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- InvitéInvité
Voilà.
C'est tout au plus intéressant pour certains énoncés, qui feront de bonnes idées pour les dm, les DS et activités en classes ou AP.
Tout comme certains items PISA ou TIMSS d'ailleurs.
Pour le reste, la note reste mon meilleur allié pour un positionnement sur une échelle à 4 niveaux.
Hors de question que je me prenne davantage la tête, pas le temps, et surtout pas assez payé pour cela.
C'est tout au plus intéressant pour certains énoncés, qui feront de bonnes idées pour les dm, les DS et activités en classes ou AP.
Tout comme certains items PISA ou TIMSS d'ailleurs.
Pour le reste, la note reste mon meilleur allié pour un positionnement sur une échelle à 4 niveaux.
Hors de question que je me prenne davantage la tête, pas le temps, et surtout pas assez payé pour cela.
- ZeSandmanFidèle du forum
D'autant plus que n'est jamais évoqué de niveau 1 dans ce document ; j'imagine que dans l'état d'esprit actuel qui nous pousse à cacher la poussière sous le tapis à la bienveillance, ce niveau ne saurait exister (de toute façon si un élève est évalué niveau 1, la responsabilité ne saurait être la sienne, mais évidemment celle de l'enseignant qui n'aura pas su être assez ludique pour l'intéresser).
Ça devait de plus arracher la plume des concepteurs de ce bousin d'écrire :
Niveau 1 : l'élève n'en a rien à faire de ton activité pourrie, de toute façon les maths ça sert à rien.
J'avoue que j'ai aussi lu en diagonale, mais si je regarde la deuxième activité (question flash sur les opérations en fractionnaire), je les trouve un peu durs ; l'éleve qui réussit trois calculs sur les quatre n'est que niveau 2, car il n'a pas su simplifier.
C'est à mon sens un peu absurde, et c'est un écueil de cette évaluation avec seulement six compétences.
Ça me conforte dans mon évaluation par compétences, qu'ils appellent micro-compétences, et que mon IPR s'est fait plaisir à me reprocher (alors qu'ironiquement j'ai décidé de tester ce mode d'évaluation après une formation du PAF, menée par un collègue très intéressant, mais qui semble aujourd'hui persona non grata auprès de l'inspection).
Ça devait de plus arracher la plume des concepteurs de ce bousin d'écrire :
Niveau 1 : l'élève n'en a rien à faire de ton activité pourrie, de toute façon les maths ça sert à rien.
J'avoue que j'ai aussi lu en diagonale, mais si je regarde la deuxième activité (question flash sur les opérations en fractionnaire), je les trouve un peu durs ; l'éleve qui réussit trois calculs sur les quatre n'est que niveau 2, car il n'a pas su simplifier.
C'est à mon sens un peu absurde, et c'est un écueil de cette évaluation avec seulement six compétences.
Ça me conforte dans mon évaluation par compétences, qu'ils appellent micro-compétences, et que mon IPR s'est fait plaisir à me reprocher (alors qu'ironiquement j'ai décidé de tester ce mode d'évaluation après une formation du PAF, menée par un collègue très intéressant, mais qui semble aujourd'hui persona non grata auprès de l'inspection).
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Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
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