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- Lord StevenExpert
Il est possible que l'on se dirige vers une organisation semblable à celle de la territoriale: la réussite à un concours garantit l'accès à une échelle de rémunération, mais pas à un poste qu'il faut chercher.
Je suis très attaché à la fonction publique d'état mais je comprends les réactions potentielles des néo tits qui préfèrent postuler pour un job au fin fond de leur département d'origine, même très éloigné des métropoles que citait Daphné, plutôt que de s'exiler au fin fond de la France.
Maintenant pour bien connaître le fonctionnement de la territoriale c'est le royaume du copinage. Effectivement une fois recruté on ne vous mettra pas dehors eu égard au statut de fonctionnaire, en revanche on peut vous placardiser ou vous inciter fortement à postuler ailleurs. ....
Je suis très attaché à la fonction publique d'état mais je comprends les réactions potentielles des néo tits qui préfèrent postuler pour un job au fin fond de leur département d'origine, même très éloigné des métropoles que citait Daphné, plutôt que de s'exiler au fin fond de la France.
Maintenant pour bien connaître le fonctionnement de la territoriale c'est le royaume du copinage. Effectivement une fois recruté on ne vous mettra pas dehors eu égard au statut de fonctionnaire, en revanche on peut vous placardiser ou vous inciter fortement à postuler ailleurs. ....
- AwottNiveau 10
Iphigénie a écrit:Pour le bac, il y a peut-être quelque chose qui m'échappe, mais je ne suis pas contre sa réduction: c'est devenu au fil des ans une usine à gaz innommable, qui coûte un fric énorme pour un résultat nul et un tirage au sort à l'entrée des universités....
Pour moi, on ne peut pas faire pire que la situation actuelle, même si dans ce domaine, le MEN a beaucoup d'imagination.
Actuellement, il ne sert à rien, les notes sont totalement bidon, les épreuves déconnectées des niveaux réels et cerise sur le gateau, les épreuves sont épuisantes pour les enseignants, je parle en particulier pour l'innommable bac oral de français. Alors une simplification, je ne suis pas contre. Expliquez-moi pourquoi il faut combattre cette idée, je ne vois pas!
Ce n'est pas l'idée d'une réforme du baccalauréat qu'il faut combattre, on pourrait envisager une simplification, des épreuves plus courtes, un étalement dans le temps différents ... Ce qu'il faut combattre c'est l'examen avec des notes en CCF.
- PaddyHabitué du forum
johel a écrit:Yazilikaya a écrit:Dédoubler les classes de CP et CE1 en REP+
Contrôle continu au bac (garder 4 ou 5 épreuves fortes)
Tout miser sur le langage en maternelle
Autonomie des établissements
Pragmatisme.
Merci et concernant les rythmes en 1er degré ? Il n'a rien dit ?
Il veut aussi libérer nos énergies ... Sauf que de l'énergie, moi, à l'heure actuelle, je n'en ai plus. Le réservoir est vide.
- BalthazaardVénérable
....attention au mot CCF, c'est un peu comme le mot concours.
Il y a des matières où le CCF est UNE SEULE épreuve écrite du même type que celles du bac.
Ce qui pose problème c'est que le sujet est fait par le prof qui a les élèves (ça c'est encore acceptable) mais aussi corrigé par lui (difficilement soutenable).
Si on supprime ce dernier point le CCF peut être une option
Par contre côté simplification, Je n'en vois pas trop l'intérêt, car l'élaboration du sujet (validé par l'inspection) et la mise en œuvre de l'exam restent assez lourdes. Si tout le monde s'y met je prédis un beau b...
Il y a des matières où le CCF est UNE SEULE épreuve écrite du même type que celles du bac.
Ce qui pose problème c'est que le sujet est fait par le prof qui a les élèves (ça c'est encore acceptable) mais aussi corrigé par lui (difficilement soutenable).
Si on supprime ce dernier point le CCF peut être une option
Par contre côté simplification, Je n'en vois pas trop l'intérêt, car l'élaboration du sujet (validé par l'inspection) et la mise en œuvre de l'exam restent assez lourdes. Si tout le monde s'y met je prédis un beau b...
- laMissSage
Hugo78 a écrit:L'autonomie des établissements ? Bon courage à celui qui oserait s'aventurer vers le recrutement des personnels titulaires par le chef d'établissement ! Concrètement, je ne vois pas comment cela va pouvoir se faire, mais je suis peut-être naïf...
Ah mais c'est très simple : Blanquet lui-même l'a très bien expliqué !
Comme toujours, volontariat et expérimentations afin de ne pas provoquer de mouvement puis on étend progressivement à tout le monde.
https://www.neoprofs.org/t106525p275-jean-michel-blanquer-ministre-de-l-ecole-de-demain#4086184
(L'article a été retiré entre temps mais on en trouve encore des extraits ailleurs).
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- MoonchildSage
Parfaitement. L'autonomie dans le recrutement des enseignants ou dans le choix des projets pédagogiques innovants n'apportera tout au plus qu'un bénéfice mineur au fonctionnement d'un établissement ; le principal paramètre, le seul qui soit réellement efficient, est en fait l'autonomie dans la sélection des élèves et dans leur orientation. Prétendre le contraire - ou simplement occulter cette réalité - est sans doute l'un des plus gros mensonges politiques contemporains autour de l'école.archeboc a écrit:Finrod a écrit:Gryphe a écrit:
Et à ce point, on n'a plus de professeurs fonctionnaires d’État, plus de système de mutations à gérer, tout coûte moins cher et tout part à vau-l'eau mais ça tout le monde s'en fiche.
Librement inspiré par Lefteris (c).
Pourquoi faire fonctionner les ETB du public sur le modèle de ceux du privé changerait-il la performance du système ?
Le privé ne part pas à vau-l'eau, non ?
Sur le modèle du privé, cela signifie :
* attirer les élèves qui ne veulent pas subir les dysfonctionnements du public
* attirer les enseignants qui cherchent de meilleurs conditions de travail
* bazarder rapido les élèves qui dégradent ces conditions de travail.
Aujourd'hui, le succès du privé repose sur l'existence d'un grand réservoir à pagaille, qui lui sert de faire-valoir.
Dans ces conditions, faire fonctionner les ETB du public sur le modèle de ceux du privé impose de développer une filière de relégation, au choix, le gnouf, le bataillon disciplinaire ou la maison de redressement. Toute solution qui prétend aligner le public sur le privé et qui ne n'accorde pas au public le droit d'exclure les saboteurs est une escroquerie.
- VinZTDoyen
Balthazaard a écrit:....attention au mot CCF, c'est un peu comme le mot concours.
Il y a des matières où le CCF est UNE SEULE épreuve écrite du même type que celles du bac.
Ce qui pose problème c'est que le sujet est fait par le prof qui a les élèves (ça c'est encore acceptable) mais aussi corrigé par lui (difficilement soutenable).
Si on supprime ce dernier point le CCF peut être une option
Par contre côté simplification, Je n'en vois pas trop l'intérêt, car l'élaboration du sujet (validé par l'inspection) et la mise en œuvre de l'exam restent assez lourdes. Si tout le monde s'y met je prédis un beau b...
Sans compter que (dans mon bahut en tout cas) les épreuves finales en CCF (EPS, compréhension orale, etc.) compostent la fin avril et le mois de mai d'une telle multitude de trous que l'on se doit de boucler le programme pour la mi-avril…
Sinon, entièrement d'accord sur le fait qu'être à la fois juge et partie, c'est assez limite (cela a lieu en ISN par exemple, et j'avoue ne pas être à l'aise avec le concept).
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- HalybelÉrudit
Le concept contrôle continu + contrôle terminal fonctionne à la fac, sauf qu'il y a 3-4 notes de contrôle continu et une note finale mais d'un examen "exigeant".
Il faudrait donc un "contrôle continu" normalisé autour de contrôle bilan exigeant et pas tout prendre en compte dans ce contrôle continu.
Il faudrait donc un "contrôle continu" normalisé autour de contrôle bilan exigeant et pas tout prendre en compte dans ce contrôle continu.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- archebocEsprit éclairé
Awott a écrit:Ce n'est pas l'idée d'une réforme du baccalauréat qu'il faut combattre, on pourrait envisager une simplification, des épreuves plus courtes, un étalement dans le temps différents ... Ce qu'il faut combattre c'est l'examen avec des notes en CCF.
Pour ce qu'est le bac aujourd'hui !
Sans vouloir humilier la petite minorité qui y échoue, on en est arrivé au point que, pour une grosse majorité d'élèves, le bac est quasi assuré, toute l'anxiété de l'année de terminal est concentrée sur APB, et les enjeux sont moins dans les résultats du bac que dans ceux du bac blanc.
- JacqGuide spirituel
Rendash a écrit:Noisettine a écrit:Bonjour Hugo,
Je pense que ce serait bien que le chef d'établissement recrute les personnels titulaires. C'est ce qui se passe en Grande-Bretagne et les profs sont payés en moyenne 3000 Euros par mois. De plus, ils peuvent choisir l'établissement où ils veulent enseigner. Au moins, les profs précaires gagneraient la même chose que les profs titulaires. Ce serait l'égalité. Je trouve scandaleux qu'un prof précaire fasse le même boulot qu'un titulaire et soit payé 50% moins cher. Le recrutement par le concours du Capes est stupide et injuste car le concours n'est pas un gage de compétences et les profs précaires sont exploités car ils n'ont pas ce fichu concours (en plus, ils sont considérés comme des sous-profs). Les profs précaires ont des mauvaises conditions de travail et un salaire de misère. 1/3 de leur salaire passe dans les frais de déplacement. Pour moi, à travail égal, salaire égal.
Et les contractuels ne sont pas soumis aux mutations qui les envoient à Pétaouchnok, et qui représentent également des frais considérables, sans parler de l'éloignement des la famille, des amis, des racines, etc. C'est un choix de vie, y'a qu'à le passer, ou ne pas le passer, ce concours, si on se plaint des conditions de travail des contractuels ou des titulaires.
Pour certains collègues et amis contractuels c'est un choix effectué : pas le concours, contractuel, pas de mutation à l'autre bout de la France. C'est un choix assumé. Mon choix aussi était assumé : j'ai fait deux coins totalement paumés en France puis un coin bien paumé dans mon académie avant d'enfin pouvoir revenir au point de départ, bien des années après. Certains sont peut-être précaires, d'autres moins, mais ce "moins" est la contrepartie d'un service rendu.
Pour les mutations, comme indiqué par d'autres, qui va aller peupler les zones déficitaires en prof et à démographie galopante ?
- JacqGuide spirituel
Balthazaard a écrit:Cath a écrit:Cath a écrit:Une différence avec le privé, je pense : nos cde tournent tous les 3/6/9 ans.
A leur départ, que fait-on des profs qu'ils ont recrutés ? On les vire tous ? On les oblige à muter avec le chef ?
Et ma question, tout le monde s'en moque, de ma question ?
Pour ma part vu que tu décris une situation qui n'existe pas , qui n'a jamais été envisagée sérieusement hors spéculation du forum pour jouer à se faire peur, pour le moment, je me sens forcé de répondre sans méchanceté "oui pour moi"
Que ferais tu si on annonce qu'un astéroïde va frapper la terre dans un an?
Oh que si elle a été envisagée par la droite, celle servie admirablement à l'époque par notre nouveau ministre, à savoir recruter des enseignants avec contrat d'objectif de 5 ans puis les renvoyer dans le privé.
Ca a été évoqué.
Ils pensaient sans doute principalement aux professeurs de matières pro/techno ou d'économie (avec l'idée de les renvoyer ou les envoyer dans le privé "apprendre la vraie vie", le "vrai travail" et la "vraie économie").
- JacqGuide spirituel
Extrait de l'article à l'origine de ce post :
"Il a indiqué à plusieurs reprises privilégier « une démarche pragmatique », conserver « ce qui fonctionne » et « passer à autre chose » quand des dispositifs « ne vont pas »."
C'est amusant car en général l'EN fait exactement l'inverse.
Donc, ce qui ne va pas :
-on revient au bac pro 4 ans ?
- on supprime les CCF en LP ?
- on supprime AFFELNET qui est volontairement obscure, aux critères parfois bancals et changeants régulièrement, et qui oriente n'importe qui n'importe où ?
- on revient à une réelle notation par note et on supprime ces fadaises d'évaluation par compétences ?
- on supprime l'AP et on revient à l'AI ?
- on remet de véritables grilles horaires avec horaires fixes en LP et non ce "volume complémentaire" qui pose problème ?
- on remet les heures de cours en Français et en Histoire géo d'avant la réforme du bac trois ans ?
Je pense que la liste de tout ce qu'il a soutenu et qu'il faudrait faire sauter pour être allongée, allongée, allongée....
"Il a indiqué à plusieurs reprises privilégier « une démarche pragmatique », conserver « ce qui fonctionne » et « passer à autre chose » quand des dispositifs « ne vont pas »."
C'est amusant car en général l'EN fait exactement l'inverse.
Donc, ce qui ne va pas :
-on revient au bac pro 4 ans ?
- on supprime les CCF en LP ?
- on supprime AFFELNET qui est volontairement obscure, aux critères parfois bancals et changeants régulièrement, et qui oriente n'importe qui n'importe où ?
- on revient à une réelle notation par note et on supprime ces fadaises d'évaluation par compétences ?
- on supprime l'AP et on revient à l'AI ?
- on remet de véritables grilles horaires avec horaires fixes en LP et non ce "volume complémentaire" qui pose problème ?
- on remet les heures de cours en Français et en Histoire géo d'avant la réforme du bac trois ans ?
Je pense que la liste de tout ce qu'il a soutenu et qu'il faudrait faire sauter pour être allongée, allongée, allongée....
- ZagaraGuide spirituel
Tu n'as pas tout à fait saisi sa pensée. En langage technocratique, "ce qui ne marche pas" = ce qui existait avant les réformes structurelles et "ce qui fonctionne" = ce qui est instauré par les réformes structurelles. L'évaluation de l'efficacité réelle n'a rien à voir avec l'évaluation par les technos de réformes technos. C'est une affaire d'idéologie. Et si ça n'a pas marché, c'est qu'on n'est pas allé assez loin (©Hollande).
- JacqGuide spirituel
Zagara a écrit:Tu n'as pas tout à fait saisi sa pensée. En langage technocratique, "ce qui ne marche pas" = ce qui existait avant les réformes structurelles et "ce qui fonctionne" = ce qui est instauré par les réformes structurelles. L'évaluation de l'efficacité réelle n'a rien à voir avec l'évaluation par les technos de réformes technos. C'est une affaire d'idéologie. Et si ça n'a pas marché, c'est qu'on n'est pas allé assez loin (©Hollande).
Mais oui.... Bien sûr, je sais bien que nous continuerons justement à nous enfoncer. Et si ces réformes ont mal fonctionné, c'est que les prof s'en sont mal emparés ou ont été (obtus qu'ils sont) réfractaires, d'où : AUTONOMIE DES ETABLISSEMENTS pour écraser toute forme de contestation.
- Philomène87Grand sage
Hugo78 a écrit:Noisettine a écrit:Bonjour Hugo,
Je pense que ce serait bien que le chef d'établissement recrute les personnels titulaires. C'est ce qui se passe en Grande-Bretagne et les profs sont payés en moyenne 3000 Euros par mois. De plus, ils peuvent choisir l'établissement où ils veulent enseigner. Au moins, les profs précaires gagneraient la même chose que les profs titulaires. Ce serait l'égalité. Je trouve scandaleux qu'un prof précaire fasse le même boulot qu'un titulaire et soit payé 50% moins cher. Le recrutement par le concours du Capes est stupide et injuste car le concours n'est pas un gage de compétences et les profs précaires sont exploités car ils n'ont pas ce fichu concours (en plus, ils sont considérés comme des sous-profs). Les profs précaires ont des mauvaises conditions de travail et un salaire de misère. 1/3 de leur salaire passe dans les frais de déplacement. Pour moi, à travail égal, salaire égal.
Bonjour,
Les contractuels n'ont qu'à réussir le concours s'ils veulent être traités comme des titulaires, mais certains en sont peut-être incapables car ils n'ont pas le niveau, surtout en anglais ou en mathématiques ou les jurys en recrutent moins par rapport à ce qu'il faudrait car le niveau est jugé calamiteux. Je suis attaché aux concours nationaux, pour moi leur obtention signifie quelque-chose sur la qualité de leur détenteur même si certains contractuels sont aussi de très bons enseignants. L'un n'empêche pas l'autre !
+1
Et qu'en penseraient ces contractuels qui se démènent à fond, mettent leur vie de famille entre parenthèses, pour travailler le concours en plus de leurs 18h de cours, réussissent ce concours, et tout cela pour s'apercevoir que ceux qui en ont eu la flemme gagnent finalement le même salaire ?
Le concours est évidemment une garantie qu'on n'a pas recruté n'importe qui. Pour preuve, on préfère laisser des postes vacants au Capes, plutôt que le donner à ceux qui ont eu 5 de moyenne (encore heureux).
L'année du concours est très éprouvante (beaucoup de choses à retenir, à travailler), l'année de stage l'est tout autant (pression de toutes parts, menaces de licenciement, infantilisation, culpabilisation), alors je trouve normal que ceux qui ont subi cela soient mieux payés. Sinon, effectivement, autant supprimer le concours pour tout le monde et recruter n'importe qui sans formation.
Il y a des contractuels effectivement très compétents. Dans ce cas, ils n'auront aucun problème à réussir le concours.
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