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- LefterisEsprit sacré
Certains peuvent être étouffés à l'oralAnaxagore a écrit:Des critères qui vont plus relever du buccal que du local.
- BalthazaardVénérable
Cath a écrit:@Balthazaard : Ah mais je croyais que c'était le cas dans d'autres pays, j'ai cru qu'on pourrait donc me dire comment ça se passe là-bas, j’ignorais que ma question était si stupide...
je ne dis pas qu'elle est stupide, mais qu'en ce moment, elle n'est pas à l'ordre du jour. Tu as vu qu'il y a ici deux attitudes, l'une qui cherche à se faire peur et une autre plus attentiste.
Tu te doutes bien que si un truc de ce genre était mis en pratique, ce ne serait qu'après de longues discussions préparatoires avec les syndicats (le gouvernement en place n'est pas une droite "dure" qui a affiché son désir d'un affrontement avec la fonction publique) et qu'il y aurait probablement des oppositions, des grèves, un moment très difficile à passer.
Bien malin celui qui peut dire ce qui en sortira, ce que tu dis est UN point parmi des centaines d'autres, quelle valeur peut avoir la réponse de gens (moi et ceux du forum) qui sont très loin des sphères de décision ou d'élaboration des projets?
- CathEnchanteur
J'entends bien, je voudrais juste savoir comment ça se passe dans les pays où le recrutement se fait par le cde.
- BalthazaardVénérable
Cath a écrit:J'entends bien, je voudrais juste savoir comment ça se passe dans les pays où le recrutement se fait par le cde.
C'est très, très difficile à savoir manifestement, on ne trouve guère de choses sur internet. Les témoignages locaux sont-ils fiables? Quand j'entends les c...que véhiculent certains profs (pas ici car en général ceux qui écrivent se tiennent informés) sur notre statut ou nos obligations, je ne crois plus personne hors textes officiels.
- HélipsProphète
On peut imaginer que ça se passe comme dans une PME qui change de patron. Le nouveau achète l'entreprise ET les contrats de travail, le code du travail l'empêche de virer tout le monde, mais pas de modifier l'organisation et ceux qui ne sont pas d'accord s'en vont tout seuls, ce qui permet au chef de recruter de nouvelles têtes.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- gauvain31Empereur
Lefteris a écrit:Certains peuvent être étouffés à l'oralAnaxagore a écrit:Des critères qui vont plus relever du buccal que du local.
:mdr3: :mdr3: :mdr3:
- AwottNiveau 10
Balthazaard a écrit:Je n'ai jamais vu un contractuel faire du bon boulot, persiste et signe!!!
Zagara a écrit:Et le nouveau CAPES a un grand volet pédagogique et de connaissance des programmes et structures du second degré. Ce qui renforce les "garanties". Sans parler des stages d'observation en classe dès la première année MEEF. C'est tout de même moins hors-sol/purement universitaire qu'il y a quelques années.
Que l'on détricote le capes et qu'on fasse une formation saugrenu c'est un problème dont la solution n'est pas la suppression du concours et de la formation. Sans doute que l'opposition entre contractuels, certifiés et agrégés n'est pas une bonne position pour l'ensemble des enseignants ... mais voir des contractuels ( mais aussi d'autres malheureusement ) qui adhèrent à l'idée d'autonomie parce que cela leur semble profitable c'est bien que le concours, quelque soit son contenu, reflète une idée de la fonction publique d'état.
Après, l'autonomie de recrutement c'est petit bras, l'uberisation du métier c'est l'avenir !
- BalthazaardVénérable
Awott a écrit:
Que l'on détricote le capes et qu'on fasse une formation saugrenu c'est un problème dont la solution n'est pas la suppression du concours et de la formation. Sans doute que l'opposition entre contractuels, certifiés et agrégés n'est pas une bonne position pour l'ensemble des enseignants ... mais voir des contractuels ( mais aussi d'autres malheureusement ) qui adhèrent à l'idée d'autonomie parce que cela leur semble profitable c'est bien que le concours, quel que soit son contenu, reflète une idée de la fonction publique d'état.
Après, l'autonomie de recrutement c'est petit bras, l'uberisation du métier c'est l'avenir !
Je ne comprends (sérieusement) pas ce que tu veux dire.
- henrietteMédiateur
Je suppose que tout dépend du type de contrat signé lors du recrutement.Cath a écrit:J'entends bien, je voudrais juste savoir comment ça se passe dans les pays où le recrutement se fait par le cde.
Lorsque j'étais en Allemagne, mes collègues avaient des équivalents de CDI, les chefs passaient, ils restaient, sauf s'ils souhaitaient eux-même partir. Mais c'était les anciens statuts de profs, car on a commencé à voir arriver les contrat avec statut réformé par Schroeder : bien moins bien payés et plus d'heures de cours à assurer. Mais je ne sais pas si c'était toujours des CDI ou bien des CDD renouvelables.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- BalthazaardVénérable
Awott a écrit:Balthazaard a écrit:Je n'ai jamais vu un contractuel faire du bon boulot, persiste et signe!!!
Voudrais tu dire qu'il y en a de bons?..je n'ai jamais vu de poissons volants, j'en conviens.
- AwottNiveau 10
Balthazaard a écrit:Awott a écrit:
Que l'on détricote le capes et qu'on fasse une formation saugrenu c'est un problème dont la solution n'est pas la suppression du concours et de la formation. Sans doute que l'opposition entre contractuels, certifiés et agrégés n'est pas une bonne position pour l'ensemble des enseignants ... mais voir des contractuels ( mais aussi d'autres malheureusement ) qui adhèrent à l'idée d'autonomie parce que cela leur semble profitable c'est bien que le concours, quel que soit son contenu, reflète une idée de la fonction publique d'état.
Après, l'autonomie de recrutement c'est petit bras, l'uberisation du métier c'est l'avenir !
Je ne comprends (sérieusement) pas ce que tu veux dire.
Effectivement, ce n'est pas très clair ...
L'autonomie c'est, pour reprendre Daphné :
Daphné a écrit:Sans compter que l'autonomie des établissement serait la pire réforme qui soit : finie l'Education nationale !
La fin dont il est question n'est pas la fin de l'éducation mais la fin de son caractère national, de son unité de contenus, de moyens, etc ... ( même si pour la question des moyens c'est douteux, il n'en demeure pas moins que l'idée qu'on se fait de l'Ecole, c'est qu'elle devrait être d'une même qualité dans la banlieue d'Amiens, au cœur d'une zone rurale et dans Paris intra-muros. )
Le concours me semble une des garanties ( avec l'affectations ) de ce caractère national de l'éducation. Il me semble alors logique qu'il soit attaqué et décrié par ceux qui prônent l'autonomie de recrutement : ce sont les deux faces d'une même pièce.
Je dévie mais c'est la même logique que pour le baccalauréat avec de plus en plus de matières validés par un contrôle continu.
- BalthazaardVénérable
D'accord je comprends ce que tu veux dire, je pense comme toi.
- GaletteNiveau 7
Awott a écrit:
L'autonomie c'est, pour reprendre Daphné :Daphné a écrit:Sans compter que l'autonomie des établissement serait la pire réforme qui soit : finie l'Education nationale !
La fin dont il est question n'est pas la fin de l'éducation mais la fin de son caractère national, de son unité de contenus, de moyens, etc ... ( même si pour la question des moyens c'est douteux, il n'en demeure pas moins que l'idée qu'on se fait de l'Ecole, c'est qu'elle devrait être d'une même qualité dans la banlieue d'Amiens, au cœur d'une zone rurale et dans Paris intra-muros. )
Le concours me semble une des garanties ( avec l'affectations ) de ce caractère national de l'éducation. Il me semble alors logique qu'il soit attaqué et décrié par ceux qui prônent l'autonomie de recrutement : ce sont les deux faces d'une même pièce.
Je dévie mais c'est la même logique que pour le baccalauréat avec de plus en plus de matières validés par un contrôle continu.
Je suis d'accord avec vous contre l'autonomie et un recrutement "localisé". En revanche les contenus resteront nationaux avec des programmes définis à Paris. Pour ce qui est de l'inégalité de moyens, elle est déjà à l'oeuvre avec la décentralisation de la gestion des moyens éducatifs (bâtiments et équipements).
Pour finir, je crois que tu ne crois pas si bien dire à propos du bac, Blanquer étant un fervent partisan du passage au CCF avec maintien de 3/4 disciplines en examen final. Cela a déjà commencé du côté des bacs pros et des langues. Ce sera généralisé et étendu. Pour des raisons d'abord budgétaires bien entendu. Et donc, oui, le bac ne vaudra vraiment plus rien, et ne sera plus un examen national puisqu'un des grands avantages du CCF est que ce sont les professeurs qui élaborent et corrigent les sujets pour leurs élèves.
Et si on fait 1+1, CDE plus autonomes et CCF : les résultats du bac seront l'objet de pression de la part des CDE qui chercheront à maintenir ou développer la réputation de leur établissement, et pourront virer les récalcitrants.
- meskiangasherNiveau 9
Actuellement les maîtres du privé ne sont pas fonctionnaires, passent un concours et postulent à des postes, ils sont choisis par les directeurs d'établissement. Par contre ces derniers restent plus longtemps en poste, mais en cas de changement les maîtres restent.Cath a écrit:Et ma question, tout le monde s'en moque, de ma question ?Cath a écrit:Une différence avec le privé, je pense : nos cde tournent tous les 3/6/9 ans.
A leur départ, que fait-on des profs qu'ils ont recrutés ? On les vire tous ? On les oblige à muter avec le chef ?
Par contre LR veut faire autre chose : que les chefs puissent dégager ceux qui ne leur conviennent pas (cf les propos de Longuet sur l'exfiltration) :
https://blogs.mediapart.fr/claude-lelievre/blog/120916/les-republicains-le-culte-du-chef
- User21929Expert
Concernant la réputation des établissements, je trouve plus sérieux d'un établissement "dificile" qu'il affiche 65% de réussite plutôt que 95%.
- PaddyHabitué du forum
Un établissement "difficile" qui affiche 25 % de réussite, voilà ce qui ferait vraiment sérieux.
- GaliNéoFidèle du forum
Notre bien-aimé patron passe sur RMC à 8h35.
_________________
¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
- johelNiveau 9
GaliNéo a écrit:Notre bien-aimé patron passe sur RMC à 8h35.
Quelqu'un pour nous résumer ?
- YazilikayaNeoprof expérimenté
Dédoubler les classes de CP et CE1 en REP+
Contrôle continu au bac (garder 4 ou 5 épreuves fortes)
Tout miser sur le langage en maternelle
Autonomie des établissements
Pragmatisme.
Contrôle continu au bac (garder 4 ou 5 épreuves fortes)
Tout miser sur le langage en maternelle
Autonomie des établissements
Pragmatisme.
- archebocEsprit éclairé
Finrod a écrit:Gryphe a écrit:
Et à ce point, on n'a plus de professeurs fonctionnaires d’État, plus de système de mutations à gérer, tout coûte moins cher et tout part à vau-l'eau mais ça tout le monde s'en fiche.
Librement inspiré par Lefteris (c).
Pourquoi faire fonctionner les ETB du public sur le modèle de ceux du privé changerait-il la performance du système ?
Le privé ne part pas à vau-l'eau, non ?
Sur le modèle du privé, cela signifie :
* attirer les élèves qui ne veulent pas subir les dysfonctionnements du public
* attirer les enseignants qui cherchent de meilleurs conditions de travail
* bazarder rapido les élèves qui dégradent ces conditions de travail.
Aujourd'hui, le succès du privé repose sur l'existence d'un grand réservoir à pagaille, qui lui sert de faire-valoir.
Dans ces conditions, faire fonctionner les ETB du public sur le modèle de ceux du privé impose de développer une filière de relégation, au choix, le gnouf, le bataillon disciplinaire ou la maison de redressement. Toute solution qui prétend aligner le public sur le privé et qui ne n'accorde pas au public le droit d'exclure les saboteurs est une escroquerie.
Yazilikaya a écrit:Dédoubler les classes de CP et CE1 en REP+
Contrôle continu au bac (garder 4 ou 5 épreuves fortes)
Tout miser sur le langage en maternelle
Autonomie des établissements
Pragmatisme.
Bon, à la maison, il va falloir investir sur la graphie.
- johelNiveau 9
Yazilikaya a écrit:Dédoubler les classes de CP et CE1 en REP+
Contrôle continu au bac (garder 4 ou 5 épreuves fortes)
Tout miser sur le langage en maternelle
Autonomie des établissements
Pragmatisme.
Merci et concernant les rythmes en 1er degré ? Il n'a rien dit ?
- AwottNiveau 10
Yazilikaya a écrit:Dédoubler les classes de CP et CE1 en REP+
Contrôle continu au bac (garder 4 ou 5 épreuves fortes).
2200 classes à dédoubler ... dès la rentrée 2017. Matériellement et humainement, j'ai des doutes sur le dispositif et sa mise en oeuvre.
Pour le bac, il est costaud. Il arrive à faire croire qu'en ne gardant que quelques matières, on va être exigeant sur ces matières ...
- IphigénieProphète
Pour le bac, il y a peut-être quelque chose qui m'échappe, mais je ne suis pas contre sa réduction: c'est devenu au fil des ans une usine à gaz innommable, qui coûte un fric énorme pour un résultat nul et un tirage au sort à l'entrée des universités....
Pour moi, on ne peut pas faire pire que la situation actuelle, même si dans ce domaine, le MEN a beaucoup d'imagination.
Actuellement, il ne sert à rien, les notes sont totalement bidon, les épreuves déconnectées des niveaux réels et cerise sur le gateau, les épreuves sont épuisantes pour les enseignants, je parle en particulier pour l'innommable bac oral de français. Alors une simplification, je ne suis pas contre. Expliquez-moi pourquoi il faut combattre cette idée, je ne vois pas!
Pour moi, on ne peut pas faire pire que la situation actuelle, même si dans ce domaine, le MEN a beaucoup d'imagination.
Actuellement, il ne sert à rien, les notes sont totalement bidon, les épreuves déconnectées des niveaux réels et cerise sur le gateau, les épreuves sont épuisantes pour les enseignants, je parle en particulier pour l'innommable bac oral de français. Alors une simplification, je ne suis pas contre. Expliquez-moi pourquoi il faut combattre cette idée, je ne vois pas!
- User17706Bon génie
Accepter ça, c'est encourager la méthode de la réforme par pourrissement.
Après, s'il faut réduire, il ne faut pas le faire n'importe comment non plus, et notamment, il faut éviter d'encourager l'espèce de clientélisme qui accompagnera inévitablement le contrôle continu. Nous avons déjà noté plusieurs fois les inconvénients marginaux du mélange des rôles professeur/examinateur. Si ce mélange se généralise, les inconvénients ne seront plus marginaux.
Après, s'il faut réduire, il ne faut pas le faire n'importe comment non plus, et notamment, il faut éviter d'encourager l'espèce de clientélisme qui accompagnera inévitablement le contrôle continu. Nous avons déjà noté plusieurs fois les inconvénients marginaux du mélange des rôles professeur/examinateur. Si ce mélange se généralise, les inconvénients ne seront plus marginaux.
- HalybelÉrudit
archeboc a écrit:Finrod a écrit:Gryphe a écrit:
Et à ce point, on n'a plus de professeurs fonctionnaires d’État, plus de système de mutations à gérer, tout coûte moins cher et tout part à vau-l'eau mais ça tout le monde s'en fiche.
Librement inspiré par Lefteris (c).
Pourquoi faire fonctionner les ETB du public sur le modèle de ceux du privé changerait-il la performance du système ?
Le privé ne part pas à vau-l'eau, non ?
Sur le modèle du privé, cela signifie :
* attirer les élèves qui ne veulent pas subir les dysfonctionnements du public
* attirer les enseignants qui cherchent de meilleurs conditions de travail
* bazarder rapido les élèves qui dégradent ces conditions de travail.
Aujourd'hui, le succès du privé repose sur l'existence d'un grand réservoir à pagaille, qui lui sert de faire-valoir.
Dans ces conditions, faire fonctionner les ETB du public sur le modèle de ceux du privé impose de développer une filière de relégation, au choix, le gnouf, le bataillon disciplinaire ou la maison de redressement. Toute solution qui prétend aligner le public sur le privé et qui ne n'accorde pas au public le droit d'exclure les saboteurs est une escroquerie.
Tellement vrai, c'est pour cela que je ne crois absolument pas à la fin du statut de fonctionnaire pour les professeurs agrégés et certifiés.
J'ai lu des comparaisons ici et sur un autre fil aux modèles anglais et allemand. OK. Mais déjà un prof en début de carrière est payé 3000 euros...pour certes 100H annuelles de plus, mais je l'ai fait largement avec mes 4HSA pour presque 1000 euros de moins par mois...Sans parler que ce salaire est à taux fixe, pas de baisse entre juillet et octobre...
Parler de suppression de concours ça marcherait un temps, le temps que le "pool" de profs avec concours partent à la retraite mais après? Les contractuelles ne sont pas la panacée, ils n'y en a pas assez... et le taux de démission est assez élevé...
Faut être réaliste, ce genre de scénario marcherait bien avec un salaire attractif. Mais au salaire actuel, soyons réaliste, le métier est trop dur sans "la garantie fonctionnaire".
Beaucoup font ce métier d'une part par convictions mais aussi pour la "sécurité" de l'emploi...
Enlevez cette sécurité et vous perdez l'attractivité principale, car c'est pas pour le salaire de début de carrière qu'on fait ce métier...
- Lord StevenExpert
Il est possible que l'on se dirige vers une organisation semblable à celle de la territoriale: la réussite à un concours garantit l'accès à une échelle de rémunération, mais pas à un poste qu'il faut chercher.
Je suis très attaché à la fonction publique d'état mais je comprends les réactions potentielles des néo tits qui préfèrent postuler pour un job au fin fond de leur département d'origine, même très éloigné des métropoles que citait Daphné, plutôt que de s'exiler au fin fond de la France.
Maintenant pour bien connaître le fonctionnement de la territoriale c'est le royaume du copinage. Effectivement une fois recruté on ne vous mettra pas dehors eu égard au statut de fonctionnaire, en revanche on peut vous placardiser ou vous inciter fortement à postuler ailleurs. ....
Je suis très attaché à la fonction publique d'état mais je comprends les réactions potentielles des néo tits qui préfèrent postuler pour un job au fin fond de leur département d'origine, même très éloigné des métropoles que citait Daphné, plutôt que de s'exiler au fin fond de la France.
Maintenant pour bien connaître le fonctionnement de la territoriale c'est le royaume du copinage. Effectivement une fois recruté on ne vous mettra pas dehors eu égard au statut de fonctionnaire, en revanche on peut vous placardiser ou vous inciter fortement à postuler ailleurs. ....
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If you play with a cat, you should mind his scratch
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