- LeemurNiveau 1
Honnêtement, avec mes 26 ans et mon ridicule master MEEF, je suis plus que désespéré à vous lire... M'enfin avant de choisir entre la corde et le ravin, je vais tenter de me renseigner pour voter intelligemment aux législatives (si c'est possible...) et aussi pourquoi pas me syndiquer, sait-on jamais...
- PabloPEExpert
Si j'avais l'esprit taquin je me demanderais comment interpréter la lettre écrite à ses étudiants pour les appeler à voter EM
https://pbs.twimg.com/media/C-4m7MEWAAE9Nm2.jpg:large
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"Et moi qui
me croyais tranquille pour un bout de temps avec mon chat brun."
- CondorcetOracle
Encore un qui foule au pied le principe de neutralité de l'action publique.
- User17706Bon génie
L'ESSEC n'a rien de public, si ?
- MacGowanJe viens de m'inscrire !
Sophie38 a écrit:Je pense qu'on est nombreux à ne pas pouvoir physiquement et moralement ingérer une autre réformeviolentebienveillante; ni même d'aller se vendre auprès des chefs d'établissement.
Je préfère jeter l'éponge et songe vraiment après 18 ans de maison à ne compter ni mes vacances, ni mes week-ends à ne plus en faire partie ... Peut-être vaut-il mieux tout arrêter ou alors résister, mais résister pour qui, pour quoi ???
Pour nos élèves, notre pays, nos collèges, et notre avenir (en commun?) ?
Sauvons nous les fesses, et imposons à Macron une cohabitation histoire de ne pas avoir l'autre [modéré] comme patron pour 5 ans.
- CondorcetOracle
Je retire : c'est vrai que l'ESSEC appartient à l'enseignement supérieur privé bien qu'elle reçoive des subventions de l'Etat.
L'appel au vote me semble plus que douteux mais n'est pas illégal (contrairement à un président d'université).
L'appel au vote me semble plus que douteux mais n'est pas illégal (contrairement à un président d'université).
- eleonore69Érudit
MacGowan a écrit:Sophie38 a écrit:Je pense qu'on est nombreux à ne pas pouvoir physiquement et moralement ingérer une autre réformeviolentebienveillante; ni même d'aller se vendre auprès des chefs d'établissement.
Je préfère jeter l'éponge et songe vraiment après 18 ans de maison à ne compter ni mes vacances, ni mes week-ends à ne plus en faire partie ... Peut-être vaut-il mieux tout arrêter ou alors résister, mais résister pour qui, pour quoi ???
Pour nos élèves, notre pays, nos collèges, et notre avenir (en commun?) ?
Sauvons nous les fesses, et imposons à Macron une cohabitation histoire de ne pas avoir l'autre [modéré] comme patron pour 5 ans.
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- PabloPEExpert
Vues les subventions reçues on peut se poser la questionPauvreYorick a écrit:L'ESSEC n'a rien de public, si ?
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"Et moi qui
me croyais tranquille pour un bout de temps avec mon chat brun."
- BalthazaardVénérable
eleonore69 a écrit:MacGowan a écrit:Sophie38 a écrit:Je pense qu'on est nombreux à ne pas pouvoir physiquement et moralement ingérer une autre réformeviolentebienveillante; ni même d'aller se vendre auprès des chefs d'établissement.
Je préfère jeter l'éponge et songe vraiment après 18 ans de maison à ne compter ni mes vacances, ni mes week-ends à ne plus en faire partie ... Peut-être vaut-il mieux tout arrêter ou alors résister, mais résister pour qui, pour quoi ???
Pour nos élèves, notre pays, nos collèges, et notre avenir (en commun?) ?
Sauvons nous les fesses, et imposons à Macron une cohabitation histoire de ne pas avoir l'autre [modéré] comme patron pour 5 ans.
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Qui serait le ministre...sans rire?
- SeiferÉrudit
:shock: :shock: :shock:Rendash a écrit:Dame Jouanne a écrit:Mais ils ont déjà du mal à remplir en mathématiques il me semble...Rendash a écrit:Dame Jouanne a écrit:Si l'évolution de notre métier suit ce que vous dites (et je pense que c'est ce qui nous attend), il y a quand même une logique qui m'échappe. Les concours ont déjà du mal à faire le plein et il manque déjà des enseignants. Il est déjà difficile de compléter tous les manques avec des vacataires. Si la situation se dégrade encore, il va y avoir un énorme problème de recrutement. Et cela même en supprimant le concours ou/et en diminuant le nombre d'heures de cours, en faisant faire aux professeurs plusieurs matières ou autres joyeusetés. Est-ce que cela n'interroge pas nos décideurs?
- Spoiler:
Quand à l'évolution style France Télécom, rien de plus facile : il n'y a même pas une médecine du travail digne de ce nom pour constater les dégâts.
D'où l'intérêt de la mastérisation, qui laisse chaque année trois à quatre fois plus de personnes sur le carreau que de lauréats des concours. Chair à canon bon marché, docile et malléable, qui acceptera tout sans broncher, des ORS à 35h à l'annualisation. Un master MEEF ne valant pas un pet de loutre, il est impossible de s'en targuer pour trouver un autre job que l'enseignement, donc on arrive au résultat escompté : des personnels captifs, dociles, précaires, sans statut protecteur, payés une misère pour un job à la con.
Il faut ne pas perdre de vue que la suppression du statut de fonctionnaire pour les enseignants est l'objectif visé. Ensuite, on peut privatiser tranquillou, en gardant un squelette de service public pour les crève-la-faim. Economies, voire bénéfices, et déresponsabilisation de l'Etat quant aux échecs éducatifs ; c'est tout bénef.
C'est vrai que ce n'est pas grave : il suffit d'attendre encore 25 ans avant de participer à nouveau à l'enquête TIMSS et pendant ce temps là prétendre que tout va bien
D'où la création progressive des "pôle sciences", "pôle littéraire" et "pôle artistique".
On voit ça d'ici, non ? Un prof de sciences capable d'enseigner (plus ou moins bien) maths, physique, chimie, SVT, techno ; un professeur lettres-histoire, ou lettres-langues, sur le modèle des LP ; et un prof d'art (arts plastiques et musique). Taillables, corvéables, interchangeables.
Tout est dans tout.
Mais comment oses-tu parler du travail de groupe et le polyvalence de chacun qui met en avant nos remarquables capacités ?
Je te foutrais au travail moi, et que ça saute.
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- JacqGuide spirituel
Leemur a écrit:Honnêtement, avec mes 26 ans et mon ridicule master MEEF, je suis plus que désespéré à vous lire... M'enfin avant de choisir entre la corde et le ravin, je vais tenter de me renseigner pour voter intelligemment aux législatives (si c'est possible...) et aussi pourquoi pas me syndiquer, sait-on jamais...
Pour te rassurer, avant, il y a les licences totalement creuses, vides, et sans valeur.
Tout cela ne date pas de "ta" génération, le mouvement a été enclenché bien avant. Ceux qui me lorgnaient du haut de leur licence ou maitrise pensaient sans doute que la mienne ne valait rien.
Mais le niveau ne baisse pas, NVB l'a affirmé lors que son dernier débat, versus MLP.... si elle le dit c'est que c'est vrai sans doute.
Notre nouveau ministre dira sans doute la même chose (étant lui-même comptable du naufrage des années passées). Son boulot consistera à défendre la politique ruineuse de ses congénères, à la justifier, et il va sans doute l'aggraver.
- LeemurNiveau 1
Jacq a écrit:Pour te rassurer, avant, il y a les licences totalement creuses, vides, et sans valeur.
Tout cela ne date pas de "ta" génération, le mouvement a été enclenché bien avant. Ceux qui me lorgnaient du haut de leur licence ou maitrise pensaient sans doute que la mienne ne valait rien.
Oui, ça je l'ai expérimenté aussi... Cela ne me dérangeait pas sur le moment, voulant à tout prix devenir enseignant (quelle folie, n'est-ce pas ?), mais il est vrai que maintenant si je veux me reconvertir ce n'est pas ma licence ou mon master qui vont m'aider. M'enfin, je vais tenter de ne pas baisser les bras trop vite, au risque de le regretter plus tard
- mistinguetteFidèle du forum
C'est pas un peu contradictoire le travail de groupe et d'être polyvalen. Ca va être sympa: La réunion du pôle sciences commence! Je suis là bon ben je commence, puisqu' on attend personne d'autres.
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.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- XIIINeoprof expérimenté
PabloPE a écrit:Vues les subventions reçues on peut se poser la questionPauvreYorick a écrit:L'ESSEC n'a rien de public, si ?
(les membres fondateurs sont l’institut catholique de Paris, le CCIV aujourd’hui CCIP et l’association des diplômés du groupe ESSEC)
Une officine libérale catholique.
- ZagaraGuide spirituel
Le n° 2 de Chatel et un ultra technocrate.
Heureux ?
Heureux ?
- kyralinaNiveau 8
On va morfler, encore plus! :nerveux:
- User21929Expert
J'ai déjà affiché en SdP les jolis propos de notre Ministre sur sa pensée à propos des LP. J'attends de voir les réactions. Si ça se bouge je lance les hostilités, si comme je le crois cela les laisse de marbre je pense sérieusement à ma démission.kyralina a écrit:On va morfler, encore plus! :nerveux:
- GaliNéoFidèle du forum
J'ai entendu ce matin sur une radio-poubelle animée par Bourdin que notre nouveau ministre avait proposé de rémunérer les élèves pour lutter contre l'absentéisme : est-ce vrai ?
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¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
- ZagaraGuide spirituel
C'était une de ses expérimentations folles pendant qu'il était recteur.
Il a lancé un grand nombre d'expérimentations ; parfois elles ont abouti à quelque chose de concret (le cartable virtuel par exemple), souvent elles relevaient de gadget à la mode.
Autant dire que vous allez manger du gadget qui va empiéter sur les heures de cours traditionnelles. ^^ Son maître-mot est vraiment : "innovation".
Il a lancé un grand nombre d'expérimentations ; parfois elles ont abouti à quelque chose de concret (le cartable virtuel par exemple), souvent elles relevaient de gadget à la mode.
Autant dire que vous allez manger du gadget qui va empiéter sur les heures de cours traditionnelles. ^^ Son maître-mot est vraiment : "innovation".
- Patience et raisonFidèle du forum
Lefteris a écrit:La paix totale, aucun secteur ne l'aura, il y aura des réductions de voilure, des externalisations des fonctions support, des méthodes managériales pour faire bosser plus les gens avec moins. Mais au moins les fonctionnaires actuels finiront fonctionnaires, tandis que ceux de l'EN, en dessous d'un certain âge, c'est le contrat de droit privé qui les attend, et sans doute pour un certain nombre le licenciement. Le spectre de France Télécom se profile.Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Quels sont les secteurs de la fonction publique où il reste une chance d'avoir la paix ?
Donc il faut se jeter sur les administrations régaliennes, où de surcroît les carrières sont plus rapides et les indemnités meilleures : ministère de l'intérieur, finances, justice, affaires étrangères...Mais ces concours se préparent, il faut se ménager souvent plusieurs années pour réussir les concours. Devenir prof aujourd'hui, sauf si l'on se reconvertit et qu'on est déjà âgé, c'est de l'inconscience, à moins d'être vraiment incapable de faire autre chose.
Il faut vraiment comprendre que la taille du ministère en fait le premier ennemi à abattre, et tout va y être employé, avec les manœuvres et l'habit pédagogique habituels.
Sachez qu'en détachement pour les A c'est extrêmement difficile de muter sur ces ministères (et les A "administratifs" lorgnent déjà dessus depuis longtemps).
Mon pessimisme du jour me pousse à dire que pour les enseignants qui veulent aujourd'hui délivrer un enseignement de qualité, il ne reste plus qu'à monter un établissement privé, mais il faut gagner au loto avant... Et c'est tellement loin de ce qui devrait être!
- gauvain31Empereur
Patience et raison a écrit:Lefteris a écrit:La paix totale, aucun secteur ne l'aura, il y aura des réductions de voilure, des externalisations des fonctions support, des méthodes managériales pour faire bosser plus les gens avec moins. Mais au moins les fonctionnaires actuels finiront fonctionnaires, tandis que ceux de l'EN, en dessous d'un certain âge, c'est le contrat de droit privé qui les attend, et sans doute pour un certain nombre le licenciement. Le spectre de France Télécom se profile.Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Quels sont les secteurs de la fonction publique où il reste une chance d'avoir la paix ?
Donc il faut se jeter sur les administrations régaliennes, où de surcroît les carrières sont plus rapides et les indemnités meilleures : ministère de l'intérieur, finances, justice, affaires étrangères...Mais ces concours se préparent, il faut se ménager souvent plusieurs années pour réussir les concours. Devenir prof aujourd'hui, sauf si l'on se reconvertit et qu'on est déjà âgé, c'est de l'inconscience, à moins d'être vraiment incapable de faire autre chose.
Il faut vraiment comprendre que la taille du ministère en fait le premier ennemi à abattre, et tout va y être employé, avec les manœuvres et l'habit pédagogique habituels.
Sachez qu'en détachement pour les A c'est extrêmement difficile de muter sur ces ministères (et les A "administratifs" lorgnent déjà dessus depuis longtemps).
Mon pessimisme du jour me pousse à dire que pour les enseignants qui veulent aujourd'hui délivrer un enseignement de qualité, il ne reste plus qu'à monter un établissement privé, mais il faut gagner au loto avant... Et c'est tellement loin de ce qui devrait être!
J'en arrive au même constat que toi, et je suis sûr qu'on y viendra un jour peut être dans moins de 20 ans: des établissements privés laïques hors-contrat montés et financés par des professeurs dégoûtés des réformes qui ont eu lieu pour pouvoir enseigner décemment
- LeclochardEmpereur
Patience et raison a écrit:Lefteris a écrit:La paix totale, aucun secteur ne l'aura, il y aura des réductions de voilure, des externalisations des fonctions support, des méthodes managériales pour faire bosser plus les gens avec moins. Mais au moins les fonctionnaires actuels finiront fonctionnaires, tandis que ceux de l'EN, en dessous d'un certain âge, c'est le contrat de droit privé qui les attend, et sans doute pour un certain nombre le licenciement. Le spectre de France Télécom se profile.Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Quels sont les secteurs de la fonction publique où il reste une chance d'avoir la paix ?
Donc il faut se jeter sur les administrations régaliennes, où de surcroît les carrières sont plus rapides et les indemnités meilleures : ministère de l'intérieur, finances, justice, affaires étrangères...Mais ces concours se préparent, il faut se ménager souvent plusieurs années pour réussir les concours. Devenir prof aujourd'hui, sauf si l'on se reconvertit et qu'on est déjà âgé, c'est de l'inconscience, à moins d'être vraiment incapable de faire autre chose.
Il faut vraiment comprendre que la taille du ministère en fait le premier ennemi à abattre, et tout va y être employé, avec les manœuvres et l'habit pédagogique habituels.
Sachez qu'en détachement pour les A c'est extrêmement difficile de muter sur ces ministères (et les A "administratifs" lorgnent déjà dessus depuis longtemps).
Mon pessimisme du jour me pousse à dire que pour les enseignants qui veulent aujourd'hui délivrer un enseignement de qualité, il ne reste plus qu'à monter un établissement privé, mais il faut gagner au loto avant... Et c'est tellement loin de ce qui devrait être!
Si tu gagnes au loto, tu te barres. Mais tu dis vrai sans le savoir: il faut avoir des moyens importants pour payer un enseignement à 6000 euros par an à chacun de ses enfants du collège au lycée.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- stanleymilgramNiveau 9
Gauvain31 : j'en serai !
- IphigénieProphète
Pourquoi les ministres de l'EN veulent-ils tous rabattre l'importance de leur ministère?la taille du ministère en fait le premier ennemi à abattre,
- cunégondeNiveau 10
Des établissements qui auraient des points communs avec le collège Stanislas où Blanquer a été élève ?gauvain31 a écrit:Patience et raison a écrit:Lefteris a écrit:La paix totale, aucun secteur ne l'aura, il y aura des réductions de voilure, des externalisations des fonctions support, des méthodes managériales pour faire bosser plus les gens avec moins. Mais au moins les fonctionnaires actuels finiront fonctionnaires, tandis que ceux de l'EN, en dessous d'un certain âge, c'est le contrat de droit privé qui les attend, et sans doute pour un certain nombre le licenciement. Le spectre de France Télécom se profile.Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Quels sont les secteurs de la fonction publique où il reste une chance d'avoir la paix ?
Donc il faut se jeter sur les administrations régaliennes, où de surcroît les carrières sont plus rapides et les indemnités meilleures : ministère de l'intérieur, finances, justice, affaires étrangères...Mais ces concours se préparent, il faut se ménager souvent plusieurs années pour réussir les concours. Devenir prof aujourd'hui, sauf si l'on se reconvertit et qu'on est déjà âgé, c'est de l'inconscience, à moins d'être vraiment incapable de faire autre chose.
Il faut vraiment comprendre que la taille du ministère en fait le premier ennemi à abattre, et tout va y être employé, avec les manœuvres et l'habit pédagogique habituels.
Sachez qu'en détachement pour les A c'est extrêmement difficile de muter sur ces ministères (et les A "administratifs" lorgnent déjà dessus depuis longtemps).
Mon pessimisme du jour me pousse à dire que pour les enseignants qui veulent aujourd'hui délivrer un enseignement de qualité, il ne reste plus qu'à monter un établissement privé, mais il faut gagner au loto avant... Et c'est tellement loin de ce qui devrait être!
J'en arrive au même constat que toi, et je suis sûr qu'on y viendra un jour peut être dans moins de 20 ans: des établissements privés laïques hors-contrat montés et financés par des professeurs dégoûtés des réformes qui ont eu lieu pour pouvoir enseigner décemment
- gauvain31Empereur
Je ne connais pas le collège Stanislas Cunégonde: qu'a-t-il de particulier ?
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