- VerduretteModérateur
Pour la deuxième année, il n'y aura aucun maintien, et nous sommes en train de signer le passage dans la classe supérieure de nombreux enfants qui n'ont pas du tout la capacité d'y aller.
Rien que dans ma classe de CE2, qui compte 23 élèves, je fais passer en CM1 deux élèves qui lisent à peine, sont incapables de faire une soustraction à retenue, de distinguer un nom d'un verbe, de transcrire les sons en dictée et d'isoler les mots, ne possèdent aucune table de multiplication, ni conjugaison. Nous tentons vainement depuis plusieurs années de convaincre les parents d'accepter une ULIS-école.
Un troisième, en grande souffrance psychologique, refuse tout travail. Il ne fait rien en classe à part démonter des objets et enquiquiner es camarades.
Après j'ai d'autres élèves en difficulté (mais pas à ce point), et je suis atterrée par le fait que malgré le rabâchage, le matraquage même, le fait de leur faire copier les tables et les conjugaisons presque quotidiennement, on a l'impression que RIEN ne rentre ... ils n'apprennent (ou ne retiennent ? ) RIEN, RIEN. RIEN .... :chev:
Faites-vous des constats semblables ?
Qu'est-ce que j'ai loupé ?
Je vais être honnête : je me suis principalement consacrée au reste de la classe ... qui a déjà de gros besoins. Mon choix ne respecte pas la tendance actuelle qui veut qu'on privilégie la difficulté scolaire, mais j'ai préféré privilégier l'intérêt collectif, celui du plus grand nombre. D'autant que ces élèves auraient pu avoir une solution si les parents l'avaient acceptée.
Rien que dans ma classe de CE2, qui compte 23 élèves, je fais passer en CM1 deux élèves qui lisent à peine, sont incapables de faire une soustraction à retenue, de distinguer un nom d'un verbe, de transcrire les sons en dictée et d'isoler les mots, ne possèdent aucune table de multiplication, ni conjugaison. Nous tentons vainement depuis plusieurs années de convaincre les parents d'accepter une ULIS-école.
Un troisième, en grande souffrance psychologique, refuse tout travail. Il ne fait rien en classe à part démonter des objets et enquiquiner es camarades.
Après j'ai d'autres élèves en difficulté (mais pas à ce point), et je suis atterrée par le fait que malgré le rabâchage, le matraquage même, le fait de leur faire copier les tables et les conjugaisons presque quotidiennement, on a l'impression que RIEN ne rentre ... ils n'apprennent (ou ne retiennent ? ) RIEN, RIEN. RIEN .... :chev:
Faites-vous des constats semblables ?
Qu'est-ce que j'ai loupé ?
Je vais être honnête : je me suis principalement consacrée au reste de la classe ... qui a déjà de gros besoins. Mon choix ne respecte pas la tendance actuelle qui veut qu'on privilégie la difficulté scolaire, mais j'ai préféré privilégier l'intérêt collectif, celui du plus grand nombre. D'autant que ces élèves auraient pu avoir une solution si les parents l'avaient acceptée.
- User21929Expert
Oui, et je suis en bac. pro.Verdurette a écrit:Faites-vous des constats semblables ?
Mes élèves sont sortis de l'épreuve technique, coefficient cinq, au bout d'une heure : trop dure ! J'ai répondu à toutes les questions en 37 minutes montre en main (sur 4H). 95% des réponses étaient dans les documents techniques.
Le bug de l'an 2000 :lol:Verdurette a écrit:
Qu'est-ce que j'ai loupé ?
- RabelaisVénérable
Je pense que tu n'as pas " loupé " grand chose.
Il y a de plus en plus d'élèves qui ne réussissent pas à mémoriser ( carence dans la memorisation à long terme ) + le QI général a perdu dix ponts ( pour ce que ça vaut, certes, mais c'est un indicateur, imagine ceux qui se seraient deja situés au niveau le plus limité de l'échelle ... ) et ensuite, plusieurs facteurs ont provoqué des dégâts dans les capacités cérébrales, intellectuelles , de concentration et de structuration de la pensée logique : problèmes d'hormones thyroïdiennes pré-natales, polluants divers et variés, métaux lourds, intervention des écrans chez le tout petit, absence de bain linguistique ou pauvreté du lien parent-enfant ( pauvreté, stakhanovisme dans le travail parental, tablettes et TV des parents , désintérêt pour l'éducation des enfants, fatigue, stress, dépression ).
Tu en veux d'autres ?
Le monde ne va pas bien, nos enfants ne vont pas bien, nos enfants ont de plus en plus de véritables problèmes cérébraux et personne ne fait rien, ne voit rien, à loins que cela ne saute aux yeux ou que le parent soit hyper vigilant.
Il y a de plus en plus d'élèves qui ne réussissent pas à mémoriser ( carence dans la memorisation à long terme ) + le QI général a perdu dix ponts ( pour ce que ça vaut, certes, mais c'est un indicateur, imagine ceux qui se seraient deja situés au niveau le plus limité de l'échelle ... ) et ensuite, plusieurs facteurs ont provoqué des dégâts dans les capacités cérébrales, intellectuelles , de concentration et de structuration de la pensée logique : problèmes d'hormones thyroïdiennes pré-natales, polluants divers et variés, métaux lourds, intervention des écrans chez le tout petit, absence de bain linguistique ou pauvreté du lien parent-enfant ( pauvreté, stakhanovisme dans le travail parental, tablettes et TV des parents , désintérêt pour l'éducation des enfants, fatigue, stress, dépression ).
Tu en veux d'autres ?
Le monde ne va pas bien, nos enfants ne vont pas bien, nos enfants ont de plus en plus de véritables problèmes cérébraux et personne ne fait rien, ne voit rien, à loins que cela ne saute aux yeux ou que le parent soit hyper vigilant.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- maikreeeesseGrand sage
Oui, je constate la même chose en un peu atténué : aucun de voir fait même en CP que je croyais être une classe à part pour l'implication et l'investissement des parents :la plupart des mots non signés, le matériel jamais remplacé, la lecture et les quelques mots, les doubles, les tables non apprises... En revanche je voyais les parents dès 11 h 30 pour la confiscation de la balle / handspinner !
Si aucun effort n'est fait en mémorisation, je me doute que plus tard cela devient vraiment compliqué. Ils ont fini l'année en sachant tous lire, mais à quel coût d'énergie de ma part ? Je ne sais pas s'ils seront nombreux à lire pendant les vacances. Le coin bibliothèque en accès libre au fond de classe a été boudé.
C'est une classe vraiment sympa cependant, de bons enfants, le cœur sur la main mais qui faute d'être poussés font le minimum, un beau gâchis.
Si aucun effort n'est fait en mémorisation, je me doute que plus tard cela devient vraiment compliqué. Ils ont fini l'année en sachant tous lire, mais à quel coût d'énergie de ma part ? Je ne sais pas s'ils seront nombreux à lire pendant les vacances. Le coin bibliothèque en accès libre au fond de classe a été boudé.
C'est une classe vraiment sympa cependant, de bons enfants, le cœur sur la main mais qui faute d'être poussés font le minimum, un beau gâchis.
- User24373Neoprof expérimenté
Verdurette a écrit:Pour la deuxième année, il n'y aura aucun maintien, et nous sommes en train de signer le passage dans la classe supérieure de nombreux enfants qui n'ont pas du tout la capacité d'y aller.
Rien que dans ma classe de CE2, qui compte 23 élèves, je fais passer en CM1 deux élèves qui lisent à peine, sont incapables de faire une soustraction à retenue, de distinguer un nom d'un verbe, de transcrire les sons en dictée et d'isoler les mots, ne possèdent aucune table de multiplication, ni conjugaison. Nous tentons vainement depuis plusieurs années de convaincre les parents d'accepter une ULIS-école.
Un troisième, en grande souffrance psychologique, refuse tout travail. Il ne fait rien en classe à part démonter des objets et enquiquiner es camarades.
Après j'ai d'autres élèves en difficulté (mais pas à ce point), et je suis atterrée par le fait que malgré le rabâchage, le matraquage même, le fait de leur faire copier les tables et les conjugaisons presque quotidiennement, on a l'impression que RIEN ne rentre ... ils n'apprennent (ou ne retiennent ? ) RIEN, RIEN. RIEN .... :chev:
Faites-vous des constats semblables ?
Qu'est-ce que j'ai loupé ?
Je vais être honnête : je me suis principalement consacrée au reste de la classe ... qui a déjà de gros besoins. Mon choix ne respecte pas la tendance actuelle qui veut qu'on privilégie la difficulté scolaire, mais j'ai préféré privilégier l'intérêt collectif, celui du plus grand nombre. D'autant que ces élèves auraient pu avoir une solution si les parents l'avaient acceptée.
Là où je suis on a les mêmes... en 4e - 3e
- DaphnéDemi-dieu
C'est LE gros problème dans l'EN depuis 41 ans avec la mise en place du collège unique (en 1976) et la suppression progressive de tous les dispositifs qui permettaient d'orienter les élèves en difficulté vers un enseignement plus adapté à leurs besoins.
Je sais que le fil est sur le primaire mais on a la même chose en s'aggravant chaque année dans le secondaire, surtout quand on enseigne une discipline dite à connaissances pyramidales.
Je sais que le fil est sur le primaire mais on a la même chose en s'aggravant chaque année dans le secondaire, surtout quand on enseigne une discipline dite à connaissances pyramidales.
- MélisandeNeoprof expérimenté
C'est un problème qui s'alourdit chaque année. Maintenant, le travail différencié à ses limites.
J'ai des 5e en français, j'arrive à différencier et faire progresser les élèves en difficultés à deux conditions :
- que l'élève soit volontaire, qu'il veuille s'en sortir et travaille sérieusement et très dur pour rattraper son retard
- que l'élève n'ait pas plus de deux niveaux de retard.
Cette année, par exemple, j'en avais 4 dans une classe qui étaient d'un niveau CE1 ou CE2, et en plus ne voulaient pas travailler. J'ai essayé au 1er trimestre de les aider, et devant leur passivité, je les ai ensuite laissé végéter dans leur coin. Ils passent tous en 4e, dont 1 avec 1.8 de moyenne en français (et la même chose dans les autres matières). J'en avais d'autres qui, eux, voulaient s'en sortir et ont réussi à bien progresser, je me suis focalisée sur ceux-là, et sur le reste de la classe qui avait le niveau requis.
Je ne peux pas faire des miracles avec le peu de moyens qu'on me donne, alors je fais au mieux, et tant pis pour ceux qui ne veulent pas saisir la chance que l'école leur offre.
J'ai des 5e en français, j'arrive à différencier et faire progresser les élèves en difficultés à deux conditions :
- que l'élève soit volontaire, qu'il veuille s'en sortir et travaille sérieusement et très dur pour rattraper son retard
- que l'élève n'ait pas plus de deux niveaux de retard.
Cette année, par exemple, j'en avais 4 dans une classe qui étaient d'un niveau CE1 ou CE2, et en plus ne voulaient pas travailler. J'ai essayé au 1er trimestre de les aider, et devant leur passivité, je les ai ensuite laissé végéter dans leur coin. Ils passent tous en 4e, dont 1 avec 1.8 de moyenne en français (et la même chose dans les autres matières). J'en avais d'autres qui, eux, voulaient s'en sortir et ont réussi à bien progresser, je me suis focalisée sur ceux-là, et sur le reste de la classe qui avait le niveau requis.
Je ne peux pas faire des miracles avec le peu de moyens qu'on me donne, alors je fais au mieux, et tant pis pour ceux qui ne veulent pas saisir la chance que l'école leur offre.
- VerduretteModérateur
Je ne me fais pas d'illusion : les deux gamins dont je parle iront en sixième dans deux ans, on proposera sans doute une EGPA à leurs parents qui refuseront ...donc à moins qu'ils n'aient comme prof la fée Mélusine, je ne vois pas bien d'issue ...
Ils ne sont pas du tout désagréables, ils voudraient bien faire, mais ils n'en ont pas les moyens intellectuels.
Personnellement, je trouve que le refus des parents de les mettre dans une classe adaptée est une forme de maltraitance. Sans compter que la mère de l'un a clamé que c'était du racisme (parce qu'il est africain).
Ils ne sont pas du tout désagréables, ils voudraient bien faire, mais ils n'en ont pas les moyens intellectuels.
Personnellement, je trouve que le refus des parents de les mettre dans une classe adaptée est une forme de maltraitance. Sans compter que la mère de l'un a clamé que c'était du racisme (parce qu'il est africain).
- maikreeeesseGrand sage
Ce sera d'autant plus difficile de convaincre les parents que n'apparaîtra dans les bulletin que ce qui va bien (peut-être que deux compétences, mais acquises alors que le voisin en aura 30...). Tout va bien !
- meevadeborahNiveau 8
Verdurette a écrit:Je ne me fais pas d'illusion : les deux gamins dont je parle iront en sixième dans deux ans, on proposera sans doute une EGPA à leurs parents qui refuseront ...donc à moins qu'ils n'aient comme prof la fée Mélusine, je ne vois pas bien d'issue ...
Ils ne sont pas du tout désagréables, ils voudraient bien faire, mais ils n'en ont pas les moyens intellectuels.
Personnellement, je trouve que le refus des parents de les mettre dans une classe adaptée est une forme de maltraitance. Sans compter que la mère de l'un a clamé que c'était du racisme (parce qu'il est africain).
Cependant, en général, il faut du temps aux parents pour accepter que leurs enfants aillent dans des classes adaptés. Je le dis pour les PE qui ne se rendent pas compte que quand en 6ème on leur propose une orientation, que l'on fait le dossier et que les parents acceptent, c'est parce que ce n'est pas la première démarche en ce sens. Eux restent avec l'idée d'un échec, mais c'est parfois une étape obligatoire.
- VerduretteModérateur
Pour les deux enfants dont je parle, la proposition d'ULIS a déjà été faite depuis la GS pour l'un, qui a fait deux CP, un CE1 et un CE2, (5ème proposition donc, appuyée par divers tests médicaux).
Trois fois pour l'autre , en CP, CE1, et CE2 ...
Ce n'est donc pas vraiment une surprise. Le déni, c'est toujours la pire des solutions, et je le dis en connaissance de cause car je l'ai vécu avec ma fille aînée.
Trois fois pour l'autre , en CP, CE1, et CE2 ...
Ce n'est donc pas vraiment une surprise. Le déni, c'est toujours la pire des solutions, et je le dis en connaissance de cause car je l'ai vécu avec ma fille aînée.
- meevadeborahNiveau 8
Oui, moi je parlais en général. Parce que je sais que c'est une souffrance, cette impression d'avoir travaillé "pour rien" et donc pour préciser qu'assez souvent ce n'est pas pour rien. Mais c'est plutôt vrai pour les orientations EGPA.
En parlant de cas particulier : on a un élève passé par le dispositif ULIS qui a réintégré le CM1 je crois à mi-temps et le CM2 à temps plein. Arrivé en collège en dispositif PPRE pour surveiller son intégration (bon, pour avoir un regard attentif sur sa scolarité quoi). Il est maintenant en 5ème, "fragile" pour son niveau mais loin d'être le plus mauvais de la classe. Bon. C'était juste un exemple d'un truc positif pour une fois...
Finalement, pour revenir à des généralités, il n'y a pas grand chose qui existe comme "aide" pour les diverses difficultés, mais c'est rageant de voir que le peu n'est déjà pas forcément employé comme il se doit. Parfois parce qu'on ne fait pas les dossiers, parfois parce que les parents ne suivent pas, parfois ce sont les services sociaux. Et on touche à des domaines dans lesquels on n'est pas forcément compétent nous-mêmes, alors c'est difficile de s'entêter quand il ne s'agit que d'une simple intuition.
En parlant de cas particulier : on a un élève passé par le dispositif ULIS qui a réintégré le CM1 je crois à mi-temps et le CM2 à temps plein. Arrivé en collège en dispositif PPRE pour surveiller son intégration (bon, pour avoir un regard attentif sur sa scolarité quoi). Il est maintenant en 5ème, "fragile" pour son niveau mais loin d'être le plus mauvais de la classe. Bon. C'était juste un exemple d'un truc positif pour une fois...
Finalement, pour revenir à des généralités, il n'y a pas grand chose qui existe comme "aide" pour les diverses difficultés, mais c'est rageant de voir que le peu n'est déjà pas forcément employé comme il se doit. Parfois parce qu'on ne fait pas les dossiers, parfois parce que les parents ne suivent pas, parfois ce sont les services sociaux. Et on touche à des domaines dans lesquels on n'est pas forcément compétent nous-mêmes, alors c'est difficile de s'entêter quand il ne s'agit que d'une simple intuition.
- VerduretteModérateur
ULIS/EGPA : Est-ce un échec ou une solution qui mène à une "autre réussite " ?
Parce que dire comme les enfants qui jouent "on dirait que tout va bien", ça, c'est l'échec assuré.
Et pour les enfants qui voient (car ils ne sont pas idiots non plus), le fossé qui se creuse d'année en année entre eux et leurs pairs, c'est une souffrance. Et ça n'a pas l'air de gêner qui que ce soit, au temps de la bienveillance et de la lutte contre la maltraitance et le harcèlement.
Parce que dire comme les enfants qui jouent "on dirait que tout va bien", ça, c'est l'échec assuré.
Et pour les enfants qui voient (car ils ne sont pas idiots non plus), le fossé qui se creuse d'année en année entre eux et leurs pairs, c'est une souffrance. Et ça n'a pas l'air de gêner qui que ce soit, au temps de la bienveillance et de la lutte contre la maltraitance et le harcèlement.
- Ma'amÉrudit
En tout cas, une chose est sûre, les élèves de SEGPA ont des places réservées en CAP à l'issue de la Troisième.
Dans mon collège, on se retrouve avec des élèves de troisième, pas orientés en SEGPA, qui ne sont pas pris en Bac Pro parce qu'ils sont trop faibles et qui n'ont pas non plus de place en CAP, parce que les places sont réservées.
Du coup, ils attendent le deuxième tour des orientations, pour voir les places qui restent, mais parfois dans un domaine totalement étranger à leur projet d'orientation. C'est vraiment galère. Ce sont des gosses qui n'ont pas du tout le niveau ni l'envie d'aller en seconde générale. Mais finalement, paradoxalement, la seconde générale, c'est devenu la solution de facilité.
Donc l'orientation en SEGPA, ça peut être un bon calcul pour certains.
Dans mon collège, on se retrouve avec des élèves de troisième, pas orientés en SEGPA, qui ne sont pas pris en Bac Pro parce qu'ils sont trop faibles et qui n'ont pas non plus de place en CAP, parce que les places sont réservées.
Du coup, ils attendent le deuxième tour des orientations, pour voir les places qui restent, mais parfois dans un domaine totalement étranger à leur projet d'orientation. C'est vraiment galère. Ce sont des gosses qui n'ont pas du tout le niveau ni l'envie d'aller en seconde générale. Mais finalement, paradoxalement, la seconde générale, c'est devenu la solution de facilité.
Donc l'orientation en SEGPA, ça peut être un bon calcul pour certains.
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