l'addictologie. Car il ne faut pas vous faire d'illusion, il ne réussira pas en terminale ni en médecine s'il continue la fumette. Et vous aurez ainsi que sa mère besoin d'un soutien personnel.
Merci pour ces conseils mais mon fils n'est pas un addict, il fume seulement en soirée avec ses amis et je crois qu'il est important de le souligner. Il n'est pas défoncé en classe ni à la maison
Les addicts sont manipulateurs, menteurs et comédiens : bien entendu qu'il ne va pas fumer sous vos yeux ! Ce qui fait foi, ce sont les analyses du sang et des urines.
Si tous les jeunes qui fument en soirée avec les amis devaient consulter...
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Pourvu que ça dure...
- CathEnchanteur
Oui, il faut arrêter de dire que la fumette cache forcément un problème psy, un mal-être qu'il convient de traiter avec un professionnel : la plupart des jeunes qui fument le font parce que se défoncer, c'est sympa. Point.
- RendashBon génie
Fesseur Pro a écrit:lolDelia a écrit:Mon fils n'est pas un addict : première phase, le déni.trompettemarine a écrit:Stef87 a écrit:
Merci pour ces conseils mais mon fils n'est pas un addict, il fume seulement en soirée avec ses amis et je crois qu'il est important de le souligner. Il n'est pas défoncé en classe ni à la maison
Les addicts sont manipulateurs, menteurs et comédiens : bien entendu qu'il ne va pas fumer sous vos yeux ! Ce qui fait foi, ce sont les analyses du sang et des urines.
Si tous les jeunes qui fument en soirée avec les amis devaient consulter...
Sans doute pas, mais à ceux qui sabotent leur année de terminale au point de louper leur bac, et se coupent peu à peu de leur ancien entourage, ça ne peut pas faire de mal.
- roxanneOracle
Je pense que c'est une piste. Cette obsession du bac général à tout prix et S en particulier amène bien des déceptions.Iphigénie a écrit:Bon, après avoir prôné de le renvoyer du foyer familial et de lui couper les vivres, voilà qu'on conseille avec tout autant de certitude, de le médicaliser, car, "c'est sûr, c'est un addict"...: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes. On peut toujours aller au pire, peut-être que tout simplement il a fait sa grosse crise d'ado un peu tardivement, avec un peu de fumette, ou peut-être que c'est plus grave. Déjà il y a eu une discussion, c'est un grand pas. Il en faudra sûrement d'autres, beaucoup de vigilance aussi. Et voir avec lui quel projet il a pour son avenir: car le plus important serait qu'il ait un projet, pas simplement de vagues bonnes intentions. Peut-être qu'il se sent dépassé dans sa série S et qu'il faudrait revoir son parcours? Je me demande si un conseiller d'orientation ne serait pas plus urgent qu'un psychiatre: mais aux parents de voir et d'apprécier la nature des problèmes, et le cas échéant, prendre conseil comme le dit Trompettemarine, avec mesure.
- Dame JouanneÉrudit
Moi, ce qui m'interroge dans cette situation, c'est qu'il semble avoir coupé les ponts avec ses anciens amis. Si on ajoute la fumette et le ratage du bac alors qu'il était bon élève avant, je trouve que cela fait beaucoup de signaux. C'est peut-être une crise d'ado retardée, mais elle est suffisamment importante pour être à surveiller. Il n'y a pas que le ratage du bac ici : peut-être que l'orientation est à revoir, peut-être une addiction, ce n'est pas moi qui peut le savoir. Mais il y a un vrai problème à la base...Rendash a écrit:Fesseur Pro a écrit:lolDelia a écrit:
Mon fils n'est pas un addict : première phase, le déni.
Les addicts sont manipulateurs, menteurs et comédiens : bien entendu qu'il ne va pas fumer sous vos yeux ! Ce qui fait foi, ce sont les analyses du sang et des urines.
Si tous les jeunes qui fument en soirée avec les amis devaient consulter...
Sans doute pas, mais à ceux qui sabotent leur année de terminale au point de louper leur bac, et se coupent peu à peu de leur ancien entourage, ça ne peut pas faire de mal.
- stenchMonarque
Iphigénie a écrit: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes.
Pour avoir malheureusement vécu ça, je peux te dire que tout le quartier savait que j'avais des problèmes d'addiction depuis des années sans que mes parents ne se rendent compte de quoi que ce soit. Ils sont tombés de haut quand ils l'ont appris, et d'encore plus haut quand ils ont compris que tout le monde le savait... Déni, aveuglement, fils manipulateur, je ne sais pas, sans doute mélange de tout.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- DesolationRowEmpereur
Clairement, une visite chez un médecin spécialiste sera infiniment plus utile que tous les conseils que, sur un forum, on peut donner à l'aveugle.
- IphigénieProphète
Toutes les situations sont possibles, mais par internet, je trouve que donner des diagnostics définitifs et radicaux, c'est difficile...stench a écrit:Iphigénie a écrit: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes.
Pour avoir malheureusement vécu ça, je peux te dire que tout le quartier savait que j'avais des problèmes d'addiction depuis des années sans que mes parents ne se rendent compte de quoi que ce soit. Ils sont tombés de haut quand ils l'ont appris, et d'encore plus haut quand ils ont compris que tout le monde le savait... Déni, aveuglement, fils manipulateur, je ne sais pas, sans doute mélange de tout.
- stenchMonarque
Iphigénie a écrit:Toutes les situations sont possibles, mais par internet, je trouve que donner des diagnostics définitifs et radicaux, c'est difficile...stench a écrit:Iphigénie a écrit: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes.
Pour avoir malheureusement vécu ça, je peux te dire que tout le quartier savait que j'avais des problèmes d'addiction depuis des années sans que mes parents ne se rendent compte de quoi que ce soit. Ils sont tombés de haut quand ils l'ont appris, et d'encore plus haut quand ils ont compris que tout le monde le savait... Déni, aveuglement, fils manipulateur, je ne sais pas, sans doute mélange de tout.
C'est vrai, tous ces diagnostics par internet me semblent bien rapides et peu sérieux. Je me garderais bien d'en donner un, je n'ai d'ailleurs pas lu tout le topic. Ca n'enlève rien au fait que ta remarque est une généralisation à mon avis fausse, et je ne réagissais qu'à elle. Très souvent, les parents ne voient rien, de tous les gens que j'ai croisés en cure, pas un seul parent n'avait remarqué avant que ça ne soit déjà très avancé / trop tard.
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"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- IphigénieProphète
Je comprends. Mais bon, là ils sont en sérieuse alerte, pour en parler sur un forum, non? D,où mon "à eux de voir"...stench a écrit:Iphigénie a écrit:Toutes les situations sont possibles, mais par internet, je trouve que donner des diagnostics définitifs et radicaux, c'est difficile...stench a écrit:Iphigénie a écrit: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes.
Pour avoir malheureusement vécu ça, je peux te dire que tout le quartier savait que j'avais des problèmes d'addiction depuis des années sans que mes parents ne se rendent compte de quoi que ce soit. Ils sont tombés de haut quand ils l'ont appris, et d'encore plus haut quand ils ont compris que tout le monde le savait... Déni, aveuglement, fils manipulateur, je ne sais pas, sans doute mélange de tout.
C'est vrai, tous ces diagnostics par internet me semblent bien rapides et peu sérieux. Je me garderais bien d'en donner un, je n'ai d'ailleurs pas lu tout le topic. Ca n'enlève rien au fait que ta remarque est une généralisation à mon avis fausse, et je ne réagissais qu'à elle. Très souvent, les parents ne voient rien, de tous les gens que j'ai croisés en cure, pas un seul parent n'avait remarqué avant que ça ne soit déjà très avancé / trop tard.
- DeliaEsprit éclairé
Qui a parlé de problème psy ? La fumette est un problème, en soi, un problème sanitaire car elle a des répercussions sur l'organisme. Les professionnels concernés sont : primo, le médecin généraliste, secundo, le cas échéant, l'addictologue.Cath a écrit:Oui, il faut arrêter de dire que la fumette cache forcément un problème psy, un mal-être qu'il convient de traiter avec un professionnel : la plupart des jeunes qui fument le font parce que se défoncer, c'est sympa. Point.
Il y a des signaux d'alarme à décoder, il existe aussi des associations de soutien à l'entourage : mine de renseignements, aide pratique, soutien psychologique. Une telle association est plus à même que nous de donner des conseils avisés.
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Amadou Hampaté Ba
- BabaretteDoyen
Iphigénie a écrit:Bon, après avoir prôné de le renvoyer du foyer familial et de lui couper les vivres, voilà qu'on conseille avec tout autant de certitude, de le médicaliser, car, "c'est sûr, c'est un addict"...: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes. On peut toujours aller au pire, peut-être que tout simplement il a fait sa grosse crise d'ado un peu tardivement, avec un peu de fumette, ou peut-être que c'est plus grave. Déjà il y a eu une discussion, c'est un grand pas. Il en faudra sûrement d'autres, beaucoup de vigilance aussi. Et voir avec lui quel projet il a pour son avenir: car le plus important serait qu'il ait un projet, pas simplement de vagues bonnes intentions. Peut-être qu'il se sent dépassé dans sa série S et qu'il faudrait revoir son parcours? Je me demande si un conseiller d'orientation ne serait pas plus urgent qu'un psychiatre: mais aux parents de voir et d'apprécier la nature des problèmes, et le cas échéant, prendre conseil comme le dit Trompettemarine, avec mesure.
Mais personne n'a prôné de le renvoyer du foyer familial et de lui couper les vivres ! Seulement de lui supprimer son argent de poche et son abonnement téléphonique, ça n'a quand même absolument rien à voir!
Il vaut mieux aller voir un médecin "pour rien" que de ne rien faire alors qu'il y avait addiction.
Et désolée, pour moi, quelqu'un qui fume toutes les semaines, c'est un addict. Et quelqu'un qui est ivre toutes les semaines, c'est un alcoolique.
- skindiverÉrudit
Babarette a écrit:Iphigénie a écrit:Bon, après avoir prôné de le renvoyer du foyer familial et de lui couper les vivres, voilà qu'on conseille avec tout autant de certitude, de le médicaliser, car, "c'est sûr, c'est un addict"...: les parents sont les seuls à pouvoir, en discutant avec leur fils, se rendre compte de la réalité des problèmes. On peut toujours aller au pire, peut-être que tout simplement il a fait sa grosse crise d'ado un peu tardivement, avec un peu de fumette, ou peut-être que c'est plus grave. Déjà il y a eu une discussion, c'est un grand pas. Il en faudra sûrement d'autres, beaucoup de vigilance aussi. Et voir avec lui quel projet il a pour son avenir: car le plus important serait qu'il ait un projet, pas simplement de vagues bonnes intentions. Peut-être qu'il se sent dépassé dans sa série S et qu'il faudrait revoir son parcours? Je me demande si un conseiller d'orientation ne serait pas plus urgent qu'un psychiatre: mais aux parents de voir et d'apprécier la nature des problèmes, et le cas échéant, prendre conseil comme le dit Trompettemarine, avec mesure.
Mais personne n'a prôné de le renvoyer du foyer familial et de lui couper les vivres ! Seulement de lui supprimer son argent de poche et son abonnement téléphonique, ça n'a quand même absolument rien à voir!
Il vaut mieux aller voir un médecin "pour rien" que de ne rien faire alors qu'il y avait addiction.
Et désolée, pour moi, quelqu'un qui fume toutes les semaines, c'est un addict. Et quelqu'un qui est ivre toutes les semaines, c'est un alcoolique.
Euh c'est quoi ces bétises?
Un mec qui fume un joint le samedi soir n'est pas un junkie, se prendre une cuite le samedi soir ne fait pas non plus de la personne un alcoolique.
- BabaretteDoyen
Si, se bourrer la gueule TOUS les samedis soirs, c'est être alcoolique.
_________________
“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- DeliaEsprit éclairé
Effectivement, ce peut être un gros buveur.skindiver a écrit:
Euh c'est quoi ces bétises?
Un mec qui fume un joint le samedi soir n'est pas un junkie, se prendre une cuite le samedi soir ne fait pas non plus de la personne un alcoolique.
Le diagnostic en ces matières est relativement simple : pour l'alcoolisme, c'est le test des quatre jours. Quatre jours ou plus d'abstinence sans ressentir aucun malaise, pas de dépendance, sinon la maladie alcoolique est présente.
Toute la question et de savoir si le fumeur peut rester sans fumer plusieurs semaines, ou pas. S'il lui faut son joint tous le samedis, il est dépendant. A faire diagnostiquer par le toubib, bien sûr.
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Amadou Hampaté Ba
- RendashBon génie
Babarette a écrit:Si, se bourrer la gueule TOUS les samedis soirs, c'est être alcoolique.
En fait, ça n'est pas la cuite qui fait l'alcoolique. On peut parfaitement ne pas se pinter, et souffrir quand même d'alcoolisme.
- DeliaEsprit éclairé
Je venais de le dire : l'alcoolisme, ce n'est pas la quantité, c'est la dépendance.Rendash a écrit:Babarette a écrit:Si, se bourrer la gueule TOUS les samedis soirs, c'est être alcoolique.
En fait, ça n'est pas la cuite qui fait l'alcoolique. On peut parfaitement ne pas se pinter, et souffrir quand même d'alcoolisme.
C'est toute l'histoire de Joseph Kessel et de sa seconde femme : lui était buveur excessif, elle était alcoolique. Lui s'arrêtait, pas elle. A lui, il a fallu du temps pour comprendre qu'elle était malade.
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Amadou Hampaté Ba
- BabaretteDoyen
Bien sûr, on peut être alcoolique si on est incapable de se passer de son verre de vin tous les midis ou de sa petite bière tous les soirs.
Mais avoir besoin de se torcher tous les week-ends pour passer une bonne soirée, c'est être alcoolique.
Mais avoir besoin de se torcher tous les week-ends pour passer une bonne soirée, c'est être alcoolique.
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:lecteur:
- amethysteDoyen
Ce n'est pas ce qu'avait dit un intervenant, lui avait parlé d'un mois sans boire (surtout pour les buveurs "mondains" qui boivent lors de soirées entre amis). Il disait qu'une ou deux semaines, de nombreux buveurs alcooliques en étaient capables, mais un mois, ils craquaient.Delia a écrit:Effectivement, ce peut être un gros buveur.skindiver a écrit:
Euh c'est quoi ces bétises?
Un mec qui fume un joint le samedi soir n'est pas un junkie, se prendre une cuite le samedi soir ne fait pas non plus de la personne un alcoolique.
Le diagnostic en ces matières est relativement simple : pour l'alcoolisme, c'est le test des quatre jours. Quatre jours ou plus d'abstinence sans ressentir aucun malaise, pas de dépendance, sinon la maladie alcoolique est présente.
Toute la question et de savoir si le fumeur peut rester sans fumer plusieurs semaines, ou pas. S'il lui faut son joint tous le samedis, il est dépendant. A faire diagnostiquer par le toubib, bien sûr.
HS un peu : mon mari ne fume jamais en vacances, soit 1 ou 2 semaines, mais la 1ère chose qu'il fait en descendant de voiture est de fumer. Bon, on n'est jamais parti un mois, mais clairement, il tient, difficilement.
- DeliaEsprit éclairé
Le test des quatre jours vaut ce qu'il vaut mais c'est le test officiel des addictologues préconisé dans les brochures de prévention. Un alcoolique qui peut tenir plusieurs semaines n'est pas dépendant physiquement mais psychologiquement.
Au demeurant, on ne parle plus d'alcooliques mais de malades car l'alcoolisme est une maladie.
Quand je parle de fumeurs, je parle pas des fumeurs de tabac (qui sont dépendants à leur drogue, eux aussi) mais des adeptes de la fumette. Pour eux, quel est le seuil de dépendance ? J'ai parlé de semaines, un peu au hasard. De toutes façons, le plus long, c'est le mieux.
Au demeurant, on ne parle plus d'alcooliques mais de malades car l'alcoolisme est une maladie.
Quand je parle de fumeurs, je parle pas des fumeurs de tabac (qui sont dépendants à leur drogue, eux aussi) mais des adeptes de la fumette. Pour eux, quel est le seuil de dépendance ? J'ai parlé de semaines, un peu au hasard. De toutes façons, le plus long, c'est le mieux.
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- Fesseur ProGuide spirituel
Ou pas.Babarette a écrit:Si, se bourrer la gueule TOUS les samedis soirs, c'est être alcoolique.
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